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FACTEURS PREDICTIFS D’ECHEC A LACORTICOTHERAPIE INTRAVEINEUSE AU COURS DES COLITES AIGUES GRAVES / Fadwa EL BAKARI
Titre : FACTEURS PREDICTIFS D’ECHEC A LACORTICOTHERAPIE INTRAVEINEUSE AU COURS DES COLITES AIGUES GRAVES Type de document : thèse Auteurs : Fadwa EL BAKARI, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticothérapie Colite aigue grave MICI Résumé : Introduction :
La CAG est une urgence médico-chirurgicale qui complique 15% des RCH et rarement une
Notre objectif est d’étudier les facteurs prédictifs d’échec à la corticothérapie intraveineuse au
cours des CAG.
Matériels et méthodes :
C’est une étude prospective portant sur 27 cas hospitalisés au service de gastro-entérologie de
l’HMIMV de Rabat.
Le diagnostic de CAG a été retenu sur le score de truelove et witts. Tous les patients ont eu
recours à un traitement par corticothérapie IV ainsi qu’un traitement par infliximab +/- chirurgie au
besoin.
Résultats :
L’âge moyen de nos patients est de 37,8 ans. Une nette prédominance féminine a été retrouvée.
78 % de nos patients avaient une CAG inaugurale et 22% des malades avaient une CAG compliquant
une MICI connue.
La clinique est dominée par les émissions glairo-sanglantes et les douleurs abdominales.
L’endoscopie a rapporté des signes de gravité chez 33% des cas.
Le taux de réponse à la corticothérapie IV est de 22,2%. 21 malades ont été mis sous infliximab
(77,8%) tandis que 33,3% des cas ont eu recours à la chirurgie.
En analyse univarié, les facteurs prédictifs d’échec sont l’âge (p= 0,01), le taux d’hémoglobine
(p= 0,021), et la présence du sang à J3 (p< 0,01). En analyse multivariée, seul l’âge (p= 0,03) et la
présence du sang à J3 (P=0,02) sont prédictifs d’échec à la corticothérapie intraveineuse.
Conclusion :
A la lumière de notre étude et en se référant à la littérature, les sujets jeunes gardant du sang
dans les selles à J3 du traitement répondent moins à cette dernière et nécessitent le recours à un
traitement de deuxième ligne.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0422021 Président : ZENTAR.A Directeur : AOURARH.A Juge : SALIHOUN.M Juge : SEDDIK.H FACTEURS PREDICTIFS D’ECHEC A LACORTICOTHERAPIE INTRAVEINEUSE AU COURS DES COLITES AIGUES GRAVES [thèse] / Fadwa EL BAKARI, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Corticothérapie Colite aigue grave MICI Résumé : Introduction :
La CAG est une urgence médico-chirurgicale qui complique 15% des RCH et rarement une
Notre objectif est d’étudier les facteurs prédictifs d’échec à la corticothérapie intraveineuse au
cours des CAG.
Matériels et méthodes :
C’est une étude prospective portant sur 27 cas hospitalisés au service de gastro-entérologie de
l’HMIMV de Rabat.
Le diagnostic de CAG a été retenu sur le score de truelove et witts. Tous les patients ont eu
recours à un traitement par corticothérapie IV ainsi qu’un traitement par infliximab +/- chirurgie au
besoin.
Résultats :
L’âge moyen de nos patients est de 37,8 ans. Une nette prédominance féminine a été retrouvée.
78 % de nos patients avaient une CAG inaugurale et 22% des malades avaient une CAG compliquant
une MICI connue.
La clinique est dominée par les émissions glairo-sanglantes et les douleurs abdominales.
L’endoscopie a rapporté des signes de gravité chez 33% des cas.
Le taux de réponse à la corticothérapie IV est de 22,2%. 21 malades ont été mis sous infliximab
(77,8%) tandis que 33,3% des cas ont eu recours à la chirurgie.
En analyse univarié, les facteurs prédictifs d’échec sont l’âge (p= 0,01), le taux d’hémoglobine
(p= 0,021), et la présence du sang à J3 (p< 0,01). En analyse multivariée, seul l’âge (p= 0,03) et la
présence du sang à J3 (P=0,02) sont prédictifs d’échec à la corticothérapie intraveineuse.
Conclusion :
A la lumière de notre étude et en se référant à la littérature, les sujets jeunes gardant du sang
dans les selles à J3 du traitement répondent moins à cette dernière et nécessitent le recours à un
traitement de deuxième ligne.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0422021 Président : ZENTAR.A Directeur : AOURARH.A Juge : SALIHOUN.M Juge : SEDDIK.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0422021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M0422021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M0422021URL SURINFECTION A CYTOMEGALOVIRUS DANS LES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUE DE L’INTESTIN : PREVALENCE ET IMPLICATIONS THERAPEUTIQUES / Aissam MOUAA
Titre : SURINFECTION A CYTOMEGALOVIRUS DANS LES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUE DE L’INTESTIN : PREVALENCE ET IMPLICATIONS THERAPEUTIQUES Type de document : thèse Auteurs : Aissam MOUAA, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cytomégalovirus MICI Colite aigue grave Résumé : Introduction :
Le dépistage d’une surinfection à CMV au cours des poussée de MICI est indispensable
pour étayer le diagnostic et bien mener la prise en charge thérapeutique.
L’objectif de notre travail est de déterminer la prévalence de la surinfection à CMV au
cours des MICI et d’optimiser l’attitude thérapeutique
Matériels et méthodes :
Notre travail est une étude rétrospective rapportant 5 malades présentant une exacerbation
de MICI avec infection concomitante à CMV du service de gastroentérologie de l’HMIMV de
Rabat sur une période de 2 ans.
Le diagnostic d’une surinfection à CMV repose sur la détection au cours des poussées de
MICI des Immunoglobuline anti CMV, de l’ADN viral par PCR sur un échantillon de sang ou de
muqueuse colique et par des techniques d’histologie et d’immunohistochimie.
Résultats :
L’âge moyen des malades est de 33,6. Le sexe ratio est 2F/3H.
Les manifestations cliniques sont prédominées par des douleurs abdominales, des selles
glairo-sanglantes et un syndrome rectal.
Les moyennes de taux d’hémoglobine, de CRP et d’albumine sont respectivement 9,8g/dl ;
56,2mg/l et 21,2 g/l. Deux patients parmi les cinq présentaient des lésions sévères à l’endoscopie.
La prévalence de la surinfection à CMV au cours des MICI est calculée à 7,7%.
Le Ganciclovir a été administré chez 3 malades et deux ont reçu le valganciclovir
Quatre malades ont été traité par combothérapie ( Infliximab+Azathioprine), et un patient a
reçu la Mésalazine.
Conclusion :
La surinfection à CMV au cours de MICI n’est pas rare, et nécessite un traitement antiviral
spécifique associé au traitement de la poussée de la maladie inflammatoire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2702021 Président : Aziz AOURARH Directeur : Aziz AOURARH Juge : Hicham EL ANNAZ Juge : Hassan SEDDIK Juge : Mohamed OUKABLI SURINFECTION A CYTOMEGALOVIRUS DANS LES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUE DE L’INTESTIN : PREVALENCE ET IMPLICATIONS THERAPEUTIQUES [thèse] / Aissam MOUAA, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cytomégalovirus MICI Colite aigue grave Résumé : Introduction :
Le dépistage d’une surinfection à CMV au cours des poussée de MICI est indispensable
pour étayer le diagnostic et bien mener la prise en charge thérapeutique.
L’objectif de notre travail est de déterminer la prévalence de la surinfection à CMV au
cours des MICI et d’optimiser l’attitude thérapeutique
Matériels et méthodes :
Notre travail est une étude rétrospective rapportant 5 malades présentant une exacerbation
de MICI avec infection concomitante à CMV du service de gastroentérologie de l’HMIMV de
Rabat sur une période de 2 ans.
Le diagnostic d’une surinfection à CMV repose sur la détection au cours des poussées de
MICI des Immunoglobuline anti CMV, de l’ADN viral par PCR sur un échantillon de sang ou de
muqueuse colique et par des techniques d’histologie et d’immunohistochimie.
Résultats :
L’âge moyen des malades est de 33,6. Le sexe ratio est 2F/3H.
Les manifestations cliniques sont prédominées par des douleurs abdominales, des selles
glairo-sanglantes et un syndrome rectal.
Les moyennes de taux d’hémoglobine, de CRP et d’albumine sont respectivement 9,8g/dl ;
56,2mg/l et 21,2 g/l. Deux patients parmi les cinq présentaient des lésions sévères à l’endoscopie.
La prévalence de la surinfection à CMV au cours des MICI est calculée à 7,7%.
Le Ganciclovir a été administré chez 3 malades et deux ont reçu le valganciclovir
Quatre malades ont été traité par combothérapie ( Infliximab+Azathioprine), et un patient a
reçu la Mésalazine.
Conclusion :
La surinfection à CMV au cours de MICI n’est pas rare, et nécessite un traitement antiviral
spécifique associé au traitement de la poussée de la maladie inflammatoire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2702021 Président : Aziz AOURARH Directeur : Aziz AOURARH Juge : Hicham EL ANNAZ Juge : Hassan SEDDIK Juge : Mohamed OUKABLI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2702021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M2702021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
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