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Titre : FACTEURS DE RISQUE DE L’HYPOTENSION APRES INDUCTION ANESTHESIQUE ET PRECOCE Type de document : thèse Auteurs : OULAD DRISS ABDELLAH, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypotension Précoce Induction Anesthésique Facteurs de risques Résumé : Introduction : L’hypotension peropératoire devrait être différenciées par rapport au différents
mécanismes causaux sous-jacents. L'hypotension post-induction (HPI) est définie comme
l'hypotension artérielle survenant pendant les 20 premières minutes après l'induction de l'anesthésie et
l'hypotension peropératoire précoce (HPP) ; c'est l'hypotension artérielle pendant les 30 premières
minutes de la chirurgie.
Le but de notre étude est d’évaluer l’incidence de l’hypotension per opératoire l’HPI et l’HPP lors
d’une chirurgie sous anesthésie générale chez une population de patients et les facteurs influençant sa
survenue.
Materiel et methodes : C’est une étude prospective, réalisée sur une période de 4 mois portant sur
154 patients programmés pour chirurgie sous anesthésie générale à l’Hôpital Militaire d’Instruction
Mohammed V de Rabat. Nous avons recueilli les informations suivantes : âge, sexe, le score ASA,
l’IMC, les comorbidités, la prise médicamenteuse et le type de chirurgie. La survenue ou non de l’HPI
et de l’HPP.
Resultat : L’âge moyen des patients de notre série de cas est 58,5 ± 12 ans. Le sexe ratio était 1,4 avec
prédominance du sexe masculin. Les statuts ASA I et II étaient prédominants.
En analyse univariée : l’âge avancée, l’existence d’une hypertension artérielle chronique et la
diminution de la Pression artérielle systolique PAS en pré induction étaient des facteurs favorisant la
survenue de l’HPI ainsi que l’HPP.
En analyse multivariée : Nous avons trouvé que ces 3 facteurs étaient indépendamment liés à la
survenue de l’HPI et de l’HPP.
Conclusion : En comparant nos résultats avec les données de la littérature, nous avons constaté qu'une
PAS plus faible avant l'induction, un âge plus avancé et une comorbidité comme l'HTA sont des
facteurs indépendamment associés à l'HPI et à l'HPP.
Nous pensons que cela permettra une optimisation préventive du risque par la mise en œuvre précoce
d'une surveillance hémodynamique continue et d'une intervention thérapeutique adéquate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1442022 Président : Abdelouahed BAITE Directeur : Khalil ABOULALAA Juge : Aziza BENTALHA Juge : Abdelhamid JAAFARI Juge : Abderrahman EL WALI FACTEURS DE RISQUE DE L’HYPOTENSION APRES INDUCTION ANESTHESIQUE ET PRECOCE [thèse] / OULAD DRISS ABDELLAH, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hypotension Précoce Induction Anesthésique Facteurs de risques Résumé : Introduction : L’hypotension peropératoire devrait être différenciées par rapport au différents
mécanismes causaux sous-jacents. L'hypotension post-induction (HPI) est définie comme
l'hypotension artérielle survenant pendant les 20 premières minutes après l'induction de l'anesthésie et
l'hypotension peropératoire précoce (HPP) ; c'est l'hypotension artérielle pendant les 30 premières
minutes de la chirurgie.
Le but de notre étude est d’évaluer l’incidence de l’hypotension per opératoire l’HPI et l’HPP lors
d’une chirurgie sous anesthésie générale chez une population de patients et les facteurs influençant sa
survenue.
Materiel et methodes : C’est une étude prospective, réalisée sur une période de 4 mois portant sur
154 patients programmés pour chirurgie sous anesthésie générale à l’Hôpital Militaire d’Instruction
Mohammed V de Rabat. Nous avons recueilli les informations suivantes : âge, sexe, le score ASA,
l’IMC, les comorbidités, la prise médicamenteuse et le type de chirurgie. La survenue ou non de l’HPI
et de l’HPP.
Resultat : L’âge moyen des patients de notre série de cas est 58,5 ± 12 ans. Le sexe ratio était 1,4 avec
prédominance du sexe masculin. Les statuts ASA I et II étaient prédominants.
En analyse univariée : l’âge avancée, l’existence d’une hypertension artérielle chronique et la
diminution de la Pression artérielle systolique PAS en pré induction étaient des facteurs favorisant la
survenue de l’HPI ainsi que l’HPP.
En analyse multivariée : Nous avons trouvé que ces 3 facteurs étaient indépendamment liés à la
survenue de l’HPI et de l’HPP.
Conclusion : En comparant nos résultats avec les données de la littérature, nous avons constaté qu'une
PAS plus faible avant l'induction, un âge plus avancé et une comorbidité comme l'HTA sont des
facteurs indépendamment associés à l'HPI et à l'HPP.
Nous pensons que cela permettra une optimisation préventive du risque par la mise en œuvre précoce
d'une surveillance hémodynamique continue et d'une intervention thérapeutique adéquate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1442022 Président : Abdelouahed BAITE Directeur : Khalil ABOULALAA Juge : Aziza BENTALHA Juge : Abdelhamid JAAFARI Juge : Abderrahman EL WALI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1442022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M1442022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M1442022-1URL INCIDENTS HYPOTENSIFS PERDIALYTIQUES EN REANIMATION : INCIDENCE, CAUSES, PRONOSTIC ET PREVENTION / LACHHAB CHERRADI IHSANE
Titre : INCIDENTS HYPOTENSIFS PERDIALYTIQUES EN REANIMATION : INCIDENCE, CAUSES, PRONOSTIC ET PREVENTION Type de document : thèse Auteurs : LACHHAB CHERRADI IHSANE, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémodialyse intermittente Hypotension Insuffisance rénale aiguë Réanimation Prévention Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Objectif :
Étudier la tolérance hémodynamique de l’hémodialyse intermittente (HDI) et l’incidence des épisodes hypotensifs survenant en perdialyse, analyser leurs facteurs de risque et leur impact sur le pronostique chez les patients en insuffisance rénale aigue (IRA) et hospitalisés en réanimation.
Matériel et méthodes :
• Type d’étude : cohorte rétrospective au service de réanimation médicale de l’HMIMV entre janvier 2001 et décembre 2006.
• Critères d’inclusion : patients en IRA hospitalisés en réanimation
• Critères d’exclusion : patients en hémodialyse chronique ou ayant décédé dans les 24h suivant leur admission.
• Recueil des données sur une fiche d’exploitation :
Paramètres démographiques, état de santé antérieur, les scores de gravité (GCS, APACHE II), les paramètres clinico-biologiques, les caractéristiques de l’IRA et les indications et paramètres de réglage de l’HDI.
• Méthodes statistiques : Les variables qualitatives sont comparées à l’aide du test de Chi² ou éventuellement par le test exacte de Fischer si les effectifs sont faibles et les variables quantitatives par le test de student.
Résultats :
• Nombre : 74 patients soit 4,8% des patients admis en réanimation avec 105 séances soit (1,4 séance /patient).
• Données démographiques : âge moyen : 56 ans, sexe : 77% hommes et 23% femmes
• Scores de gravité : GCS : 10,8±3,6 APACHE II : 22,5±6,8
• Types et mécanismes de l’IRA : type rénal 85% et mécanisme septique 58%
• Indications de la dialyse : OAP:26, hyperkaliémie:35 et acidose sévère: 41.
• Paramètres de réglage :
- débit de pompe : 387±172,85
- UF : 1195,2±783,8
- conductivité : 139±0,7
- température : 37°
- durée de dialyse : 155,3±60,8min
• conséquences de la dialyse :
- 50 patients ont présenté 55 épisodes hypotensifs et les PAS et PAD ont significativement baissé en per et post dialyse (p… 0,0...).
- Taux de réduction de l’urée : 32,3%
• Résultats de l’analyse statistique : l’état de choc et la défaillance viscérale sont les principaux facteurs à risque d’hypotension perdialytique en analyse univariée.
Discussion :
Ces résultats, comparés à ceux de la littérature, nous ont permis d’arriver à plusieurs constatations.
En effet, il est admis que l’HDI permet un excellent contrôle métabolique, 4,8% de nos patients ont bénéficié de cette méthode, cette prévalence est à peu près la même que celles rapportées par la majorité des études. Sauf que l’HDI présente une tolérance hémodynamique médiocre chez les patients les plus instables : 50 de nos patients ont présenté des évènements hypotensifs dans 55 séances soit une incidence de 52,4% sachant que pendant la période de l’étude, les protocoles standardisant la prise en charge de ces patients n’étaient pas encore instaurés au service.
Ainsi, une prescription détaillée doit être effectuée pour chacune des séances visant à optimiser les techniques d’épuration extra rénale (EER) grâce à des modifications du matériel utilisé et des paramètres de dialyse, ce n’était malheureusement pas le cas dans notre étude, expliquant le taux élevé de mortalité dans notre série à 67,5%.
Nous avons réalisé l’ultrafiltration (UF) chez pratiquement tous nos patients alors qu’il n’y en avait effectivement indication formelle que chez 26. Le réglage des paramètres de la dialyse à chaque séance était basé uniquement sur la stabilité ou non de l’état hémodynamique du patient et résumé à un ajustement simple de la quantité de l’UF et la durée de la séance.
Pour ce qui est de la composition du dialysat, la conductivité utilisée était identique pour tous les malades (145meq /l) et aucune adaptation à la natrémie du patient ni à son équilibre tensionnel n’a été établie.
Même chose pour la température du dialysat qui avait aussi un impact sur la tolérance hémodynamique, nous avions appliqué le même réglage à 37°pour tous les patients sans tenir compte de leur température individuelle, ce qui a contribué sans doute à l’augmentation du nombre de cas d’instabilité hémodynamique en perdialyse en particulier chez les patients présentant un syndrome de défaillance multiviscérale (SDMV).
Enfin, en terme de mortalité hospitalière, nous avons enregistré certains facteurs pronostics dans cette série qui étaient associés à une surmortalité des patients dialysés en réanimation et qui sont : l’hypotension perdialytique, le SDMV et l’origine septique de l’IRA. Par ailleurs, il est à noter que la dose de dialyse est également rapportée comme étant un facteur pronostic lorsqu’elle n’est pas efficace, ce paramètre a été étudié dans notre travail où il était associé à une surmortalité.
En conclusion, pour une bonne maîtrise de l’HDI une information de l’équipe soignante est nécessaire avec élaboration de protocoles de soins permettant de guider la prescription de la séance. Dans notre service, nous avons commencé à respecter certaines directives pour améliorer la tolérance et l’efficacité de l’EER chez cette catégorie de patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1662008 Président : ABOUQAL REDOUANE Directeur : HAIMEUR CHARKI Juge : OUALIM ZOUHIR Juge : BALKHI HICHAM INCIDENTS HYPOTENSIFS PERDIALYTIQUES EN REANIMATION : INCIDENCE, CAUSES, PRONOSTIC ET PREVENTION [thèse] / LACHHAB CHERRADI IHSANE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hémodialyse intermittente Hypotension Insuffisance rénale aiguë Réanimation Prévention Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Objectif :
Étudier la tolérance hémodynamique de l’hémodialyse intermittente (HDI) et l’incidence des épisodes hypotensifs survenant en perdialyse, analyser leurs facteurs de risque et leur impact sur le pronostique chez les patients en insuffisance rénale aigue (IRA) et hospitalisés en réanimation.
Matériel et méthodes :
• Type d’étude : cohorte rétrospective au service de réanimation médicale de l’HMIMV entre janvier 2001 et décembre 2006.
• Critères d’inclusion : patients en IRA hospitalisés en réanimation
• Critères d’exclusion : patients en hémodialyse chronique ou ayant décédé dans les 24h suivant leur admission.
• Recueil des données sur une fiche d’exploitation :
Paramètres démographiques, état de santé antérieur, les scores de gravité (GCS, APACHE II), les paramètres clinico-biologiques, les caractéristiques de l’IRA et les indications et paramètres de réglage de l’HDI.
• Méthodes statistiques : Les variables qualitatives sont comparées à l’aide du test de Chi² ou éventuellement par le test exacte de Fischer si les effectifs sont faibles et les variables quantitatives par le test de student.
Résultats :
• Nombre : 74 patients soit 4,8% des patients admis en réanimation avec 105 séances soit (1,4 séance /patient).
• Données démographiques : âge moyen : 56 ans, sexe : 77% hommes et 23% femmes
• Scores de gravité : GCS : 10,8±3,6 APACHE II : 22,5±6,8
• Types et mécanismes de l’IRA : type rénal 85% et mécanisme septique 58%
• Indications de la dialyse : OAP:26, hyperkaliémie:35 et acidose sévère: 41.
• Paramètres de réglage :
- débit de pompe : 387±172,85
- UF : 1195,2±783,8
- conductivité : 139±0,7
- température : 37°
- durée de dialyse : 155,3±60,8min
• conséquences de la dialyse :
- 50 patients ont présenté 55 épisodes hypotensifs et les PAS et PAD ont significativement baissé en per et post dialyse (p… 0,0...).
- Taux de réduction de l’urée : 32,3%
• Résultats de l’analyse statistique : l’état de choc et la défaillance viscérale sont les principaux facteurs à risque d’hypotension perdialytique en analyse univariée.
Discussion :
Ces résultats, comparés à ceux de la littérature, nous ont permis d’arriver à plusieurs constatations.
En effet, il est admis que l’HDI permet un excellent contrôle métabolique, 4,8% de nos patients ont bénéficié de cette méthode, cette prévalence est à peu près la même que celles rapportées par la majorité des études. Sauf que l’HDI présente une tolérance hémodynamique médiocre chez les patients les plus instables : 50 de nos patients ont présenté des évènements hypotensifs dans 55 séances soit une incidence de 52,4% sachant que pendant la période de l’étude, les protocoles standardisant la prise en charge de ces patients n’étaient pas encore instaurés au service.
Ainsi, une prescription détaillée doit être effectuée pour chacune des séances visant à optimiser les techniques d’épuration extra rénale (EER) grâce à des modifications du matériel utilisé et des paramètres de dialyse, ce n’était malheureusement pas le cas dans notre étude, expliquant le taux élevé de mortalité dans notre série à 67,5%.
Nous avons réalisé l’ultrafiltration (UF) chez pratiquement tous nos patients alors qu’il n’y en avait effectivement indication formelle que chez 26. Le réglage des paramètres de la dialyse à chaque séance était basé uniquement sur la stabilité ou non de l’état hémodynamique du patient et résumé à un ajustement simple de la quantité de l’UF et la durée de la séance.
Pour ce qui est de la composition du dialysat, la conductivité utilisée était identique pour tous les malades (145meq /l) et aucune adaptation à la natrémie du patient ni à son équilibre tensionnel n’a été établie.
Même chose pour la température du dialysat qui avait aussi un impact sur la tolérance hémodynamique, nous avions appliqué le même réglage à 37°pour tous les patients sans tenir compte de leur température individuelle, ce qui a contribué sans doute à l’augmentation du nombre de cas d’instabilité hémodynamique en perdialyse en particulier chez les patients présentant un syndrome de défaillance multiviscérale (SDMV).
Enfin, en terme de mortalité hospitalière, nous avons enregistré certains facteurs pronostics dans cette série qui étaient associés à une surmortalité des patients dialysés en réanimation et qui sont : l’hypotension perdialytique, le SDMV et l’origine septique de l’IRA. Par ailleurs, il est à noter que la dose de dialyse est également rapportée comme étant un facteur pronostic lorsqu’elle n’est pas efficace, ce paramètre a été étudié dans notre travail où il était associé à une surmortalité.
En conclusion, pour une bonne maîtrise de l’HDI une information de l’équipe soignante est nécessaire avec élaboration de protocoles de soins permettant de guider la prescription de la séance. Dans notre service, nous avons commencé à respecter certaines directives pour améliorer la tolérance et l’efficacité de l’EER chez cette catégorie de patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1662008 Président : ABOUQAL REDOUANE Directeur : HAIMEUR CHARKI Juge : OUALIM ZOUHIR Juge : BALKHI HICHAM Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1662008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible PLACE DE LA RACHIANESTHESIE EN SELLE DANS LA CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE / EL CHEAIRI NIHALE
Titre : PLACE DE LA RACHIANESTHESIE EN SELLE DANS LA CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : EL CHEAIRI NIHALE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : chirurgie proctologique fissure anale rachianesthésie en selle rachianesthésie classique Hypotension proctologic surgery anal fissure saddle block conventional spinal anesthesia Hypotension جر ح مستقيم ق رجي تخد ر ح ا ي رجي تخد ر نخاعي نخفاض ضغط دم. Résumé : Introduction :
La rachianesthésie en selle est une variante de la rachianesthésie réalisant un bloc de la région périnéale par
une faible dose d'anesthésique local en maintenant le patient assis après injection. Le but de cette étude était
d’analyser l’intérêt de la rachianesthésie en selle dans la chirurgie des fissures anales non compliquées.
Matériels et méthodes :
Il s’agissait d’une étude prospective randomisée, incluant 90 patients, candidats à une chirurgie de fissure
anale non compliquée. Les patients ont été randomisés en 3 groupes :
- Groupe rachianesthésie en selle (groupe 1) : ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare + 25μg de
fentanyl + 100μg de morphine avec maintien en position assise pendant 5min.
- Groupe rachianesthésie classique à dose réduite (groupe 2) ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare
+ 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
- Groupe rachianesthésie classique à dose normale (groupe 3) ayant reçu 7,5mg de bupivacaïne
hyperbare + 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
La comparaison entre les trois groupes portait sur l’incidence de l’hypotension artérielle, le recours à une
sédation complémentaire, l’incidence des NVPO et l’analgésie postopératoire.
Résultats
L’incidence de l’hypotension per-opératoire était plus faible dans le groupe 1 par rapport aux deux autres
groupes avec une différence significative. Aucun patient du groupe 1 n’a nécessité le recours à une sédation
complémentaire. Aucun patient du groupe 1 n’a présenté des NVPO. Les scores de douleur postopératoire
ainsi que la consommation des antalgiques étaient comparables entre les trois groupes.
Discussion et conclusion :
La rachianesthésie en selle est une technique intéressante dans la chirurgie des fissures anales procurant un
faible retentissement hémodynamique, une faible incidence des NVPO, et une anesthésie adéquate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0952024 Président : Abdelouahed BAIT Directeur : Mustapha BENSGHIR Juge : Hicham LARAQUI Juge : Abderrahmane EL WALI Juge : Youssef MOTIAA PLACE DE LA RACHIANESTHESIE EN SELLE DANS LA CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE [thèse] / EL CHEAIRI NIHALE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : chirurgie proctologique fissure anale rachianesthésie en selle rachianesthésie classique Hypotension proctologic surgery anal fissure saddle block conventional spinal anesthesia Hypotension جر ح مستقيم ق رجي تخد ر ح ا ي رجي تخد ر نخاعي نخفاض ضغط دم. Résumé : Introduction :
La rachianesthésie en selle est une variante de la rachianesthésie réalisant un bloc de la région périnéale par
une faible dose d'anesthésique local en maintenant le patient assis après injection. Le but de cette étude était
d’analyser l’intérêt de la rachianesthésie en selle dans la chirurgie des fissures anales non compliquées.
Matériels et méthodes :
Il s’agissait d’une étude prospective randomisée, incluant 90 patients, candidats à une chirurgie de fissure
anale non compliquée. Les patients ont été randomisés en 3 groupes :
- Groupe rachianesthésie en selle (groupe 1) : ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare + 25μg de
fentanyl + 100μg de morphine avec maintien en position assise pendant 5min.
- Groupe rachianesthésie classique à dose réduite (groupe 2) ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare
+ 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
- Groupe rachianesthésie classique à dose normale (groupe 3) ayant reçu 7,5mg de bupivacaïne
hyperbare + 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
La comparaison entre les trois groupes portait sur l’incidence de l’hypotension artérielle, le recours à une
sédation complémentaire, l’incidence des NVPO et l’analgésie postopératoire.
Résultats
L’incidence de l’hypotension per-opératoire était plus faible dans le groupe 1 par rapport aux deux autres
groupes avec une différence significative. Aucun patient du groupe 1 n’a nécessité le recours à une sédation
complémentaire. Aucun patient du groupe 1 n’a présenté des NVPO. Les scores de douleur postopératoire
ainsi que la consommation des antalgiques étaient comparables entre les trois groupes.
Discussion et conclusion :
La rachianesthésie en selle est une technique intéressante dans la chirurgie des fissures anales procurant un
faible retentissement hémodynamique, une faible incidence des NVPO, et une anesthésie adéquate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0952024 Président : Abdelouahed BAIT Directeur : Mustapha BENSGHIR Juge : Hicham LARAQUI Juge : Abderrahmane EL WALI Juge : Youssef MOTIAA Réservation
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