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ERYTHEME POLYMORPHE CHEZ L’ENFANT, CONDUITE DIAGNOSTIC ET THERAPEUTIQUE. / AMINA BAHA
Titre : ERYTHEME POLYMORPHE CHEZ L’ENFANT, CONDUITE DIAGNOSTIC ET THERAPEUTIQUE. Type de document : thèse Auteurs : AMINA BAHA, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : EPIDEMIOLOGIE ETIOPATHOGENIE ASPECTS CLINIQUES CONDUITE THERAPEUTIQUE. Résumé : • L’érythème polymorphe est une affection éruptive aigue, rare chez l’enfant et quasi- inexistante chez le nourrisson .Initialement 2 formes cliniques ont été décrites :
-L’érythème polymorphe mineur, forme typique uniquement cutanée.
-L’érythème polymorphe majeur, avec lésions muqueuses associées.
• La lésion est typiquement en cocarde constituée de 3 zones concentriques :
Des aspects atypiques existent : papule à centre déprimé et cyanotique, bulle entourée d’un anneau érythémateux, Ces lésions ne sont pas prurigineuses.
• La confirmation diagnostic peut être histologique.
• Le principal diagnostic différentiel est surtout l’urticaire, qui peut prendre des aspects annulaires mais n’a jamais d’aspect en cocarde typique.
La lésion d’urticaire est plus papuleuse prurigineuse et est migratoire avec une rapide évolution centrifuge, qui modifie en quelques heures la lésion initiale donnant des lésions plus grandes que celles de l’érythème polymorphe.
• Les causes d’érythème polymorphe sont essentiellement infectieuses :
-L’infection herpétique, plutôt à l’origine de la forme mineure ;
-L’infection à Mycoplasma Pneumoniae plutôt à l’origine d’érythème polymorphe majeur.
-Les médicaments en cause sont : les AINS, Sulfamides, anti-épileptiques.
• Le traitement est surtout symptomatique basé sur les antalgiques, antiseptiques et antibiotiques. La place de la corticothérapie est actuellement discutée.
• Notre étude regroupe 3 cas, 2 garçons adressés du centre de santé pour forme mineure et une fille pour forme majeure.
• L’érythème polymorphe chez l’enfant est un diagnostic très rare mais à ne pas méconnaitre afin de ne pas passer à coté des formes majeures mettant en jeu le pronostic vital.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0112013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL MANSOURI.F ERYTHEME POLYMORPHE CHEZ L’ENFANT, CONDUITE DIAGNOSTIC ET THERAPEUTIQUE. [thèse] / AMINA BAHA, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : EPIDEMIOLOGIE ETIOPATHOGENIE ASPECTS CLINIQUES CONDUITE THERAPEUTIQUE. Résumé : • L’érythème polymorphe est une affection éruptive aigue, rare chez l’enfant et quasi- inexistante chez le nourrisson .Initialement 2 formes cliniques ont été décrites :
-L’érythème polymorphe mineur, forme typique uniquement cutanée.
-L’érythème polymorphe majeur, avec lésions muqueuses associées.
• La lésion est typiquement en cocarde constituée de 3 zones concentriques :
Des aspects atypiques existent : papule à centre déprimé et cyanotique, bulle entourée d’un anneau érythémateux, Ces lésions ne sont pas prurigineuses.
• La confirmation diagnostic peut être histologique.
• Le principal diagnostic différentiel est surtout l’urticaire, qui peut prendre des aspects annulaires mais n’a jamais d’aspect en cocarde typique.
La lésion d’urticaire est plus papuleuse prurigineuse et est migratoire avec une rapide évolution centrifuge, qui modifie en quelques heures la lésion initiale donnant des lésions plus grandes que celles de l’érythème polymorphe.
• Les causes d’érythème polymorphe sont essentiellement infectieuses :
-L’infection herpétique, plutôt à l’origine de la forme mineure ;
-L’infection à Mycoplasma Pneumoniae plutôt à l’origine d’érythème polymorphe majeur.
-Les médicaments en cause sont : les AINS, Sulfamides, anti-épileptiques.
• Le traitement est surtout symptomatique basé sur les antalgiques, antiseptiques et antibiotiques. La place de la corticothérapie est actuellement discutée.
• Notre étude regroupe 3 cas, 2 garçons adressés du centre de santé pour forme mineure et une fille pour forme majeure.
• L’érythème polymorphe chez l’enfant est un diagnostic très rare mais à ne pas méconnaitre afin de ne pas passer à coté des formes majeures mettant en jeu le pronostic vital.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0112013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL MANSOURI.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0112013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible PEAU ET FROID / ER-HAYMINI KHALIL
Titre : PEAU ET FROID Type de document : thèse Auteurs : ER-HAYMINI KHALIL, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENFANT THERMOREGULATION MANIFESTATIONS CLINIQUES CONDUITE THERAPEUTIQUE. Résumé : L’Homme est un homéotherme, il maintient sa température stable grâce à plusieurs mécanismes régulateurs, cependant sa résistance au froid est faible. La peau est l’interface entre l’organisme et l’environnement qui permet grâce à son implication dans la thermorégulation de maintenir l’homéostasie.
La thermorégulation est sous dépendance de l’hypothalamus, la peau y participe grâce à son réseau vasculaire important et ses mécanismes vasoactifs.
La réponse de la peau au froid se fait en trois phases, une vasoconstriction massive des vaisseaux suivie d’une remonté lente et cyclique de la température par le phénomène de Lewis, et en fin une rechute de la température cutanée à celle du milieu ambiant.
En l'absence d’origine centrale ou de maladie systémique, la coloration bleuâtre des doigts et des orteils est très souvent une maladie bénigne chez les enfants.
Plusieurs formes cliniques existent, dans ce travail on mettra le point sur les gelures, acrocyanose, livedo, phénomène de Raynaud, engelures, urticaire au froid, lucite hivernal bénigne, panniculite au froid, le sclérème néonatal et La cytostéatonécrose du nouveau né.
Le diagnostic est essentiellement clinique, mais dans certains cas on a recours aux examens para cliniques : biologie, histologie et la capillaroscopie.
Les complications sont bénignes si le patient peut se prévenir du froid. En revanche, l’exposition prolongée au froid, peut entraîner des complications trophiques parfois sévères et difficiles à traiter : retard de cicatrisation, mycoses, escarres…
Le traitement repose essentiellement sur le respect des mesures hygiéniques en se protégeant contre le froid, un traitement par vasodilatateur ou dermocorticoïde est prescrit en fonction des cas, l’évolution est souvent bénigne avec un caractère saisonnier.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1322013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S PEAU ET FROID [thèse] / ER-HAYMINI KHALIL, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ENFANT THERMOREGULATION MANIFESTATIONS CLINIQUES CONDUITE THERAPEUTIQUE. Résumé : L’Homme est un homéotherme, il maintient sa température stable grâce à plusieurs mécanismes régulateurs, cependant sa résistance au froid est faible. La peau est l’interface entre l’organisme et l’environnement qui permet grâce à son implication dans la thermorégulation de maintenir l’homéostasie.
La thermorégulation est sous dépendance de l’hypothalamus, la peau y participe grâce à son réseau vasculaire important et ses mécanismes vasoactifs.
La réponse de la peau au froid se fait en trois phases, une vasoconstriction massive des vaisseaux suivie d’une remonté lente et cyclique de la température par le phénomène de Lewis, et en fin une rechute de la température cutanée à celle du milieu ambiant.
En l'absence d’origine centrale ou de maladie systémique, la coloration bleuâtre des doigts et des orteils est très souvent une maladie bénigne chez les enfants.
Plusieurs formes cliniques existent, dans ce travail on mettra le point sur les gelures, acrocyanose, livedo, phénomène de Raynaud, engelures, urticaire au froid, lucite hivernal bénigne, panniculite au froid, le sclérème néonatal et La cytostéatonécrose du nouveau né.
Le diagnostic est essentiellement clinique, mais dans certains cas on a recours aux examens para cliniques : biologie, histologie et la capillaroscopie.
Les complications sont bénignes si le patient peut se prévenir du froid. En revanche, l’exposition prolongée au froid, peut entraîner des complications trophiques parfois sévères et difficiles à traiter : retard de cicatrisation, mycoses, escarres…
Le traitement repose essentiellement sur le respect des mesures hygiéniques en se protégeant contre le froid, un traitement par vasodilatateur ou dermocorticoïde est prescrit en fonction des cas, l’évolution est souvent bénigne avec un caractère saisonnier.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1322013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1322013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M1322013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible