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CMV EN TRANSPLANTATION RENALE EXPERIENCE DU CENTRE HOSPITALO-UNIVERSITAIRE IBN SINA DE RABAT / Asmae ABDELLAOUI
Titre : CMV EN TRANSPLANTATION RENALE EXPERIENCE DU CENTRE HOSPITALO-UNIVERSITAIRE IBN SINA DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : Asmae ABDELLAOUI, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : CMV Prophylaxie traitement. Résumé : L’infection par le cytomégalovius est la plus fréquente des infections virales opportunistes
après la greffe d’organe. Le but du travail est de décrire le profil épidémiologique,
prophylaxique, diagnostique, thérapeutique et évolutif de l’infection au CMV chez les
transplantés rénaux au CHU Ibn Sina de Rabat
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective, s’étalant de 2001 à 2021, portant sur les transplantés
rénaux suivis dans notre formation.
La recherche de CMV est réalisée systématiquement dans le sang (seuil positive ≥1,4log
UI/ml) d’une façon mensuelle chez les patients sous prophylaxie, puis de façon mensuelle
pendant les 3 mois suivants l’arrêt de la prophylaxie et si symptômes évocateurs.
Résultats
Parmi nos 157 patients transplantés rénaux, 28 patients ont développé une infection ou
maladie à CMV. Leur âge moyen au moment de la greffe était de 35 ±10 ans, avec un sexe
ratio à 1,33.
Le délai moyen d’apparition de l’infection est de 20 mois. 39% des transplantés ont présenté
une infection à CMV et 61% une maladie à CMV.
Les profils sérologiques des couples receveurs donneurs étaient : R-D+ dans 6 cas, R+D- dans un
cas, R+D+ dans 17 cas. Dans 4 cas le receveur est IgG + alors que le profil du donneur est
inconnu.
16 transplantés ont reçu du Ganciclovir, et 2 patients du valganciclovir . avec un contrôle
hebdomadaire de la charge virale CMV .La durée moyenne de traitement est de 3 semaines
.l’immunosuppression est réduite chez 8 patients (28%) essentiellement les doses de MMF.
Dix patient, ont bénéficié d’une simple surveillance clinico-biologique avec une évolution
favorable .
L’évolution était favorable chez 17 patients ayant reçu le traitement antivirale .Une patiente a
présenté 3 rechutes de sa maladie à CMV pendant une durée de 24 mois . Conclusion
L’infection au CMV est responsable d’effets directs et indirects sur la greffe rénale. Ils
peuvent être prévenus par une prophylaxie, un diagnostic précoce et un traitement adapté
jusqu’au l’éradication de l’infection.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0922022 Directeur : Tarik BOUATTAR CMV EN TRANSPLANTATION RENALE EXPERIENCE DU CENTRE HOSPITALO-UNIVERSITAIRE IBN SINA DE RABAT [thèse] / Asmae ABDELLAOUI, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CMV Prophylaxie traitement. Résumé : L’infection par le cytomégalovius est la plus fréquente des infections virales opportunistes
après la greffe d’organe. Le but du travail est de décrire le profil épidémiologique,
prophylaxique, diagnostique, thérapeutique et évolutif de l’infection au CMV chez les
transplantés rénaux au CHU Ibn Sina de Rabat
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective, s’étalant de 2001 à 2021, portant sur les transplantés
rénaux suivis dans notre formation.
La recherche de CMV est réalisée systématiquement dans le sang (seuil positive ≥1,4log
UI/ml) d’une façon mensuelle chez les patients sous prophylaxie, puis de façon mensuelle
pendant les 3 mois suivants l’arrêt de la prophylaxie et si symptômes évocateurs.
Résultats
Parmi nos 157 patients transplantés rénaux, 28 patients ont développé une infection ou
maladie à CMV. Leur âge moyen au moment de la greffe était de 35 ±10 ans, avec un sexe
ratio à 1,33.
Le délai moyen d’apparition de l’infection est de 20 mois. 39% des transplantés ont présenté
une infection à CMV et 61% une maladie à CMV.
Les profils sérologiques des couples receveurs donneurs étaient : R-D+ dans 6 cas, R+D- dans un
cas, R+D+ dans 17 cas. Dans 4 cas le receveur est IgG + alors que le profil du donneur est
inconnu.
16 transplantés ont reçu du Ganciclovir, et 2 patients du valganciclovir . avec un contrôle
hebdomadaire de la charge virale CMV .La durée moyenne de traitement est de 3 semaines
.l’immunosuppression est réduite chez 8 patients (28%) essentiellement les doses de MMF.
Dix patient, ont bénéficié d’une simple surveillance clinico-biologique avec une évolution
favorable .
L’évolution était favorable chez 17 patients ayant reçu le traitement antivirale .Une patiente a
présenté 3 rechutes de sa maladie à CMV pendant une durée de 24 mois . Conclusion
L’infection au CMV est responsable d’effets directs et indirects sur la greffe rénale. Ils
peuvent être prévenus par une prophylaxie, un diagnostic précoce et un traitement adapté
jusqu’au l’éradication de l’infection.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0922022 Directeur : Tarik BOUATTAR Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0922022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS0922022URL
Titre : INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS ÉPIDÉMIOLOGIE DIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE Type de document : thèse Auteurs : AJHOUN Ayoub, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Virus CMV infection à Cytomégalovirus Epidémiologie Diagnostic Prise ne charge Résumé : Le cytomégalovirus humain (CMVH) est un virus qui a coévolué pendant des milliers d’années avec son hôte l’humain. Il représente un pathogène majeur après transplantation et la première cause d’infection congénitale virale.
C’est un virus strictement humain endémique, ubiquitaire, présent dans le monde entier, avec une séroprévalence variante allant de 35 jusqu’à 100 %.
Virus à ADN, de la sous-famille des β herpesviridae. Il établit une latence à vie après l'infection grâce ses nombreux mécanismes d’échappement immunitaire d’où sa qualification de « maîtres de l’évasion ».
L’infections à cytomégalovirus demeure le plus souvent bénigne chez l’immunocompétent mais peuvent être à l’origine d’infections graves chez les immunodéprimés et les receveurs d’organes.
La démarche diagnostic se base essentiellement sur : la sérologie chez l’immunocompétent et la femme enceinte. La recherche du virus dans les biopsies, le LBA ou le LCR par des techniques basées sur la détection d’antigènes viraux ou d’ADN viral chez l’immunodéprimé. La mise en évidence d’une virurie par PCR ou par culture rapide chez le nouveau-né et la mise en évidence d’ADN viral par PCR dans le liquide amniotique pour Le diagnostic prénatal.
Le ganciclovir IV est utilisé pour le traitement initial de la maladie à cytomégalovirus dans la plupart des cas, suivi du valganciclovir par voie orale pour compléter le traitement. Aucun traitement n'est recommandé pour les patients immunocompétents, y compris les femmes enceintes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3272019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS ÉPIDÉMIOLOGIE DIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE [thèse] / AJHOUN Ayoub, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Virus CMV infection à Cytomégalovirus Epidémiologie Diagnostic Prise ne charge Résumé : Le cytomégalovirus humain (CMVH) est un virus qui a coévolué pendant des milliers d’années avec son hôte l’humain. Il représente un pathogène majeur après transplantation et la première cause d’infection congénitale virale.
C’est un virus strictement humain endémique, ubiquitaire, présent dans le monde entier, avec une séroprévalence variante allant de 35 jusqu’à 100 %.
Virus à ADN, de la sous-famille des β herpesviridae. Il établit une latence à vie après l'infection grâce ses nombreux mécanismes d’échappement immunitaire d’où sa qualification de « maîtres de l’évasion ».
L’infections à cytomégalovirus demeure le plus souvent bénigne chez l’immunocompétent mais peuvent être à l’origine d’infections graves chez les immunodéprimés et les receveurs d’organes.
La démarche diagnostic se base essentiellement sur : la sérologie chez l’immunocompétent et la femme enceinte. La recherche du virus dans les biopsies, le LBA ou le LCR par des techniques basées sur la détection d’antigènes viraux ou d’ADN viral chez l’immunodéprimé. La mise en évidence d’une virurie par PCR ou par culture rapide chez le nouveau-né et la mise en évidence d’ADN viral par PCR dans le liquide amniotique pour Le diagnostic prénatal.
Le ganciclovir IV est utilisé pour le traitement initial de la maladie à cytomégalovirus dans la plupart des cas, suivi du valganciclovir par voie orale pour compléter le traitement. Aucun traitement n'est recommandé pour les patients immunocompétents, y compris les femmes enceintes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3272019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3272019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3272019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M3272019URL