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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'COMORBIDITE'
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Titre : PHOBIE SOCIALE ET ADDICTION AU CANNABIS Type de document : thèse Auteurs : LOUBNA ACHOUR, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : PHOBIE SOCIALE ADDICTION AU CANNABIS COMORBIDITE Résumé : L’étude de la phobie sociale a permis de déterminer son rôle dans l’addiction au cannabis.
Apparaissant souvent à un âge jeune, la phobie sociale est représentée par un déficit majeur en affirmation de soi qui se manifeste par une peur persistante de situations d’interaction sociale.
Certains sujets utilisent alors le cannabis pour ses vertus apaisantes afin de lutter contre cette anxiété. Mais à long terme, il aggrave les troubles phobiques, et inversement, la phobie sociale aggrave l’addiction au cannabis.
Pour cela, il faut une meilleure connaissance de l’existence de ce diagnostic et des éléments permettant de faciliter ce dernier. La présentation du questionnaire appelé M.I.N.I a donc pour but de proposer un test diagnostique validé, mais surtout simple d’utilisation et compatible avec la pratique en cabinet médical.
Selon NCS (National Comorbidity Survey), 29 % des personnes ayant une dépendance au cannabis avaient une phobie sociale.
L’intérêt de notre travail est de mettre en alerte sur la comorbidité entre l’addiction au cannabis et la phobie sociale. En effet, les troubles phobiques sont majoritairement antérieurs à la dépendance au cannabis. De plus, la consommation régulière du cannabis a été associée avec un bas niveau de santé mentale chez les personnes anxieuses. Finalement, la phobie sociale constitue un facteur de risque majeur pour l'apparition ultérieure de la dépendance au cannabis.
Deux éléments thérapeutiques principaux ressortent de cette étude : le traitement par antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et les thérapies cognitivo-comportementales.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0272014 Président : OUANASS.A Directeur : MEHSSANI.J Juge : KISRA.H PHOBIE SOCIALE ET ADDICTION AU CANNABIS [thèse] / LOUBNA ACHOUR, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PHOBIE SOCIALE ADDICTION AU CANNABIS COMORBIDITE Résumé : L’étude de la phobie sociale a permis de déterminer son rôle dans l’addiction au cannabis.
Apparaissant souvent à un âge jeune, la phobie sociale est représentée par un déficit majeur en affirmation de soi qui se manifeste par une peur persistante de situations d’interaction sociale.
Certains sujets utilisent alors le cannabis pour ses vertus apaisantes afin de lutter contre cette anxiété. Mais à long terme, il aggrave les troubles phobiques, et inversement, la phobie sociale aggrave l’addiction au cannabis.
Pour cela, il faut une meilleure connaissance de l’existence de ce diagnostic et des éléments permettant de faciliter ce dernier. La présentation du questionnaire appelé M.I.N.I a donc pour but de proposer un test diagnostique validé, mais surtout simple d’utilisation et compatible avec la pratique en cabinet médical.
Selon NCS (National Comorbidity Survey), 29 % des personnes ayant une dépendance au cannabis avaient une phobie sociale.
L’intérêt de notre travail est de mettre en alerte sur la comorbidité entre l’addiction au cannabis et la phobie sociale. En effet, les troubles phobiques sont majoritairement antérieurs à la dépendance au cannabis. De plus, la consommation régulière du cannabis a été associée avec un bas niveau de santé mentale chez les personnes anxieuses. Finalement, la phobie sociale constitue un facteur de risque majeur pour l'apparition ultérieure de la dépendance au cannabis.
Deux éléments thérapeutiques principaux ressortent de cette étude : le traitement par antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et les thérapies cognitivo-comportementales.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0272014 Président : OUANASS.A Directeur : MEHSSANI.J Juge : KISRA.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0272014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M0272014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M0272014URL LA PSYCHIATRIE DE LIAISON AU SEIN D'UN HOPITAL GENERAL / KHALIL IBRAHIM ALEHYANE
Titre : LA PSYCHIATRIE DE LIAISON AU SEIN D'UN HOPITAL GENERAL Type de document : thèse Auteurs : KHALIL IBRAHIM ALEHYANE, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : PSYCHIATRIE DE LIAISON COMORBIDITE DEPRESSION PLURIDISCIPLINARITE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction:
La psychiatrie de liaison est la partie de la psychiatrie qui s’occupe des troubles psychiques se manifestant chez les patients présentant et/ou suivis pour des affections somatiques.
Notre travail à travers l'étude de sept cas cliniques illustre les avantages de la pratique de la psychiatrie de liaison au sein d'un Hôpital général permettant aux médecins somaticiens de résoudre les anomalies psychiatriques de leurs patients.
Matériel et méthode:
Le choix des sept patients a reposé sur une approche pédagogique. Il s’agit de patients dans des services de médecine, de chirurgie et des urgences de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V à Rabat, et suivis pour des pathologies somatiques intriquées à des Troubles psychiatriques.
Résultats:
Dans notre série, ont été colligés trois cas de Trouble dépressif majeur, deux cas d’Episode maniaque, et deux cas de Troubles psychotiques. Dans tous ces cas, l'impact des troubles psychiatriques sur l'équipe soignante somatique est marqué par deux attitudes tout à fait opposées:
- d’une part des sentiments de peur et de crainte lorsque les troubles sont du registre psychotique ou maniaque,
- et d’autre part des sentiments d’aide et de compassion lorsque les troubles sont du registre dépressif.
Pour tous les cas, le psychiatre a pu intervenir rapidement, pour établir un diagnostic psychiatrique, apaiser l'angoisse aussi bien celle du patient que celle de l'entourage et enfin proposer une stratégie thérapeutique adéquate.
Analyse et discussion:
Cette pratique de Psychiatrie de liaison s’impose pour plusieurs raisons:
- chez les patients souffrant de pathologies somatiques, le taux de comorbidité psychiatrique atteint 30%.
- les troubles comorbides le plus souvent observés sont les troubles anxieux et/ou dépressifs, qui représentent les trois quarts des cas.
- un grand nombre de Troubles psychiatriques chez les patients souffrant de maladies organiques demeurent sous diagnostiquées et sous-traitées, voire même non traitées.
- l’absence d’un diagnostic précoce de Troubles psychiatriques chez ce genre de patients contribue à l’aggravation et/ou la chronicisation de ces affections somatiques.
La pratique de la psychiatrie de liaison pour nos cas cliniques a permis:
- d’expliquer le rôle du psychiatre dans la sensibilisation des médecins somaticiens au fait psychique,
- et d’encourager une prise en charge globale des patients tout en respectant leur singularité.
Pour conclure:
La pratique de la psychiatrie de liaison s’avère utile voire indispensable. Elle requière une adaptation permanente de la part du psychiatre et une prise en charge multidisciplinaire des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0672010 Président : AHMED FAJRI Directeur : MOHAMED ZAKARIA BICHRA Juge : ABDERZAK OUANASS LA PSYCHIATRIE DE LIAISON AU SEIN D'UN HOPITAL GENERAL [thèse] / KHALIL IBRAHIM ALEHYANE, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PSYCHIATRIE DE LIAISON COMORBIDITE DEPRESSION PLURIDISCIPLINARITE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction:
La psychiatrie de liaison est la partie de la psychiatrie qui s’occupe des troubles psychiques se manifestant chez les patients présentant et/ou suivis pour des affections somatiques.
Notre travail à travers l'étude de sept cas cliniques illustre les avantages de la pratique de la psychiatrie de liaison au sein d'un Hôpital général permettant aux médecins somaticiens de résoudre les anomalies psychiatriques de leurs patients.
Matériel et méthode:
Le choix des sept patients a reposé sur une approche pédagogique. Il s’agit de patients dans des services de médecine, de chirurgie et des urgences de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V à Rabat, et suivis pour des pathologies somatiques intriquées à des Troubles psychiatriques.
Résultats:
Dans notre série, ont été colligés trois cas de Trouble dépressif majeur, deux cas d’Episode maniaque, et deux cas de Troubles psychotiques. Dans tous ces cas, l'impact des troubles psychiatriques sur l'équipe soignante somatique est marqué par deux attitudes tout à fait opposées:
- d’une part des sentiments de peur et de crainte lorsque les troubles sont du registre psychotique ou maniaque,
- et d’autre part des sentiments d’aide et de compassion lorsque les troubles sont du registre dépressif.
Pour tous les cas, le psychiatre a pu intervenir rapidement, pour établir un diagnostic psychiatrique, apaiser l'angoisse aussi bien celle du patient que celle de l'entourage et enfin proposer une stratégie thérapeutique adéquate.
Analyse et discussion:
Cette pratique de Psychiatrie de liaison s’impose pour plusieurs raisons:
- chez les patients souffrant de pathologies somatiques, le taux de comorbidité psychiatrique atteint 30%.
- les troubles comorbides le plus souvent observés sont les troubles anxieux et/ou dépressifs, qui représentent les trois quarts des cas.
- un grand nombre de Troubles psychiatriques chez les patients souffrant de maladies organiques demeurent sous diagnostiquées et sous-traitées, voire même non traitées.
- l’absence d’un diagnostic précoce de Troubles psychiatriques chez ce genre de patients contribue à l’aggravation et/ou la chronicisation de ces affections somatiques.
La pratique de la psychiatrie de liaison pour nos cas cliniques a permis:
- d’expliquer le rôle du psychiatre dans la sensibilisation des médecins somaticiens au fait psychique,
- et d’encourager une prise en charge globale des patients tout en respectant leur singularité.
Pour conclure:
La pratique de la psychiatrie de liaison s’avère utile voire indispensable. Elle requière une adaptation permanente de la part du psychiatre et une prise en charge multidisciplinaire des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0672010 Président : AHMED FAJRI Directeur : MOHAMED ZAKARIA BICHRA Juge : ABDERZAK OUANASS Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0672010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible TROUBLES BIPOLAIRES ET DIABÈTE / CHADIA SAOUD
Titre : TROUBLES BIPOLAIRES ET DIABÈTE Type de document : thèse Auteurs : CHADIA SAOUD, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : TROUBLES BIPOLAIRE DIABETE COMORBIDITE THYMOREGULATEURS ANTIPSYCHOTIQUES-FACTEURSDE GRAVITE PREVENTION Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction :
L’association du Trouble bipolaire et du Diabète est assez fréquente. La littérature
rapporte que cette association peut être fortuite ou que l’une des deux maladies
peut provoquer l’autre. Les liens étiopathogéniques peuvent être génétiques,
physiopathologiques ou encore iatrogènes. Notre étude pratique consiste à étudier
essentiellement les liens clinique, évolutif et thérapeutique entre le Trouble
bipolaire et le Diabète chez des patients présentant les deux pathologies.
Matériel et méthodes :
Nous avons réalisé une étude rétrospective à propos de 6 cas cliniques de patients
présentant un Trouble bipolaire associé à un Diabète au sein du service de
psychiatrie de HMIMV durant les années 2006 et 2007.
Les outils de travail utilisés sont : le dossier médical, la fiche d’exploitation et les
critères diagnostiques du DSM-IV pour le Trouble Bipolaire et ceux de l’OMS
pour le Diabète.
Résultats :
Tous les patients de notre étude ont un Trouble Bipolaire de type I et 67% des
patients ont un diabète de type 2. Le diabète précède le Trouble Bipolaire dans la
moitié des cas.
Sur le plan clinique et évolutif, 80% des patients ont 3 facteurs de gravité qui sont
principalement les conduites addictives, les troubles psychotiques et la mauvaise
observance thérapeutique. Le tiers des troubles BP est constitué par la séquence
Dépression Manie Intervalle libre. La découverte du diabète est fortuite dans 66%
des cas, et la moitié des patients ont un diabète déséquilibré et un suivi irrégulier.
185
Sur le plan thérapeutique, la plupart des épisodes maniaques ont été traités par des
antipsychotiques classiques auxquels un thymorégulateur a été ajouté en tant que
traitement préventif des rechutes.
Analyse et discussion :
La prévalence du diabète chez les patients présentant un trouble bipolaire est de
14 %. Cette prévalence occupe la première place parmi les pathologies organiques
associées au trouble bipolaire.
Sur le plan clinique et évolutif, les patients de notre étude présentent des épisodes
thymiques assez sévères, avec des répercussions socio familiales et
professionnelles importantes. L’évolution clinique de la moitié des patients est
marquée par la fréquence des rechutes due le plus souvent à une inobservance du
traitement. Le diabète a débuté à un âge précoce chez nos patients. Une
déstabilisation du Trouble BP provoque souvent un déséquilibre du diabète.
Sur le plan thérapeutique, la prise en charge simultanée du trouble BP et du diabète
permet d’obtenir des stabilisations durables des deux affections. Les psychotropes
doivent être minutieusement choisis pour le traitement d’un Trouble bipolaire avec
diabète comorbide. Il faut privilégier les thymorégulateurs, éviter les
antidépresseurs tricycliques et être prudent quant à l’utilisation des
antipsychotiques atypiques.
Conclusion :
Le dépistage et la prévention du Diabète doivent être systématiques chez tous les
patients présentant un Trouble bipolaire. L’association du Trouble Bipolaire et du
Diabète impose une prise en charge thérapeutique précoce et multidisciplinaire.
Mots-clés : Trouble bipolaire – Diabète – Comorbidité –Thymorégulateurs –
Antipsychotiques – Facteurs de gravité – Prévention.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1242009 Président : AHMED FAJRI Directeur : MOHAMED ZAKARIA BICHRA Juge : ABDERAZAK OUANASS TROUBLES BIPOLAIRES ET DIABÈTE [thèse] / CHADIA SAOUD, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TROUBLES BIPOLAIRE DIABETE COMORBIDITE THYMOREGULATEURS ANTIPSYCHOTIQUES-FACTEURSDE GRAVITE PREVENTION Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction :
L’association du Trouble bipolaire et du Diabète est assez fréquente. La littérature
rapporte que cette association peut être fortuite ou que l’une des deux maladies
peut provoquer l’autre. Les liens étiopathogéniques peuvent être génétiques,
physiopathologiques ou encore iatrogènes. Notre étude pratique consiste à étudier
essentiellement les liens clinique, évolutif et thérapeutique entre le Trouble
bipolaire et le Diabète chez des patients présentant les deux pathologies.
Matériel et méthodes :
Nous avons réalisé une étude rétrospective à propos de 6 cas cliniques de patients
présentant un Trouble bipolaire associé à un Diabète au sein du service de
psychiatrie de HMIMV durant les années 2006 et 2007.
Les outils de travail utilisés sont : le dossier médical, la fiche d’exploitation et les
critères diagnostiques du DSM-IV pour le Trouble Bipolaire et ceux de l’OMS
pour le Diabète.
Résultats :
Tous les patients de notre étude ont un Trouble Bipolaire de type I et 67% des
patients ont un diabète de type 2. Le diabète précède le Trouble Bipolaire dans la
moitié des cas.
Sur le plan clinique et évolutif, 80% des patients ont 3 facteurs de gravité qui sont
principalement les conduites addictives, les troubles psychotiques et la mauvaise
observance thérapeutique. Le tiers des troubles BP est constitué par la séquence
Dépression Manie Intervalle libre. La découverte du diabète est fortuite dans 66%
des cas, et la moitié des patients ont un diabète déséquilibré et un suivi irrégulier.
185
Sur le plan thérapeutique, la plupart des épisodes maniaques ont été traités par des
antipsychotiques classiques auxquels un thymorégulateur a été ajouté en tant que
traitement préventif des rechutes.
Analyse et discussion :
La prévalence du diabète chez les patients présentant un trouble bipolaire est de
14 %. Cette prévalence occupe la première place parmi les pathologies organiques
associées au trouble bipolaire.
Sur le plan clinique et évolutif, les patients de notre étude présentent des épisodes
thymiques assez sévères, avec des répercussions socio familiales et
professionnelles importantes. L’évolution clinique de la moitié des patients est
marquée par la fréquence des rechutes due le plus souvent à une inobservance du
traitement. Le diabète a débuté à un âge précoce chez nos patients. Une
déstabilisation du Trouble BP provoque souvent un déséquilibre du diabète.
Sur le plan thérapeutique, la prise en charge simultanée du trouble BP et du diabète
permet d’obtenir des stabilisations durables des deux affections. Les psychotropes
doivent être minutieusement choisis pour le traitement d’un Trouble bipolaire avec
diabète comorbide. Il faut privilégier les thymorégulateurs, éviter les
antidépresseurs tricycliques et être prudent quant à l’utilisation des
antipsychotiques atypiques.
Conclusion :
Le dépistage et la prévention du Diabète doivent être systématiques chez tous les
patients présentant un Trouble bipolaire. L’association du Trouble Bipolaire et du
Diabète impose une prise en charge thérapeutique précoce et multidisciplinaire.
Mots-clés : Trouble bipolaire – Diabète – Comorbidité –Thymorégulateurs –
Antipsychotiques – Facteurs de gravité – Prévention.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1242009 Président : AHMED FAJRI Directeur : MOHAMED ZAKARIA BICHRA Juge : ABDERAZAK OUANASS Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1242009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible