Titre : | KYSTE HYDATIQUE DES PARTIES MOLLES : À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE | Type de document : | thèse | Auteurs : | ELARABI IMANE, Auteur | Année de publication : | 2021 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Échinococcose Kyste Hydatique Parties Molles Diagnostic Traitement | Résumé : |
La maladie hydatique est connue depuis Hippocrate. Causée par le plathelminthe E. granulosus, sa prévalence est la plus élevée dans les pays où les ovins et les bovins sont élevés. Le foie est le plus fréquemment touché, suivi par le poumon puis le reste du corps. Les muscles, environnement défavorable pour le parasite, ne constituent que 1 à 5% de toutes les localisations du kyste.
L’objectif de notre travail est d’analyser les aspects épidémiologiques, cliniques et radiologiques de cette pathologie, et d’étudier les différentes modalités thérapeutiques et leur efficacité à court et à long terme à travers les résultats de patients traités au sein de notre formation.
Notre étude porte sur 2 cas de localisation de kystes hydatiques au niveau des parties molles des membres observés au service de Traumatologie-Orthopédie II de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat entre 2015 à 2021.
Il s'agit respectivement de kystes hydatiques des parties molles de la fesse et de la cuisse. La symptomatologie se résume à une tuméfaction isolée, indolore et augmentant progressivement de volume.
L’imagerie est primordiale dans le diagnostic positif. L’échographie est l’examen de première intention, l’IRM permet de mieux visualiser la lésion et de préciser le siège du kyste et ses rapports.
Une sérologie hydatique positive est très utile pour le diagnostic qui ne peut être exclut en cas de résultat négatif.
Nos patients ont bénéficié d'un traitement radical associant une résection des kystes en monobloc et une chimiothérapie complémentaire à base d’Albendazole. Les suites postopératoires immédiates étaient très satisfaisantes sans aucune récidive après un recul de 2 à 3 ans.
Une prophylaxie appliquée tous les niveaux de la chaine épidémiologique représente le meilleur moyen de lutte contre cette affection."
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3192021 | Président : | CHAGAR BELKACEM | Directeur : | CHAFRY BOUCHAIB | Juge : | KHARMAZ MOHAMED | Juge : | BOUABID AHMED SALIM |
KYSTE HYDATIQUE DES PARTIES MOLLES : À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE [thèse] / ELARABI IMANE, Auteur . - 2021. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Échinococcose Kyste Hydatique Parties Molles Diagnostic Traitement | Résumé : |
La maladie hydatique est connue depuis Hippocrate. Causée par le plathelminthe E. granulosus, sa prévalence est la plus élevée dans les pays où les ovins et les bovins sont élevés. Le foie est le plus fréquemment touché, suivi par le poumon puis le reste du corps. Les muscles, environnement défavorable pour le parasite, ne constituent que 1 à 5% de toutes les localisations du kyste.
L’objectif de notre travail est d’analyser les aspects épidémiologiques, cliniques et radiologiques de cette pathologie, et d’étudier les différentes modalités thérapeutiques et leur efficacité à court et à long terme à travers les résultats de patients traités au sein de notre formation.
Notre étude porte sur 2 cas de localisation de kystes hydatiques au niveau des parties molles des membres observés au service de Traumatologie-Orthopédie II de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat entre 2015 à 2021.
Il s'agit respectivement de kystes hydatiques des parties molles de la fesse et de la cuisse. La symptomatologie se résume à une tuméfaction isolée, indolore et augmentant progressivement de volume.
L’imagerie est primordiale dans le diagnostic positif. L’échographie est l’examen de première intention, l’IRM permet de mieux visualiser la lésion et de préciser le siège du kyste et ses rapports.
Une sérologie hydatique positive est très utile pour le diagnostic qui ne peut être exclut en cas de résultat négatif.
Nos patients ont bénéficié d'un traitement radical associant une résection des kystes en monobloc et une chimiothérapie complémentaire à base d’Albendazole. Les suites postopératoires immédiates étaient très satisfaisantes sans aucune récidive après un recul de 2 à 3 ans.
Une prophylaxie appliquée tous les niveaux de la chaine épidémiologique représente le meilleur moyen de lutte contre cette affection."
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3192021 | Président : | CHAGAR BELKACEM | Directeur : | CHAFRY BOUCHAIB | Juge : | KHARMAZ MOHAMED | Juge : | BOUABID AHMED SALIM |
|