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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'SIGNE CLINIQUE'
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Titre : Diagnostic clinique et microbiologique d’une plaie infectée Type de document : thèse Auteurs : KASTIT Chaimae, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Plaie aigue chronique signe clinique Staphylococcus aureus streptocoques pyogènes Pseudomonas aeruginosa Entérobactérie antibiothérapie. Résumé : Pendant des millénaires, les hommes se sont interrogés pour comprendre ce qui provoquait la putréfaction et le pus dans une plaie et comment on pouvait lutter contre cela. Malgré les avancées et les réussites extraordinaires de l’hygiène médicale avec les vaccinations et l’arme magique qu’est « l’antibiotique », l’infection des plaies est restée une maladie dangereuse, elle survenait presque systématiquement et était souvent mortelle.
L’infection de la plaie est marquée par la présence des microorganismes réplicatifs dans la plaie avec réponse de l’hôte. Lorsque la charge bactérienne dépasse la capacité de résistance de l’hôte notamment chez les patients ayant une capacité non optimale de réponse immunitaire, il provoque une situation clinique grave avec défaut de cicatrisation par inflammation prolongée. Les bactéries pathogènes usuelles impliquées sont Staphylococcus aureus, les streptocoques pyogènes, Escherichia coli, Proteus, les germes anaérobies, Pseudomonas aeruginosa...
L’objectif de ce travail est de donner un aperçu de diagnostic clinique et microbiologique d’une plaie infectée, en décrivant les signes cliniques, les indications des prélèvements ainsi que les examens microbiologiques à réaliser, afin d’identifier le germe pathogène responsable et alors un choix thérapeutique approprié. On ajoute d’autres techniques, telles que la technique de biologie moléculaire et immuno-enzymatique, qui rendent possible la caractérisation des bactéries difficiles à identifier par des tests phénotypiques et qui permettent d’obtenir un résultat en quelques heures dans les situations d’urgence.
Le pharmacien joue un rôle très important dans l'évaluation de la gravité d'une plaie infectée et dans le suivi de la cicatrisation, lorsqu’il s’agit des signes de complication, une orientation du patient vers une consultation médicale est nécessaire. Dans le cas des plaies simples, elles peuvent se traiter au comptoir avec des pansements et une antisepsie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1262018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : DOBLALI.T Juge : GAOUZI.A Diagnostic clinique et microbiologique d’une plaie infectée [thèse] / KASTIT Chaimae, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Plaie aigue chronique signe clinique Staphylococcus aureus streptocoques pyogènes Pseudomonas aeruginosa Entérobactérie antibiothérapie. Résumé : Pendant des millénaires, les hommes se sont interrogés pour comprendre ce qui provoquait la putréfaction et le pus dans une plaie et comment on pouvait lutter contre cela. Malgré les avancées et les réussites extraordinaires de l’hygiène médicale avec les vaccinations et l’arme magique qu’est « l’antibiotique », l’infection des plaies est restée une maladie dangereuse, elle survenait presque systématiquement et était souvent mortelle.
L’infection de la plaie est marquée par la présence des microorganismes réplicatifs dans la plaie avec réponse de l’hôte. Lorsque la charge bactérienne dépasse la capacité de résistance de l’hôte notamment chez les patients ayant une capacité non optimale de réponse immunitaire, il provoque une situation clinique grave avec défaut de cicatrisation par inflammation prolongée. Les bactéries pathogènes usuelles impliquées sont Staphylococcus aureus, les streptocoques pyogènes, Escherichia coli, Proteus, les germes anaérobies, Pseudomonas aeruginosa...
L’objectif de ce travail est de donner un aperçu de diagnostic clinique et microbiologique d’une plaie infectée, en décrivant les signes cliniques, les indications des prélèvements ainsi que les examens microbiologiques à réaliser, afin d’identifier le germe pathogène responsable et alors un choix thérapeutique approprié. On ajoute d’autres techniques, telles que la technique de biologie moléculaire et immuno-enzymatique, qui rendent possible la caractérisation des bactéries difficiles à identifier par des tests phénotypiques et qui permettent d’obtenir un résultat en quelques heures dans les situations d’urgence.
Le pharmacien joue un rôle très important dans l'évaluation de la gravité d'une plaie infectée et dans le suivi de la cicatrisation, lorsqu’il s’agit des signes de complication, une orientation du patient vers une consultation médicale est nécessaire. Dans le cas des plaies simples, elles peuvent se traiter au comptoir avec des pansements et une antisepsie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1262018 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : DOBLALI.T Juge : GAOUZI.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1262018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible P1262018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible Documents numériques
P1262018URL ETUDE DES PRÉVALENCES DES ANTICORPS ANTI ANTI-VHC ET DE L’ANTIGÈNE HBS À TRAVERS LES DONNÉES DU LABORATOIRE DE MICROBIOLOGIE ET DU SERVICE DE GASTRO GASTRO-ENTÉROLOGIE DE L’HÔPITAL IBN SINA DE RABAT. / AKILOU HABOU HADIZA
Titre : ETUDE DES PRÉVALENCES DES ANTICORPS ANTI ANTI-VHC ET DE L’ANTIGÈNE HBS À TRAVERS LES DONNÉES DU LABORATOIRE DE MICROBIOLOGIE ET DU SERVICE DE GASTRO GASTRO-ENTÉROLOGIE DE L’HÔPITAL IBN SINA DE RABAT. Type de document : thèse Auteurs : AKILOU HABOU HADIZA, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTICORPS ANTI VHC ANTIGENE HBS HEPATOPATHIE CHRONIQUE PREVALENCE SIGNE CLINIQUE Résumé : Les hépatites virales B et C constituent un véritable problème de santé
mondial. Elles sont causées par deux virus appartenant à des familles distinctes.
Plusieurs études ont démontré le rôle de ces virus dans les hépatopathies
chroniques notamment dans les régions où ils sont endémiques. Ces maladies
passent souvent de façon asymptomatique et les circonstances de leur découverte
sont en général des complications chroniques et plus rarement fulminantes. Les
signes cliniques peuvent être hépatiques ou extra-hépatiques.
Notre étude a porté d’abord sur une étude de la prévalence l’antigène HBs et
des anticorps anti-VHC chez des patients présentant des signes cliniques
d’hépatopathie chronique. Dans cette étude rétrospective colligeant 190 cas en
provenance des services de Médecine A, B, C et E avec un sex-ratio de 1.6, nous
avons obtenus des résultats positifs dans plus de 50 % des demandes d’analyses
les plus fréquentes. La prévalence de l’antigène HBs est plus élevée chez les
hommes que chez les femmes (28.13% contre 9.3%) alors que les anticorps anti-
VHC sont plus retrouvés chez le sexe féminin (90.7% contre 71.87%)
Par la suite nous avons élargi notre étude au sein du service de gastroentérologie
(médecine C) ou nous avons consultés 52 dossiers médicaux
correspondant à certaines demandes d’analyses. L’âge moyen est de 57 ans .Les
prévalences des marqueurs prédominent chez les hommes mais celle de l’antigène
HBs est moins importante chez la femme.
14 cas de cirrhoses ont été répertoriés ainsi que 9 cas d’hépato-carcinomes
dont 3 sont associés à des cirrhoses. La moyenne d’âge est respectivement de 60
ans et 57 ans.
Les femmes semblent plus touchées par la cirrhose et les anti-VHC sont retrouvés
dans 42.85% des cas contre 28.6% pour l’antigène Hbs. La prévalence est de 50%
pour les deux marqueurs dans les cas d’hépato-carcinome et il ya deux fois plus
d’hommes que de femmes.
La taille de notre population ne nous permet d’extrapoler nos résultats .Une
étude approfondie sur un échantillon assez représentatif serait intéressante pour
évaluer la place de chacun des ces virus dans les hépatopathies chroniques au
Maroc.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0012009 Président : CHOKAIRI OMAR Directeur : MIMOUN ZOUHDI Juge : EL HAMZAOUI SAKINA ETUDE DES PRÉVALENCES DES ANTICORPS ANTI ANTI-VHC ET DE L’ANTIGÈNE HBS À TRAVERS LES DONNÉES DU LABORATOIRE DE MICROBIOLOGIE ET DU SERVICE DE GASTRO GASTRO-ENTÉROLOGIE DE L’HÔPITAL IBN SINA DE RABAT. [thèse] / AKILOU HABOU HADIZA, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ANTICORPS ANTI VHC ANTIGENE HBS HEPATOPATHIE CHRONIQUE PREVALENCE SIGNE CLINIQUE Résumé : Les hépatites virales B et C constituent un véritable problème de santé
mondial. Elles sont causées par deux virus appartenant à des familles distinctes.
Plusieurs études ont démontré le rôle de ces virus dans les hépatopathies
chroniques notamment dans les régions où ils sont endémiques. Ces maladies
passent souvent de façon asymptomatique et les circonstances de leur découverte
sont en général des complications chroniques et plus rarement fulminantes. Les
signes cliniques peuvent être hépatiques ou extra-hépatiques.
Notre étude a porté d’abord sur une étude de la prévalence l’antigène HBs et
des anticorps anti-VHC chez des patients présentant des signes cliniques
d’hépatopathie chronique. Dans cette étude rétrospective colligeant 190 cas en
provenance des services de Médecine A, B, C et E avec un sex-ratio de 1.6, nous
avons obtenus des résultats positifs dans plus de 50 % des demandes d’analyses
les plus fréquentes. La prévalence de l’antigène HBs est plus élevée chez les
hommes que chez les femmes (28.13% contre 9.3%) alors que les anticorps anti-
VHC sont plus retrouvés chez le sexe féminin (90.7% contre 71.87%)
Par la suite nous avons élargi notre étude au sein du service de gastroentérologie
(médecine C) ou nous avons consultés 52 dossiers médicaux
correspondant à certaines demandes d’analyses. L’âge moyen est de 57 ans .Les
prévalences des marqueurs prédominent chez les hommes mais celle de l’antigène
HBs est moins importante chez la femme.
14 cas de cirrhoses ont été répertoriés ainsi que 9 cas d’hépato-carcinomes
dont 3 sont associés à des cirrhoses. La moyenne d’âge est respectivement de 60
ans et 57 ans.
Les femmes semblent plus touchées par la cirrhose et les anti-VHC sont retrouvés
dans 42.85% des cas contre 28.6% pour l’antigène Hbs. La prévalence est de 50%
pour les deux marqueurs dans les cas d’hépato-carcinome et il ya deux fois plus
d’hommes que de femmes.
La taille de notre population ne nous permet d’extrapoler nos résultats .Une
étude approfondie sur un échantillon assez représentatif serait intéressante pour
évaluer la place de chacun des ces virus dans les hépatopathies chroniques au
Maroc.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0012009 Président : CHOKAIRI OMAR Directeur : MIMOUN ZOUHDI Juge : EL HAMZAOUI SAKINA Réservation
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