Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Conjonctivite'
Affiner la recherche Faire une suggestion
Titre : INFECTIONS NEONATALES A CHLAMYDIA TRACHOMATIS Type de document : thèse Auteurs : Sakina El MAMOUNI, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chlamydia trachomatis Conjonctivite Pneumopathie Prévention Traitement. Résumé : L'incidence des infections néonatales à Chlamydia est un reflet direct du taux de colonisation maternelle durant la grossesse. La transmission, non obligatoire, se fait soit par voie ascendante, voie hématogène placentaire mais essentiellement à la naissance lors du passage de la filière génitale.
Environ un tiers des nouveau-nés contaminés restent asymptomatiques, mais l'infection a Chlamydia trachomatis est la première cause de conjonctivite néonatale, non influencé par le traitement prophylactique systématique.
C. trachomatis est responsable également de broncho-pneumopathies se révélant entre deux semaines et quatre mois de vie, qui peuvent laisser des séquelles: l'asthme et des maladies inflammatoires chroniques chez l’enfant et l’adulte.
Le diagnostic de ces infections est essentiellement direct grâce à l’utilisation d’outils de biologie moléculaire fiables, qui se repose sur la mise en évidence des bactéries intracellulaires sur des prélèvements, le sérodiagnostic permettant un bilan d’extention.
Le traitement selon (OMS) de la conjonctivite et la pneumonie comprend toujours une antibiothérapie par voie générale : érythromycine, sirop, 50 mg/kg par jour par voie orale, répartis en 4 doses, pendant 14 jours associé à un traitement local en cas de conjonctivite.
Le point essentiel reste la prévention de ces infections par le dépistage ciblé des femmes enceintes considérés comme à risque et le traitement des deux parents en cas de colonisation de la mère.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1362020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M INFECTIONS NEONATALES A CHLAMYDIA TRACHOMATIS [thèse] / Sakina El MAMOUNI, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Chlamydia trachomatis Conjonctivite Pneumopathie Prévention Traitement. Résumé : L'incidence des infections néonatales à Chlamydia est un reflet direct du taux de colonisation maternelle durant la grossesse. La transmission, non obligatoire, se fait soit par voie ascendante, voie hématogène placentaire mais essentiellement à la naissance lors du passage de la filière génitale.
Environ un tiers des nouveau-nés contaminés restent asymptomatiques, mais l'infection a Chlamydia trachomatis est la première cause de conjonctivite néonatale, non influencé par le traitement prophylactique systématique.
C. trachomatis est responsable également de broncho-pneumopathies se révélant entre deux semaines et quatre mois de vie, qui peuvent laisser des séquelles: l'asthme et des maladies inflammatoires chroniques chez l’enfant et l’adulte.
Le diagnostic de ces infections est essentiellement direct grâce à l’utilisation d’outils de biologie moléculaire fiables, qui se repose sur la mise en évidence des bactéries intracellulaires sur des prélèvements, le sérodiagnostic permettant un bilan d’extention.
Le traitement selon (OMS) de la conjonctivite et la pneumonie comprend toujours une antibiothérapie par voie générale : érythromycine, sirop, 50 mg/kg par jour par voie orale, répartis en 4 doses, pendant 14 jours associé à un traitement local en cas de conjonctivite.
Le point essentiel reste la prévention de ces infections par le dépistage ciblé des femmes enceintes considérés comme à risque et le traitement des deux parents en cas de colonisation de la mère.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1362020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1362020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M1362020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M1362020URL
Titre : SYNDROME DE FIESSENGER- LEROY- REITER Type de document : thèse Auteurs : ZEBBAKH Hajar, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrite Bactérie Biologie moléculaire Conjonctivite Urétrite Résumé : Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter ou syndrome oculo-urétro-synovial associe la triade classique conjonctivite–urétrite– arthrite. Dû principalement à Chlamydiae Trachomatis, peut-être dû également à d’autres germes : Mycoplasma hominis, Ureaplasma urealyticum, Shigella flexneri, Salmonella spp, Yersinia enterocolitica, Campylobacter spp et Neisseria gonorrhoeae.
Il a été décrit par de nombreux chercheurs selon plusieurs étapes mais la description princeps a été attribuée à Hans Reiter en 1916.
Ce syndrome touche principalement les adultes jeunes de sexe masculin de la trentaine et se caractérise par son polymorphisme clinique. La connaissance des critères mineurs et majeurs cliniques et para cliniques est nécessaire pour établir le diagnostic et commencer la conduite thérapeutique. Les techniques de PCR peuvent redresser le diagnostic lorsque les autres explorations microbiologiques standards sont en défaut.
Il n’y a pas de remède contre le syndrome de Reiter, le traitement est plutôt symptomatique faisant appel aux analgésiques et aux anti- inflammatoires non stéroïdiens pour l’atteinte articulaire, à des gouttes oculaires stéroïdiennes ou des préparations sous-conjonctivales pour l’atteinte oculaire. L’utilisation de l’antibiothérapie est controversée.
Etant donné que les maladies sexuellement transmissibles sont une cause importante du syndrome de Reiter, leur prévention est primordiale pour éviter ce syndrome.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392019 Président : EL HAMZAOUI.S Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S SYNDROME DE FIESSENGER- LEROY- REITER [thèse] / ZEBBAKH Hajar, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Arthrite Bactérie Biologie moléculaire Conjonctivite Urétrite Résumé : Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter ou syndrome oculo-urétro-synovial associe la triade classique conjonctivite–urétrite– arthrite. Dû principalement à Chlamydiae Trachomatis, peut-être dû également à d’autres germes : Mycoplasma hominis, Ureaplasma urealyticum, Shigella flexneri, Salmonella spp, Yersinia enterocolitica, Campylobacter spp et Neisseria gonorrhoeae.
Il a été décrit par de nombreux chercheurs selon plusieurs étapes mais la description princeps a été attribuée à Hans Reiter en 1916.
Ce syndrome touche principalement les adultes jeunes de sexe masculin de la trentaine et se caractérise par son polymorphisme clinique. La connaissance des critères mineurs et majeurs cliniques et para cliniques est nécessaire pour établir le diagnostic et commencer la conduite thérapeutique. Les techniques de PCR peuvent redresser le diagnostic lorsque les autres explorations microbiologiques standards sont en défaut.
Il n’y a pas de remède contre le syndrome de Reiter, le traitement est plutôt symptomatique faisant appel aux analgésiques et aux anti- inflammatoires non stéroïdiens pour l’atteinte articulaire, à des gouttes oculaires stéroïdiennes ou des préparations sous-conjonctivales pour l’atteinte oculaire. L’utilisation de l’antibiothérapie est controversée.
Etant donné que les maladies sexuellement transmissibles sont une cause importante du syndrome de Reiter, leur prévention est primordiale pour éviter ce syndrome.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392019 Président : EL HAMZAOUI.S Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0392019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M0392019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M0392019URL