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ACTUALITES SUR LES INFECTIONS LIEES AUX CATHETERS VEINEUX : DIAGNOSTIQUE ET PROFIL BACTERIOLOGIQUE / MASAD ILYASS
Titre : ACTUALITES SUR LES INFECTIONS LIEES AUX CATHETERS VEINEUX : DIAGNOSTIQUE ET PROFIL BACTERIOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : MASAD ILYASS, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : CATHETER COLONISATION CONTAMINATION RESISTANCE PREVENTION Résumé : L’infection liée au cathéters(ILC), est l’une des causes d’infection nosocomiales, elle engendre une mortalité et une morbidité importante.75% des cathéters sont enlevés a tort. l’ILC est précédée par la colonisation de l’extrémité distale du cathéter par des bactéries à partir de la peau, ou plus rarement du raccord ou d’un foyer infectieux à distance par voie hématogène. L’attitude diagnostique et thérapeutique face à une infection de C.V.C. résultent de la confrontation de 3 éléments : les signes locaux, les manifestations cliniques générales et les résultats des prélèvements microbiologiques (locaux et hémocultures). La culture de Brun-Buisson doit être utilisée en priorité
Les résultats des différentes études ont montré la prédominance des cocci gram positifs, il s’agit essentiellement de staphylocoque coagulase négatif et Staphylocoque aureus. Ensuite les bacilles à gram négatif non fermentant à savoir l’Acinetobacter baumanii et Pseudomonas aeruginosa . Les levures constituaient une minorité. Les autres microorganismes étaient moins fréquemment isolés.
L’étude de la résistance des microorganismes isolés sur prélèvement de cathéter aux antibiotiques a montré que :
- Les souches de Staphylococcus aureus et staphylocoque coagulase négatifs restaient encore sensibles aux glycopeptides à savoir teicoplanine et la vancomycine,mais ont une resistance élevé a la penicilline G par production de penicillinase.
- Les souches d’Acinetobacter baumanii étaient caractérisées par une multirésistance, par contre aucune resistance à la colistine n’a été retrouvée selon de nombreuses études.
- Les souches de Pseudomonas aeruginosa sont sensible à la colistine.La résistance aux bétalactamines est de plus en plus fréquente ainsi qu’aux autres antibiotiques
la stratégie de prévention des ILC est basée sur les mesures d’hygiène générales,elle doit être associée à une politique générale insistant sur la formation d’une équipe spécialisée et surtout l’ablation du cathéter quand celui-ci ne s’avère plus indispensable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2442012 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : ABDERRAHMANI RHORFI.I ACTUALITES SUR LES INFECTIONS LIEES AUX CATHETERS VEINEUX : DIAGNOSTIQUE ET PROFIL BACTERIOLOGIQUE [thèse] / MASAD ILYASS, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CATHETER COLONISATION CONTAMINATION RESISTANCE PREVENTION Résumé : L’infection liée au cathéters(ILC), est l’une des causes d’infection nosocomiales, elle engendre une mortalité et une morbidité importante.75% des cathéters sont enlevés a tort. l’ILC est précédée par la colonisation de l’extrémité distale du cathéter par des bactéries à partir de la peau, ou plus rarement du raccord ou d’un foyer infectieux à distance par voie hématogène. L’attitude diagnostique et thérapeutique face à une infection de C.V.C. résultent de la confrontation de 3 éléments : les signes locaux, les manifestations cliniques générales et les résultats des prélèvements microbiologiques (locaux et hémocultures). La culture de Brun-Buisson doit être utilisée en priorité
Les résultats des différentes études ont montré la prédominance des cocci gram positifs, il s’agit essentiellement de staphylocoque coagulase négatif et Staphylocoque aureus. Ensuite les bacilles à gram négatif non fermentant à savoir l’Acinetobacter baumanii et Pseudomonas aeruginosa . Les levures constituaient une minorité. Les autres microorganismes étaient moins fréquemment isolés.
L’étude de la résistance des microorganismes isolés sur prélèvement de cathéter aux antibiotiques a montré que :
- Les souches de Staphylococcus aureus et staphylocoque coagulase négatifs restaient encore sensibles aux glycopeptides à savoir teicoplanine et la vancomycine,mais ont une resistance élevé a la penicilline G par production de penicillinase.
- Les souches d’Acinetobacter baumanii étaient caractérisées par une multirésistance, par contre aucune resistance à la colistine n’a été retrouvée selon de nombreuses études.
- Les souches de Pseudomonas aeruginosa sont sensible à la colistine.La résistance aux bétalactamines est de plus en plus fréquente ainsi qu’aux autres antibiotiques
la stratégie de prévention des ILC est basée sur les mesures d’hygiène générales,elle doit être associée à une politique générale insistant sur la formation d’une équipe spécialisée et surtout l’ablation du cathéter quand celui-ci ne s’avère plus indispensable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2442012 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : ABDERRAHMANI RHORFI.I Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2442012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible CANDIDOSES URINAIRES EN REANIMATION AU CHU DE RABAT (2000-2005) (ESPECES DE CANDIDA ISOLEES ET PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DE LA MALADIE) / SAISSI LALLA MOUNA
Titre : CANDIDOSES URINAIRES EN REANIMATION AU CHU DE RABAT (2000-2005) (ESPECES DE CANDIDA ISOLEES ET PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DE LA MALADIE) Type de document : thèse Auteurs : SAISSI LALLA MOUNA, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANDIDA CANDIDURIE CANDIDOSE URINE REANIMATION INFECTION COLONISATION EPIDEMIOLOGIE DIAGNOSTIC Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0152007 Président : AGOUMI ABDELAZIZ Directeur : AGOUMI ABDELAZIZ Juge : KABBAJ SAAD Juge : / Juge : / CANDIDOSES URINAIRES EN REANIMATION AU CHU DE RABAT (2000-2005) (ESPECES DE CANDIDA ISOLEES ET PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DE LA MALADIE) [thèse] / SAISSI LALLA MOUNA, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CANDIDA CANDIDURIE CANDIDOSE URINE REANIMATION INFECTION COLONISATION EPIDEMIOLOGIE DIAGNOSTIC Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0152007 Président : AGOUMI ABDELAZIZ Directeur : AGOUMI ABDELAZIZ Juge : KABBAJ SAAD Juge : / Juge : / Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0152007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2007 Disponible Les colonisations urinaires chez les patients porteurs d’une sonde double J. / CHLOUCHI Abdellatif
Titre : Les colonisations urinaires chez les patients porteurs d’une sonde double J. Type de document : thèse Auteurs : CHLOUCHI Abdellatif, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Colonisation bactérie sonde doubleJ Urine Résumé : Introduction :
Dans la pratique quotidienne de l’Urologie, l’utilisation des sondes urétérales double J est courante. L’objectif de cette étude est d’évaluer la prévalence des colonisations bactériennes des sondes double J et des urines chez les patients porteurs de ces sondes.
Matériel et méthodes :
Il s’agit d’une étude prospective (Entre Janvier et Décembre 2013), mono concentrique réalisée au sein du service d’Urologie B de l’Hôpital Avicenne à Rabat en collaboration avec le laboratoire de microbiologie du même hôpital.
69 sondes urétérales double J portées par 60 patients (37 femmes, 23 hommes, moyenne d’âge 52 ans avec des limites d’âge entre 35 et 73 ans) dont 9 avaient des sondes bilatérales, ont été examinées.
Le profil bactériologique des urines de nos patients a été suivi par la réalisation de plusieurs ECBUs étalés sur toute la période de portage de la sonde.
Résultats :
Le taux des sondes double J colonisées était de 42% (29 sur 69).
Le taux des colonisations urinaires était de 36%.
La prévalence de l’infection urinaire était de 16%.
Le taux de colonisation ou d’infection urinaire chez les patients porteurs des sondes colonisées était de 90%, alors qu’il n’était que de 30% en cas de sondes non colonisées.
L’Escherichia Coli a été retrouvé sur 38% des sondes colonisées. La Klebsiella Pneumoniae venait en deuxième position (31%) suivi du Staphylococcus Aureus présent sur 13.9% des sondes. En cas de colonisation urinaire, les mêmes germes isolés au niveau des sondes double J ont été retrouvés dans les urines.
Conclusion :
Les colonisations urinaires chez les porteurs d’une sonde double J sont relativement fréquentes. Plusieurs mesures doivent être entreprises pour en limiter l’incidence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0972015 Président : IBEN ATTYA ANDALOUSSI.A Directeur : EL KHADER.K Juge : GHADOUANE.M Juge : ZOUHDI.M Les colonisations urinaires chez les patients porteurs d’une sonde double J. [thèse] / CHLOUCHI Abdellatif, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Colonisation bactérie sonde doubleJ Urine Résumé : Introduction :
Dans la pratique quotidienne de l’Urologie, l’utilisation des sondes urétérales double J est courante. L’objectif de cette étude est d’évaluer la prévalence des colonisations bactériennes des sondes double J et des urines chez les patients porteurs de ces sondes.
Matériel et méthodes :
Il s’agit d’une étude prospective (Entre Janvier et Décembre 2013), mono concentrique réalisée au sein du service d’Urologie B de l’Hôpital Avicenne à Rabat en collaboration avec le laboratoire de microbiologie du même hôpital.
69 sondes urétérales double J portées par 60 patients (37 femmes, 23 hommes, moyenne d’âge 52 ans avec des limites d’âge entre 35 et 73 ans) dont 9 avaient des sondes bilatérales, ont été examinées.
Le profil bactériologique des urines de nos patients a été suivi par la réalisation de plusieurs ECBUs étalés sur toute la période de portage de la sonde.
Résultats :
Le taux des sondes double J colonisées était de 42% (29 sur 69).
Le taux des colonisations urinaires était de 36%.
La prévalence de l’infection urinaire était de 16%.
Le taux de colonisation ou d’infection urinaire chez les patients porteurs des sondes colonisées était de 90%, alors qu’il n’était que de 30% en cas de sondes non colonisées.
L’Escherichia Coli a été retrouvé sur 38% des sondes colonisées. La Klebsiella Pneumoniae venait en deuxième position (31%) suivi du Staphylococcus Aureus présent sur 13.9% des sondes. En cas de colonisation urinaire, les mêmes germes isolés au niveau des sondes double J ont été retrouvés dans les urines.
Conclusion :
Les colonisations urinaires chez les porteurs d’une sonde double J sont relativement fréquentes. Plusieurs mesures doivent être entreprises pour en limiter l’incidence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0972015 Président : IBEN ATTYA ANDALOUSSI.A Directeur : EL KHADER.K Juge : GHADOUANE.M Juge : ZOUHDI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0972015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M0972015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Infections et colonisations urinaires à Entérocoque à l’HMI Mohammed V de Rabat. / VUKE-WELEDJI Sitsopé Amen
Titre : Infections et colonisations urinaires à Entérocoque à l’HMI Mohammed V de Rabat. Type de document : thèse Auteurs : VUKE-WELEDJI Sitsopé Amen, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection Colonisation Urinaire Entérocoque. Résumé : INTRODUCTION : Les infections et colonisations urinaires à entérocoque représentent une épidémiologie mal connue ; de plus un nombre limité de molécules sont actives sur ces bactéries. Notre objectif est donc de distinguer une colonisation d’une infection urinaire à entérocoque afin de rationaliser leur antibiothérapie.
MATERIELS ET METHODES : Notre étude étalée sur toute l’année 2013 inclut une partie rétrospective d’une période de 7mois et une partie prospective de 5 mois. L’analyse a porté sur les dossiers de 54 patients ayant un ECBU monomicrobien à entérocoque.
RESULTATS: L’âge moyen des patients est de 54 ans. Le ratio H/F est de 1,07.Sur les 54 patients ayant un ECBU positif à entérocoque, 41 étaient réalisés dans un contexte nosocomial ou associé aux soins.76% des patients avaient une infection urinaire et 24% une colonisation. Nous avons aussi noté que nos souches sont toutes sensibles aux glycopeptides.
DISCUSION: Les facteurs de risque relevés dans notre étude correspondaient à ceux constamment retrouvés par d’autres auteurs. Enterococcus faecalis et Enterococcus faecium sont les deux espèces isolées.
La distinction entre infection et colonisation repose sur la présence ou non de signes cliniques; ces signes cliniques font souvent défaut ou sont moins évidents pour poser un diagnostic de certitude.
CONCLUSION : La prise en charge des infections et colonisations urinaires à entérocoque est délicate sur le plan diagnostique. Des études complémentaires prospectives sont nécessaires pour rechercher des facteurs discriminants entre ces deux notions.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0202014 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Infections et colonisations urinaires à Entérocoque à l’HMI Mohammed V de Rabat. [thèse] / VUKE-WELEDJI Sitsopé Amen, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infection Colonisation Urinaire Entérocoque. Résumé : INTRODUCTION : Les infections et colonisations urinaires à entérocoque représentent une épidémiologie mal connue ; de plus un nombre limité de molécules sont actives sur ces bactéries. Notre objectif est donc de distinguer une colonisation d’une infection urinaire à entérocoque afin de rationaliser leur antibiothérapie.
MATERIELS ET METHODES : Notre étude étalée sur toute l’année 2013 inclut une partie rétrospective d’une période de 7mois et une partie prospective de 5 mois. L’analyse a porté sur les dossiers de 54 patients ayant un ECBU monomicrobien à entérocoque.
RESULTATS: L’âge moyen des patients est de 54 ans. Le ratio H/F est de 1,07.Sur les 54 patients ayant un ECBU positif à entérocoque, 41 étaient réalisés dans un contexte nosocomial ou associé aux soins.76% des patients avaient une infection urinaire et 24% une colonisation. Nous avons aussi noté que nos souches sont toutes sensibles aux glycopeptides.
DISCUSION: Les facteurs de risque relevés dans notre étude correspondaient à ceux constamment retrouvés par d’autres auteurs. Enterococcus faecalis et Enterococcus faecium sont les deux espèces isolées.
La distinction entre infection et colonisation repose sur la présence ou non de signes cliniques; ces signes cliniques font souvent défaut ou sont moins évidents pour poser un diagnostic de certitude.
CONCLUSION : La prise en charge des infections et colonisations urinaires à entérocoque est délicate sur le plan diagnostique. Des études complémentaires prospectives sont nécessaires pour rechercher des facteurs discriminants entre ces deux notions.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0202014 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0202014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0202014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible PROFIL DE SENSIBILITE DES PRINCIPALES BACTERIES ISOLEES SUR CATHETER / NEZHA OTMANI
Titre : PROFIL DE SENSIBILITE DES PRINCIPALES BACTERIES ISOLEES SUR CATHETER Type de document : thèse Auteurs : NEZHA OTMANI, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTIBIORESISTANCE CATHETER COLONISATION CONTAMINATION STAPHYLOCOQUE A COAGULASE NEGATIVE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’infection reste la complication la plus fréquente en cas de mise en place des cathéters veineux. Le staphylocoque à coagulase négative représente encore le germe le plus fréquemment rencontré dans les colonisations et les infections de cathéter. Sur le plan physiopathologique, l’ILC est précédée par la colonisation de l’extrémité distale du cathéter par des bactéries à partir de la peau, ou plus rarement du raccord ou d’un foyer infectieux à distance par voie hématogène.
Nous avons effectué une étude rétrospective à propos de 171 cultures de cathéters rapportées dans le laboserveur du laboratoire de microbiologie à l’HMIMV au cours de l’année 2007. Le diagnostic a été effectué par la méthode quantitative de Brun Buisson. L’identification à été faite par les techniques conventionnelles (coloration de gram, galeries API et galeries Le Minor).
Les résultats de notre étude ont montré la prédominance des cocci gram positifs, il s’agit essentiellement de staphylocoque coagulase négatif (37,26%) et S. aureus (10%). Ensuite les bacilles à gram négatif non fermentant à savoir l’Acinetobacter baumanii (10,9%) et Pseudomonas aeruginosa (8,2%). Les levures constituaient une minorité (3,6%). Les autres microorganismes étaient moins fréquemment isolés.
L’étude de la résistance des microorganismes isolés sur prélèvement de cathéter aux antibiotiques a montré que :
- Les souches de Staphylococcus aureus et staphylocoque coagulase négatifs restaient encore sensibles aux glycopeptides à savoir teicoplanine et la vancomycine.
- Les souches d’Acinetobacter baumanii étaient caractérisés par une multirésistance, toutefois, elles étaient sensibles à la colistine.
- Les souches de Pseudomonas aeruginosa étaient sensibles à la colistine (77,80%), mais, elles présentaient une résistance intermédiaire à élevée à la plupart des antibiotiques.
Il apparaît à la lumière de ce travail que la stratégie de prévention des ILC est basée sur les mesures d’hygiène générales à savoir le lavage des mains, l’asepsie rigoureuse lors de la mise en place du cathéter et lors de l’entretien de la ligne veineuse. Elle doit être associée à une politique générale insistant sur la formation d’une équipe spécialisée et surtout l’ablation du cathéter quand celui-ci ne s’avère plus indispensable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0212010 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : SAKINA EL HAMZAOUI Juge : ABDERAHMAN AL BOUZIDI Juge : HICHAM AZENDOUR PROFIL DE SENSIBILITE DES PRINCIPALES BACTERIES ISOLEES SUR CATHETER [thèse] / NEZHA OTMANI, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ANTIBIORESISTANCE CATHETER COLONISATION CONTAMINATION STAPHYLOCOQUE A COAGULASE NEGATIVE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’infection reste la complication la plus fréquente en cas de mise en place des cathéters veineux. Le staphylocoque à coagulase négative représente encore le germe le plus fréquemment rencontré dans les colonisations et les infections de cathéter. Sur le plan physiopathologique, l’ILC est précédée par la colonisation de l’extrémité distale du cathéter par des bactéries à partir de la peau, ou plus rarement du raccord ou d’un foyer infectieux à distance par voie hématogène.
Nous avons effectué une étude rétrospective à propos de 171 cultures de cathéters rapportées dans le laboserveur du laboratoire de microbiologie à l’HMIMV au cours de l’année 2007. Le diagnostic a été effectué par la méthode quantitative de Brun Buisson. L’identification à été faite par les techniques conventionnelles (coloration de gram, galeries API et galeries Le Minor).
Les résultats de notre étude ont montré la prédominance des cocci gram positifs, il s’agit essentiellement de staphylocoque coagulase négatif (37,26%) et S. aureus (10%). Ensuite les bacilles à gram négatif non fermentant à savoir l’Acinetobacter baumanii (10,9%) et Pseudomonas aeruginosa (8,2%). Les levures constituaient une minorité (3,6%). Les autres microorganismes étaient moins fréquemment isolés.
L’étude de la résistance des microorganismes isolés sur prélèvement de cathéter aux antibiotiques a montré que :
- Les souches de Staphylococcus aureus et staphylocoque coagulase négatifs restaient encore sensibles aux glycopeptides à savoir teicoplanine et la vancomycine.
- Les souches d’Acinetobacter baumanii étaient caractérisés par une multirésistance, toutefois, elles étaient sensibles à la colistine.
- Les souches de Pseudomonas aeruginosa étaient sensibles à la colistine (77,80%), mais, elles présentaient une résistance intermédiaire à élevée à la plupart des antibiotiques.
Il apparaît à la lumière de ce travail que la stratégie de prévention des ILC est basée sur les mesures d’hygiène générales à savoir le lavage des mains, l’asepsie rigoureuse lors de la mise en place du cathéter et lors de l’entretien de la ligne veineuse. Elle doit être associée à une politique générale insistant sur la formation d’une équipe spécialisée et surtout l’ablation du cathéter quand celui-ci ne s’avère plus indispensable.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0212010 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : SAKINA EL HAMZAOUI Juge : ABDERAHMAN AL BOUZIDI Juge : HICHAM AZENDOUR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0212010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2010 Disponible