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6 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'tumeur neuroendocrine'
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Titre : EPIDÉMIOLOGIE DES TUMEURS DU PANCRÉAS A PROPOS DE 62 CAS. Type de document : thèse Auteurs : ESSOFI Niama, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : adénocarcinome tumeur neuroendocrine tumeur kystique épidémiologie pancréas Résumé : Le pancréas peut être le siège de tumeurs bénignes ou malignes, solides ou kystiques, à composante endocrine ou exocrine. Ces caractéristiques diverses se traduisent par de grandes différences dans l’expression clinique, le pronostic et la prise en charge thérapeutique de ces tumeurs.
L’objectif de ce travail est de décrire les différents aspects épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques de chaque type de ces tumeurs.
C’est une étude rétrospective menée au sein du service de chirurgie viscérale I de l’Hôpital militaire Med V de Rabat incluant les patients hospitalisés pour une tumeur du pancréas pendant une période de 5 ans (2014-2018). Tous les paramètres cliniques, paracliniques, thérapeutiques et anatomopathologiques ont été recueillis et étudiés.
Nous avons colligé 62 cas de tumeurs pancréatiques. L’âge moyen était de 61 ans avec un sexe ratio de 1,2 en faveur des hommes. Les adénocarcinomes canalaires étaient les plus fréquents avec 48 cas (77%) ; suivis de 8 cas de tumeurs neuroendocrines (13%), dont 3 TNEP bien différenciées non fonctionnelles (5%), 2 insulinomes (3%) et 3 carcinomes neuroendocrines (5%). Les tumeurs kystiques étaient au nombre de 6 (10%) ; dont une TIPMP (2%), un cystadénome mucineux (2%), un cystadénome séreux (2%) et 3 pseudokystes (5%). La symptomatologie clinique était dominée par l’ictère présent dans 63% des cas, suivi des épigastralgies (56%), l’amaigrissement (55%) et l’AEG (52%). Le bilan paraclinique reposait essentiellement sur la TDM et l’IRM, réalisées dans 100% et 82% des cas respectivement. La majorité des patients ont bénéficié d’une chirurgie d’exérèse (81%), la DPC était la technique la plus utilisée (70%), suivie de la SPC (20%), l’énucléation a été réalisée dans 4 cas (8%), et une seule pancréatectomie médiane a été enregistrée (2%).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3492019 Président : ZENTAR.A Directeur : AIT ALI.A Juge : EHIRCHIOU.A Juge : BOUNAIM.A Juge : MSSROURI.R ; TANZ.R EPIDÉMIOLOGIE DES TUMEURS DU PANCRÉAS A PROPOS DE 62 CAS. [thèse] / ESSOFI Niama, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : adénocarcinome tumeur neuroendocrine tumeur kystique épidémiologie pancréas Résumé : Le pancréas peut être le siège de tumeurs bénignes ou malignes, solides ou kystiques, à composante endocrine ou exocrine. Ces caractéristiques diverses se traduisent par de grandes différences dans l’expression clinique, le pronostic et la prise en charge thérapeutique de ces tumeurs.
L’objectif de ce travail est de décrire les différents aspects épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques de chaque type de ces tumeurs.
C’est une étude rétrospective menée au sein du service de chirurgie viscérale I de l’Hôpital militaire Med V de Rabat incluant les patients hospitalisés pour une tumeur du pancréas pendant une période de 5 ans (2014-2018). Tous les paramètres cliniques, paracliniques, thérapeutiques et anatomopathologiques ont été recueillis et étudiés.
Nous avons colligé 62 cas de tumeurs pancréatiques. L’âge moyen était de 61 ans avec un sexe ratio de 1,2 en faveur des hommes. Les adénocarcinomes canalaires étaient les plus fréquents avec 48 cas (77%) ; suivis de 8 cas de tumeurs neuroendocrines (13%), dont 3 TNEP bien différenciées non fonctionnelles (5%), 2 insulinomes (3%) et 3 carcinomes neuroendocrines (5%). Les tumeurs kystiques étaient au nombre de 6 (10%) ; dont une TIPMP (2%), un cystadénome mucineux (2%), un cystadénome séreux (2%) et 3 pseudokystes (5%). La symptomatologie clinique était dominée par l’ictère présent dans 63% des cas, suivi des épigastralgies (56%), l’amaigrissement (55%) et l’AEG (52%). Le bilan paraclinique reposait essentiellement sur la TDM et l’IRM, réalisées dans 100% et 82% des cas respectivement. La majorité des patients ont bénéficié d’une chirurgie d’exérèse (81%), la DPC était la technique la plus utilisée (70%), suivie de la SPC (20%), l’énucléation a été réalisée dans 4 cas (8%), et une seule pancréatectomie médiane a été enregistrée (2%).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3492019 Président : ZENTAR.A Directeur : AIT ALI.A Juge : EHIRCHIOU.A Juge : BOUNAIM.A Juge : MSSROURI.R ; TANZ.R Exemplaires
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M3492019URL ÉTUDE ANATOMOPATHOLOGIQUE DES TUMEURS NEUROENDOCRINES COLORECTALES ÉXPÉRIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE CHU IBN SINA DE RABAT / Mohammed-Jalal KHERROUBI
Titre : ÉTUDE ANATOMOPATHOLOGIQUE DES TUMEURS NEUROENDOCRINES COLORECTALES ÉXPÉRIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE CHU IBN SINA DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : Mohammed-Jalal KHERROUBI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anatomie pathologique Immunohistochimie Tumeur neuroendocrine Carcinome
neuroendocrine PronosticRésumé : Les tumeurs neuroendocrines colorectales représentent un groupe de tumeurs rares et
hétérogènes. L’usage de plus en plus fréquent de l’endoscopie et l’évolution des moyens diagnostiques
sont associés à une augmentation évidente de l’incidence de ces tumeurs durant les quatre dernières
décennies. En plus du rôle diagnostic, l’anatomie pathologique a une place cruciale dans l’évaluation
pronostique et la planification thérapeutique.
Nous avons mené une étude anatomopathologique rétrospective en se basant sur l’analyse de la
base de données du service d’anatomie pathologique de l’h pital Avicenne CHU-IBN SINA-Rabat.
Les cas analysés ont été diagnostiqués durant la période étalée entre janvier 2012 et décembre2020.
L’objectif de cette étude est l’analyse des caractéristiques anatomopathologiques des tumeurs
neuroendocrines colorectales et la variation de ces caractéristiques en fonction de la localisation.
L’analyse de nos résultats montre une prédominance de la forme bien différenciée avec un
pourcentage de 76,9%, ainsi que des pourcentages de tumeurs de haut grade et de grade intermédiaire
plus élevés par rapport aux autres études trouvées dans la littérature. Plus précisément, les tumeurs de
bas grade G1 représentent 46,1%, celles de grade intérmediaire G2 23,1% et enfin celles de haut grade
G3 30,8% des cas étudiés.
La variation histopathologique selon la localisation de la tumeur primaire rejoint quant à elle les
résultats documentés dans la littérature. La plupart des tumeurs appendiculaires sont de bas grade et en
stade pT1, la plupart des tumeurs rectales sont de grade bas ou intermédiaire. Les tumeurs coliques
quant à elles sont les plus agressives avec une fréquence élevée du haut grade et un diagnostic tardif,
toutes les tumeurs coliques sont à un stade supérieur ou égal à pT3Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2322022 Président : Said BENAMR Directeur : Ahmed JAHID Juge : Rahal MSSROURI ÉTUDE ANATOMOPATHOLOGIQUE DES TUMEURS NEUROENDOCRINES COLORECTALES ÉXPÉRIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE CHU IBN SINA DE RABAT [thèse] / Mohammed-Jalal KHERROUBI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Anatomie pathologique Immunohistochimie Tumeur neuroendocrine Carcinome
neuroendocrine PronosticRésumé : Les tumeurs neuroendocrines colorectales représentent un groupe de tumeurs rares et
hétérogènes. L’usage de plus en plus fréquent de l’endoscopie et l’évolution des moyens diagnostiques
sont associés à une augmentation évidente de l’incidence de ces tumeurs durant les quatre dernières
décennies. En plus du rôle diagnostic, l’anatomie pathologique a une place cruciale dans l’évaluation
pronostique et la planification thérapeutique.
Nous avons mené une étude anatomopathologique rétrospective en se basant sur l’analyse de la
base de données du service d’anatomie pathologique de l’h pital Avicenne CHU-IBN SINA-Rabat.
Les cas analysés ont été diagnostiqués durant la période étalée entre janvier 2012 et décembre2020.
L’objectif de cette étude est l’analyse des caractéristiques anatomopathologiques des tumeurs
neuroendocrines colorectales et la variation de ces caractéristiques en fonction de la localisation.
L’analyse de nos résultats montre une prédominance de la forme bien différenciée avec un
pourcentage de 76,9%, ainsi que des pourcentages de tumeurs de haut grade et de grade intermédiaire
plus élevés par rapport aux autres études trouvées dans la littérature. Plus précisément, les tumeurs de
bas grade G1 représentent 46,1%, celles de grade intérmediaire G2 23,1% et enfin celles de haut grade
G3 30,8% des cas étudiés.
La variation histopathologique selon la localisation de la tumeur primaire rejoint quant à elle les
résultats documentés dans la littérature. La plupart des tumeurs appendiculaires sont de bas grade et en
stade pT1, la plupart des tumeurs rectales sont de grade bas ou intermédiaire. Les tumeurs coliques
quant à elles sont les plus agressives avec une fréquence élevée du haut grade et un diagnostic tardif,
toutes les tumeurs coliques sont à un stade supérieur ou égal à pT3Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2322022 Président : Said BENAMR Directeur : Ahmed JAHID Juge : Rahal MSSROURI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2322022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M2322022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M2322022URL Tumeur neuroendocrine du mésentère: à propos de2 cas et revue de littérature. / JDAR Asma
Titre : Tumeur neuroendocrine du mésentère: à propos de2 cas et revue de littérature. Type de document : thèse Auteurs : JDAR Asma, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur neuroendocrine mésentère classification OMS traitement. Résumé : Les tumeurs neuroendocrines primitives du mésentère sont exceptionnelles, seulement de rares cas ont été rapportés dans la littérature.
Nous rapportons deux cas de tumeur neuroendocrine primitive du mésentère; le premier est une femme de 59 ans qui présentait des douleurs abdominales diffuses. La TDM abdominale objectivait la présence d’une masse tissulaire grêlique bien définie de 9x7,4cm. La laparotomie exploratrice montrait que cette masse dépendait plutôt du mésentère. Une résection de la tumeur était réalisée et l’examen anatomopathologique de la pièce affirmait le diagnostic de TNE bien différenciée de grade 1 selon la classification de l'OMS.
Le deuxième cas est une patiente de 56 ans qui présentait des douleurs abdominales hypogastriques, intermittentes et progressives. La TDM montrait la présence d’une masse mésentérique bien de 5,5 x 5,4 cm. Cette masse a été retirée au cours de la laparotomie ainsi que la partie en rapport avec l’intestin grêle. L’examen anatomopathologique affirmait le diagnostic de tumeur neuroendocrine bien différenciée de grade 1 selon la classification de l'OMS 2010.
Etiopathogénie, la possibilité de l’origine primitive de ces TNE est la naissance à partir de restes embryologiques de cellules APUD, situés dans le mésentère.
Le diagnostic peut être retardé pendant des années en raison de cette localisation mésentérique, une croissance lente de la tumeur ou de symptômes non spécifiques généralement en rapport avec des complications. L’échographie abdominale et la TDM permettent d’étudier les caractéristiques tumorales et suggèrent le siège. Cependant, l’octréoscan présente une meilleure valeur diagnostique et pronostique. La confirmation diagnostique est basée sur l’étude anatomopathologique qui repose sur l’analyse morphologique et immunohistochimique avec appréciation des facteurs histopronostiques. Le traitement des TNE du mésentère reste essentiellement chirurgical.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2162017 Président : ALBOUZIDI.A Directeur : OUKABLI.M Juge : AIT ALI.A Juge : ZOUAIDIA.F Juge : ENNOUALI.H Tumeur neuroendocrine du mésentère: à propos de2 cas et revue de littérature. [thèse] / JDAR Asma, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeur neuroendocrine mésentère classification OMS traitement. Résumé : Les tumeurs neuroendocrines primitives du mésentère sont exceptionnelles, seulement de rares cas ont été rapportés dans la littérature.
Nous rapportons deux cas de tumeur neuroendocrine primitive du mésentère; le premier est une femme de 59 ans qui présentait des douleurs abdominales diffuses. La TDM abdominale objectivait la présence d’une masse tissulaire grêlique bien définie de 9x7,4cm. La laparotomie exploratrice montrait que cette masse dépendait plutôt du mésentère. Une résection de la tumeur était réalisée et l’examen anatomopathologique de la pièce affirmait le diagnostic de TNE bien différenciée de grade 1 selon la classification de l'OMS.
Le deuxième cas est une patiente de 56 ans qui présentait des douleurs abdominales hypogastriques, intermittentes et progressives. La TDM montrait la présence d’une masse mésentérique bien de 5,5 x 5,4 cm. Cette masse a été retirée au cours de la laparotomie ainsi que la partie en rapport avec l’intestin grêle. L’examen anatomopathologique affirmait le diagnostic de tumeur neuroendocrine bien différenciée de grade 1 selon la classification de l'OMS 2010.
Etiopathogénie, la possibilité de l’origine primitive de ces TNE est la naissance à partir de restes embryologiques de cellules APUD, situés dans le mésentère.
Le diagnostic peut être retardé pendant des années en raison de cette localisation mésentérique, une croissance lente de la tumeur ou de symptômes non spécifiques généralement en rapport avec des complications. L’échographie abdominale et la TDM permettent d’étudier les caractéristiques tumorales et suggèrent le siège. Cependant, l’octréoscan présente une meilleure valeur diagnostique et pronostique. La confirmation diagnostique est basée sur l’étude anatomopathologique qui repose sur l’analyse morphologique et immunohistochimique avec appréciation des facteurs histopronostiques. Le traitement des TNE du mésentère reste essentiellement chirurgical.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2162017 Président : ALBOUZIDI.A Directeur : OUKABLI.M Juge : AIT ALI.A Juge : ZOUAIDIA.F Juge : ENNOUALI.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2162017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M2162017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible
Titre : Tumeurs neuroendocrines primitives du foie Type de document : thèse Auteurs : EL MOUSSAOUI Nawar, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur neuroendocrine Foie Immunohistochimie Chirurgie Résumé : Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie sont rares. Elles sont définies comme primitives lorsqu’il existe une atteinte du foie sans atteinte des autres organes digestifs ou extra-digestif.
L’objectif de ce travail est d’analyser les caractères épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et pronostic en se basant sur l’étude d’un cas et une revue de littérature.
Nous rapportons le cas d’une patiente âgée de 33 ans, sans antécédents pathologiques, admise pour douleurs abdominales chroniques dans un contexte d’altération de l’état général. Le bilan morphologique a révélé une tumeur hépatique aux dépens du segment VII, avec absence d’autres localisations tumorales.
La patiente a été opérée. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire complété par une étude immunohistochimiqueont conclu à la présence d’une tumeur neuroendocrine du foie.
L’état de la patiente s’est amélioré pendant les mois qui suivent, elle a eu une récidive 3 ans après et est décédée 2 mois après le début des symptômes.
Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie ne présente pas de prédominance de sexe, ni de facteurs de risque.
Leur diagnostic est fait par biopsie écho ou scanno-guidée, ou par étude anatomopathologique de la pièce opératoire. La tomodensitométrie et l'imagerie par résonance magnétique sont utilisées pour le diagnostic, le contrôle du traitement et la compréhension de la physiopathologie.
Les modalités du traitement sont variables, associant une chirurgie, une chimiothérapie, une chimioembolisation intra-artérielle hépatique, une injection d’éthanol percutanée, une radiofréquence percutanée, et parfois on a recours à la transplantation hépatique.
La rareté de la maladie entraîne des problèmes de diagnostic. Le traitement optimal n'est pas encore clairement établi et les résultats à long terme doivent être précisés par des études de séries plus importantes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2882018 Président : SETTAF.A Directeur : MDAGHRI.J Juge : IFRINE.L Juge : JAHID.A Tumeurs neuroendocrines primitives du foie [thèse] / EL MOUSSAOUI Nawar, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeur neuroendocrine Foie Immunohistochimie Chirurgie Résumé : Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie sont rares. Elles sont définies comme primitives lorsqu’il existe une atteinte du foie sans atteinte des autres organes digestifs ou extra-digestif.
L’objectif de ce travail est d’analyser les caractères épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et pronostic en se basant sur l’étude d’un cas et une revue de littérature.
Nous rapportons le cas d’une patiente âgée de 33 ans, sans antécédents pathologiques, admise pour douleurs abdominales chroniques dans un contexte d’altération de l’état général. Le bilan morphologique a révélé une tumeur hépatique aux dépens du segment VII, avec absence d’autres localisations tumorales.
La patiente a été opérée. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire complété par une étude immunohistochimiqueont conclu à la présence d’une tumeur neuroendocrine du foie.
L’état de la patiente s’est amélioré pendant les mois qui suivent, elle a eu une récidive 3 ans après et est décédée 2 mois après le début des symptômes.
Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie ne présente pas de prédominance de sexe, ni de facteurs de risque.
Leur diagnostic est fait par biopsie écho ou scanno-guidée, ou par étude anatomopathologique de la pièce opératoire. La tomodensitométrie et l'imagerie par résonance magnétique sont utilisées pour le diagnostic, le contrôle du traitement et la compréhension de la physiopathologie.
Les modalités du traitement sont variables, associant une chirurgie, une chimiothérapie, une chimioembolisation intra-artérielle hépatique, une injection d’éthanol percutanée, une radiofréquence percutanée, et parfois on a recours à la transplantation hépatique.
La rareté de la maladie entraîne des problèmes de diagnostic. Le traitement optimal n'est pas encore clairement établi et les résultats à long terme doivent être précisés par des études de séries plus importantes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2882018 Président : SETTAF.A Directeur : MDAGHRI.J Juge : IFRINE.L Juge : JAHID.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2882018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M2882018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M2882018URL Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature / MPIGA EKAMBOU LUDJER
Titre : Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature Type de document : thèse Auteurs : MPIGA EKAMBOU LUDJER, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prostate Tumeur neuroendocrine Anatomie pathologique Immunohistochimie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer neuroendocrine de la prostate est une variante histologique rare.
La différenciation neuroendocrine au sein de l’adénocarcinome de la prostate a reçu une attention croissante ces dernières années en raison de ses implications pronostiques et thérapeutiques.
La différenciation neuroendocrine est présente au moins dans 10% de tous les adénocarcinomes prostatiques.
Objectifs
L’objectif de ce travail était d’évaluer l’intérêt de l’immunohistochimie, dans la mise en évidence de la différenciation neuroendocrine, au sein de l’adénocarcinome de la prostate, et d’évaluer les circonstances diagnostiques et les signes cliniques, le profil évolutif et les modalités thérapeutiques de la différenciation neuroendocrine.
Matériel et méthodes.
Nous avons éffectué une étude rétrospective descriptive à propos de neuf cas de tumeurs neuroendocrines de la prostate entre 2000 et 2006 diagnostiquées au service d’urologie et d’anatomie pathologique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V.
La différenciation neuroendocrine a été suspectée tantôt sur des arguments cliniques, tantôt sur des arguments morphologiques.
Les fragments de tissus provenant de biopsie prostatique, de résection transurethrale de la prostate et de pièce d’adénomectomie ont été examinés.
Un immunomarquage aux anticorps anti chromogranine A, anti NSE et anti synaptophysine a été réalisé.
Résultats
L’âge moyen de nos patients était de 63 ans (50-74).
La dysurie et la pollakiurie étaient les signes les plus fréquemment rencontrés. Des douleurs abdominales étaient présentes chez trois patients ; deux patients avaient un syndrome paranéoplasique neurologique (parésie des membres inferieurs). Des signes d’extension tumorale étaient présents.
Une discordance entre un toucher rectal anormal et un PSA faible (PSA<4ng/ml) était détectée chez 66 % patients.
L’immunomarquage à la chromogranine A était positif chez 77 % des patients, contre 44 % pour la NSE.
Sept patients avaient un adénocarcinome de la prostate avec différenciation neuroendocrine ; deux patients avaient un carcinome neuroendocrine pur.
Deux patients avaient un score de Gleason à 9 ; un patient avait un score de Gleason à 8 ; deux patients avaient un score de Gleason à 7 ; deux patients avaient un score de Gleason à 6. Les deux derniers étaient des carcinomes neuroendocrines purs pour lesquels on n’évalue pas le score de Gleason.
Le scanner thoraco abdominal a révélé chez trois patients des métastases pulmonaires et chez un patient des métastases ganglionnaires.
Le traitement de référence était la chimiothérapie. Il était à base d’etoposide et de cisplatine.
Quatre patients sont décédés trois à six mois après la chimiothérapie par métastase et coagulation intravasculaire disséminé et myocardite post chimiothérapique.
Conclusion
Cette étude permis de montrer que l’immunomarquage aux anticorps antichromogranine A est presque toujours positif dans les adénocarcinomes avec différenciation neuroendocrine. Un immunomarquage systématique serait souhaitable devant des signes de présomption.
Les tumeurs neuroendocrines sont de mauvais pronostic.
La prise en charge de ce genre de tumeurs doit être précoce, multidisciplinaire. La polychimiotherapie est à la base du traitement.
D’autres thérapeutiques ciblées sont en cours d’essais cliniques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA Tumeurs neuroendocrines de la prostate a propos de 9 cas et revue de la litterature [thèse] / MPIGA EKAMBOU LUDJER, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Prostate Tumeur neuroendocrine Anatomie pathologique Immunohistochimie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer neuroendocrine de la prostate est une variante histologique rare.
La différenciation neuroendocrine au sein de l’adénocarcinome de la prostate a reçu une attention croissante ces dernières années en raison de ses implications pronostiques et thérapeutiques.
La différenciation neuroendocrine est présente au moins dans 10% de tous les adénocarcinomes prostatiques.
Objectifs
L’objectif de ce travail était d’évaluer l’intérêt de l’immunohistochimie, dans la mise en évidence de la différenciation neuroendocrine, au sein de l’adénocarcinome de la prostate, et d’évaluer les circonstances diagnostiques et les signes cliniques, le profil évolutif et les modalités thérapeutiques de la différenciation neuroendocrine.
Matériel et méthodes.
Nous avons éffectué une étude rétrospective descriptive à propos de neuf cas de tumeurs neuroendocrines de la prostate entre 2000 et 2006 diagnostiquées au service d’urologie et d’anatomie pathologique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V.
La différenciation neuroendocrine a été suspectée tantôt sur des arguments cliniques, tantôt sur des arguments morphologiques.
Les fragments de tissus provenant de biopsie prostatique, de résection transurethrale de la prostate et de pièce d’adénomectomie ont été examinés.
Un immunomarquage aux anticorps anti chromogranine A, anti NSE et anti synaptophysine a été réalisé.
Résultats
L’âge moyen de nos patients était de 63 ans (50-74).
La dysurie et la pollakiurie étaient les signes les plus fréquemment rencontrés. Des douleurs abdominales étaient présentes chez trois patients ; deux patients avaient un syndrome paranéoplasique neurologique (parésie des membres inferieurs). Des signes d’extension tumorale étaient présents.
Une discordance entre un toucher rectal anormal et un PSA faible (PSA<4ng/ml) était détectée chez 66 % patients.
L’immunomarquage à la chromogranine A était positif chez 77 % des patients, contre 44 % pour la NSE.
Sept patients avaient un adénocarcinome de la prostate avec différenciation neuroendocrine ; deux patients avaient un carcinome neuroendocrine pur.
Deux patients avaient un score de Gleason à 9 ; un patient avait un score de Gleason à 8 ; deux patients avaient un score de Gleason à 7 ; deux patients avaient un score de Gleason à 6. Les deux derniers étaient des carcinomes neuroendocrines purs pour lesquels on n’évalue pas le score de Gleason.
Le scanner thoraco abdominal a révélé chez trois patients des métastases pulmonaires et chez un patient des métastases ganglionnaires.
Le traitement de référence était la chimiothérapie. Il était à base d’etoposide et de cisplatine.
Quatre patients sont décédés trois à six mois après la chimiothérapie par métastase et coagulation intravasculaire disséminé et myocardite post chimiothérapique.
Conclusion
Cette étude permis de montrer que l’immunomarquage aux anticorps antichromogranine A est presque toujours positif dans les adénocarcinomes avec différenciation neuroendocrine. Un immunomarquage systématique serait souhaitable devant des signes de présomption.
Les tumeurs neuroendocrines sont de mauvais pronostic.
La prise en charge de ce genre de tumeurs doit être précoce, multidisciplinaire. La polychimiotherapie est à la base du traitement.
D’autres thérapeutiques ciblées sont en cours d’essais cliniques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162008 Président : ABBAR MOHAMED Directeur : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1162008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LES TUMEURS NEUROENDOCRINES DE LA VESICULE BILIAIRE : A PROPOS DE DEUX CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE / HAJJAJI ADEL
Titre : LES TUMEURS NEUROENDOCRINES DE LA VESICULE BILIAIRE : A PROPOS DE DEUX CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : HAJJAJI ADEL, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur Neuroendocrine Vésicule biliaire Chromogranine A Cholécystectomie Hépatectomie Résumé : "
Introduction : Les tumeurs neuroendocrines sont une entité tumorale caractérisée par sa rareté et son hétérogénéité clinique et biologique. L’objectif de notre travail est de décrire les modalités diagnostiques, thérapeutiques et pronostiques de cette pathologie.
Cas cliniques : il s’agit de deux femmes dans leur cinquantaine qui présentaient une image suspecte de la vésicule biliaire aux examens morphologiques (échographie, TDM et IRM). Les deux patientes ont bénéficié d’une cholécystectomie élargie au lit vésiculaire selon Glenn, et chez qui l’examen immunohistochimique de la pièce opératoire a montré une forte expression de la chromogranine A et de la synaptophysine, concluant ainsi à une tumeur neuroendocrine de la vésicule biliaire. La prise en charge thérapeutique a été complétée par une chimiothérapie adjuvante avec une bonne évolution post-thérapeutique.
Discussion : les tumeurs neuroendocrines de la vésicule biliaire sont de diagnostic postopératoire après examen histologique et immunohistochimique de la pièce opératoire d’une cholécystectomie. Leur traitement dépend de l’extension de la tumeur, il repose sur l’exérèse complète de la tumeur pour les formes localisées ou un traitement palliatif pour les formes métastatiques ou non résécables associé à une chimiothérapie adjuvante.
Conclusion : le pronostic des tumeurs neuroendocrines de la vésicule biliaire dépend de multiples facteurs cliniques, histologiques et thérapeutiques de ces tumeurs.
"
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3672021 Président : BOUNAIM AHMED Directeur : ELKAOUI HAKIM Juge : MSSROURI RAHAL Juge : LARAQUI HICHAM LES TUMEURS NEUROENDOCRINES DE LA VESICULE BILIAIRE : A PROPOS DE DEUX CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE [thèse] / HAJJAJI ADEL, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeur Neuroendocrine Vésicule biliaire Chromogranine A Cholécystectomie Hépatectomie Résumé : "
Introduction : Les tumeurs neuroendocrines sont une entité tumorale caractérisée par sa rareté et son hétérogénéité clinique et biologique. L’objectif de notre travail est de décrire les modalités diagnostiques, thérapeutiques et pronostiques de cette pathologie.
Cas cliniques : il s’agit de deux femmes dans leur cinquantaine qui présentaient une image suspecte de la vésicule biliaire aux examens morphologiques (échographie, TDM et IRM). Les deux patientes ont bénéficié d’une cholécystectomie élargie au lit vésiculaire selon Glenn, et chez qui l’examen immunohistochimique de la pièce opératoire a montré une forte expression de la chromogranine A et de la synaptophysine, concluant ainsi à une tumeur neuroendocrine de la vésicule biliaire. La prise en charge thérapeutique a été complétée par une chimiothérapie adjuvante avec une bonne évolution post-thérapeutique.
Discussion : les tumeurs neuroendocrines de la vésicule biliaire sont de diagnostic postopératoire après examen histologique et immunohistochimique de la pièce opératoire d’une cholécystectomie. Leur traitement dépend de l’extension de la tumeur, il repose sur l’exérèse complète de la tumeur pour les formes localisées ou un traitement palliatif pour les formes métastatiques ou non résécables associé à une chimiothérapie adjuvante.
Conclusion : le pronostic des tumeurs neuroendocrines de la vésicule biliaire dépend de multiples facteurs cliniques, histologiques et thérapeutiques de ces tumeurs.
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Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3672021 Président : BOUNAIM AHMED Directeur : ELKAOUI HAKIM Juge : MSSROURI RAHAL Juge : LARAQUI HICHAM Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3672021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3672021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
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