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Titre : ÉPIDEMIOLOGIE DU P.OVALE A L’HMIMV DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : Kenza BENYOUSSEF, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Malaria Plasmodium ovale recrudescence Résumé : Le paludisme reste la première endémie parasitaire mondiale. Il sévit dans la zone intertropicale. Il est dû à des hématozoaires du genre Plasmodium dont 4 espèces sont pathogènes pour l’homme: P. falciparum, P vivax, P. ovale et P. malariae. P. falciparum est le plus important car c’est le plus répandu (Afrique sub-saharienne +++), il est le seul responsable des formes mortelles et devient de plus en plus résistant aux antipaludiques.
La transmission se fait par un vecteur l’Anophèles qui pique pendant toute la nuit.
Il n’existe pas d’immunité durable vis-à-vis du paludisme. Après de nombreuses années d’exposition ininterrompue, les populations des zones d’endémie finissent par acquérir un «état de prémunition» qui les met à l’abri des formes graves et symptomatiques du paludisme mais pas du portage intermittent du parasite.
Le diagnostic du paludisme est une urgence médicale. Le diagnostic de certitude repose sur la mise en évidence des hématozoaires sur un prélèvement de sang périphérique. Deux techniques sont d’utilisation courante: Le frottis mince coloré au MGG : de par sa simplicité et sa rapidité, le frottis mince est l’examen de 1° intention recommandé et la goutte épaisse colorée au Giemsa, plus sensible, reste l’examen de référence.
Le traitement de l’accès simple à P. falciparum doit faire appel à l’un des 4 médicaments: Quinine per os, Atovaquone-Proguanil (risque de vomissements), Méfloquine (risque de complications neuropsychiatriques) et Halofantrine (avec prudence: risque d’effets secondaires cardiaques graves). Le traitement de l’accès grave repose sur l’utilisation de la quinine par voie intraveineuse associée aux mesures de réanimation adaptées.
La prophylaxie individuelle du paludisme pour les voyageurs repose sur l’association d’une protection contre les moustiques (vêtements adaptés, insecticides et répulsifs, moustiquaires imprégnées) et d’une chimioprophylaxie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1152018 Président : DOGHMI.K Directeur : LMIMOUNI.B.E Juge : SEKHSOKH.Y Juge : KABBAJ.H Juge : SBAI IDRISSI .K ÉPIDEMIOLOGIE DU P.OVALE A L’HMIMV DE RABAT [thèse] / Kenza BENYOUSSEF, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Malaria Plasmodium ovale recrudescence Résumé : Le paludisme reste la première endémie parasitaire mondiale. Il sévit dans la zone intertropicale. Il est dû à des hématozoaires du genre Plasmodium dont 4 espèces sont pathogènes pour l’homme: P. falciparum, P vivax, P. ovale et P. malariae. P. falciparum est le plus important car c’est le plus répandu (Afrique sub-saharienne +++), il est le seul responsable des formes mortelles et devient de plus en plus résistant aux antipaludiques.
La transmission se fait par un vecteur l’Anophèles qui pique pendant toute la nuit.
Il n’existe pas d’immunité durable vis-à-vis du paludisme. Après de nombreuses années d’exposition ininterrompue, les populations des zones d’endémie finissent par acquérir un «état de prémunition» qui les met à l’abri des formes graves et symptomatiques du paludisme mais pas du portage intermittent du parasite.
Le diagnostic du paludisme est une urgence médicale. Le diagnostic de certitude repose sur la mise en évidence des hématozoaires sur un prélèvement de sang périphérique. Deux techniques sont d’utilisation courante: Le frottis mince coloré au MGG : de par sa simplicité et sa rapidité, le frottis mince est l’examen de 1° intention recommandé et la goutte épaisse colorée au Giemsa, plus sensible, reste l’examen de référence.
Le traitement de l’accès simple à P. falciparum doit faire appel à l’un des 4 médicaments: Quinine per os, Atovaquone-Proguanil (risque de vomissements), Méfloquine (risque de complications neuropsychiatriques) et Halofantrine (avec prudence: risque d’effets secondaires cardiaques graves). Le traitement de l’accès grave repose sur l’utilisation de la quinine par voie intraveineuse associée aux mesures de réanimation adaptées.
La prophylaxie individuelle du paludisme pour les voyageurs repose sur l’association d’une protection contre les moustiques (vêtements adaptés, insecticides et répulsifs, moustiquaires imprégnées) et d’une chimioprophylaxie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1152018 Président : DOGHMI.K Directeur : LMIMOUNI.B.E Juge : SEKHSOKH.Y Juge : KABBAJ.H Juge : SBAI IDRISSI .K Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1152018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible P1152018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible Documents numériques
P1152018URL RECRUDESCENCE DU PLASMODIUM OVALE DANS LE PALUDISME D’IMPORTATION DE L’AFRIQUE. / Hala EL ASSILI
Titre : RECRUDESCENCE DU PLASMODIUM OVALE DANS LE PALUDISME D’IMPORTATION DE L’AFRIQUE. Type de document : thèse Auteurs : Hala EL ASSILI, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Plasmodium ovale recrudescence République Démocratique du Congo Côte d’Ivoire Centrafrique. Résumé : Le Paludisme est une érythrocytopathie fébrile et hémolysante due au développement et à la multiplication dans les hématies d’un protozoaire du genre Plasmodium, transmis à l’homme par la piqûre de l’anophèle femelle.
Nous avons mené une étude rétrospective analytique sur 79 patients atteint de paludisme à Plasmodium ovale dans le service entre Mars 2016 et Novembre 2018.
La symptomatologie s’est révélée dans un délai entre 3 et 6 mois dans 49.4 % des cas. La fièvre est présente chez tous les cas, des signes digestifs dans 33 % des cas et des signes respiratoires dans un seul cas. Le frottis goutte épaisse a mis en évidence le Plasmodium ovale chez 54.5 % des patients suivie de P. falciparum dans 22.1 % des cas. L’association P. falciparum + P. ovale a été observée chez 11 cas. La parasitémie était inférieure ou égale à 0.1 % dans 45.6 % des cas avec un maximum de 2 % chez 1 seul patient.
Le traitement était à base d’artéméther-luméfantrine dans 83.7 % des cas. La méfloquine a été utilisée dans 2.5 % des cas. L’association atovaquone-proguanil a été utilisée chez un seul cas. La quinine a été administrée chez 2 cas avec un relai de l’artéméther-luméfantrine per os pour cause de vomissement.
L’augmentation remarquable du P. ovale peut s’expliquer par différentes hypothèses : L’amélioration des moyens diagnostiques (Frottis goutte épaisse TDR), l’impact de la durée de séjour des militaires, le changement de chimioprophylaxie ou encore une hypothèse moléculaire impliquant les sous-espèces de P. ovale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1682019 Président : ENNIBI.K Directeur : ENNIBI.K Juge : ABOUZAHIR.A Juge : MAAMAR.M Juge : LAATIRIS.A RECRUDESCENCE DU PLASMODIUM OVALE DANS LE PALUDISME D’IMPORTATION DE L’AFRIQUE. [thèse] / Hala EL ASSILI, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Plasmodium ovale recrudescence République Démocratique du Congo Côte d’Ivoire Centrafrique. Résumé : Le Paludisme est une érythrocytopathie fébrile et hémolysante due au développement et à la multiplication dans les hématies d’un protozoaire du genre Plasmodium, transmis à l’homme par la piqûre de l’anophèle femelle.
Nous avons mené une étude rétrospective analytique sur 79 patients atteint de paludisme à Plasmodium ovale dans le service entre Mars 2016 et Novembre 2018.
La symptomatologie s’est révélée dans un délai entre 3 et 6 mois dans 49.4 % des cas. La fièvre est présente chez tous les cas, des signes digestifs dans 33 % des cas et des signes respiratoires dans un seul cas. Le frottis goutte épaisse a mis en évidence le Plasmodium ovale chez 54.5 % des patients suivie de P. falciparum dans 22.1 % des cas. L’association P. falciparum + P. ovale a été observée chez 11 cas. La parasitémie était inférieure ou égale à 0.1 % dans 45.6 % des cas avec un maximum de 2 % chez 1 seul patient.
Le traitement était à base d’artéméther-luméfantrine dans 83.7 % des cas. La méfloquine a été utilisée dans 2.5 % des cas. L’association atovaquone-proguanil a été utilisée chez un seul cas. La quinine a été administrée chez 2 cas avec un relai de l’artéméther-luméfantrine per os pour cause de vomissement.
L’augmentation remarquable du P. ovale peut s’expliquer par différentes hypothèses : L’amélioration des moyens diagnostiques (Frottis goutte épaisse TDR), l’impact de la durée de séjour des militaires, le changement de chimioprophylaxie ou encore une hypothèse moléculaire impliquant les sous-espèces de P. ovale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1682019 Président : ENNIBI.K Directeur : ENNIBI.K Juge : ABOUZAHIR.A Juge : MAAMAR.M Juge : LAATIRIS.A Réservation
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