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IMPACT DE LA VACCINATION ANTIPNEUMOCOQUE SUR L’INCIDENCE DES INFECTIONS INVASIVES A PNEUMOCOQUE ET SUR L’ANTIBIORESISTANCE CHEZ LES ENFANTS AGES DE MOINS DE CINQ ANS / Hiba SABBAR
Titre : IMPACT DE LA VACCINATION ANTIPNEUMOCOQUE SUR L’INCIDENCE DES INFECTIONS INVASIVES A PNEUMOCOQUE ET SUR L’ANTIBIORESISTANCE CHEZ LES ENFANTS AGES DE MOINS DE CINQ ANS Type de document : thèse Auteurs : Hiba SABBAR, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Streptococcus pneumoniae Pneumocoque Vaccin anti-pneumocoque VCP-10 VCP-13 Infections invasives à pneumocoque Antibiorésistance Streptococcus pneumoniae pneumococcus pneumococcal vaccine VCP-10 VCP-13 Invasive pneumococcal infections antibiotic resistance children العقدية الرئوية المكورات الرئوية لقاح المكورات الرئوية PCV-10 PCV-13 التهابات
المكورات الرئوية الغازية مقاومة المضادات الحيوية الأطفالRésumé : Les vaccins conjugués au pneumocoque (VCP) ont été développés pour prévenir les infections invasives graves à pneumocoque (IIP) telles que les méningites, pneumonies et septicémies pouvant engendrer le pronostic vital des enfants moins de cinq ans. Le VCP sept valent a été commercialisé pour la première fois aux États-Unis au début des années 2000. Ce vaccin a été efficace contre les sérotypes les plus prévalents chez les enfants de moins de 5ans, en revanche suite à l’augmentation de l’incidence des cas d’IIP liés à des sérotypes non inclus dans ce vaccin, deux vaccins à valence plus élevée ont été introduits à savoir le VCP-13 valent et VCP-10 valent. Malgré l’effet bénéfique de ces deux vaccins sur le déclin des cas d’IIP chez les enfants de moins de cinq ans, une ascension de cas d’IIP imputables à des sérotypes non-vaccinaux a été notifiée à l’échelle mondiale. Ce changement dans l’épidémiologie de S.pneumoniae a été décrit comme « le phénomène de remplacement des sérotypes S.pneumoniae » où les souches normalement présentes dans l’environnement soient remplacées par d’autres auparavant non prévalentes qui sont d’une virulence plus remarquable. Ce phénomène a été en partie lié à l’effet sélectif des vaccins VCP et de la consommation d’antimicrobiens sur l’écosystème des souches S.pnemoniae. Afin d’évaluer l’effet du VCP-13 et VCP-10 sur l’incidence des IIP et sur l’antibiorésistance chez les enfants de moins de cinq ans, dix ans après leur première introduction dans les schémas vaccinaux mondialement, nous avons entrepris une revue systématique suivant la méthode PRISMA et une analyse qualitative des études suivant NHLBI. Les résultats ont démontré une évolution divergente de l’épidémiologie du pneumocoque selon le contexte vaccinal et le système de surveillance épidémiologique mis en place. L’accroissement de cas d’IIP imputables à des sortypes non vaccinaux plus virulents et résistants davantage à la pénicilline appelle à une mobilisation rapide d’une surveillance plus robuste de l’évolution épidémiologique des sérotypes S.pneumoniae dans les communautés ainsi qu’un suivi plus étroit du taux de la résistance au pneumocoque afin de guider les décisions en matière de santé publique locale. Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0512022 Président : Mdaghri Alaoui asmaa Directeur : Imane Jroundi Juge : Lahlou Amine Idriss Juge : Tligui Houssain Juge : Mohammed Adnane EL WARTIT IMPACT DE LA VACCINATION ANTIPNEUMOCOQUE SUR L’INCIDENCE DES INFECTIONS INVASIVES A PNEUMOCOQUE ET SUR L’ANTIBIORESISTANCE CHEZ LES ENFANTS AGES DE MOINS DE CINQ ANS [thèse] / Hiba SABBAR, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Streptococcus pneumoniae Pneumocoque Vaccin anti-pneumocoque VCP-10 VCP-13 Infections invasives à pneumocoque Antibiorésistance Streptococcus pneumoniae pneumococcus pneumococcal vaccine VCP-10 VCP-13 Invasive pneumococcal infections antibiotic resistance children العقدية الرئوية المكورات الرئوية لقاح المكورات الرئوية PCV-10 PCV-13 التهابات
المكورات الرئوية الغازية مقاومة المضادات الحيوية الأطفالRésumé : Les vaccins conjugués au pneumocoque (VCP) ont été développés pour prévenir les infections invasives graves à pneumocoque (IIP) telles que les méningites, pneumonies et septicémies pouvant engendrer le pronostic vital des enfants moins de cinq ans. Le VCP sept valent a été commercialisé pour la première fois aux États-Unis au début des années 2000. Ce vaccin a été efficace contre les sérotypes les plus prévalents chez les enfants de moins de 5ans, en revanche suite à l’augmentation de l’incidence des cas d’IIP liés à des sérotypes non inclus dans ce vaccin, deux vaccins à valence plus élevée ont été introduits à savoir le VCP-13 valent et VCP-10 valent. Malgré l’effet bénéfique de ces deux vaccins sur le déclin des cas d’IIP chez les enfants de moins de cinq ans, une ascension de cas d’IIP imputables à des sérotypes non-vaccinaux a été notifiée à l’échelle mondiale. Ce changement dans l’épidémiologie de S.pneumoniae a été décrit comme « le phénomène de remplacement des sérotypes S.pneumoniae » où les souches normalement présentes dans l’environnement soient remplacées par d’autres auparavant non prévalentes qui sont d’une virulence plus remarquable. Ce phénomène a été en partie lié à l’effet sélectif des vaccins VCP et de la consommation d’antimicrobiens sur l’écosystème des souches S.pnemoniae. Afin d’évaluer l’effet du VCP-13 et VCP-10 sur l’incidence des IIP et sur l’antibiorésistance chez les enfants de moins de cinq ans, dix ans après leur première introduction dans les schémas vaccinaux mondialement, nous avons entrepris une revue systématique suivant la méthode PRISMA et une analyse qualitative des études suivant NHLBI. Les résultats ont démontré une évolution divergente de l’épidémiologie du pneumocoque selon le contexte vaccinal et le système de surveillance épidémiologique mis en place. L’accroissement de cas d’IIP imputables à des sortypes non vaccinaux plus virulents et résistants davantage à la pénicilline appelle à une mobilisation rapide d’une surveillance plus robuste de l’évolution épidémiologique des sérotypes S.pneumoniae dans les communautés ainsi qu’un suivi plus étroit du taux de la résistance au pneumocoque afin de guider les décisions en matière de santé publique locale. Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0512022 Président : Mdaghri Alaoui asmaa Directeur : Imane Jroundi Juge : Lahlou Amine Idriss Juge : Tligui Houssain Juge : Mohammed Adnane EL WARTIT Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0512022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2022 Disponible Documents numériques
P0512022URL Les infections invasives à pneumocoque chez l’enfant : A propos de 46 cas colliges à l’hopital d’enfant de rabat / DARFOUF SIHAM
Titre : Les infections invasives à pneumocoque chez l’enfant : A propos de 46 cas colliges à l’hopital d’enfant de rabat Type de document : thèse Auteurs : DARFOUF SIHAM, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enfant Pneumocoque Méningite Vaccination. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le pneumocoque représente une cause fréquente de morbidité et mortalité en pathologie infectieuse pédiatrique, en particulier les méningites, qui engendrent une mortalité élevée, sinon des séquelles neurosensorielles lourdes malgré le traitement.
Objectifs : L’objectif de ce travail est d’analyser les particularités épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives des infections invasives à pneumocoque de l’enfant et de ressortir les facteurs influençant le pronostic.
Matériels et méthode : Notre étude rétrospective et descriptive porte sur 46 cas d’infections invasive à pneumocoque, observées chez les enfants âgés de 0 à 15 ans et colligées entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2006 dans les différents services de l’hôpital d’enfant. Durant cette étude, nous avons exploité les registres du laboratoire de bactério-sérologie de CHU Ibn Sina, qui nous ont permis de recenser les numéros de dossiers des enfants atteints de cette affection, et à partir de ces données, nous avons étudié les dossiers dans les services de pédiatrie générale et dans l’unité de réanimation pédiatrique, les données ont été recensées dans des fiches d’exploitation. L’analyse statistique a été faite à l’aide du logiciel SPSS 10.0 avec un degré de signification p<0,05.
Résultats : Au total, 36 cas de méningites purulentes à pneumocoque, 8 cas de pleuro pneumopathies et 2 cas de septicémies ont été rapportées durant cette période.
La méningite à pneumocoque est une maladie grave, elle touche de façon élective le nourrisson dans 69,45%, l’âge moyen est de 3,7 ans (extrêmes : 1-15 ans), le pic de fréquence était proche de 7 mois avec prédominance masculine (sexe-ratio garçon/fille : 2,6). Parmi les enfants âgés de moins de deux ans, 75% n’ont aucun facteur de risque médical, en dehors de leur âge, ni de pathologie sous jacente. En revanche, après l’âge de deux ans, ces facteurs sont retrouvés dans 55%.
La céphalosporine de 3ème génération demeure l’antibiotique le plus utilisé, une résistance aux bétalactamines a été retrouvée dans 10%, quant aux aminosides où la résistance a été notée dans 95%. L’évolution était émaillée de décès dans 53%. Parmi les enfants guéris, 28% avaient présenté des complications ou des séquelles.
Les principaux facteurs de mauvais pronostic que nous avons retiré de cette étude sont : l’existence de trouble de conscience ou de convulsions, l’hyperalbuminorrachie et la nécessité de mesures de réanimation.
Conclusion : En raison de l’émergence de la résistance du pneumocoque et devant l’absence actuelle d’alternatives thérapeutiques, les espoirs résident dans la mise à disposition dans le marché marocain du vaccin pneumococcique conjugué.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1462008 Président : LAMDOUAR BOUAZZAOUI NAIMA Directeur : MDAGHRI ALAOUI ASMAE Juge : GAOUZI AHMED Juge : BENJELLOUN DAKHAMA BADRSOUOUD Les infections invasives à pneumocoque chez l’enfant : A propos de 46 cas colliges à l’hopital d’enfant de rabat [thèse] / DARFOUF SIHAM, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Enfant Pneumocoque Méningite Vaccination. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le pneumocoque représente une cause fréquente de morbidité et mortalité en pathologie infectieuse pédiatrique, en particulier les méningites, qui engendrent une mortalité élevée, sinon des séquelles neurosensorielles lourdes malgré le traitement.
Objectifs : L’objectif de ce travail est d’analyser les particularités épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives des infections invasives à pneumocoque de l’enfant et de ressortir les facteurs influençant le pronostic.
Matériels et méthode : Notre étude rétrospective et descriptive porte sur 46 cas d’infections invasive à pneumocoque, observées chez les enfants âgés de 0 à 15 ans et colligées entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2006 dans les différents services de l’hôpital d’enfant. Durant cette étude, nous avons exploité les registres du laboratoire de bactério-sérologie de CHU Ibn Sina, qui nous ont permis de recenser les numéros de dossiers des enfants atteints de cette affection, et à partir de ces données, nous avons étudié les dossiers dans les services de pédiatrie générale et dans l’unité de réanimation pédiatrique, les données ont été recensées dans des fiches d’exploitation. L’analyse statistique a été faite à l’aide du logiciel SPSS 10.0 avec un degré de signification p<0,05.
Résultats : Au total, 36 cas de méningites purulentes à pneumocoque, 8 cas de pleuro pneumopathies et 2 cas de septicémies ont été rapportées durant cette période.
La méningite à pneumocoque est une maladie grave, elle touche de façon élective le nourrisson dans 69,45%, l’âge moyen est de 3,7 ans (extrêmes : 1-15 ans), le pic de fréquence était proche de 7 mois avec prédominance masculine (sexe-ratio garçon/fille : 2,6). Parmi les enfants âgés de moins de deux ans, 75% n’ont aucun facteur de risque médical, en dehors de leur âge, ni de pathologie sous jacente. En revanche, après l’âge de deux ans, ces facteurs sont retrouvés dans 55%.
La céphalosporine de 3ème génération demeure l’antibiotique le plus utilisé, une résistance aux bétalactamines a été retrouvée dans 10%, quant aux aminosides où la résistance a été notée dans 95%. L’évolution était émaillée de décès dans 53%. Parmi les enfants guéris, 28% avaient présenté des complications ou des séquelles.
Les principaux facteurs de mauvais pronostic que nous avons retiré de cette étude sont : l’existence de trouble de conscience ou de convulsions, l’hyperalbuminorrachie et la nécessité de mesures de réanimation.
Conclusion : En raison de l’émergence de la résistance du pneumocoque et devant l’absence actuelle d’alternatives thérapeutiques, les espoirs résident dans la mise à disposition dans le marché marocain du vaccin pneumococcique conjugué.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1462008 Président : LAMDOUAR BOUAZZAOUI NAIMA Directeur : MDAGHRI ALAOUI ASMAE Juge : GAOUZI AHMED Juge : BENJELLOUN DAKHAMA BADRSOUOUD Réservation
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Titre : INFECTIONS A PNEUMOCOQUE ET LEUR VACCINATION Type de document : thèse Auteurs : Ayoub OUCHEN, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pneumocoque Infections invasives Antibiothérapie Prophylaxie Résumé : Le pneumocoque représente une cause importante d’infections invasives : méningites,
pneumopathies, et bactériémies, qui sont grevées d’une morbidité et d’une mortalité
importante. Malgré la disponibilité des moyens thérapeutiques modernes, les infections
invasives à pneumocoque demeurent potentiellement mortelles ; en particulier dans les pays
en voie de développement où les taux de vaccination sont sous-optimaux.
Les enfants de moins de 2 ans, les personnes âgées, et les immunodéprimés sont les plus
à risque. Un diagnostic rapide est fondamental, les symptômes peuvent s’aggraver
rapidement, même les personnes traitées présentent un risque élevé de séquelles notamment
neurologiques.
La virulence accrue du pneumocoque est liée essentiellement à la présence d’une
capsule dont la variabilité antigénique permet de distinguer plus de 90 sérotypes différents. Le
diagnostic bactériologique bénéficie d’avancées techniques comme la détection rapide d’un
antigène par immunochromatographie sur membrane.
Les b-lactamines sont très utilisées pour traiter les infections à pneumocoque. Ces
antibiotiques inhibent la synthèse du peptidoglycane, une molécule qui englobe la cellule et
lui confère sa forme. L’augmentation de la fréquence des souches de pneumocoque de
sensibilité diminuée à la pénicilline (PDSD) impose d’adapter la thérapeutique à la pathologie
et à l’épidémiologie.
L’introduction du vaccin conjugué Prevenar® ou le vaccin Pneumo 23® a entrainé une
diminution des infections invasives à pneumocoque dans la population cible, mais aussi dans
la population non vaccinée.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4222021 Président : Mimoun ZOUHDI Directeur : Yassine SEKHSOKH Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Saida TELLAL Juge : Mariama CHADLI INFECTIONS A PNEUMOCOQUE ET LEUR VACCINATION [thèse] / Ayoub OUCHEN, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pneumocoque Infections invasives Antibiothérapie Prophylaxie Résumé : Le pneumocoque représente une cause importante d’infections invasives : méningites,
pneumopathies, et bactériémies, qui sont grevées d’une morbidité et d’une mortalité
importante. Malgré la disponibilité des moyens thérapeutiques modernes, les infections
invasives à pneumocoque demeurent potentiellement mortelles ; en particulier dans les pays
en voie de développement où les taux de vaccination sont sous-optimaux.
Les enfants de moins de 2 ans, les personnes âgées, et les immunodéprimés sont les plus
à risque. Un diagnostic rapide est fondamental, les symptômes peuvent s’aggraver
rapidement, même les personnes traitées présentent un risque élevé de séquelles notamment
neurologiques.
La virulence accrue du pneumocoque est liée essentiellement à la présence d’une
capsule dont la variabilité antigénique permet de distinguer plus de 90 sérotypes différents. Le
diagnostic bactériologique bénéficie d’avancées techniques comme la détection rapide d’un
antigène par immunochromatographie sur membrane.
Les b-lactamines sont très utilisées pour traiter les infections à pneumocoque. Ces
antibiotiques inhibent la synthèse du peptidoglycane, une molécule qui englobe la cellule et
lui confère sa forme. L’augmentation de la fréquence des souches de pneumocoque de
sensibilité diminuée à la pénicilline (PDSD) impose d’adapter la thérapeutique à la pathologie
et à l’épidémiologie.
L’introduction du vaccin conjugué Prevenar® ou le vaccin Pneumo 23® a entrainé une
diminution des infections invasives à pneumocoque dans la population cible, mais aussi dans
la population non vaccinée.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4222021 Président : Mimoun ZOUHDI Directeur : Yassine SEKHSOKH Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Saida TELLAL Juge : Mariama CHADLI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4222021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M4222021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
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Titre : LES PNEUMONIES COMMUNAUTAIRES CHEZ L’ENFANT Type de document : thèse Auteurs : ESSEBBAGH Youssef, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Complication enfants, pneumonie pneumocoque vaccin Résumé : Les infections respiratoires basses représentent la première cause de mortalité chez l’enfant, où la pneumonie aigue communautaire constitue l’entité la plus menaçante de point de vue morbidité et mortalité. Chaque année, l’OMS dénombre 1,2 millions de décès par pneumopathies communautaires chez l’enfant de moins de 5 ans dont 90% dans les pays en voie de développement.
Pour mieux connaître les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des enfants présentant des PAC nous avons réalisé cette revue de littérature.
Les agents pathogènes les plus incrimines restent les mêmes qui sont : Streptococcus pneumonie, Haemophilus influenzae, Mycoplasme pneumonie et les virus.
Le diagnostic d’une pneumonie de l’enfant repose sur une suspicion clinique et une confirmation radiologique.
La symptomatologie clinique des PAC est variable et peu spécifique, on peut trouver :
Fièvre, Toux, Tachypnée, les Signes de lutte respiratoire, Wheezing et une Auscultation pulmonaire pathologique. La confirmation radiologique, est la seule référence de l’atteinte parenchymateuse.
Les examens biologiques usuels sont : NFS, CRP et la VS.
Seul un faisceau d’arguments cliniques, radiologiques et biologiques peut orienter le diagnostic étiologique et de ce fait la décision thérapeutique.
Le traitement est basé sur l’antibiothérapie probabiliste devant la difficulté d’un diagnostic étiologique précis.
Le choix de l’antibiotique sera orienté par l’âge, l’épidémiologie, le tableau clinique, et par les examens paracliniques.
Pour les pneumonies virales Le traitement est essentiellement symptomatique.
L’évolution est souvent favorable, si un traitement adapté et efficace, est démarré rapidement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0912019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : JEAIDI.A LES PNEUMONIES COMMUNAUTAIRES CHEZ L’ENFANT [thèse] / ESSEBBAGH Youssef, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Complication enfants, pneumonie pneumocoque vaccin Résumé : Les infections respiratoires basses représentent la première cause de mortalité chez l’enfant, où la pneumonie aigue communautaire constitue l’entité la plus menaçante de point de vue morbidité et mortalité. Chaque année, l’OMS dénombre 1,2 millions de décès par pneumopathies communautaires chez l’enfant de moins de 5 ans dont 90% dans les pays en voie de développement.
Pour mieux connaître les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des enfants présentant des PAC nous avons réalisé cette revue de littérature.
Les agents pathogènes les plus incrimines restent les mêmes qui sont : Streptococcus pneumonie, Haemophilus influenzae, Mycoplasme pneumonie et les virus.
Le diagnostic d’une pneumonie de l’enfant repose sur une suspicion clinique et une confirmation radiologique.
La symptomatologie clinique des PAC est variable et peu spécifique, on peut trouver :
Fièvre, Toux, Tachypnée, les Signes de lutte respiratoire, Wheezing et une Auscultation pulmonaire pathologique. La confirmation radiologique, est la seule référence de l’atteinte parenchymateuse.
Les examens biologiques usuels sont : NFS, CRP et la VS.
Seul un faisceau d’arguments cliniques, radiologiques et biologiques peut orienter le diagnostic étiologique et de ce fait la décision thérapeutique.
Le traitement est basé sur l’antibiothérapie probabiliste devant la difficulté d’un diagnostic étiologique précis.
Le choix de l’antibiotique sera orienté par l’âge, l’épidémiologie, le tableau clinique, et par les examens paracliniques.
Pour les pneumonies virales Le traitement est essentiellement symptomatique.
L’évolution est souvent favorable, si un traitement adapté et efficace, est démarré rapidement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0912019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : JEAIDI.A Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0912019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M0912019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M0912019URL