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DOIGT A RESSAUT EXPERIENCE DE L'HOPITAL MILITAIRE D'INSTRUCTION MOHAMED V DE RABAT / EL HAMDANI FOUZIA
Titre : DOIGT A RESSAUT EXPERIENCE DE L'HOPITAL MILITAIRE D'INSTRUCTION MOHAMED V DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : EL HAMDANI FOUZIA, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : DOIGT A RESSAUT FLECHISSEUR POULIE DIGITAL Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le doigt à ressaut ou à ressort est une pathologie bénigne, son incidence est de 2,6% dans la population générale, ce qui en fait une affection classique et fréquente en consultation de chirurgie de la main.
Elle est relativement fréquente chez les femmes d’âge moyen autour de la cinquième décennie mais peut parfois survenir chez les enfants. Avec une prédominance sur le pouce.
C’est une pathologie, le plus souvent, idiopathique par blocage de l’appareil fléchisseur au niveau de la métacarpophalangienne en regard de la poulie A1. Son origine congénitale ou acquise reste toujours sujet à discussions.
Le diagnostic du doigt à ressaut est évident et facile à porter par un simple examen clinique. Les examens complémentaires sont généralement inutiles.
Le traitement reste discuté entre les infiltrations et la libération chirurgicale qui comporte actuellement deux techniques, l’une à ciel ouvert et l’autre percutanée.
Le but de ce travail était de faire une mise au point sur cette affection ainsi que son traitement dans le service de traumatologie-orthopédie 2 de l’hôpital militaire Mohamed V de Rabat.
Notre étude rétrospective a porté sur une série de dix patients (dix doigts à ressaut) . L’âge moyenne dans notre série est de 50 ans(13-67ans) avec une prédominance du sexe féminin 90% (9 cas) le pouce était le doigt le plus fréquemment atteint dans notre étude (60% des cas).
Concernant l’origine « primitive » ou « secondaire » de cette affection, notre série était à cet égard plus homogène puisque les doigts à ressaut inclus étaient « primitifs », à part deux patients l’une présentait un muscle lombricale surnuméraire et l’autre un kyste synoviale au niveau de la poulie A1. En revanche, nous avons observé de lésions associées (3 canaux carpiens) soit 30% des cas.
Dans notre série, l’ouverture de la poulie A1 a été réalisée chez tous les patients et ceci pour donner un maximum de chance à notre geste. Couplée à la mobilisation active précoce ceci a été couronnée de succès dans tous les cas (100% des cas).
Au recul moyen de 25 mois, nous avons obtenu la disparition des blocages sans récidives dans tous les cas, aucune complication n’a été constatée. Tous nos patients sont très satisfaits.
Notre série était trop courte pour tirer des conclusions définitives sur la supériorité d’un type de geste effectué sur la poulie. Mais l’ouverture simple de la poulie A1 nous semble être un geste très efficace.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1092008 Président : LAHLOU ABDOU Directeur : BOUSSELMANE NABIL Juge : EL MADHI TARIK DOIGT A RESSAUT EXPERIENCE DE L'HOPITAL MILITAIRE D'INSTRUCTION MOHAMED V DE RABAT [thèse] / EL HAMDANI FOUZIA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : DOIGT A RESSAUT FLECHISSEUR POULIE DIGITAL Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le doigt à ressaut ou à ressort est une pathologie bénigne, son incidence est de 2,6% dans la population générale, ce qui en fait une affection classique et fréquente en consultation de chirurgie de la main.
Elle est relativement fréquente chez les femmes d’âge moyen autour de la cinquième décennie mais peut parfois survenir chez les enfants. Avec une prédominance sur le pouce.
C’est une pathologie, le plus souvent, idiopathique par blocage de l’appareil fléchisseur au niveau de la métacarpophalangienne en regard de la poulie A1. Son origine congénitale ou acquise reste toujours sujet à discussions.
Le diagnostic du doigt à ressaut est évident et facile à porter par un simple examen clinique. Les examens complémentaires sont généralement inutiles.
Le traitement reste discuté entre les infiltrations et la libération chirurgicale qui comporte actuellement deux techniques, l’une à ciel ouvert et l’autre percutanée.
Le but de ce travail était de faire une mise au point sur cette affection ainsi que son traitement dans le service de traumatologie-orthopédie 2 de l’hôpital militaire Mohamed V de Rabat.
Notre étude rétrospective a porté sur une série de dix patients (dix doigts à ressaut) . L’âge moyenne dans notre série est de 50 ans(13-67ans) avec une prédominance du sexe féminin 90% (9 cas) le pouce était le doigt le plus fréquemment atteint dans notre étude (60% des cas).
Concernant l’origine « primitive » ou « secondaire » de cette affection, notre série était à cet égard plus homogène puisque les doigts à ressaut inclus étaient « primitifs », à part deux patients l’une présentait un muscle lombricale surnuméraire et l’autre un kyste synoviale au niveau de la poulie A1. En revanche, nous avons observé de lésions associées (3 canaux carpiens) soit 30% des cas.
Dans notre série, l’ouverture de la poulie A1 a été réalisée chez tous les patients et ceci pour donner un maximum de chance à notre geste. Couplée à la mobilisation active précoce ceci a été couronnée de succès dans tous les cas (100% des cas).
Au recul moyen de 25 mois, nous avons obtenu la disparition des blocages sans récidives dans tous les cas, aucune complication n’a été constatée. Tous nos patients sont très satisfaits.
Notre série était trop courte pour tirer des conclusions définitives sur la supériorité d’un type de geste effectué sur la poulie. Mais l’ouverture simple de la poulie A1 nous semble être un geste très efficace.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1092008 Président : LAHLOU ABDOU Directeur : BOUSSELMANE NABIL Juge : EL MADHI TARIK Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1092008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible SYNDROME DE LA MAIN DIABETIQUE / MERYEM KHALIDI
Titre : SYNDROME DE LA MAIN DIABETIQUE Type de document : thèse Auteurs : MERYEM KHALIDI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : SYNDROME DU CANAL CARPIEN MALADIE DE DUPUYTREN DOIGT A RESSAUT CHEIROARTHROPATHIE INFECTIONS DE LA MAIN. Résumé : L’intitulé « main diabétique » concernait initialement uniquement la raideur des doigts. Il est admis actuellement que ce terme comprend une association de différentes pathologies de la main dont de nombreuses études font état, bien que les liens étiopathogéniques restent toujours sujets à débat. L’entité regroupe plusieurs pathologies dont on peut citer le syndrome du canal carpien, la maladie de Dupuytren, la ténosynovite des fléchisseurs responsable du phénomène de doigt à ressaut et la chéiroarthropathie (« limited joint mobility » des anglo-saxons) ainsi que les infections de la main.
Pour étayer ces données, nous nous sommes aidés de plusieurs revues de la littérature ainsi que d’une étude personnelle prenant son substrat à partir d’une série de 142 patients opérés présentant les pathologies sus décrites et dont les dossiers ont été colligés dans les archives du service de traumatologie-orthopédie II de l’hôpital militaire Mohammed V sur une période de quarante cinq mois allant de janvier 2009 à septembre 2012.Notre étude concernait uniquement les diabétiques, au nombre de 32 soit environ le quart de l’échantillon. Les étiologies étudiées sont le syndrome du canal carpien, la maladie de Dupuytren, le doigt à ressaut, les phlegmons et les fasciites nécrosantes de la main. Nous avons relevé les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques de ces pathologies chez notre population cible.
Nos résultats confirment ceux de la littérature puisqu’on retrouve une prévalence élevée de ces pathologies chez les diabétiques et des similitudes concernant les manifestations cliniques ainsi que les thérapies entreprises.
Néanmoins, il est à noter que l’évolution chez ces patients est émaillée d’un taux de 16% d’amputations de doigts et de 40 % ayant gardé des séquelles.
Nous concluons que la connaissance de la « main diabétique » permet d’anticiper les problèmes particuliers de ces patients en engageant une coopération étroite entre le chirurgien, le diabétologue, l’infectiologue et le rééducateur. Cependant le chirurgien orientera vers le diabétologue un patient présentant un tableau évocateur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2682012 Président : BELMEJDOUB.G Directeur : CHAGAR.B Juge : KADI.S SYNDROME DE LA MAIN DIABETIQUE [thèse] / MERYEM KHALIDI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SYNDROME DU CANAL CARPIEN MALADIE DE DUPUYTREN DOIGT A RESSAUT CHEIROARTHROPATHIE INFECTIONS DE LA MAIN. Résumé : L’intitulé « main diabétique » concernait initialement uniquement la raideur des doigts. Il est admis actuellement que ce terme comprend une association de différentes pathologies de la main dont de nombreuses études font état, bien que les liens étiopathogéniques restent toujours sujets à débat. L’entité regroupe plusieurs pathologies dont on peut citer le syndrome du canal carpien, la maladie de Dupuytren, la ténosynovite des fléchisseurs responsable du phénomène de doigt à ressaut et la chéiroarthropathie (« limited joint mobility » des anglo-saxons) ainsi que les infections de la main.
Pour étayer ces données, nous nous sommes aidés de plusieurs revues de la littérature ainsi que d’une étude personnelle prenant son substrat à partir d’une série de 142 patients opérés présentant les pathologies sus décrites et dont les dossiers ont été colligés dans les archives du service de traumatologie-orthopédie II de l’hôpital militaire Mohammed V sur une période de quarante cinq mois allant de janvier 2009 à septembre 2012.Notre étude concernait uniquement les diabétiques, au nombre de 32 soit environ le quart de l’échantillon. Les étiologies étudiées sont le syndrome du canal carpien, la maladie de Dupuytren, le doigt à ressaut, les phlegmons et les fasciites nécrosantes de la main. Nous avons relevé les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques de ces pathologies chez notre population cible.
Nos résultats confirment ceux de la littérature puisqu’on retrouve une prévalence élevée de ces pathologies chez les diabétiques et des similitudes concernant les manifestations cliniques ainsi que les thérapies entreprises.
Néanmoins, il est à noter que l’évolution chez ces patients est émaillée d’un taux de 16% d’amputations de doigts et de 40 % ayant gardé des séquelles.
Nous concluons que la connaissance de la « main diabétique » permet d’anticiper les problèmes particuliers de ces patients en engageant une coopération étroite entre le chirurgien, le diabétologue, l’infectiologue et le rééducateur. Cependant le chirurgien orientera vers le diabétologue un patient présentant un tableau évocateur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2682012 Président : BELMEJDOUB.G Directeur : CHAGAR.B Juge : KADI.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2682012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible