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Effets indésirables des thiopurines chez les malades atteints de maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) : Expérience du Service de Médecine B / RAIS Soukaina
Titre : Effets indésirables des thiopurines chez les malades atteints de maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) : Expérience du Service de Médecine B Type de document : thèse Auteurs : RAIS Soukaina, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Azathioprine 6-Mercaptopurine Crohn RCH Effets secondaires Résumé : Introduction : Les thiopurines (TP) ont une efficacité variable qui s’expliquerait par une proportion non négligeable d’arrêt du traitement suite à la survenue d’effets secondaires. Le but de notre travail est d’étudier l’incidence et les caractéristiques des différents effets secondaires survenus chez les patients ayant une MICI sous TP, avec une mise au point sur les nouvelles stratégies d’optimisation thérapeutique basées sur l’étude de leur métabolisme.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective et descriptive portant sur une cohorte monocentrique de 570 patients atteints de MICI , recensés sur une période allant de Janvier 2004 à Janvier 2014 au service d’Hépato-Gastro-Entérologie « Médecine B » du CHU Ibn Sina, Rabat.
Résultats : Durant la période entre janvier 2005 et janvier 2014, 115 patients étaient ou sont toujours sous TP, ce qui représente 20,1% de l’ensemble des patients MICI. Nous avons observés 49 effets secondaires chez 40/115 patients soit une incidence de 34,8%, survenus au-delà de six mois de traitement dans 46,9%. Les effets indésirables hématologiques, hépatiques et infectieux étaient les plus fréquents. La survenue de l’effet indésirable a abouti à l’arrêt du traitement dans 50% de cas.
Conclusion : Les publications les plus récentes s‘intéressent à l’apport de l’étude de certains enzymes et métabolites dans la prévention de la survenue d’effets indésirables et dans l’optimisation de la réponse clinique. Dans notre pratique clinique, il convient de démarrer le traitement progressivement, de réaliser un contrôle clinique et biologique bien codifié, et de porter un intérêt particulier aux interactions médicamenteuses.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1922014 Président : CHAHED OUZZANI.H Directeur : ERRABIH.I Juge : AOURARH.A Juge : BENZZOUBEIR Effets indésirables des thiopurines chez les malades atteints de maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI) : Expérience du Service de Médecine B [thèse] / RAIS Soukaina, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Azathioprine 6-Mercaptopurine Crohn RCH Effets secondaires Résumé : Introduction : Les thiopurines (TP) ont une efficacité variable qui s’expliquerait par une proportion non négligeable d’arrêt du traitement suite à la survenue d’effets secondaires. Le but de notre travail est d’étudier l’incidence et les caractéristiques des différents effets secondaires survenus chez les patients ayant une MICI sous TP, avec une mise au point sur les nouvelles stratégies d’optimisation thérapeutique basées sur l’étude de leur métabolisme.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective et descriptive portant sur une cohorte monocentrique de 570 patients atteints de MICI , recensés sur une période allant de Janvier 2004 à Janvier 2014 au service d’Hépato-Gastro-Entérologie « Médecine B » du CHU Ibn Sina, Rabat.
Résultats : Durant la période entre janvier 2005 et janvier 2014, 115 patients étaient ou sont toujours sous TP, ce qui représente 20,1% de l’ensemble des patients MICI. Nous avons observés 49 effets secondaires chez 40/115 patients soit une incidence de 34,8%, survenus au-delà de six mois de traitement dans 46,9%. Les effets indésirables hématologiques, hépatiques et infectieux étaient les plus fréquents. La survenue de l’effet indésirable a abouti à l’arrêt du traitement dans 50% de cas.
Conclusion : Les publications les plus récentes s‘intéressent à l’apport de l’étude de certains enzymes et métabolites dans la prévention de la survenue d’effets indésirables et dans l’optimisation de la réponse clinique. Dans notre pratique clinique, il convient de démarrer le traitement progressivement, de réaliser un contrôle clinique et biologique bien codifié, et de porter un intérêt particulier aux interactions médicamenteuses.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1922014 Président : CHAHED OUZZANI.H Directeur : ERRABIH.I Juge : AOURARH.A Juge : BENZZOUBEIR Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1922014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1922014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1922014URL Lymphome et Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin traitées par immunosuppresseurs. / Lomdo Massama Kassirath Sultani
Titre : Lymphome et Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin traitées par immunosuppresseurs. Type de document : thèse Auteurs : Lomdo Massama Kassirath Sultani, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome Immunosuppresseurs Azathioprine MICI. Résumé :
Buts de l’étude :Soulever le risque réel de survenue de lymphomes chez des patients suivis pour MICI sous Azathioprine en identifiant certains facteurs de risque.
Introduction : Les traitements immunosuppresseurs sont largement prescrits au cours des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. Ces traitements posent aux praticiens des problèmes quant à leur implication dans la survenue des lymphomes. Une confirmation de ces données est donc nécessaire.
Observations
Observation 1 : Patient de 58 ans suivi pour Maladie de Crohn iléo-caecale, opéré mis sous Imurel®(100mg/J). 2 ans après, le patient a développé sous traitement un lymphome non Hodgkinien de type T mis sous chimiothérapie en rémission complète actuellement.
Observation 2 : Patient de 49 ans suivi pour Maladie de Crohn colique et ano-périnéale mis sous Imurel (50mg /J). 7 mois après, Il a développé un lymphome non Hodgkinien de type B compliqué rapidement d’un choc septique non contrôlé à la suite duquel le patient est décédé.
Discussion et conclusion: Ces deux observations illustrent que le risque de survenue des lymphomes au cours des traitements par immunosuppresseurs est bien réel . Conformément aux données de la littérature, les facteurs de risque identifiés sont l’âge, la présence d’inflammation muqueuse et le sexe masculin. La durée de prise de l’AZA supérieure à 5 ans qui est largement reprise dans la littérature n’a pas été retrouvée dans nos observations. Une surveillance clinico-biologique rigoureuse des patients traités par immunosuppresseurs pour des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin doit être de mise.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2472013 Président : ZENTAR.A Directeur : AOURARH Juge : SEDDIK.H Juge : BENZZOUBEIR.N Lymphome et Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin traitées par immunosuppresseurs. [thèse] / Lomdo Massama Kassirath Sultani, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lymphome Immunosuppresseurs Azathioprine MICI. Résumé :
Buts de l’étude :Soulever le risque réel de survenue de lymphomes chez des patients suivis pour MICI sous Azathioprine en identifiant certains facteurs de risque.
Introduction : Les traitements immunosuppresseurs sont largement prescrits au cours des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. Ces traitements posent aux praticiens des problèmes quant à leur implication dans la survenue des lymphomes. Une confirmation de ces données est donc nécessaire.
Observations
Observation 1 : Patient de 58 ans suivi pour Maladie de Crohn iléo-caecale, opéré mis sous Imurel®(100mg/J). 2 ans après, le patient a développé sous traitement un lymphome non Hodgkinien de type T mis sous chimiothérapie en rémission complète actuellement.
Observation 2 : Patient de 49 ans suivi pour Maladie de Crohn colique et ano-périnéale mis sous Imurel (50mg /J). 7 mois après, Il a développé un lymphome non Hodgkinien de type B compliqué rapidement d’un choc septique non contrôlé à la suite duquel le patient est décédé.
Discussion et conclusion: Ces deux observations illustrent que le risque de survenue des lymphomes au cours des traitements par immunosuppresseurs est bien réel . Conformément aux données de la littérature, les facteurs de risque identifiés sont l’âge, la présence d’inflammation muqueuse et le sexe masculin. La durée de prise de l’AZA supérieure à 5 ans qui est largement reprise dans la littérature n’a pas été retrouvée dans nos observations. Une surveillance clinico-biologique rigoureuse des patients traités par immunosuppresseurs pour des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin doit être de mise.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2472013 Président : ZENTAR.A Directeur : AOURARH Juge : SEDDIK.H Juge : BENZZOUBEIR.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2472013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M2472013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible