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Titre : ACTINOMYCOSE DE LA MAIN FORME PSEUDOTUMORALE A PROPOS D’UN CAS Type de document : thèse Auteurs : Nejjar Yasmine, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Actinomycose Parties molles Pseudotumeur Résumé : L’actinomycose est une infection chronique à localisations multiples due à des
bactéries anaérobies du genre Actinomyces.
C’est une maladie sous diagnostiquée qui a un grand polymorphisme clinique pouvant
atteindre tous les organes et sa localisation osseuse est rare.
Le présent travail fait le point sur l’actinomycose de la main à travers l’étude d’un cas
d’une femme,âgée de 58 ans, ayant présenté une masse la face postérieure de la main droite.
Le tableau clinique est peu évocateur.L’examen histo-pathologique reste la clé du
diagnostic du fait des difficultés de l’examen bactériologique.
Le traitement repose sur la pénicillino-thérapie et la place de la chirurgie est limitée.
Notre travail vise à discuter la difficulté de diagnostic de l’actinomycose qui peut
simuler une affection néoplasique et par conséquence conduire à une intervention chirurgicale
plus ou moins mutilante ou à un retard de diagnosticNuméro (Thèse ou Mémoire) : M3302021 Président : Mohammed KHARMAZ Directeur : Fouad ZOUAIDIA Juge : Monsef BOUFETTAL Juge : Rida-Allah BASSIR ACTINOMYCOSE DE LA MAIN FORME PSEUDOTUMORALE A PROPOS D’UN CAS [thèse] / Nejjar Yasmine, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Actinomycose Parties molles Pseudotumeur Résumé : L’actinomycose est une infection chronique à localisations multiples due à des
bactéries anaérobies du genre Actinomyces.
C’est une maladie sous diagnostiquée qui a un grand polymorphisme clinique pouvant
atteindre tous les organes et sa localisation osseuse est rare.
Le présent travail fait le point sur l’actinomycose de la main à travers l’étude d’un cas
d’une femme,âgée de 58 ans, ayant présenté une masse la face postérieure de la main droite.
Le tableau clinique est peu évocateur.L’examen histo-pathologique reste la clé du
diagnostic du fait des difficultés de l’examen bactériologique.
Le traitement repose sur la pénicillino-thérapie et la place de la chirurgie est limitée.
Notre travail vise à discuter la difficulté de diagnostic de l’actinomycose qui peut
simuler une affection néoplasique et par conséquence conduire à une intervention chirurgicale
plus ou moins mutilante ou à un retard de diagnosticNuméro (Thèse ou Mémoire) : M3302021 Président : Mohammed KHARMAZ Directeur : Fouad ZOUAIDIA Juge : Monsef BOUFETTAL Juge : Rida-Allah BASSIR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3302021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3302021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M3302021URL LES ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DES TUMEURS VASCULAIRES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES A PROPOS D’UNE SERIE DE 22 CAS. EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMOPATHOLOGIE DE L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT / Imane AKRACH
Titre : LES ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DES TUMEURS VASCULAIRES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES A PROPOS D’UNE SERIE DE 22 CAS. EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMOPATHOLOGIE DE L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : Imane AKRACH, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeurs vasculaires parties molles masse classification- hémangiomehémangioendothéliome angiosarcome. Résumé : Les tumeurs vasculaires sont des néoplasmes caractérisés par une augmentation des taux de
prolifération des cellules endothéliales et d'autres cellules vasculaires. Elles sont classées en
fonction de leur potentiel malin ou de leur potentiel de destruction locale. On distingue les
tumeurs bénignes qui sont de loin les plus fréquentes, les tumeurs intermédiaires et les tumeurs
malignes, qui sont beaucoup plus rares et posent des problèmes de diagnostic
anatomopathologique.
L’objectif de notre travail était d’évaluer les aspects anatomopathologiques de ces tumeurs au
sein du service d’anatomopathologie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat.
Nous avons rapporté 22 cas sur une période de 5 ans entre janvier2019 et juin 2023. L'âge
moyen de nos patients était de 52ans± 15,54 ans, avec une prédominance féminine (sex-ratio
H/F de0,69.). Le siège le plus fréquent était la cuisse suivie par l’avant-bras et le pied. Le motif
le plus observé était une masse palpable souvent indolore.
Les tumeurs bénignes représentaient 90,91% avec une nette prédominance des hémangiomes
capillaire et intra-musculaire. Les tumeurs intermédiaire et malignes représentaient 4,55%.
L’apport de l’imagerie est pauvre en diagnostic de certitude cependant l’IRM reste utile pour
caractériser les lésions tumorales.
L’examen immunohistochimique était réalisé chez les deux patients présentant respectivement
une tumeur intermédiaire et une tumeur maligne.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0282024 Président : KHARMAZ Mohamed Directeur : ZOUAIDIA Fouad Juge : DENDANE Mohamed Anouar Juge : BENCHAKROUN Mohammed LES ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DES TUMEURS VASCULAIRES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES A PROPOS D’UNE SERIE DE 22 CAS. EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMOPATHOLOGIE DE L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT [thèse] / Imane AKRACH, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeurs vasculaires parties molles masse classification- hémangiomehémangioendothéliome angiosarcome. Résumé : Les tumeurs vasculaires sont des néoplasmes caractérisés par une augmentation des taux de
prolifération des cellules endothéliales et d'autres cellules vasculaires. Elles sont classées en
fonction de leur potentiel malin ou de leur potentiel de destruction locale. On distingue les
tumeurs bénignes qui sont de loin les plus fréquentes, les tumeurs intermédiaires et les tumeurs
malignes, qui sont beaucoup plus rares et posent des problèmes de diagnostic
anatomopathologique.
L’objectif de notre travail était d’évaluer les aspects anatomopathologiques de ces tumeurs au
sein du service d’anatomopathologie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat.
Nous avons rapporté 22 cas sur une période de 5 ans entre janvier2019 et juin 2023. L'âge
moyen de nos patients était de 52ans± 15,54 ans, avec une prédominance féminine (sex-ratio
H/F de0,69.). Le siège le plus fréquent était la cuisse suivie par l’avant-bras et le pied. Le motif
le plus observé était une masse palpable souvent indolore.
Les tumeurs bénignes représentaient 90,91% avec une nette prédominance des hémangiomes
capillaire et intra-musculaire. Les tumeurs intermédiaire et malignes représentaient 4,55%.
L’apport de l’imagerie est pauvre en diagnostic de certitude cependant l’IRM reste utile pour
caractériser les lésions tumorales.
L’examen immunohistochimique était réalisé chez les deux patients présentant respectivement
une tumeur intermédiaire et une tumeur maligne.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0282024 Président : KHARMAZ Mohamed Directeur : ZOUAIDIA Fouad Juge : DENDANE Mohamed Anouar Juge : BENCHAKROUN Mohammed Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0282024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible HEMANGIOENDOTHELIOME EPITHELIOÏDE DE LA CUISSE: A PROPOS D’UN CAS / EL OUATTASSI NARJIS
Titre : HEMANGIOENDOTHELIOME EPITHELIOÏDE DE LA CUISSE: A PROPOS D’UN CAS Type de document : thèse Auteurs : EL OUATTASSI NARJIS, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEMANGIOENDOTHELIOME EPITHELIOÏDE PARTIES MOLLES TUMEUR VASCULAIRE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’hémangioendothéliome épithélioïde (HEE) est une tumeur vasculaire à malignité intermédiaire survenant essentiellement dans l’os, les tissus mous, le poumon et le foie. Souvent considéré comme une tumeur à malignité intermédiaire entre les hémangiomes bénins et les angiosarcomes agressifs, l’HEE comporte un potentiel de récidives locales, de métastases ganglionnaires et à distance et ne s’accompagne pas fréquemment de décès.
Nous rapportons dans ce travail un cas d’hémangioendothéliome épithélioïde des parties molles de la cuisse. Il s’agit d’un patient âgé de 70 ans, sans antécédents pathologiques particuliers, qui s’est présenté en consultation pour une masse volumineuse, non douloureuse de la cuisse gauche, découverte il y a 2 ans. L’examen clinique objectivait une masse dont le grand axe était d’environ 25cm, bien limitée, non sensible, mobile par rapport au plan superficiel et adhérente au plan profond faisant corps avec le muscle quadriceps, avec présence de circulation collatérale en regard, sans signes inflammatoires associés. Une IRM a été réalisée chez le patient révélant un processus expansif envahissant le muscle quadriceps. Le bilan d’extension n’a pas montré de localisations secondaires. L’indication chirurgicale a été retenue. L’intervention a été la plus conservatrice possible et a consisté en une exérèse large de la tumeur emportant tout le muscle vaste externe. L’examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire a conclu à un hémangioendothéliome épithélioïde. Le suivi du patient a été régulier avec un recul d’une année. Nous n’avons noté aucune récidive loco-régionale ni métastase à distance au cours de cette période. Le patient a conservé une fonction normale du membre opéré.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1792010 Président : MOSTAPHA MAHFOUD Directeur : AHMED EL BARDOUNI Juge : MOHAMED KHARMAZ HEMANGIOENDOTHELIOME EPITHELIOÏDE DE LA CUISSE: A PROPOS D’UN CAS [thèse] / EL OUATTASSI NARJIS, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : HEMANGIOENDOTHELIOME EPITHELIOÏDE PARTIES MOLLES TUMEUR VASCULAIRE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’hémangioendothéliome épithélioïde (HEE) est une tumeur vasculaire à malignité intermédiaire survenant essentiellement dans l’os, les tissus mous, le poumon et le foie. Souvent considéré comme une tumeur à malignité intermédiaire entre les hémangiomes bénins et les angiosarcomes agressifs, l’HEE comporte un potentiel de récidives locales, de métastases ganglionnaires et à distance et ne s’accompagne pas fréquemment de décès.
Nous rapportons dans ce travail un cas d’hémangioendothéliome épithélioïde des parties molles de la cuisse. Il s’agit d’un patient âgé de 70 ans, sans antécédents pathologiques particuliers, qui s’est présenté en consultation pour une masse volumineuse, non douloureuse de la cuisse gauche, découverte il y a 2 ans. L’examen clinique objectivait une masse dont le grand axe était d’environ 25cm, bien limitée, non sensible, mobile par rapport au plan superficiel et adhérente au plan profond faisant corps avec le muscle quadriceps, avec présence de circulation collatérale en regard, sans signes inflammatoires associés. Une IRM a été réalisée chez le patient révélant un processus expansif envahissant le muscle quadriceps. Le bilan d’extension n’a pas montré de localisations secondaires. L’indication chirurgicale a été retenue. L’intervention a été la plus conservatrice possible et a consisté en une exérèse large de la tumeur emportant tout le muscle vaste externe. L’examen anatomo-pathologique de la pièce opératoire a conclu à un hémangioendothéliome épithélioïde. Le suivi du patient a été régulier avec un recul d’une année. Nous n’avons noté aucune récidive loco-régionale ni métastase à distance au cours de cette période. Le patient a conservé une fonction normale du membre opéré.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1792010 Président : MOSTAPHA MAHFOUD Directeur : AHMED EL BARDOUNI Juge : MOHAMED KHARMAZ Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1792010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible KYSTE HYDATIQUE DES PARTIES MOLLES : À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE / ELARABI IMANE
Titre : KYSTE HYDATIQUE DES PARTIES MOLLES : À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE Type de document : thèse Auteurs : ELARABI IMANE, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Échinococcose Kyste Hydatique Parties Molles Diagnostic Traitement Résumé :
La maladie hydatique est connue depuis Hippocrate. Causée par le plathelminthe E. granulosus, sa prévalence est la plus élevée dans les pays où les ovins et les bovins sont élevés. Le foie est le plus fréquemment touché, suivi par le poumon puis le reste du corps. Les muscles, environnement défavorable pour le parasite, ne constituent que 1 à 5% de toutes les localisations du kyste.
L’objectif de notre travail est d’analyser les aspects épidémiologiques, cliniques et radiologiques de cette pathologie, et d’étudier les différentes modalités thérapeutiques et leur efficacité à court et à long terme à travers les résultats de patients traités au sein de notre formation.
Notre étude porte sur 2 cas de localisation de kystes hydatiques au niveau des parties molles des membres observés au service de Traumatologie-Orthopédie II de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat entre 2015 à 2021.
Il s'agit respectivement de kystes hydatiques des parties molles de la fesse et de la cuisse. La symptomatologie se résume à une tuméfaction isolée, indolore et augmentant progressivement de volume.
L’imagerie est primordiale dans le diagnostic positif. L’échographie est l’examen de première intention, l’IRM permet de mieux visualiser la lésion et de préciser le siège du kyste et ses rapports.
Une sérologie hydatique positive est très utile pour le diagnostic qui ne peut être exclut en cas de résultat négatif.
Nos patients ont bénéficié d'un traitement radical associant une résection des kystes en monobloc et une chimiothérapie complémentaire à base d’Albendazole. Les suites postopératoires immédiates étaient très satisfaisantes sans aucune récidive après un recul de 2 à 3 ans.
Une prophylaxie appliquée tous les niveaux de la chaine épidémiologique représente le meilleur moyen de lutte contre cette affection."
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3192021 Président : CHAGAR BELKACEM Directeur : CHAFRY BOUCHAIB Juge : KHARMAZ MOHAMED Juge : BOUABID AHMED SALIM KYSTE HYDATIQUE DES PARTIES MOLLES : À PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTÉRATURE [thèse] / ELARABI IMANE, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Échinococcose Kyste Hydatique Parties Molles Diagnostic Traitement Résumé :
La maladie hydatique est connue depuis Hippocrate. Causée par le plathelminthe E. granulosus, sa prévalence est la plus élevée dans les pays où les ovins et les bovins sont élevés. Le foie est le plus fréquemment touché, suivi par le poumon puis le reste du corps. Les muscles, environnement défavorable pour le parasite, ne constituent que 1 à 5% de toutes les localisations du kyste.
L’objectif de notre travail est d’analyser les aspects épidémiologiques, cliniques et radiologiques de cette pathologie, et d’étudier les différentes modalités thérapeutiques et leur efficacité à court et à long terme à travers les résultats de patients traités au sein de notre formation.
Notre étude porte sur 2 cas de localisation de kystes hydatiques au niveau des parties molles des membres observés au service de Traumatologie-Orthopédie II de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat entre 2015 à 2021.
Il s'agit respectivement de kystes hydatiques des parties molles de la fesse et de la cuisse. La symptomatologie se résume à une tuméfaction isolée, indolore et augmentant progressivement de volume.
L’imagerie est primordiale dans le diagnostic positif. L’échographie est l’examen de première intention, l’IRM permet de mieux visualiser la lésion et de préciser le siège du kyste et ses rapports.
Une sérologie hydatique positive est très utile pour le diagnostic qui ne peut être exclut en cas de résultat négatif.
Nos patients ont bénéficié d'un traitement radical associant une résection des kystes en monobloc et une chimiothérapie complémentaire à base d’Albendazole. Les suites postopératoires immédiates étaient très satisfaisantes sans aucune récidive après un recul de 2 à 3 ans.
Une prophylaxie appliquée tous les niveaux de la chaine épidémiologique représente le meilleur moyen de lutte contre cette affection."
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3192021 Président : CHAGAR BELKACEM Directeur : CHAFRY BOUCHAIB Juge : KHARMAZ MOHAMED Juge : BOUABID AHMED SALIM Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3192021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3192021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M3192021URL LIPOSARCOME MYXOIDE/ A CELLULES RONDES DES MEMBRES (A PROPOS D'UNE SERIE DE 18 CAS) EXPERIENCE DU SERVICE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE AU CHU IBN SINA DE RABAT / JOHA HANIN
Titre : LIPOSARCOME MYXOIDE/ A CELLULES RONDES DES MEMBRES (A PROPOS D'UNE SERIE DE 18 CAS) EXPERIENCE DU SERVICE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE AU CHU IBN SINA DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : JOHA HANIN, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : sarcome tissu mou parties molles biopsie chirurgie chimiothérapie radiothérapie soft tissue sarcoma soft parts biopsy surgery chemotherapy radiotherapy سا كو ا ألنسج رخوة ت ر ح نسجي خزع جر ح عَلج كيميائي شعاعي Résumé : Le liposarcome est une tumeur mésenchymateuse maligne développée à partir des éléments
constituants la graisse à différentes étapes de leur différenciation. Il se subdivise en trois types
histologiques selon la classification de l’ OMS 2020. Notamment, le liposarcome myxoïde qui
représente le type histologique le plus fréquent.
Ce travail est une étude rétrospective de 18 cas de liposarcomes myxoides développées au
niveau des membres, colligés au service d’anatomie pathologique du CHU IBN SINA de Rabat,
durant une période de 5 ans, allant de Janvier 2018 au 31 Décembre 2022.
L’incidence des LSM/CR des membres dans notre contexte représente en moyenne 3,6 cas par
an
L’âge moyen de nos patients est de 50 ans, avec une prédominance masculine (sex-ratio H/F de
1,5).
On a constaté qu’il y a une prédilection pour les membres inférieurs avec une localisation qui
est dominée par les cuisses suivie par les jambes
La clinique des LSM/CR est peu spécifique, elle est dominée par l’apparition d’une tuméfaction
palpable associée rarement à une douleur ou des signes de compression.
Le diagnostic de certitude est histologique même si certains éléments de la radiologie comme
la TDM et l’IRM peuvent y concourir.
l’immunohistochimie MDM2 est réalisée essentiellement pour éliminer les diagnostics
différentiels.
Le terme "cellules rondes" désigne une forme de liposarcome myxoïde comportant une
composante cellulaire ronde qui est de mauvais pronostic.
Le traitement de ces tumeurs est complexe et couteux. Il nécessite la mise en œuvre d’une
équipe pluridisciplinaire qui conjugue les compétences du radiologue, d’anatomo-pathologiste,
du chirurgien de l’appareil locomoteur, d’oncologue, du radiothérapeute, ainsi que du
psychiatre pour discuter la conduite à tenir et informer le patient en toute transparence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2092023 Président : M. KHARMAZ Directeur : F. ZOUIDIA Juge : MA. DENDANE Juge : M. BOUFETTAL LIPOSARCOME MYXOIDE/ A CELLULES RONDES DES MEMBRES (A PROPOS D'UNE SERIE DE 18 CAS) EXPERIENCE DU SERVICE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE AU CHU IBN SINA DE RABAT [thèse] / JOHA HANIN, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : sarcome tissu mou parties molles biopsie chirurgie chimiothérapie radiothérapie soft tissue sarcoma soft parts biopsy surgery chemotherapy radiotherapy سا كو ا ألنسج رخوة ت ر ح نسجي خزع جر ح عَلج كيميائي شعاعي Résumé : Le liposarcome est une tumeur mésenchymateuse maligne développée à partir des éléments
constituants la graisse à différentes étapes de leur différenciation. Il se subdivise en trois types
histologiques selon la classification de l’ OMS 2020. Notamment, le liposarcome myxoïde qui
représente le type histologique le plus fréquent.
Ce travail est une étude rétrospective de 18 cas de liposarcomes myxoides développées au
niveau des membres, colligés au service d’anatomie pathologique du CHU IBN SINA de Rabat,
durant une période de 5 ans, allant de Janvier 2018 au 31 Décembre 2022.
L’incidence des LSM/CR des membres dans notre contexte représente en moyenne 3,6 cas par
an
L’âge moyen de nos patients est de 50 ans, avec une prédominance masculine (sex-ratio H/F de
1,5).
On a constaté qu’il y a une prédilection pour les membres inférieurs avec une localisation qui
est dominée par les cuisses suivie par les jambes
La clinique des LSM/CR est peu spécifique, elle est dominée par l’apparition d’une tuméfaction
palpable associée rarement à une douleur ou des signes de compression.
Le diagnostic de certitude est histologique même si certains éléments de la radiologie comme
la TDM et l’IRM peuvent y concourir.
l’immunohistochimie MDM2 est réalisée essentiellement pour éliminer les diagnostics
différentiels.
Le terme "cellules rondes" désigne une forme de liposarcome myxoïde comportant une
composante cellulaire ronde qui est de mauvais pronostic.
Le traitement de ces tumeurs est complexe et couteux. Il nécessite la mise en œuvre d’une
équipe pluridisciplinaire qui conjugue les compétences du radiologue, d’anatomo-pathologiste,
du chirurgien de l’appareil locomoteur, d’oncologue, du radiothérapeute, ainsi que du
psychiatre pour discuter la conduite à tenir et informer le patient en toute transparence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2092023 Président : M. KHARMAZ Directeur : F. ZOUIDIA Juge : MA. DENDANE Juge : M. BOUFETTAL Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2092023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible LIPOSARCOME MYXOÏDE (A PROPOS DE 03 CAS) / BASSIR Rida-Allah
Titre : LIPOSARCOME MYXOÏDE (A PROPOS DE 03 CAS) Type de document : thèse Auteurs : BASSIR Rida-Allah, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le liposarcome myxoïde est la forme la plus fréquente des liposarcomes, cependant la localisation fessière et au niveau de la cuisse décrite dans ce travail reste rare, et comme tous les sarcomes des tissus mous, il pose des problèmes à tous les niveaux de sa prise en charge.
Le diagnostic est souvent retardé par l’évolution insidieuse de cette tumeur pour laquelle on n’observe pas de retentissement sur l’état général.
L’examen anatomo-pathologique est nécessaire, qui lui seul permet d’affirmer le diagnostic.
Les examens d’imagerie ne permettent pas d’établir le diagnostic histologique mais orientent vers le caractère bénin ou malin de la tumeur, par contre, ils sont indispensables (surtout TDM et IRM) à la réalisation du bilan d’extension, du bilan pré-opératoire et aussi eu suivi des patients traités. De tels éléments sont utiles pour déterminer le stade (staging) de la tumeur pour définir la conduite thérapeutique.
Le traitement de ces tumeurs est complexe et onéreux. Il nécessite la mise en œuvre d’une équipe pluridisciplinaire qui conjugue les compétences du radiologue, d’anatomo-pathologiste, du chirurgien de l’appareil locomoteur, d’oncologue, du radiothérapeute, ainsi que du psychiatre pour analyser, discuter, arrêter la conduite à tenir et informer le patient en toute transparence.
Le contrôle local de la tumeur n’est obtenu que par chirurgie d’exérèse carcinologique et conservatrice couplée à la radiothérapie autant que possible. La chimiothérapie reste encore à démontrer par des études plus complètes, par contre, elle garde toute sa place en situation palliative.
La thérapie génique constitue un formidable espoir dans l’avenir, les mutations génétiques retrouvées au sein de ces tumeurs étant souvent spécifiques, les patients pourraient bénéficier d’un traitement qui le serait tout autant.
Il n’existe pas de facteurs pronostiques universellement admis, par ailleurs, le grade histologique, la qualité de l’exérèse chirurgicale et la localisation de la tumeur primitive demeurent les principaux facteurs à prendre en considération.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622010 Président : AHMED EL BARDOUNI Directeur : MOUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ LIPOSARCOME MYXOÏDE (A PROPOS DE 03 CAS) [thèse] / BASSIR Rida-Allah, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le liposarcome myxoïde est la forme la plus fréquente des liposarcomes, cependant la localisation fessière et au niveau de la cuisse décrite dans ce travail reste rare, et comme tous les sarcomes des tissus mous, il pose des problèmes à tous les niveaux de sa prise en charge.
Le diagnostic est souvent retardé par l’évolution insidieuse de cette tumeur pour laquelle on n’observe pas de retentissement sur l’état général.
L’examen anatomo-pathologique est nécessaire, qui lui seul permet d’affirmer le diagnostic.
Les examens d’imagerie ne permettent pas d’établir le diagnostic histologique mais orientent vers le caractère bénin ou malin de la tumeur, par contre, ils sont indispensables (surtout TDM et IRM) à la réalisation du bilan d’extension, du bilan pré-opératoire et aussi eu suivi des patients traités. De tels éléments sont utiles pour déterminer le stade (staging) de la tumeur pour définir la conduite thérapeutique.
Le traitement de ces tumeurs est complexe et onéreux. Il nécessite la mise en œuvre d’une équipe pluridisciplinaire qui conjugue les compétences du radiologue, d’anatomo-pathologiste, du chirurgien de l’appareil locomoteur, d’oncologue, du radiothérapeute, ainsi que du psychiatre pour analyser, discuter, arrêter la conduite à tenir et informer le patient en toute transparence.
Le contrôle local de la tumeur n’est obtenu que par chirurgie d’exérèse carcinologique et conservatrice couplée à la radiothérapie autant que possible. La chimiothérapie reste encore à démontrer par des études plus complètes, par contre, elle garde toute sa place en situation palliative.
La thérapie génique constitue un formidable espoir dans l’avenir, les mutations génétiques retrouvées au sein de ces tumeurs étant souvent spécifiques, les patients pourraient bénéficier d’un traitement qui le serait tout autant.
Il n’existe pas de facteurs pronostiques universellement admis, par ailleurs, le grade histologique, la qualité de l’exérèse chirurgicale et la localisation de la tumeur primitive demeurent les principaux facteurs à prendre en considération.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622010 Président : AHMED EL BARDOUNI Directeur : MOUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0622010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible RESULTATS DE LA CHIRURGIE ASSOCIEE A LA CHIMIOTHERAPIE DANS LES SARCOMES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES / MOHAMED KASSIM YOUSSOUF
Titre : RESULTATS DE LA CHIRURGIE ASSOCIEE A LA CHIMIOTHERAPIE DANS LES SARCOMES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES Type de document : thèse Auteurs : MOHAMED KASSIM YOUSSOUF, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : SARCOMES PARTIES MOLLES CHIRURGIE CONSERVATRICE CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les sarcomes des tissus mous (STM) regroupent des tumeurs d’origines histologiques différentes, ayant une agressivité variable et dont le diagnostic reste parfois délicat à établir. Leur traitement demeure, de nos jours, un objectif à atteindre.
Nous rapportons dans notre étude vingt neuf cas de STM des membres ; colligés au service de traumatologie orthopédie Avicenne de Rabat entre 2006 et 2009 ; constatant les faits suivants :
Dans notre pratique, les STM restent des tumeurs rares mais à ne pas sous estimé : 9cas/an avec une légère prédominance féminine. L’âge moyen est de 45 ans. Electivement, Ils touchent les membres inférieurs (59%) et plus particulièrement la cuisse. Le délai moyen de consultation est très tardif : 60 mois. L’examen anatomopathologique reste l’élément clé du diagnostic. Les types histologiques par ordre de fréquence sont : Synovialosarcome, liposarcome, léiomyosarcome, rhabdomyosarcome, schwannome malin, fibrosarcome. Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 58%, et le traitement radical dans 27% des cas. Le complément de radiothérapie et/ou de chimiothérapie a été confié aux oncologues de l’Institut National d’Oncologie de Rabat. Deux décès ont été enregistrés au cours de la surveillance. L’évolution est marquée par la survenue de 10% de cas de récidive locale et 17% de métastases, toutes pulmonaires. A long terme le devenir des patients reste inconnu du fait que la plupart se perd de vue. Le recul moyen est de 19mois. Le constat final est que très peu de patients ont répondu aux objectifs curatifs de l’association chirurgie/chimiothérapie et qu’à ce titre, une concertation multidisciplinaire permet de privilégier la qualité de vie des patients en phase palliative.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0122011 Président : ABDOU LAHLOU Directeur : MOULAY OMAR LAMRANI Juge : ABBASSI ABDELLAH Juge : GHARIB NOUREDDINE RESULTATS DE LA CHIRURGIE ASSOCIEE A LA CHIMIOTHERAPIE DANS LES SARCOMES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES [thèse] / MOHAMED KASSIM YOUSSOUF, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SARCOMES PARTIES MOLLES CHIRURGIE CONSERVATRICE CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les sarcomes des tissus mous (STM) regroupent des tumeurs d’origines histologiques différentes, ayant une agressivité variable et dont le diagnostic reste parfois délicat à établir. Leur traitement demeure, de nos jours, un objectif à atteindre.
Nous rapportons dans notre étude vingt neuf cas de STM des membres ; colligés au service de traumatologie orthopédie Avicenne de Rabat entre 2006 et 2009 ; constatant les faits suivants :
Dans notre pratique, les STM restent des tumeurs rares mais à ne pas sous estimé : 9cas/an avec une légère prédominance féminine. L’âge moyen est de 45 ans. Electivement, Ils touchent les membres inférieurs (59%) et plus particulièrement la cuisse. Le délai moyen de consultation est très tardif : 60 mois. L’examen anatomopathologique reste l’élément clé du diagnostic. Les types histologiques par ordre de fréquence sont : Synovialosarcome, liposarcome, léiomyosarcome, rhabdomyosarcome, schwannome malin, fibrosarcome. Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 58%, et le traitement radical dans 27% des cas. Le complément de radiothérapie et/ou de chimiothérapie a été confié aux oncologues de l’Institut National d’Oncologie de Rabat. Deux décès ont été enregistrés au cours de la surveillance. L’évolution est marquée par la survenue de 10% de cas de récidive locale et 17% de métastases, toutes pulmonaires. A long terme le devenir des patients reste inconnu du fait que la plupart se perd de vue. Le recul moyen est de 19mois. Le constat final est que très peu de patients ont répondu aux objectifs curatifs de l’association chirurgie/chimiothérapie et qu’à ce titre, une concertation multidisciplinaire permet de privilégier la qualité de vie des patients en phase palliative.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0122011 Président : ABDOU LAHLOU Directeur : MOULAY OMAR LAMRANI Juge : ABBASSI ABDELLAH Juge : GHARIB NOUREDDINE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0122011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible SARCOME DU CUIR CHEVELU À PROPOS D'UN CAS / ANICE SALMA
Titre : SARCOME DU CUIR CHEVELU À PROPOS D'UN CAS Type de document : thèse Auteurs : ANICE SALMA, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sarcomes Parties molles Tissus mous cuir chevelu Sarcomas Soft Tissue Scalp Soft part ساركوما الأنسجة الرخوة فروة الرأس Résumé : Les sarcomes des tissus mous constituent un défi diagnostique et thérapeutique
spécifique, englobant les tumeurs malignes du tissu conjonctif. Cette catégorie de
tumeurs présente une grande diversité clinique, histologique et pronostique, dont la
compréhension est améliorée par les progrès de la biologie moléculaire. La qualité de la
coordination des soins pluridisciplinaires reste cruciale pour obtenir des résultats
thérapeutiques optimaux.
Ce travail se propose d'explorer les multiples facettes de cette pathologie rare, du
diagnostic initial aux choix thérapeutiques et à l'impact sur la qualité de vie du patient à
travers l'étude approfondie d'un cas intéressant d’une patiente opérée pour un sarcome
du cuir chevelu infiltrant l’os occipital, tout en s’aidant d’une lumière de la littérature.
Pour une prise en charge adéquate des sarcomes des tissus mous quel que soit leur
localisation, il est recommandé d'explorer les lésions suspectes à l'aide de l'imagerie et
de la biopsie. Et en cas de diagnostic de malignité, il est essentiel de référer les patients
à des centres spécialisés, les décisions thérapeutiques doivent être prises en réunion de
concertation pluridisciplinaire (RCP), et un suivi post-thérapeutique rigoureux est
nécessaire, compte tenu du fort potentiel de récidive et du risque métastatique. Le
traitement des sarcomes des parties molles (SPM) reste un objectif à atteindre par
l'adoption de protocoles fixes.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3232024 Président : Mohamed Karim EL KHATIB Directeur : Lahcen KHALFI Juge : Abdelhafid ACHBOUK Juge : Jalal HAMAMA Juge : Jawad HAFIDI SARCOME DU CUIR CHEVELU À PROPOS D'UN CAS [thèse] / ANICE SALMA, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sarcomes Parties molles Tissus mous cuir chevelu Sarcomas Soft Tissue Scalp Soft part ساركوما الأنسجة الرخوة فروة الرأس Résumé : Les sarcomes des tissus mous constituent un défi diagnostique et thérapeutique
spécifique, englobant les tumeurs malignes du tissu conjonctif. Cette catégorie de
tumeurs présente une grande diversité clinique, histologique et pronostique, dont la
compréhension est améliorée par les progrès de la biologie moléculaire. La qualité de la
coordination des soins pluridisciplinaires reste cruciale pour obtenir des résultats
thérapeutiques optimaux.
Ce travail se propose d'explorer les multiples facettes de cette pathologie rare, du
diagnostic initial aux choix thérapeutiques et à l'impact sur la qualité de vie du patient à
travers l'étude approfondie d'un cas intéressant d’une patiente opérée pour un sarcome
du cuir chevelu infiltrant l’os occipital, tout en s’aidant d’une lumière de la littérature.
Pour une prise en charge adéquate des sarcomes des tissus mous quel que soit leur
localisation, il est recommandé d'explorer les lésions suspectes à l'aide de l'imagerie et
de la biopsie. Et en cas de diagnostic de malignité, il est essentiel de référer les patients
à des centres spécialisés, les décisions thérapeutiques doivent être prises en réunion de
concertation pluridisciplinaire (RCP), et un suivi post-thérapeutique rigoureux est
nécessaire, compte tenu du fort potentiel de récidive et du risque métastatique. Le
traitement des sarcomes des parties molles (SPM) reste un objectif à atteindre par
l'adoption de protocoles fixes.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3232024 Président : Mohamed Karim EL KHATIB Directeur : Lahcen KHALFI Juge : Abdelhafid ACHBOUK Juge : Jalal HAMAMA Juge : Jawad HAFIDI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3232024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible LE SARCOME D’EWING DES PARTIES MOLLES / HADJ IMAN
Titre : LE SARCOME D’EWING DES PARTIES MOLLES Type de document : thèse Auteurs : HADJ IMAN, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : SARCOME D’EWING PARTIES MOLLES TRAITEMENT Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le sarcome d’Ewing des parties molles est une pathologie rare qui touche l’adulte jeune. Les tumeurs neuroectodermiques primitives (PNET) et le sarcome d’Ewing des parties molles ont été longtemps considérés comme deux entités anatomo-cliniques distinctes. Plus récemment, il s’est avéré que le sarcome d’Ewing n’est que la forme la plus indifférenciée des PNET.
Le diagnostic relève essentiellement de la cytogénétique et de l’immunohistochimie.
Devant l’absence de signes cliniques et radiologiques spécifiques, il semble nécessaire de l’inclure dans le diagnostic différentiel de toute tumeur primitive des parties molles.
Le traitement repose sur l’association chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie. La polychimiothérapie à forte dose associée à la greffe de cellules souches hématopoïétiques permet d’améliorer considérablement le pronostic à long terme
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362009 Président : MAHFOUD MOUSTAPHA Directeur : EL BARDOUNI AHMED Juge : MOHAMED KHARMAZ LE SARCOME D’EWING DES PARTIES MOLLES [thèse] / HADJ IMAN, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SARCOME D’EWING PARTIES MOLLES TRAITEMENT Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le sarcome d’Ewing des parties molles est une pathologie rare qui touche l’adulte jeune. Les tumeurs neuroectodermiques primitives (PNET) et le sarcome d’Ewing des parties molles ont été longtemps considérés comme deux entités anatomo-cliniques distinctes. Plus récemment, il s’est avéré que le sarcome d’Ewing n’est que la forme la plus indifférenciée des PNET.
Le diagnostic relève essentiellement de la cytogénétique et de l’immunohistochimie.
Devant l’absence de signes cliniques et radiologiques spécifiques, il semble nécessaire de l’inclure dans le diagnostic différentiel de toute tumeur primitive des parties molles.
Le traitement repose sur l’association chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie. La polychimiothérapie à forte dose associée à la greffe de cellules souches hématopoïétiques permet d’améliorer considérablement le pronostic à long terme
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362009 Président : MAHFOUD MOUSTAPHA Directeur : EL BARDOUNI AHMED Juge : MOHAMED KHARMAZ Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0362009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible LES SARCOMES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES A PROPOS DE 34 CAS / ERRIHANI MAJDOULINE
Titre : LES SARCOMES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES A PROPOS DE 34 CAS Type de document : thèse Auteurs : ERRIHANI MAJDOULINE, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : SARCOMES PARTIES MOLLES MEMBRES CHIRURGIE CONSERVATRICE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3172007 Président : BENJELLOUN SAID Directeur : HACHI HAFID Juge : JAAFAR ABDELOIHAB Juge : JRONDI LAILA/ Juge : JRONDI LAILA/ LES SARCOMES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES A PROPOS DE 34 CAS [thèse] / ERRIHANI MAJDOULINE, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SARCOMES PARTIES MOLLES MEMBRES CHIRURGIE CONSERVATRICE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3172007 Président : BENJELLOUN SAID Directeur : HACHI HAFID Juge : JAAFAR ABDELOIHAB Juge : JRONDI LAILA/ Juge : JRONDI LAILA/ Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3172007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2007 Disponible Sarcomes des Parties Molles. Quelle prise en charge ? / EL HAMDAOUI LAMYAE
Titre : Sarcomes des Parties Molles. Quelle prise en charge ? Type de document : thèse Auteurs : EL HAMDAOUI LAMYAE, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sarcomes Parties molles Tissus mous Diagnostic Traitement. Résumé : Les sarcomes des parties molles représentent une entité rare et hétérogène d’où la difficulté du diagnostic et la spécificité de la prise en charge.
Nous avons évalué sur un panel de 60 cas de sarcomes des parties molles du tronc et des membres; colligés au service de chirurgie "I" à l’Institut national d’oncologie de Rabat entre 2008 et 2014 :
• Les aspects épidémiologiques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs des SPM et Les éléments clinique et para clinique permettant de suspecter la malignité.
• Les recommandations à respecter pour une prise en charge adéquate.
L’âge médian des patients était 45 ans, sex-ratio équilibrée. Les membres inférieurs sont plus touchés (57%), particulièrement la cuisse (41%). Le délai moyen de consultation était 16 mois. L’examen anatomopathologique n’est pas toujours concluant d’où l’intérêt de l’immunohistochimie. Les tumeurs graisseuse sont les plus fréquente, suivies des fibrosarcomes. 57% était vu secondairement par le service alors qu’uniquement 43% vu d’emblée. 88% ont reçu un traitement chirurgical. 10% de chimiothérapie néoadjuvante et 10% radiothérapies adjuvante. Un décès était enregistré au cours de la surveillance. L’évolution est marquée par la survenue de récidive locale chez 31% des patients 1° mains et 53% des patients 2° main, 25% de métastases dont 80% pulmonaires. Le pronostic reste sombre car il ya beaucoup de perdue de vue.
Nos recommandations pour une prise en charge adéquate :
• Explorer les lésions suspecte par le couple imagerie-biopsie.
• Référer les patients aux centres spécialisés en cas de diagnostic de malignité.
• Décision thérapeutique en RCP.
• Suivi post-thérapeutique.
Le traitement des SPM demeure, de nos jours, un objectif à atteindre par l’adoption de protocoles fixes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1592015 Président : BENAMR.S Directeur : MSSROURI.R Juge : MDAGHRI.J Juge : HACHI.H Juge : TIJAMI.F Sarcomes des Parties Molles. Quelle prise en charge ? [thèse] / EL HAMDAOUI LAMYAE, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sarcomes Parties molles Tissus mous Diagnostic Traitement. Résumé : Les sarcomes des parties molles représentent une entité rare et hétérogène d’où la difficulté du diagnostic et la spécificité de la prise en charge.
Nous avons évalué sur un panel de 60 cas de sarcomes des parties molles du tronc et des membres; colligés au service de chirurgie "I" à l’Institut national d’oncologie de Rabat entre 2008 et 2014 :
• Les aspects épidémiologiques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs des SPM et Les éléments clinique et para clinique permettant de suspecter la malignité.
• Les recommandations à respecter pour une prise en charge adéquate.
L’âge médian des patients était 45 ans, sex-ratio équilibrée. Les membres inférieurs sont plus touchés (57%), particulièrement la cuisse (41%). Le délai moyen de consultation était 16 mois. L’examen anatomopathologique n’est pas toujours concluant d’où l’intérêt de l’immunohistochimie. Les tumeurs graisseuse sont les plus fréquente, suivies des fibrosarcomes. 57% était vu secondairement par le service alors qu’uniquement 43% vu d’emblée. 88% ont reçu un traitement chirurgical. 10% de chimiothérapie néoadjuvante et 10% radiothérapies adjuvante. Un décès était enregistré au cours de la surveillance. L’évolution est marquée par la survenue de récidive locale chez 31% des patients 1° mains et 53% des patients 2° main, 25% de métastases dont 80% pulmonaires. Le pronostic reste sombre car il ya beaucoup de perdue de vue.
Nos recommandations pour une prise en charge adéquate :
• Explorer les lésions suspecte par le couple imagerie-biopsie.
• Référer les patients aux centres spécialisés en cas de diagnostic de malignité.
• Décision thérapeutique en RCP.
• Suivi post-thérapeutique.
Le traitement des SPM demeure, de nos jours, un objectif à atteindre par l’adoption de protocoles fixes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1592015 Président : BENAMR.S Directeur : MSSROURI.R Juge : MDAGHRI.J Juge : HACHI.H Juge : TIJAMI.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1592015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1592015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible SYNOVIALOSARCOME DES MEMBRES (A PROPOS DE 14CAS) / MONSEF BOUFETTAL
Titre : SYNOVIALOSARCOME DES MEMBRES (A PROPOS DE 14CAS) Type de document : thèse Auteurs : MONSEF BOUFETTAL, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE, CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives locales et de métastases surtout pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 14 cas de synovialosarcomes, colligés au service de traumatologie orthopédie- Avicenne à Rabat entre 2000 et 2008.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 1 cas/ 2 ans environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une discrète prédominance féminine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (58%) et plus particulièrement la cuisse et le genou.
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 18 mois et le syndrome tumoral était le motif de consultation constant.
- La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
- La TDM faite chez 10 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
- L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
- Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 50% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 43%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues de l'INO.
- Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. - L'évolution à long terme n'a pas été précisée du fait que la plupart des patients se perdent de vue.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie rare et sévère nécessitant une coordination multidisciplinaire et que les nouvelles approches thérapeutiques ouvrent la voie à de meilleures perspectives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0632010 Président : MOHAMED SALAH BERRADA Directeur : MUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ Juge : MOULAY RACHID MOUSTAINE SYNOVIALOSARCOME DES MEMBRES (A PROPOS DE 14CAS) [thèse] / MONSEF BOUFETTAL, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE, CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives locales et de métastases surtout pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 14 cas de synovialosarcomes, colligés au service de traumatologie orthopédie- Avicenne à Rabat entre 2000 et 2008.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 1 cas/ 2 ans environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une discrète prédominance féminine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (58%) et plus particulièrement la cuisse et le genou.
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 18 mois et le syndrome tumoral était le motif de consultation constant.
- La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
- La TDM faite chez 10 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
- L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
- Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 50% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 43%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues de l'INO.
- Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. - L'évolution à long terme n'a pas été précisée du fait que la plupart des patients se perdent de vue.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie rare et sévère nécessitant une coordination multidisciplinaire et que les nouvelles approches thérapeutiques ouvrent la voie à de meilleures perspectives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0632010 Président : MOHAMED SALAH BERRADA Directeur : MUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ Juge : MOULAY RACHID MOUSTAINE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0632010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible
Titre : Synovialosarcome des membres (à propos de 20cas) Type de document : thèse Auteurs : FARIH Sara, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeurs malignes parties molles biopsie chirurgie chimiothérapie, radiothérapie Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives surtout métastases pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 20 cas de synovialosarcome, colligés au service de traumatologie orthopédie au CHU IBN SINA entre 2010 et 2017.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 3 cas/ an environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une prédominance masculine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (60%) et particulièrement la cuisse et le genou .
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 15 mois et la tuméfaction était le motif de consultation constant.
La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
La TDM faite chez 8 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 70% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 30%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues .
Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. L'évolution à long terme n'a pas été précisé.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie nécessitant une coordination multidisciplinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0402019 Président : EL BARDOUNI.A Directeur : MAHFOUD.M Juge : KHARMAZ.M Juge : ZOUIDIA.F Synovialosarcome des membres (à propos de 20cas) [thèse] / FARIH Sara, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeurs malignes parties molles biopsie chirurgie chimiothérapie, radiothérapie Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives surtout métastases pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 20 cas de synovialosarcome, colligés au service de traumatologie orthopédie au CHU IBN SINA entre 2010 et 2017.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 3 cas/ an environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une prédominance masculine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (60%) et particulièrement la cuisse et le genou .
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 15 mois et la tuméfaction était le motif de consultation constant.
La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
La TDM faite chez 8 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 70% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 30%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues .
Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. L'évolution à long terme n'a pas été précisé.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie nécessitant une coordination multidisciplinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0402019 Président : EL BARDOUNI.A Directeur : MAHFOUD.M Juge : KHARMAZ.M Juge : ZOUIDIA.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0402019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M0402019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M0402019URL LES TUMEURS BENIGNES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES SERIE DE 62 CAS / SIMPORE CARINE
Titre : LES TUMEURS BENIGNES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES SERIE DE 62 CAS Type de document : thèse Auteurs : SIMPORE CARINE, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEURS BENIGNES PARTIES MOLLES MEMBRES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les tumeurs bénignes des parties molles des membres sont des proliférations bénignes qui se développent à partir du tissu conjonctif et de ses variétés différenciées. Notre travail a concerné 62 patients pris en charge au service de traumatologie de l’HMIMV et qui ont été retenus après étude de 172 dossiers de pathologie tumorale. C’est une étude rétrospective qui a couvert 3ans.
Pour l’épidémiologie de ces tumeurs, nous avons constaté ainsi que le disent plusieurs auteurs, qu’elles n’étaient pas rares ; en particulier pour les lipomes et les tumeurs à cellules géantes des gaines et des tendons. La tranche d’âge la plus atteinte dans notre série va de 40 à 50 et notre population était à prédominance masculine. Ces tumeurs touchaient autant les membres supérieurs que les membres inférieurs dans notre étude.
Concernant la clinique, notre travail a convenu avec la littérature que ces tumeurs se présentent habituellement sous forme de nodules gênants ou douloureux à l’occasion, mobiles, à évolution lente, souvent arrondis ou ovalaires, de 2 à 4 cm de diamètre en moyenne, fermes, mous ou rénitents, sans signe inflammatoire cutané en regard.
Les examens radiologiques ont montré comme la littérature, des masses à tonalité variable, à contours nets et réguliers. L’échographie constitue l’examen de choix, aidée par l’IRM.
L’anatomopathologie est la méthode attitrée de confirmation diagnostique même si selon certains auteurs 10 à 15% des tumeurs gardent une histologie incertaine. Notre série a retrouvé 3 cas de diagnostics indéterminés après étude anatomopathologique.
Le traitement des ces tumeurs doit comporter une biopsie puis une exérèse selon beaucoup d’auteurs surtout si le diamètre dépasse 5cm. L’évolution après traitement peut être entachée de récidive. Dans notre série, la biopsie-exérèse a été la méthode pratique la plus utilisée et nous en avons enregistré 2 cas.
En somme, nous retiendrons que ces tumeurs posent parfois un problème diagnostique même après étude anatomopathologique ; sans oublier la crainte de faire une biopsie-exérèse sur une tumeur qui se révèlerait maligne à l’anatomopathologie. Une autre hantise serait d’avoir un résultat anatomopathologique de tumeur bénigne à la biopsie et de découvrir une tumeur maligne lors de l’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2552008 Président : MAHFOUD MUSTAPHA Directeur : CHAGAR BELKACEM Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : ACHEMLAL LAHCEN LES TUMEURS BENIGNES DES PARTIES MOLLES DES MEMBRES SERIE DE 62 CAS [thèse] / SIMPORE CARINE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEURS BENIGNES PARTIES MOLLES MEMBRES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les tumeurs bénignes des parties molles des membres sont des proliférations bénignes qui se développent à partir du tissu conjonctif et de ses variétés différenciées. Notre travail a concerné 62 patients pris en charge au service de traumatologie de l’HMIMV et qui ont été retenus après étude de 172 dossiers de pathologie tumorale. C’est une étude rétrospective qui a couvert 3ans.
Pour l’épidémiologie de ces tumeurs, nous avons constaté ainsi que le disent plusieurs auteurs, qu’elles n’étaient pas rares ; en particulier pour les lipomes et les tumeurs à cellules géantes des gaines et des tendons. La tranche d’âge la plus atteinte dans notre série va de 40 à 50 et notre population était à prédominance masculine. Ces tumeurs touchaient autant les membres supérieurs que les membres inférieurs dans notre étude.
Concernant la clinique, notre travail a convenu avec la littérature que ces tumeurs se présentent habituellement sous forme de nodules gênants ou douloureux à l’occasion, mobiles, à évolution lente, souvent arrondis ou ovalaires, de 2 à 4 cm de diamètre en moyenne, fermes, mous ou rénitents, sans signe inflammatoire cutané en regard.
Les examens radiologiques ont montré comme la littérature, des masses à tonalité variable, à contours nets et réguliers. L’échographie constitue l’examen de choix, aidée par l’IRM.
L’anatomopathologie est la méthode attitrée de confirmation diagnostique même si selon certains auteurs 10 à 15% des tumeurs gardent une histologie incertaine. Notre série a retrouvé 3 cas de diagnostics indéterminés après étude anatomopathologique.
Le traitement des ces tumeurs doit comporter une biopsie puis une exérèse selon beaucoup d’auteurs surtout si le diamètre dépasse 5cm. L’évolution après traitement peut être entachée de récidive. Dans notre série, la biopsie-exérèse a été la méthode pratique la plus utilisée et nous en avons enregistré 2 cas.
En somme, nous retiendrons que ces tumeurs posent parfois un problème diagnostique même après étude anatomopathologique ; sans oublier la crainte de faire une biopsie-exérèse sur une tumeur qui se révèlerait maligne à l’anatomopathologie. Une autre hantise serait d’avoir un résultat anatomopathologique de tumeur bénigne à la biopsie et de découvrir une tumeur maligne lors de l’examen anatomopathologique de la pièce d’exérèse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2552008 Président : MAHFOUD MUSTAPHA Directeur : CHAGAR BELKACEM Juge : AL BOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : ACHEMLAL LAHCEN Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2552008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible
Titre : LES TUMEURS DU PIED CHEZ L'ENFANT : MISE AU POINT Type de document : thèse Auteurs : BENTALEB Mohamed, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeurs du pied os parties molles chirurgie. Résumé : Les tumeurs du pied pédiatrique regroupent l’ensemble des processus néoplasiques bénins et malins se développant au niveau des pieds de l’enfant et de l’adolescent.
Elles sont classées en tumeurs osseuses et celles des parties molles. Chaque groupe est subdivisé en plusieurs entités selon l’histogénèse et l’origine cellulaire.
L’incidence des tumeurs du pied est faible par rapport aux autres localisations sur le squelette. Chez l’enfant, les tumeurs osseuses bénignes les plus fréquentes sont les Kystes osseux essentiel et anévrysmal, l’exostose subunguéale, l’ostéome ostéoide et le granulome éosinophile. Les cancers osseux sont représentés surtout par le Sarcome d’Ewing. Les tumeurs des tissus mous les plus fréquentes sont les tumeurs desmoides et la fibromatose plantaire tandis que les tumeurs malignes sont représentées par le Sarcome synovial et le Rhabdomyosarcome. Si les lésions bénignes sont beaucoup plus fréquentes que les sarcomes, le praticien se doit d’éliminer en premier un processus malin.
Les signes d’appel sont dominés par la douleur associée ou non à une masse du pied. La stratégie diagnostique repose essentiellement sur la radiographie osseuse et la nécessité de distinguer entre une tumeur d’origine osseuse et un processus d’origine mésenchymateuse. Le couple TDM IRM est primordial pour l’orientation diagnostique et la stratégie thérapeutique. La biopsie est la clé du diagnostic, elle permet de confirmer le type histologique de la tumeur. Son trajet devrait impérativement être intégré dans la future voie d’abord de résection tumorale.
Le traitement des tumeurs du pied est essentiellement chirurgical. Il sera conservateur pour les lésions bénignes et radical dans la plupart des cancers osseux et tumeurs mésenchymateuses malignes en tenant compte des particularités des amputations et désarticulations chez l’enfant.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4322019 Président : AMRANI.A Directeur : DENDANE.M.A Juge : RAMI.M Juge : ABILKASSEM.R Juge : ROUAS.L LES TUMEURS DU PIED CHEZ L'ENFANT : MISE AU POINT [thèse] / BENTALEB Mohamed, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeurs du pied os parties molles chirurgie. Résumé : Les tumeurs du pied pédiatrique regroupent l’ensemble des processus néoplasiques bénins et malins se développant au niveau des pieds de l’enfant et de l’adolescent.
Elles sont classées en tumeurs osseuses et celles des parties molles. Chaque groupe est subdivisé en plusieurs entités selon l’histogénèse et l’origine cellulaire.
L’incidence des tumeurs du pied est faible par rapport aux autres localisations sur le squelette. Chez l’enfant, les tumeurs osseuses bénignes les plus fréquentes sont les Kystes osseux essentiel et anévrysmal, l’exostose subunguéale, l’ostéome ostéoide et le granulome éosinophile. Les cancers osseux sont représentés surtout par le Sarcome d’Ewing. Les tumeurs des tissus mous les plus fréquentes sont les tumeurs desmoides et la fibromatose plantaire tandis que les tumeurs malignes sont représentées par le Sarcome synovial et le Rhabdomyosarcome. Si les lésions bénignes sont beaucoup plus fréquentes que les sarcomes, le praticien se doit d’éliminer en premier un processus malin.
Les signes d’appel sont dominés par la douleur associée ou non à une masse du pied. La stratégie diagnostique repose essentiellement sur la radiographie osseuse et la nécessité de distinguer entre une tumeur d’origine osseuse et un processus d’origine mésenchymateuse. Le couple TDM IRM est primordial pour l’orientation diagnostique et la stratégie thérapeutique. La biopsie est la clé du diagnostic, elle permet de confirmer le type histologique de la tumeur. Son trajet devrait impérativement être intégré dans la future voie d’abord de résection tumorale.
Le traitement des tumeurs du pied est essentiellement chirurgical. Il sera conservateur pour les lésions bénignes et radical dans la plupart des cancers osseux et tumeurs mésenchymateuses malignes en tenant compte des particularités des amputations et désarticulations chez l’enfant.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4322019 Président : AMRANI.A Directeur : DENDANE.M.A Juge : RAMI.M Juge : ABILKASSEM.R Juge : ROUAS.L Réservation
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Titre : Les tumeurs et pseudo-tumeurs des extrémités des membres (à propos de 42 cas). Type de document : thèse Auteurs : Sara ZOUINI, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs Parties molles Os Extrémités des membres. Résumé : Le plus souvent bénignes, rarement malignes, les tumeurs des extrémités des membres sont d’une grande variété. En outre, leur diagnostic doit reposer impérativement sur laconfrontation des données cliniques, radiologiques et histopathologiques.
Dans ce travail nous avons réalisé une étude rétrospective de 42 cas des tumeurs des extrémités des membres, colligées au service de traumatologie-orthopédie
de l’hôpital Avicenne de Rabat en collaboration avec le service d’anatomopathologie, durant une période de 3 années allant de 2015 à 2018.
Cette analyse des dossiers cliniques a permis de conclure que :
L'âge moyen des patients était de 45 ans.
Une prédominance féminine significative de 67%.
Les malades ont consulté après un délai moyen de 8 mois, et le syndrome tumoral était le principal motif de consultation (74%).
Les tumeurs des parties molles sont prédominantes et représentent 86%, représentées par:
les tumeurs à cellules géantes des gaines synoviales (35%), les tumeurs glomiques (9.5 %), les tumeurs nerveuses (9.5 %) et Les kystes synoviaux (9.5%) ,les lipomes(4.5%), sarcomes(4.5%) , fibrome (2%).
Les tumeurs osseuses ne représentent que 14% des tumeurs des extrémités des membres et, représentées par :
les tumeurs à cellules géantes de l’os (9.5%),exostose ostéogénique(7%), les ostéomes ostéoïdes(4.5%),Les chondrosarcomes(2%)
Nosrésultatsconcordent en majeure partie avec les données de la littérature
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2682018 Président : MAHFOUD.M Directeur : ZOUAIDIA.F Juge : KHARMAZ.M Juge : EL BARDOUNI.A Les tumeurs et pseudo-tumeurs des extrémités des membres (à propos de 42 cas). [thèse] / Sara ZOUINI, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeurs Parties molles Os Extrémités des membres. Résumé : Le plus souvent bénignes, rarement malignes, les tumeurs des extrémités des membres sont d’une grande variété. En outre, leur diagnostic doit reposer impérativement sur laconfrontation des données cliniques, radiologiques et histopathologiques.
Dans ce travail nous avons réalisé une étude rétrospective de 42 cas des tumeurs des extrémités des membres, colligées au service de traumatologie-orthopédie
de l’hôpital Avicenne de Rabat en collaboration avec le service d’anatomopathologie, durant une période de 3 années allant de 2015 à 2018.
Cette analyse des dossiers cliniques a permis de conclure que :
L'âge moyen des patients était de 45 ans.
Une prédominance féminine significative de 67%.
Les malades ont consulté après un délai moyen de 8 mois, et le syndrome tumoral était le principal motif de consultation (74%).
Les tumeurs des parties molles sont prédominantes et représentent 86%, représentées par:
les tumeurs à cellules géantes des gaines synoviales (35%), les tumeurs glomiques (9.5 %), les tumeurs nerveuses (9.5 %) et Les kystes synoviaux (9.5%) ,les lipomes(4.5%), sarcomes(4.5%) , fibrome (2%).
Les tumeurs osseuses ne représentent que 14% des tumeurs des extrémités des membres et, représentées par :
les tumeurs à cellules géantes de l’os (9.5%),exostose ostéogénique(7%), les ostéomes ostéoïdes(4.5%),Les chondrosarcomes(2%)
Nosrésultatsconcordent en majeure partie avec les données de la littérature
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2682018 Président : MAHFOUD.M Directeur : ZOUAIDIA.F Juge : KHARMAZ.M Juge : EL BARDOUNI.A Réservation
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