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PROFIL ETIOLOGIQUE DES GAMMAPATHIES MONOCLONALES AU SEIN DU SERVICE DE MEDECINE INTERNE « b » hmimv / Soraya ABOUAMAL
Titre : PROFIL ETIOLOGIQUE DES GAMMAPATHIES MONOCLONALES AU SEIN DU SERVICE DE MEDECINE INTERNE « b » hmimv Type de document : thèse Auteurs : Soraya ABOUAMAL, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Gammapathies monoclonales Pic monoclonale hémopathies malignes GMSI Gammapathies réactionnelles. Résumé : Introduction :
La découverte d’une gammapathie monoclonale est devenue une situation médicale fréquente.
Leur prévalence est en effet, de nos jours, importante puisqu’elle est estimée à 1% dans la population
générale et de 3% chez les sujets de plus de 50 ans.
Les GM constituent un groupe très hétérogène de maladies. Le problème essentiel devant une
immunoglobuline monoclonale est de poser le diagnostic étiologique.
L’objectif de ce travail, c’est de décrire les caractéristiques épidémiologiques,
immunochimiques et étiologiques des gammapathies monoclonales diagnostiquées sur une période
d’un an dans le service de médecine interne de l’HMIMV de Rabat.
Matériel et méthodes :
Au cours de notre étude on a pu individualiser 30 cas de gammapathies monoclonales sur 480
patients hospitalisés durant cette période soit un pourcentage de 6%.
Résultats :
Le sexe ratio H/F était de 2,33. La moyenne d’âge de nos patients était de 70,7. 18 cas des GM
(60%) étaient de découverte fortuite contre 12 cas de découverte symptomatique (40%). Le pic
monoclonal était observé à l’EPS chez 27 patients soit une fréquence de 90%. 3 patients soit 10%
avaient présenté une hypogammaglobulinémie et chez qui l’immunofixation avait révélé la présence
d'une immunoglobuline monoclonale. Le taux moyen du composant monoclonal était 12,5 g/l. Les
étiologies de la gammapathie monoclonale dans notre série étaient réparties comme suit : 12 cas
d'hémopathies malignes (40%) ;7 cas de GMSI (23,3%) et 11 cas de gammapathies réactionnelles
(36,6%).
Conclusion :
Les gammapathies monoclonales représentent un problème fréquent en pratique clinique et il
paraît important d’établir des stratégies de diagnostic et de surveillance raisonnables.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2942020 Président : ABOUZAHIR.A Directeur : FATIHI.J Juge : SEKKACH.Y Juge : AMMOURI.W Juge : JIRA.M-MEKKOUR.F PROFIL ETIOLOGIQUE DES GAMMAPATHIES MONOCLONALES AU SEIN DU SERVICE DE MEDECINE INTERNE « b » hmimv [thèse] / Soraya ABOUAMAL, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Gammapathies monoclonales Pic monoclonale hémopathies malignes GMSI Gammapathies réactionnelles. Résumé : Introduction :
La découverte d’une gammapathie monoclonale est devenue une situation médicale fréquente.
Leur prévalence est en effet, de nos jours, importante puisqu’elle est estimée à 1% dans la population
générale et de 3% chez les sujets de plus de 50 ans.
Les GM constituent un groupe très hétérogène de maladies. Le problème essentiel devant une
immunoglobuline monoclonale est de poser le diagnostic étiologique.
L’objectif de ce travail, c’est de décrire les caractéristiques épidémiologiques,
immunochimiques et étiologiques des gammapathies monoclonales diagnostiquées sur une période
d’un an dans le service de médecine interne de l’HMIMV de Rabat.
Matériel et méthodes :
Au cours de notre étude on a pu individualiser 30 cas de gammapathies monoclonales sur 480
patients hospitalisés durant cette période soit un pourcentage de 6%.
Résultats :
Le sexe ratio H/F était de 2,33. La moyenne d’âge de nos patients était de 70,7. 18 cas des GM
(60%) étaient de découverte fortuite contre 12 cas de découverte symptomatique (40%). Le pic
monoclonal était observé à l’EPS chez 27 patients soit une fréquence de 90%. 3 patients soit 10%
avaient présenté une hypogammaglobulinémie et chez qui l’immunofixation avait révélé la présence
d'une immunoglobuline monoclonale. Le taux moyen du composant monoclonal était 12,5 g/l. Les
étiologies de la gammapathie monoclonale dans notre série étaient réparties comme suit : 12 cas
d'hémopathies malignes (40%) ;7 cas de GMSI (23,3%) et 11 cas de gammapathies réactionnelles
(36,6%).
Conclusion :
Les gammapathies monoclonales représentent un problème fréquent en pratique clinique et il
paraît important d’établir des stratégies de diagnostic et de surveillance raisonnables.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2942020 Président : ABOUZAHIR.A Directeur : FATIHI.J Juge : SEKKACH.Y Juge : AMMOURI.W Juge : JIRA.M-MEKKOUR.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2942020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M2942020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M2942020URL