Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Dermatophytoses'
Affiner la recherche Faire une suggestion
DECONTAMINATION DES SEMELLES COLONISEES PAR TRICHOPHYTON RUBRUM : ACTION DE DEUX ANTIFONGIQUES : SERTACONAZOLE 2% ET TERBINAFINE 1% / Kaoutar BENKHRABA
Titre : DECONTAMINATION DES SEMELLES COLONISEES PAR TRICHOPHYTON RUBRUM : ACTION DE DEUX ANTIFONGIQUES : SERTACONAZOLE 2% ET TERBINAFINE 1% Type de document : thèse Auteurs : Kaoutar BENKHRABA, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trichophyton rubrum Antifongique Dermatophytoses Sertaconazole Terbinafine Résumé : Introduction : La macération, la température élevée et le suintement au sein des chaussures qui
sont dans la plupart des cas fermés et serrés sont des facteurs de risque favorisant les dermatophyties
des pieds, dues le plus souvent au Trichophyton rubrum. L’objectif de notre travail est d’étudier
l’efficience de la sertaconazole 2% (poudre) et de la terbinafine 1% (crème et spray) à décontaminer
des semelles infectées par le Trichophyton rubrum.
Matériel et méthodes : Cinq types de semelles ont été testées (cuir, laine, silicone, synthétique
et synthétique-plastique). Des morceaux de ces dernières ont été placés dans des boites de Pétri,
humidifiées à température ambiante pendant 48 heures pour atteindre les conditions de macération
d’une situation réelle. Des échantillons de squames infectées par le Trichophyton rubrum prélevées de
patients, ont été ajoutés aux boites de Pétri.
Les semelles tests ont été pulvérisées une seule fois avec la sertaconazole 2% en poudre puis
incubées 48 heures. La même démarche a été adoptée pour la terbinafine 1% crème et spray solution.
Les semelles témoins n’ont pas été traitées.
Les squames de l’ensemble des semelles ont été mises en culture sur le milieu Sabouraud
Chloramphénicol avec et sans Actidione, incubés pendant 3 semaines à 27°C (pour les semelles tests
et les semelles témoins).
Résultats : Les semelles témoins non traitées se sont avérées positives quel que soit le type
avec une croissance et développement des colonies de Trichophyton rubrum. En contrepartie, les
semelles traitées par la sertaconazole 2% et celles traitées par la terbinafine 1% sont restées stériles
pendant toute la durée d’incubation (3 semaines).
Conclusion : L’efficacité de la sertaconazole 2% et de la terbinafine 1% a été affirmée par les
résultats de notre étude. C’est assurément une seule et unique pulvérisation qui permet la stérilisation,
depuis les 48 heures suivant l’adhérence, des semelles quel que soit le type de ces dernières.
L’utilisation une fois par semaine de l’un des deux antifongiques permet d’appuyer le traitement ainsi
que la possibilité de prévenir une rechute en l’utilisant une fois par semaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0422022 Président : Mohamed MEIOUET Directeur : Badr Eddine LMIMOUNI Juge : Hakima KABBAJ Juge : Hafida NAOUI Juge : Meryem IKEN DECONTAMINATION DES SEMELLES COLONISEES PAR TRICHOPHYTON RUBRUM : ACTION DE DEUX ANTIFONGIQUES : SERTACONAZOLE 2% ET TERBINAFINE 1% [thèse] / Kaoutar BENKHRABA, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Trichophyton rubrum Antifongique Dermatophytoses Sertaconazole Terbinafine Résumé : Introduction : La macération, la température élevée et le suintement au sein des chaussures qui
sont dans la plupart des cas fermés et serrés sont des facteurs de risque favorisant les dermatophyties
des pieds, dues le plus souvent au Trichophyton rubrum. L’objectif de notre travail est d’étudier
l’efficience de la sertaconazole 2% (poudre) et de la terbinafine 1% (crème et spray) à décontaminer
des semelles infectées par le Trichophyton rubrum.
Matériel et méthodes : Cinq types de semelles ont été testées (cuir, laine, silicone, synthétique
et synthétique-plastique). Des morceaux de ces dernières ont été placés dans des boites de Pétri,
humidifiées à température ambiante pendant 48 heures pour atteindre les conditions de macération
d’une situation réelle. Des échantillons de squames infectées par le Trichophyton rubrum prélevées de
patients, ont été ajoutés aux boites de Pétri.
Les semelles tests ont été pulvérisées une seule fois avec la sertaconazole 2% en poudre puis
incubées 48 heures. La même démarche a été adoptée pour la terbinafine 1% crème et spray solution.
Les semelles témoins n’ont pas été traitées.
Les squames de l’ensemble des semelles ont été mises en culture sur le milieu Sabouraud
Chloramphénicol avec et sans Actidione, incubés pendant 3 semaines à 27°C (pour les semelles tests
et les semelles témoins).
Résultats : Les semelles témoins non traitées se sont avérées positives quel que soit le type
avec une croissance et développement des colonies de Trichophyton rubrum. En contrepartie, les
semelles traitées par la sertaconazole 2% et celles traitées par la terbinafine 1% sont restées stériles
pendant toute la durée d’incubation (3 semaines).
Conclusion : L’efficacité de la sertaconazole 2% et de la terbinafine 1% a été affirmée par les
résultats de notre étude. C’est assurément une seule et unique pulvérisation qui permet la stérilisation,
depuis les 48 heures suivant l’adhérence, des semelles quel que soit le type de ces dernières.
L’utilisation une fois par semaine de l’un des deux antifongiques permet d’appuyer le traitement ainsi
que la possibilité de prévenir une rechute en l’utilisant une fois par semaine.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0422022 Président : Mohamed MEIOUET Directeur : Badr Eddine LMIMOUNI Juge : Hakima KABBAJ Juge : Hafida NAOUI Juge : Meryem IKEN Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0422022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible P0422022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2022 Disponible Documents numériques
P0422022URL Les dermatpophytoses chez l’enfant / Monsif Alaoui Manal
Titre : Les dermatpophytoses chez l’enfant Type de document : thèse Auteurs : Monsif Alaoui Manal, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dermatophytoses enfant étiopathogénie formes cliniques Traitement Résumé : Les dermatophytoses de l’enfant sont des mycoses superficielles fréquentes de la peau et des phanères, causées par des champignons microscopiques filamenteux. Ces micromycètes kératinophiles peuvent être d’origine anthropophile, zoophile, ou tellurique.
Bien que ces champignons soient, pour la plupart cosmopolites, leur épidémiologie est variable selon les différentes régions du monde. Les dermatophytoses peuvent survenir à tout âge, certaines sont particulièrement répandues chez les enfants. Tineacapitis est l’infection fongique la plus fréquente au-dessous de l'âge de 12 ans. Tineacruris est censé être réservé aux adolescents et les jeunes adultes. Tineapedis est moins fréquente chez les enfants que chez les adultes et rare avant quatre ans.
Les lésions engendrées par les dermatophytes sont, des teignes du cuir chevelu, des folliculites et des épidermophyties de la peau glabre. Elles concernent pour beaucoup l’enfant et le jeune adolescent. Leur prise en charge repose tout d’abord sur le diagnostic mycologique effectué au laboratoire qui permettra d’identifier, à partir de l’espèce isolée, le réservoir en cause.
Le traitement des dermatophytoses repose sur l’utilisation d’antifongiques systémiques et/ou topiques, les protocoles de traitement étant différents selon le type de lésions. Les molécules les plus utilisées pour le traitement systémique sont la griséofulvine et la terbinafine, et pour le traitement local, les dérivés azolés et la terbinafine.
La mise en place de mesures prophylactiques, consiste à dépister et à traiter les animaux parasités, à nettoyer et à désinfecter l’environnement de manière drastique, et à observer certaines règles d’hygiène.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1562015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Les dermatpophytoses chez l’enfant [thèse] / Monsif Alaoui Manal, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Dermatophytoses enfant étiopathogénie formes cliniques Traitement Résumé : Les dermatophytoses de l’enfant sont des mycoses superficielles fréquentes de la peau et des phanères, causées par des champignons microscopiques filamenteux. Ces micromycètes kératinophiles peuvent être d’origine anthropophile, zoophile, ou tellurique.
Bien que ces champignons soient, pour la plupart cosmopolites, leur épidémiologie est variable selon les différentes régions du monde. Les dermatophytoses peuvent survenir à tout âge, certaines sont particulièrement répandues chez les enfants. Tineacapitis est l’infection fongique la plus fréquente au-dessous de l'âge de 12 ans. Tineacruris est censé être réservé aux adolescents et les jeunes adultes. Tineapedis est moins fréquente chez les enfants que chez les adultes et rare avant quatre ans.
Les lésions engendrées par les dermatophytes sont, des teignes du cuir chevelu, des folliculites et des épidermophyties de la peau glabre. Elles concernent pour beaucoup l’enfant et le jeune adolescent. Leur prise en charge repose tout d’abord sur le diagnostic mycologique effectué au laboratoire qui permettra d’identifier, à partir de l’espèce isolée, le réservoir en cause.
Le traitement des dermatophytoses repose sur l’utilisation d’antifongiques systémiques et/ou topiques, les protocoles de traitement étant différents selon le type de lésions. Les molécules les plus utilisées pour le traitement systémique sont la griséofulvine et la terbinafine, et pour le traitement local, les dérivés azolés et la terbinafine.
La mise en place de mesures prophylactiques, consiste à dépister et à traiter les animaux parasités, à nettoyer et à désinfecter l’environnement de manière drastique, et à observer certaines règles d’hygiène.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1562015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1562015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1562015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Les mycoses superficieLLes diagnostiquees a l’hopital ibn sina de rabat : A propos de 1288 cas (2016-2019) / Narjess ER-RACHDY
Titre : Les mycoses superficieLLes diagnostiquees a l’hopital ibn sina de rabat : A propos de 1288 cas (2016-2019) Type de document : thèse Auteurs : Narjess ER-RACHDY, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mycose superficielle Diagnostic mycologique Dermatophytoses Trichophytan rubrum candidose Candida albicans Résumé : Introduction: Les mycoses superficielles sont des infections courantes dans le monde entier, et
leur incidence continue d'augmenter. Elles sont dues à des champignons microscopiques se
développant au niveau de la peau, des muqueuses, des ongles, des cheveux et des poils.
Objectifs: Etudier le profil épidémiologique, clinique et mycologique des mycoses
superficielles diagnostiquées à l’hôpital Ibn Sina de Rabat.
Patients et méthodes: Il s’agit d’une étude rétrospective, réalisée au laboratoire central de
Parasitologie-Mycologie Médicale de l’hôpital Ibn Sina de Rabat sur une période de 4 ans. Tous les
patients qui se sont présentés au laboratoire pour suspicion d’une mycose superficielle, ont bénéficié
d’un examen mycologique comportant un examen direct et une culture. Seuls les prélèvements ayant
une culture positive ont été retenus dans l’étude.
Résultats: Les mycoses superficielles ont été diagnostiquées dans 1288 cas soit une prévalence
de 54.48%. L’âge moyen des patients était de 48 ans, le sexe ratio H/F était de 0.65. La majorité des
patients était des externes (83.15%).
Sur l’ensemble des mycoses superficielles, les onychomycoses étaient les plus fréquentes avec
un taux de 81.60%, suivies d’épidermomycoses (13.35 %), des mycoses du cuir chevelu (4.27%), des
mycoses orales (0.47%) et des mycoses génitales (0.31%).
Les dermatophytes étaient les plus isolés (69.34%), suivis des levures (28.51%), des moisissures
(1.77%) et des pseudo-dermatophytes (0.39%).
Les principales espèces dermatophytiques étaient représentées par Trichophyton rubrum
(91.89%), suivi de Microsporum canis (2.89%). Les levures les plus retrouvées étaient Candida
albicans (47.30%), suivi de Candida sp. (30.27%). Aspergillus était le plus isolé pour les moisissures
(34.78%) et Scytalidium dimidiatum pour les pseudo-dermatophytes.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3142020 Président : BALOUCH.L Directeur : AOUFI.S Juge : NAOUI.H Les mycoses superficieLLes diagnostiquees a l’hopital ibn sina de rabat : A propos de 1288 cas (2016-2019) [thèse] / Narjess ER-RACHDY, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mycose superficielle Diagnostic mycologique Dermatophytoses Trichophytan rubrum candidose Candida albicans Résumé : Introduction: Les mycoses superficielles sont des infections courantes dans le monde entier, et
leur incidence continue d'augmenter. Elles sont dues à des champignons microscopiques se
développant au niveau de la peau, des muqueuses, des ongles, des cheveux et des poils.
Objectifs: Etudier le profil épidémiologique, clinique et mycologique des mycoses
superficielles diagnostiquées à l’hôpital Ibn Sina de Rabat.
Patients et méthodes: Il s’agit d’une étude rétrospective, réalisée au laboratoire central de
Parasitologie-Mycologie Médicale de l’hôpital Ibn Sina de Rabat sur une période de 4 ans. Tous les
patients qui se sont présentés au laboratoire pour suspicion d’une mycose superficielle, ont bénéficié
d’un examen mycologique comportant un examen direct et une culture. Seuls les prélèvements ayant
une culture positive ont été retenus dans l’étude.
Résultats: Les mycoses superficielles ont été diagnostiquées dans 1288 cas soit une prévalence
de 54.48%. L’âge moyen des patients était de 48 ans, le sexe ratio H/F était de 0.65. La majorité des
patients était des externes (83.15%).
Sur l’ensemble des mycoses superficielles, les onychomycoses étaient les plus fréquentes avec
un taux de 81.60%, suivies d’épidermomycoses (13.35 %), des mycoses du cuir chevelu (4.27%), des
mycoses orales (0.47%) et des mycoses génitales (0.31%).
Les dermatophytes étaient les plus isolés (69.34%), suivis des levures (28.51%), des moisissures
(1.77%) et des pseudo-dermatophytes (0.39%).
Les principales espèces dermatophytiques étaient représentées par Trichophyton rubrum
(91.89%), suivi de Microsporum canis (2.89%). Les levures les plus retrouvées étaient Candida
albicans (47.30%), suivi de Candida sp. (30.27%). Aspergillus était le plus isolé pour les moisissures
(34.78%) et Scytalidium dimidiatum pour les pseudo-dermatophytes.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3142020 Président : BALOUCH.L Directeur : AOUFI.S Juge : NAOUI.H Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3142020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M3142020-1 WA Thèse numérique Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M3142020URL