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PARASITOSES INTESTINALES ET URINAIRES EN COTE D’IVOIRE : DONNEES DE PREVALENCE DANS DIFFERENTES REGIONS / Dominique Jean-Yves Cyrille ACHO
Titre : PARASITOSES INTESTINALES ET URINAIRES EN COTE D’IVOIRE : DONNEES DE PREVALENCE DANS DIFFERENTES REGIONS Type de document : thèse Auteurs : Dominique Jean-Yves Cyrille ACHO, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Parasitoses Intestinales Urinaires Côte d’Ivoire Prévalence Parasitosis Intestinal Urinary Ivory Coast Prevalence طفیلیات، معوي بولي ساحل العاج انتشار Résumé : Introduction:
Les maladies parasitaires intestinales sont très répandues. Les enfants d'âge scolaire des pays à
revenu faible ou intermédiaire sont les plus exposés. En Côte d'Ivoire, elles présentent un intérêt
considérable pour la santé publique.
Matériel et méthodes:
En 2014, 4305 échantillons de selles ont été traités, par kato-katz et d’autres conservés par SAF
ont été transférés pour un diagnostic approfondi. En 2018, 1187 échantillons d’urines ont été traités
par une technique de filtration et 1089 échantillons de selles ont été traités par kato-katz. Un
questionnaire axé sur les caractéristiques sociodémographiques, économiques et comportementales a
été administré aux participants.
Résultats:
En 2014, Les infections helminthiques individuelles étaient généralement faibles (<5%).
L’ankylostome présentait une prévalence de 35,3% à Djékanou et de 34,2% à Toumodi. A Taabo, la
prévalence globale de l'ankylostome était de 10,9%. Les prévalences de la schistosomiase allaient de
20% jusqu'à 43% dans certains villages de Toumodi et de Taabo. Les protozoaires intestinaux
fréquents étaient, Entamoeba coli, 40,2% et Endolimax nana, 19,6%. Giardia intestinalis avait une
prévalence d'environ 13 % dans les trois départements.
En 2018, La prévalence la plus élevée a été observée à Sikensi (35,6%). Les garçons et les filles
présentaient une prévalence similaire de S. haematobium (14,2% contre 13,7%; p=0,781). S. mansoni
a été le plus souvent trouvé à Agboville (11,2%), tandis qu'aucune infection n'a été constatée à
Sikensi.
Conclusion:
Les Parasitoses Intestinales, malgré les efforts consentis afin de les contrôler, restent un
problème de santé publique. Elles sont sources de morbidité importante avec des conséquences
désastreuses sur le développement nutritionnel et psychomoteur des enfants.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0932022 Président : Abdelkader BELMEKKI Directeur : Badre Eddine LMIMOUNI Juge : Yassir BOUSLIMAN Juge : Hafida NAOUI Juge : Majdouline OBTEL PARASITOSES INTESTINALES ET URINAIRES EN COTE D’IVOIRE : DONNEES DE PREVALENCE DANS DIFFERENTES REGIONS [thèse] / Dominique Jean-Yves Cyrille ACHO, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Parasitoses Intestinales Urinaires Côte d’Ivoire Prévalence Parasitosis Intestinal Urinary Ivory Coast Prevalence طفیلیات، معوي بولي ساحل العاج انتشار Résumé : Introduction:
Les maladies parasitaires intestinales sont très répandues. Les enfants d'âge scolaire des pays à
revenu faible ou intermédiaire sont les plus exposés. En Côte d'Ivoire, elles présentent un intérêt
considérable pour la santé publique.
Matériel et méthodes:
En 2014, 4305 échantillons de selles ont été traités, par kato-katz et d’autres conservés par SAF
ont été transférés pour un diagnostic approfondi. En 2018, 1187 échantillons d’urines ont été traités
par une technique de filtration et 1089 échantillons de selles ont été traités par kato-katz. Un
questionnaire axé sur les caractéristiques sociodémographiques, économiques et comportementales a
été administré aux participants.
Résultats:
En 2014, Les infections helminthiques individuelles étaient généralement faibles (<5%).
L’ankylostome présentait une prévalence de 35,3% à Djékanou et de 34,2% à Toumodi. A Taabo, la
prévalence globale de l'ankylostome était de 10,9%. Les prévalences de la schistosomiase allaient de
20% jusqu'à 43% dans certains villages de Toumodi et de Taabo. Les protozoaires intestinaux
fréquents étaient, Entamoeba coli, 40,2% et Endolimax nana, 19,6%. Giardia intestinalis avait une
prévalence d'environ 13 % dans les trois départements.
En 2018, La prévalence la plus élevée a été observée à Sikensi (35,6%). Les garçons et les filles
présentaient une prévalence similaire de S. haematobium (14,2% contre 13,7%; p=0,781). S. mansoni
a été le plus souvent trouvé à Agboville (11,2%), tandis qu'aucune infection n'a été constatée à
Sikensi.
Conclusion:
Les Parasitoses Intestinales, malgré les efforts consentis afin de les contrôler, restent un
problème de santé publique. Elles sont sources de morbidité importante avec des conséquences
désastreuses sur le développement nutritionnel et psychomoteur des enfants.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0932022 Président : Abdelkader BELMEKKI Directeur : Badre Eddine LMIMOUNI Juge : Yassir BOUSLIMAN Juge : Hafida NAOUI Juge : Majdouline OBTEL Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0932022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2022 Disponible Documents numériques
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Titre : RECRUDESCENCE DU PLASMODIUM OVALE DANS LE PALUDISME D’IMPORTATION DE L’AFRIQUE. Type de document : thèse Auteurs : Hala EL ASSILI, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Plasmodium ovale recrudescence République Démocratique du Congo Côte d’Ivoire Centrafrique. Résumé : Le Paludisme est une érythrocytopathie fébrile et hémolysante due au développement et à la multiplication dans les hématies d’un protozoaire du genre Plasmodium, transmis à l’homme par la piqûre de l’anophèle femelle.
Nous avons mené une étude rétrospective analytique sur 79 patients atteint de paludisme à Plasmodium ovale dans le service entre Mars 2016 et Novembre 2018.
La symptomatologie s’est révélée dans un délai entre 3 et 6 mois dans 49.4 % des cas. La fièvre est présente chez tous les cas, des signes digestifs dans 33 % des cas et des signes respiratoires dans un seul cas. Le frottis goutte épaisse a mis en évidence le Plasmodium ovale chez 54.5 % des patients suivie de P. falciparum dans 22.1 % des cas. L’association P. falciparum + P. ovale a été observée chez 11 cas. La parasitémie était inférieure ou égale à 0.1 % dans 45.6 % des cas avec un maximum de 2 % chez 1 seul patient.
Le traitement était à base d’artéméther-luméfantrine dans 83.7 % des cas. La méfloquine a été utilisée dans 2.5 % des cas. L’association atovaquone-proguanil a été utilisée chez un seul cas. La quinine a été administrée chez 2 cas avec un relai de l’artéméther-luméfantrine per os pour cause de vomissement.
L’augmentation remarquable du P. ovale peut s’expliquer par différentes hypothèses : L’amélioration des moyens diagnostiques (Frottis goutte épaisse TDR), l’impact de la durée de séjour des militaires, le changement de chimioprophylaxie ou encore une hypothèse moléculaire impliquant les sous-espèces de P. ovale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1682019 Président : ENNIBI.K Directeur : ENNIBI.K Juge : ABOUZAHIR.A Juge : MAAMAR.M Juge : LAATIRIS.A RECRUDESCENCE DU PLASMODIUM OVALE DANS LE PALUDISME D’IMPORTATION DE L’AFRIQUE. [thèse] / Hala EL ASSILI, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Plasmodium ovale recrudescence République Démocratique du Congo Côte d’Ivoire Centrafrique. Résumé : Le Paludisme est une érythrocytopathie fébrile et hémolysante due au développement et à la multiplication dans les hématies d’un protozoaire du genre Plasmodium, transmis à l’homme par la piqûre de l’anophèle femelle.
Nous avons mené une étude rétrospective analytique sur 79 patients atteint de paludisme à Plasmodium ovale dans le service entre Mars 2016 et Novembre 2018.
La symptomatologie s’est révélée dans un délai entre 3 et 6 mois dans 49.4 % des cas. La fièvre est présente chez tous les cas, des signes digestifs dans 33 % des cas et des signes respiratoires dans un seul cas. Le frottis goutte épaisse a mis en évidence le Plasmodium ovale chez 54.5 % des patients suivie de P. falciparum dans 22.1 % des cas. L’association P. falciparum + P. ovale a été observée chez 11 cas. La parasitémie était inférieure ou égale à 0.1 % dans 45.6 % des cas avec un maximum de 2 % chez 1 seul patient.
Le traitement était à base d’artéméther-luméfantrine dans 83.7 % des cas. La méfloquine a été utilisée dans 2.5 % des cas. L’association atovaquone-proguanil a été utilisée chez un seul cas. La quinine a été administrée chez 2 cas avec un relai de l’artéméther-luméfantrine per os pour cause de vomissement.
L’augmentation remarquable du P. ovale peut s’expliquer par différentes hypothèses : L’amélioration des moyens diagnostiques (Frottis goutte épaisse TDR), l’impact de la durée de séjour des militaires, le changement de chimioprophylaxie ou encore une hypothèse moléculaire impliquant les sous-espèces de P. ovale.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1682019 Président : ENNIBI.K Directeur : ENNIBI.K Juge : ABOUZAHIR.A Juge : MAAMAR.M Juge : LAATIRIS.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1682019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M1682019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M1682019URL