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La place de la laparoscopie dans la prise en charge des tumeurs des voies excrétrices supérieures / BENHADDOU Youssef
Titre : La place de la laparoscopie dans la prise en charge des tumeurs des voies excrétrices supérieures Type de document : thèse Auteurs : BENHADDOU Youssef, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Laparoscopie Tumeurs Prise en charge Voie excrétrice supérieure Résumé : Le traitement chirurgical de référence tumeurs des voies excrétrices urinaires supérieures est la
néphro-urétérectomie totale (NUT) avec une collerette vésicale.
L’étude a été menée de Mars 2018 à Mars 2020 au service d’urologie de l‘Hôpital Militaire
Moulay Ismail de Meknès.
Notre analyse portait sur 11 patients opérés :
La moyenne d’âge était de 66 ans ; avec 8 hommes et 3 femmes.
81.8% des patients ont été traités par excision ouverte et 18.2% par résection transurétrale de
l’orifice urétéral.
La durée d’intervention médiane était :
o 210 [160-390] min (excision ouverte)
o 185 [160-210] min (RTUOU)
La douleur post opératoire a été́ évaluée selon l’échelle visuelle simple (EVS) estimée en
moyenne à 1,6.
La durée moyenne d’hospitalisation était de 5 jours
En post opératoire :
o 2 malades présenté́ une infection urinaire fébrile.
o 1 cas de fistule urinaire à travers le drain de Redon malgré la sonde vésicale.
Les tumeurs étaient classées :
o Haut grade dans 72% des cas
o Bas grade dans 28% des cas
o Infiltrante dans 64% des cas
Pour le suivi de nos patients :
o Le recul moyen du suivi était de 11,5 (3-24) mois.
o Un patient a eu des adénopathies métastatiques à 1 an postopératoire.
o Deux patients ont développé une récidive vésicale sous forme de TVNIM.
Après avoir discuté nos résultats avec les différents articles étudiées et analysé différents articles
comparant l’abord laparoscopique et ouvert :
Nous n'avons pas trouvé de différence significative de résultats carcinologiques entre la voie
ouverte et laparoscopique, que ce soit en termes de survie globale et spécifique au cancer , de
récidive locale ou régionale ou de la survenue de métastases ou complications.
Les autres points forts pour la voie laparoscopique étaient que les pertes sanguines ainsi que la
durée du séjour sont réduites relativement à la voie ouverte.
Un point faible pour la voie laparoscopique était que la durée de l’intervention était
relativement longue.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4062020 Président : EL KHADER.K Directeur : EL HARRECH.Y Juge : AMMANI.A Juge : EL SAYEGH.H Juge : KARMOUNI.T La place de la laparoscopie dans la prise en charge des tumeurs des voies excrétrices supérieures [thèse] / BENHADDOU Youssef, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Laparoscopie Tumeurs Prise en charge Voie excrétrice supérieure Résumé : Le traitement chirurgical de référence tumeurs des voies excrétrices urinaires supérieures est la
néphro-urétérectomie totale (NUT) avec une collerette vésicale.
L’étude a été menée de Mars 2018 à Mars 2020 au service d’urologie de l‘Hôpital Militaire
Moulay Ismail de Meknès.
Notre analyse portait sur 11 patients opérés :
La moyenne d’âge était de 66 ans ; avec 8 hommes et 3 femmes.
81.8% des patients ont été traités par excision ouverte et 18.2% par résection transurétrale de
l’orifice urétéral.
La durée d’intervention médiane était :
o 210 [160-390] min (excision ouverte)
o 185 [160-210] min (RTUOU)
La douleur post opératoire a été́ évaluée selon l’échelle visuelle simple (EVS) estimée en
moyenne à 1,6.
La durée moyenne d’hospitalisation était de 5 jours
En post opératoire :
o 2 malades présenté́ une infection urinaire fébrile.
o 1 cas de fistule urinaire à travers le drain de Redon malgré la sonde vésicale.
Les tumeurs étaient classées :
o Haut grade dans 72% des cas
o Bas grade dans 28% des cas
o Infiltrante dans 64% des cas
Pour le suivi de nos patients :
o Le recul moyen du suivi était de 11,5 (3-24) mois.
o Un patient a eu des adénopathies métastatiques à 1 an postopératoire.
o Deux patients ont développé une récidive vésicale sous forme de TVNIM.
Après avoir discuté nos résultats avec les différents articles étudiées et analysé différents articles
comparant l’abord laparoscopique et ouvert :
Nous n'avons pas trouvé de différence significative de résultats carcinologiques entre la voie
ouverte et laparoscopique, que ce soit en termes de survie globale et spécifique au cancer , de
récidive locale ou régionale ou de la survenue de métastases ou complications.
Les autres points forts pour la voie laparoscopique étaient que les pertes sanguines ainsi que la
durée du séjour sont réduites relativement à la voie ouverte.
Un point faible pour la voie laparoscopique était que la durée de l’intervention était
relativement longue.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4062020 Président : EL KHADER.K Directeur : EL HARRECH.Y Juge : AMMANI.A Juge : EL SAYEGH.H Juge : KARMOUNI.T Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4062020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M4062020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M4062020URL TUMEURS NEURO-ECTODERMIQUES PRIMITIVES PERIPHERIQUES / JOHRI KAOUTAR
Titre : TUMEURS NEURO-ECTODERMIQUES PRIMITIVES PERIPHERIQUES Type de document : thèse Auteurs : JOHRI KAOUTAR, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEUR NEURO ECTODERMIQUE PRIMITIVE (PNET) VOIE EXCRETRICE SUPERIEURE IMMUNOHISTOCHIMIE CYTOGENETIQUE TRAITEMENT Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction et objectifs :
Les tumeurs neuro-ectodermiques primitives (TNEP) sont des tumeurs malignes rares et très agressives (< 1 % de tous les sarcomes) . Leur localisation extra crânienne et particulièrement urinaire est exceptionnelle.
Le but de ce travail est de proposer une synthèse actualisée des caractéristiques cliniques, anatomopathologiques, thérapeutiques et évolutives de cette entité tumorale particulière.
Discussion :
Nous rapportons deux observations de tumeurs neuro-ectodermiques primitives périphériques de localisation rare (pyélique et médiastinale) observés à l’HMIMV de Rabat
Les deux patients sont de sexe masculin.
Ils sont âgés respectivement de 68 et 25 ans.
Le premier patient rapportait des lombalgies droites avec hématurie macroscopique totale,et le deuxième des lombalgies gauches avec amaigrissement important chiffré à 13kgs en 3 mois.
Le scanner abdominal montre chez le premier patient la tumeur comme une masse tissulaire hétérogène présentant des foyers d’hémorragie et de nécrose au dépend de la paroi pyélique gauche avec une dilatation pyélocalicielle manifeste et un index corticomédullaire très réduit,et chez le second une masse surrénalienne gauche mesurant 26 cm x 15 cm .
Une néphrourétéctomie droite emportant une collerette vésicale a été réalisé chez le premier patient suivi d’une chimiothérapie adjuvante, le deuxième fut opéré via une thoraco-phréno-laparotomie passant dans le 8ième espace intercostal gauche, qui a découvert une masse inextirpable.
Le diagnostic définitif des PNET a été posé après l’analyse anathomopathologique et immunohistochimique qui a mis en évidence une tumeur maligne à petites cellules rondes dans les deux cas, un marquage positif pour le MIC2 , la chromogranine A (CGA) et la neuron specifique enolase (NSE) chez le premier malade,et un marquage exlusif au MIC2 pour le second malade.
Conclusion :
Les TNEP sont d’identification récente en tant que tumeurs primitives de l’appareil urogénital de l’adulte.
Leur diagnostic positif n’est souvent possible qu’en postopératoire et repose principalement sur l’immunohistochimie qui permet souvent de la caractériser et de la distinguer des autres tumeurs à petites cellules rondes. La cytogénétique peut être utile en cas de doute diagnostic. Le pronostic auparavant très mauvais des TNEP a connu une nette amélioration avec l’introduction de nouveaux protocoles thérapeutiques associant chirurgie et radiochimiothérapie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2102010 Président : MOHAMMED ABBAR Directeur : MOHAMMED GHADOUANE Juge : ABDERAHMAN ALBOUZIDI TUMEURS NEURO-ECTODERMIQUES PRIMITIVES PERIPHERIQUES [thèse] / JOHRI KAOUTAR, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEUR NEURO ECTODERMIQUE PRIMITIVE (PNET) VOIE EXCRETRICE SUPERIEURE IMMUNOHISTOCHIMIE CYTOGENETIQUE TRAITEMENT Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction et objectifs :
Les tumeurs neuro-ectodermiques primitives (TNEP) sont des tumeurs malignes rares et très agressives (< 1 % de tous les sarcomes) . Leur localisation extra crânienne et particulièrement urinaire est exceptionnelle.
Le but de ce travail est de proposer une synthèse actualisée des caractéristiques cliniques, anatomopathologiques, thérapeutiques et évolutives de cette entité tumorale particulière.
Discussion :
Nous rapportons deux observations de tumeurs neuro-ectodermiques primitives périphériques de localisation rare (pyélique et médiastinale) observés à l’HMIMV de Rabat
Les deux patients sont de sexe masculin.
Ils sont âgés respectivement de 68 et 25 ans.
Le premier patient rapportait des lombalgies droites avec hématurie macroscopique totale,et le deuxième des lombalgies gauches avec amaigrissement important chiffré à 13kgs en 3 mois.
Le scanner abdominal montre chez le premier patient la tumeur comme une masse tissulaire hétérogène présentant des foyers d’hémorragie et de nécrose au dépend de la paroi pyélique gauche avec une dilatation pyélocalicielle manifeste et un index corticomédullaire très réduit,et chez le second une masse surrénalienne gauche mesurant 26 cm x 15 cm .
Une néphrourétéctomie droite emportant une collerette vésicale a été réalisé chez le premier patient suivi d’une chimiothérapie adjuvante, le deuxième fut opéré via une thoraco-phréno-laparotomie passant dans le 8ième espace intercostal gauche, qui a découvert une masse inextirpable.
Le diagnostic définitif des PNET a été posé après l’analyse anathomopathologique et immunohistochimique qui a mis en évidence une tumeur maligne à petites cellules rondes dans les deux cas, un marquage positif pour le MIC2 , la chromogranine A (CGA) et la neuron specifique enolase (NSE) chez le premier malade,et un marquage exlusif au MIC2 pour le second malade.
Conclusion :
Les TNEP sont d’identification récente en tant que tumeurs primitives de l’appareil urogénital de l’adulte.
Leur diagnostic positif n’est souvent possible qu’en postopératoire et repose principalement sur l’immunohistochimie qui permet souvent de la caractériser et de la distinguer des autres tumeurs à petites cellules rondes. La cytogénétique peut être utile en cas de doute diagnostic. Le pronostic auparavant très mauvais des TNEP a connu une nette amélioration avec l’introduction de nouveaux protocoles thérapeutiques associant chirurgie et radiochimiothérapie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2102010 Président : MOHAMMED ABBAR Directeur : MOHAMMED GHADOUANE Juge : ABDERAHMAN ALBOUZIDI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2102010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible LES TUMEURS DES VOIES EXCRETRICES URINAIRES SUPERIEURES : PRISE EN CHARGE UROLOGIQUE D’UNE POPULATION DE 19 PATIENTS / DIB Hassan
Titre : LES TUMEURS DES VOIES EXCRETRICES URINAIRES SUPERIEURES : PRISE EN CHARGE UROLOGIQUE D’UNE POPULATION DE 19 PATIENTS Type de document : thèse Auteurs : DIB Hassan, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Voie excrétrice supérieure uretère cavités pyélocalicielles carcinome urothélial Résumé : Contexte : les tumeurs des voies excrétrices urinaires supérieures (TVEUS) sont des cancers urologiques rares. Nous avons cherché à étudier les caractéristiques épidémiologiques, diagnostiques, thérapeutiques, et histologiques chez des patients présentant une TVEUS.
Méthodes : étude rétrospective d’une population de 19 patients présentant une TVEUS diagnostiqué entre 2010 et 2019 .Analyse caractéristiques de cette population et de sa prise en charge. Comparaison de ces données à celles des séries locales antérieures.
Résultats : l’âge moyen de diagnostic est de 67.31ans.
Le Sex ratio est de 2.8 Hommes pour 1 femme.
Les localisations urétérales représentent 28.07%, les localisations pyélocalicielles 52.54 % et les localisations multifocales 19.39 %.
L’hématurie macroscopique reste le signe d’appel le plus fréquent .Les techniques d’imagerie en coupe ( uroscanner ) supplantant l’imagerie par UIV dans le bilan de ces tumeurs.
L’attitude thérapeutique radicale par néphrourétérectomie totale représente 95% des cas. Toutefois, le traitement conservateur, chirurgical ou endoscopique, conserve des indications précises. Les autres moyens thérapeutiques (radiothérapie, chimiothérapie générale, chimiothérapie et immunothérapie locales) sont complémentaires ou éventuellement palliatifs à l’exérèse chirurgicale.
Après traitement, une surveillance clinique et paraclinique régulière s’impose.
Le pronostic de ces tumeurs dépend essentiellement du stade et du grade tumoral, ainsi que du geste opératoire.
Conclusion : les caractéristiques épidémiologiques de notre population rejoignent les récentes constatations de littérature : un âge diagnostique plus tardif vers 70 ans et une augmentation de la fréquence des localisations urétérales. Les progrès de l’imagerie en coupe permettent de diagnostiquer la plupart des TVEUS et d’en faire le bilan d’extension. Le NUT reste le traitement de référence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4392019 Président : AMEUR.A Directeur : EL SAYEGH.H Juge : KARMOUNI.T Juge : ZERHOUNI.H LES TUMEURS DES VOIES EXCRETRICES URINAIRES SUPERIEURES : PRISE EN CHARGE UROLOGIQUE D’UNE POPULATION DE 19 PATIENTS [thèse] / DIB Hassan, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Voie excrétrice supérieure uretère cavités pyélocalicielles carcinome urothélial Résumé : Contexte : les tumeurs des voies excrétrices urinaires supérieures (TVEUS) sont des cancers urologiques rares. Nous avons cherché à étudier les caractéristiques épidémiologiques, diagnostiques, thérapeutiques, et histologiques chez des patients présentant une TVEUS.
Méthodes : étude rétrospective d’une population de 19 patients présentant une TVEUS diagnostiqué entre 2010 et 2019 .Analyse caractéristiques de cette population et de sa prise en charge. Comparaison de ces données à celles des séries locales antérieures.
Résultats : l’âge moyen de diagnostic est de 67.31ans.
Le Sex ratio est de 2.8 Hommes pour 1 femme.
Les localisations urétérales représentent 28.07%, les localisations pyélocalicielles 52.54 % et les localisations multifocales 19.39 %.
L’hématurie macroscopique reste le signe d’appel le plus fréquent .Les techniques d’imagerie en coupe ( uroscanner ) supplantant l’imagerie par UIV dans le bilan de ces tumeurs.
L’attitude thérapeutique radicale par néphrourétérectomie totale représente 95% des cas. Toutefois, le traitement conservateur, chirurgical ou endoscopique, conserve des indications précises. Les autres moyens thérapeutiques (radiothérapie, chimiothérapie générale, chimiothérapie et immunothérapie locales) sont complémentaires ou éventuellement palliatifs à l’exérèse chirurgicale.
Après traitement, une surveillance clinique et paraclinique régulière s’impose.
Le pronostic de ces tumeurs dépend essentiellement du stade et du grade tumoral, ainsi que du geste opératoire.
Conclusion : les caractéristiques épidémiologiques de notre population rejoignent les récentes constatations de littérature : un âge diagnostique plus tardif vers 70 ans et une augmentation de la fréquence des localisations urétérales. Les progrès de l’imagerie en coupe permettent de diagnostiquer la plupart des TVEUS et d’en faire le bilan d’extension. Le NUT reste le traitement de référence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4392019 Président : AMEUR.A Directeur : EL SAYEGH.H Juge : KARMOUNI.T Juge : ZERHOUNI.H Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4392019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4392019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M4392019URL LES TUMEURS DES VOIES EXCRETRICES URINAIRES SUPERIEURES : PRISE EN CHARGE UROLOGIQUE D’UNE POPULATION DE 21 PATIENTS / MOHAMED HICHAM BENAZZOUZ
Titre : LES TUMEURS DES VOIES EXCRETRICES URINAIRES SUPERIEURES : PRISE EN CHARGE UROLOGIQUE D’UNE POPULATION DE 21 PATIENTS Type de document : thèse Auteurs : MOHAMED HICHAM BENAZZOUZ, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : VOIE EXCRETRICE SUPERIEURE URETERE CAVITES PYELOCALICIELLES CARCINOME UROTHELIAL Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Contexte : les tumeurs des voies excrétrices urinaires supérieures (TVEUS) sont des cancers urologiques rares. Nous avons cherché à étudier les caractéristiques epidemiologiques, diagnostiques, thérapeutiques, et histologiques chez des patients présentant une TVEUS.
Méthodes : étude rétrospective d’une population de 21 patients présentant une TVEUS diagnostiquée entre 2000 et 2009.Analyse caractéristiques de cette population et de sa prise en charge. Comparaison de ces données à celles des séries locales antérieures.
Résultats : l’age moyen de diagnostic est de 63.7 ans. Le sex ratio est de 3,2
Hommes pour 1 femme. Les localisations urétérales représentent 50% des cas pour 50% de localisations pyelocalicielles.95% des TVEUS de cette série sont des carcinomes urothéliaux .L’hématurie macroscopique reste le signe d’appel le plus fréquent .Les techniques d’imagerie en coupe (uroscanner ) supplantant l’imagerie par urographie intraveineuse dans le bilan de ces tumeurs. L’attitude thérapeutique radicale par nephroureterectomie totale représente 95% des cas. Toutefois, le traitement conservateur, chirurgicale ou endoscopique, conserve des indications précises. Les autres moyens thérapeutiques (radiothérapie, chimiothérapie générale, chimiothérapie et immunothérapie locales) sont complémentaires ou éventuellement palliatifs à l’exérèxe chirurgicale.
La mortalité opératoire n’est pas négligeable.
Apres traitement, une surveillance clinique et paraclinique régulières s’imposent. L’évolution postopératoire est dominée par les récidives urotheliales précoces (4cas). Les récidives locorégionales et les métastases sont rares.
Le pronostic de ces tumeurs dépend essentiellement du stade et du grade tumoral, ainsi que du geste opératoire.
Conclusion : les caractéristiques épidemiologiques de notre population rejoignent les récentes constatations de littérature : un age diagnostique plus tardif vers 70 ans et une augmentation de la fréquence des localisations urétérales. Les progrès de l’imagerie en coupe permettent de diagnostiquer le plupart des TVEUS et d’en faire le bilan d’extension. L e NTU reste le traitement de référence. Le pronostic dépend essentiellement du stade, du grade et du geste opératoire
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2402010 Président : MOHAMMED FAIK Directeur : LOUNISS BENSLIMANE Juge : TAREK KARMOUNI LES TUMEURS DES VOIES EXCRETRICES URINAIRES SUPERIEURES : PRISE EN CHARGE UROLOGIQUE D’UNE POPULATION DE 21 PATIENTS [thèse] / MOHAMED HICHAM BENAZZOUZ, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : VOIE EXCRETRICE SUPERIEURE URETERE CAVITES PYELOCALICIELLES CARCINOME UROTHELIAL Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Contexte : les tumeurs des voies excrétrices urinaires supérieures (TVEUS) sont des cancers urologiques rares. Nous avons cherché à étudier les caractéristiques epidemiologiques, diagnostiques, thérapeutiques, et histologiques chez des patients présentant une TVEUS.
Méthodes : étude rétrospective d’une population de 21 patients présentant une TVEUS diagnostiquée entre 2000 et 2009.Analyse caractéristiques de cette population et de sa prise en charge. Comparaison de ces données à celles des séries locales antérieures.
Résultats : l’age moyen de diagnostic est de 63.7 ans. Le sex ratio est de 3,2
Hommes pour 1 femme. Les localisations urétérales représentent 50% des cas pour 50% de localisations pyelocalicielles.95% des TVEUS de cette série sont des carcinomes urothéliaux .L’hématurie macroscopique reste le signe d’appel le plus fréquent .Les techniques d’imagerie en coupe (uroscanner ) supplantant l’imagerie par urographie intraveineuse dans le bilan de ces tumeurs. L’attitude thérapeutique radicale par nephroureterectomie totale représente 95% des cas. Toutefois, le traitement conservateur, chirurgicale ou endoscopique, conserve des indications précises. Les autres moyens thérapeutiques (radiothérapie, chimiothérapie générale, chimiothérapie et immunothérapie locales) sont complémentaires ou éventuellement palliatifs à l’exérèxe chirurgicale.
La mortalité opératoire n’est pas négligeable.
Apres traitement, une surveillance clinique et paraclinique régulières s’imposent. L’évolution postopératoire est dominée par les récidives urotheliales précoces (4cas). Les récidives locorégionales et les métastases sont rares.
Le pronostic de ces tumeurs dépend essentiellement du stade et du grade tumoral, ainsi que du geste opératoire.
Conclusion : les caractéristiques épidemiologiques de notre population rejoignent les récentes constatations de littérature : un age diagnostique plus tardif vers 70 ans et une augmentation de la fréquence des localisations urétérales. Les progrès de l’imagerie en coupe permettent de diagnostiquer le plupart des TVEUS et d’en faire le bilan d’extension. L e NTU reste le traitement de référence. Le pronostic dépend essentiellement du stade, du grade et du geste opératoire
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2402010 Président : MOHAMMED FAIK Directeur : LOUNISS BENSLIMANE Juge : TAREK KARMOUNI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2402010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible