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L’EFFET DE LA STIMULATION DU VENTRICULE DROIT SUR LA FONCTION SYSTOLIQUE, LE GRADIENT ET L’EPAISSEUR DU VENTRICULE GAUCHE CHEZ LES PATIENTS PORTEURS DE LA CARDIOMYOPATHIE HYPERTROPHIQUE : A PROPOS DE 07 CAS AVEC REVUE DE LA LITTéRATURE. / JENNANE Ratiba
Titre : L’EFFET DE LA STIMULATION DU VENTRICULE DROIT SUR LA FONCTION SYSTOLIQUE, LE GRADIENT ET L’EPAISSEUR DU VENTRICULE GAUCHE CHEZ LES PATIENTS PORTEURS DE LA CARDIOMYOPATHIE HYPERTROPHIQUE : A PROPOS DE 07 CAS AVEC REVUE DE LA LITTéRATURE. Type de document : thèse Auteurs : JENNANE Ratiba, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : cardiomyopathie hypertrophique stimulation cardiaque dysfonction
ventriculaire gaucheRésumé : Objectif: Afin d'étudier rétrospectivement les effets de la stimulation cardiaque
sur la fonction systolique, le gradient et l’épaisseur du ventricule gauche chez les
patients porteurs de cardiomyopathie hypertrophique, nous avons réalisé, une étude en
double aveugle, stimulateur cardiaque actif versus absence de stimulateur, chez des
patients symptomatiques obstructifs ou non, en se basant sur notre expérience et les
travaux de la littérature.
Matériel et méthodes:
Ce travail est basé sur une étude rétrospective comparative entre deux séries de 07 cas
chacune. Une série témoin (A) représentée par des patients porteurs de
cardiomyopathie hypertrophique symptomatique n’ayant pas eu de stimulation
cardiaque et une série d’étude (B) représentée par des patients ayant subis une
implantation d'un stimulateur cardiaque double chambre (DDD) permanent pour un
trouble conductif symptomatique.
Résultats:
Les résultats initiaux confirment l’amélioration des symptômes atténués après la
stimulation ventriculaire droite ce qui corrobore les études publiées dans ce sens.
Les patients CMH symptomatiques n’étaient pas obstructifs, mais n’ont pas installés
d’obstruction après l’implantation.
Chez les CMH non stimulés la FEVG est restée inchangée alors que chez les CMH
implantées, 42 % ont installés une dysfonction VG sévère ceci après un recul moyen
de 6 ans avec une baisse moyenne de 26% de FEVG.
Conclusion :
Cette modalité de traitement doit être réservée à des patients soigneusement sélectionnés
chez qui les résultats devraient être encourageants.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0792022 Directeur : FELLAT Ibtissam L’EFFET DE LA STIMULATION DU VENTRICULE DROIT SUR LA FONCTION SYSTOLIQUE, LE GRADIENT ET L’EPAISSEUR DU VENTRICULE GAUCHE CHEZ LES PATIENTS PORTEURS DE LA CARDIOMYOPATHIE HYPERTROPHIQUE : A PROPOS DE 07 CAS AVEC REVUE DE LA LITTéRATURE. [thèse] / JENNANE Ratiba, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : cardiomyopathie hypertrophique stimulation cardiaque dysfonction
ventriculaire gaucheRésumé : Objectif: Afin d'étudier rétrospectivement les effets de la stimulation cardiaque
sur la fonction systolique, le gradient et l’épaisseur du ventricule gauche chez les
patients porteurs de cardiomyopathie hypertrophique, nous avons réalisé, une étude en
double aveugle, stimulateur cardiaque actif versus absence de stimulateur, chez des
patients symptomatiques obstructifs ou non, en se basant sur notre expérience et les
travaux de la littérature.
Matériel et méthodes:
Ce travail est basé sur une étude rétrospective comparative entre deux séries de 07 cas
chacune. Une série témoin (A) représentée par des patients porteurs de
cardiomyopathie hypertrophique symptomatique n’ayant pas eu de stimulation
cardiaque et une série d’étude (B) représentée par des patients ayant subis une
implantation d'un stimulateur cardiaque double chambre (DDD) permanent pour un
trouble conductif symptomatique.
Résultats:
Les résultats initiaux confirment l’amélioration des symptômes atténués après la
stimulation ventriculaire droite ce qui corrobore les études publiées dans ce sens.
Les patients CMH symptomatiques n’étaient pas obstructifs, mais n’ont pas installés
d’obstruction après l’implantation.
Chez les CMH non stimulés la FEVG est restée inchangée alors que chez les CMH
implantées, 42 % ont installés une dysfonction VG sévère ceci après un recul moyen
de 6 ans avec une baisse moyenne de 26% de FEVG.
Conclusion :
Cette modalité de traitement doit être réservée à des patients soigneusement sélectionnés
chez qui les résultats devraient être encourageants.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0792022 Directeur : FELLAT Ibtissam Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0792022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS0792022URL LA STIMULATION CARDIAQUE: EXPERIENCE DE LA CARDIOLOGIE B / SAGHI GHITA
Titre : LA STIMULATION CARDIAQUE: EXPERIENCE DE LA CARDIOLOGIE B Type de document : thèse Auteurs : SAGHI GHITA, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : STIMULATION CARDIAQUE BLOC AURICULO-VENTRICULAIRE DYSFONCTION SINUSALE PACEMAKER MONO-CHAMBRE PACEMAKER DOUBLE-CHAMBRE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Objectif :
Le but de notre travail est d’étudier le profil épidémiologique des patients porteurs d’un stimulateur cardiaque dans notre service.
Matériel et méthodes :
De Septembre 2001 à Décembre 2009, 137 patients ont bénéficié de l’implantation d’un stimulateur cardiaque au service de Cardiologie B de la Maternité Souissi. Il s’agit de 68 femmes et 69 hommes. L’âge moyen est de 57,5 ans (+/-21). Le recul moyen est de 48 mois.
Résultats :
Les Blocs Auriculo-ventriculaires permanents représentent 89% des indications de la stimulation cardiaque, versus 3,6 % pour la dysfonction sinusale ; Les BAV paroxystiques sont retrouvés chez 7.4% de nos patients. L’origine dégénérative représente 80% de l’ensemble des implantations. Les troubles conductifs postopératoires en constituent 9%, ceux d’origine congénitale intéressent 7%, tandis que les troubles conductifs d’origine ischémique et ceux en rapport avec une neurodystrophie sont plus rares (respectivement 3% et 1%).
Sur le plan clinique, la syncope a été retrouvée chez 42,3% des patients.
Les stimulateurs cardiaques sont double-chambre dans 69% des cas. Le mode mono-chambre ventriculaire a intéressé 30,3% des patients (ceux démunis ou à oreillette inutilisable). Enfin, un seul patient a bénéficié de la stimulation biventriculaire. Tous nos patients ont dans l’ensemble bien évolué.
Les complications précoces (hématome, pneumothorax, infection de loge, déplacement de sonde) sont retrouvées dans 11,7% des cas.
Conclusion :
Nos données, concernant la prédominance de l’origine dégénérative et la fréquence d’implantation des PM double-chambre, rejoignent celles de la littérature. Le taux de complications est également comparable à celui rapporté dans les autres études. Ces résultats sont encourageants pour notre jeune équipe au laboratoire d’électrophysiologie du service de cardiologie B pour la réalisation de procédures plus complexes en l’occurrence la resynchronisation cardiaque et/ou le défibrillateur automatique à condition que les caisses nationales ainsi que les assurances puissent en assurer le remboursement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1592010 Président : MOHAMMED CHERTI Directeur : RACHIDA BOUHOUCH Juge : YOUNESS CHEIKHAOUI LA STIMULATION CARDIAQUE: EXPERIENCE DE LA CARDIOLOGIE B [thèse] / SAGHI GHITA, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : STIMULATION CARDIAQUE BLOC AURICULO-VENTRICULAIRE DYSFONCTION SINUSALE PACEMAKER MONO-CHAMBRE PACEMAKER DOUBLE-CHAMBRE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Objectif :
Le but de notre travail est d’étudier le profil épidémiologique des patients porteurs d’un stimulateur cardiaque dans notre service.
Matériel et méthodes :
De Septembre 2001 à Décembre 2009, 137 patients ont bénéficié de l’implantation d’un stimulateur cardiaque au service de Cardiologie B de la Maternité Souissi. Il s’agit de 68 femmes et 69 hommes. L’âge moyen est de 57,5 ans (+/-21). Le recul moyen est de 48 mois.
Résultats :
Les Blocs Auriculo-ventriculaires permanents représentent 89% des indications de la stimulation cardiaque, versus 3,6 % pour la dysfonction sinusale ; Les BAV paroxystiques sont retrouvés chez 7.4% de nos patients. L’origine dégénérative représente 80% de l’ensemble des implantations. Les troubles conductifs postopératoires en constituent 9%, ceux d’origine congénitale intéressent 7%, tandis que les troubles conductifs d’origine ischémique et ceux en rapport avec une neurodystrophie sont plus rares (respectivement 3% et 1%).
Sur le plan clinique, la syncope a été retrouvée chez 42,3% des patients.
Les stimulateurs cardiaques sont double-chambre dans 69% des cas. Le mode mono-chambre ventriculaire a intéressé 30,3% des patients (ceux démunis ou à oreillette inutilisable). Enfin, un seul patient a bénéficié de la stimulation biventriculaire. Tous nos patients ont dans l’ensemble bien évolué.
Les complications précoces (hématome, pneumothorax, infection de loge, déplacement de sonde) sont retrouvées dans 11,7% des cas.
Conclusion :
Nos données, concernant la prédominance de l’origine dégénérative et la fréquence d’implantation des PM double-chambre, rejoignent celles de la littérature. Le taux de complications est également comparable à celui rapporté dans les autres études. Ces résultats sont encourageants pour notre jeune équipe au laboratoire d’électrophysiologie du service de cardiologie B pour la réalisation de procédures plus complexes en l’occurrence la resynchronisation cardiaque et/ou le défibrillateur automatique à condition que les caisses nationales ainsi que les assurances puissent en assurer le remboursement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1592010 Président : MOHAMMED CHERTI Directeur : RACHIDA BOUHOUCH Juge : YOUNESS CHEIKHAOUI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1592010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible