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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Hémoptysie'
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Titre : HEMOPTYSIE CHEZ L’ENFANT Type de document : thèse Auteurs : Mohamed EL BOUIRTOU, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hémoptysie Enfants Etiologies Résumé : Objectif : L'hémoptysie est un symptôme rare chez l'enfant, mais peut être dramatique et
effrayante. Elle pose au clinicien d'importants défis diagnostiques et thérapeutiques. L’objectif de
notre travail est de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et paracliniques de l’hémoptysie
chez la population pédiatrique et d’étudier ses étiologies. Et ce en vue d’optimiser sa gestion à
l’échelle locale et nationale et d’instaurer des protocoles pour l’exploration de ce symptôme.
Matériels et Méthodes : Notre travail est une étude rétrospective, descriptive et analytique
portant sur 65 cas d’hémoptysie colligés au service de pneumologie pédiatrique de l’hôpital d’enfant
du Centre Hospitalier Universitaire Ibn Sina de RABAT, durant la période allant de Janvier 2009 à
Décembre 2019.
Résultats : la fréquence de l’hémoptysie durant la période d’étude était de 0.35%. L’âge moyen
de nos patients était de 8 ans et 5 mois. Le sexe féminin était prédominant avec 37 cas (56.9%) avec
un sexe ratio de 1,3. L’hémoptysie était de faible, moyenne et grande abondance dans respectivement
40% (n=26), 55.4% (n=36), 4.6% (n=3) des cas. Vingt patients (30.7%) présentaient un ATCD
d’hémoptysie et 11 (16.9%) présentaient une notion d’infection respiratoire basse à répétition. La
radiographie thoracique a été réalisée chez tous les malades, elle était normale dans 16 cas (24.6%). Le
scanner thoracique a été réalisé chez 38 patients (58.5%) permettant de retenir le diagnostic
étiologique dans 21 cas soit 55.3%. Douze patients (18.5%) avaient bénéficié d’une endoscopie
bronchique, elle avait permis de retenir le diagnostic étiologique chez trois patients. Les étiologies
étaient variées, les infections respiratoires basses venant en premier rang avec un taux de 52.3%
suivies par les DDB 13.8%. La tuberculose pulmonaire était la cause infectieuse la plus fréquente 20%
suivie par l’hydatidose pulmonaire 18.5 %. D’autres étiologies rares étaient retrouvées dans des
proportions variables : cardiopathies (2 cas), l’hémosidérose pulmonaire idiopathique (2 cas),
Contusion pulmonaire (1 cas), MAKP (1 cas), syndrome de Goodpasture (1 cas), le mégaoesophage
(1cas), malformation artérioveineuse pulmonaire (1cas). Dans 16.9% des cas l’étiologie de
l’hémoptysie restait indéterminée.
Conclusion :
La prise en charge optimale de l’hémoptysie chez l’enfant repose essentiellement sur la bonne
connaissance de ces étiologies et la bonne hiérarchisation des moyens d'imagerie. Un algorithme
décisionnel est proposé pour aide diagnostic aux praticiens.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2442021 Président : Chafiq MAHRAOUI Directeur : Naima EL HAFID Juge : Soumia BENCHEKROUN Juge : Mounir KISRA HEMOPTYSIE CHEZ L’ENFANT [thèse] / Mohamed EL BOUIRTOU, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hémoptysie Enfants Etiologies Résumé : Objectif : L'hémoptysie est un symptôme rare chez l'enfant, mais peut être dramatique et
effrayante. Elle pose au clinicien d'importants défis diagnostiques et thérapeutiques. L’objectif de
notre travail est de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et paracliniques de l’hémoptysie
chez la population pédiatrique et d’étudier ses étiologies. Et ce en vue d’optimiser sa gestion à
l’échelle locale et nationale et d’instaurer des protocoles pour l’exploration de ce symptôme.
Matériels et Méthodes : Notre travail est une étude rétrospective, descriptive et analytique
portant sur 65 cas d’hémoptysie colligés au service de pneumologie pédiatrique de l’hôpital d’enfant
du Centre Hospitalier Universitaire Ibn Sina de RABAT, durant la période allant de Janvier 2009 à
Décembre 2019.
Résultats : la fréquence de l’hémoptysie durant la période d’étude était de 0.35%. L’âge moyen
de nos patients était de 8 ans et 5 mois. Le sexe féminin était prédominant avec 37 cas (56.9%) avec
un sexe ratio de 1,3. L’hémoptysie était de faible, moyenne et grande abondance dans respectivement
40% (n=26), 55.4% (n=36), 4.6% (n=3) des cas. Vingt patients (30.7%) présentaient un ATCD
d’hémoptysie et 11 (16.9%) présentaient une notion d’infection respiratoire basse à répétition. La
radiographie thoracique a été réalisée chez tous les malades, elle était normale dans 16 cas (24.6%). Le
scanner thoracique a été réalisé chez 38 patients (58.5%) permettant de retenir le diagnostic
étiologique dans 21 cas soit 55.3%. Douze patients (18.5%) avaient bénéficié d’une endoscopie
bronchique, elle avait permis de retenir le diagnostic étiologique chez trois patients. Les étiologies
étaient variées, les infections respiratoires basses venant en premier rang avec un taux de 52.3%
suivies par les DDB 13.8%. La tuberculose pulmonaire était la cause infectieuse la plus fréquente 20%
suivie par l’hydatidose pulmonaire 18.5 %. D’autres étiologies rares étaient retrouvées dans des
proportions variables : cardiopathies (2 cas), l’hémosidérose pulmonaire idiopathique (2 cas),
Contusion pulmonaire (1 cas), MAKP (1 cas), syndrome de Goodpasture (1 cas), le mégaoesophage
(1cas), malformation artérioveineuse pulmonaire (1cas). Dans 16.9% des cas l’étiologie de
l’hémoptysie restait indéterminée.
Conclusion :
La prise en charge optimale de l’hémoptysie chez l’enfant repose essentiellement sur la bonne
connaissance de ces étiologies et la bonne hiérarchisation des moyens d'imagerie. Un algorithme
décisionnel est proposé pour aide diagnostic aux praticiens.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2442021 Président : Chafiq MAHRAOUI Directeur : Naima EL HAFID Juge : Soumia BENCHEKROUN Juge : Mounir KISRA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2442021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M2442021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M2442021URL
Titre : SYNDROME DE HUGHES-STOVIN À PROPOS DE 3 CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : Charaf-Eddine AMEZYANE, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : SHS Anévrisme pulmonaire Thrombose Hémoptysie Immunosuppresseur Résumé : Le syndrome de Hughes-Stovin (SHS) est défini par l’association d’anévrisme
artériel pulmonaire (AAP) isolé ou multiple, et d’une thrombose veineuse profonde
systémique. C’est une affection rare (moins de 70 cas publiés) qui porte le nom des
deux médecins britaniques qui l’ont décrit pour la première fois en 1959. Il est
considéré comme une forme vasculaire incomplète de la maladie de Behçet, en raison
de « l’absence » des manifestations dermatologiques et ophtalmologiques
caractéristiques de cette maladie. À travers 3 cas, colligés au service de médecine
interne B de l’H.M.I.M.V durant les 20 dernières années, nous avons étalé dans ce
travail :
1. Les différentes manifestations clinico-morphologiques du SHS, au terme desquelles
nous avons proposé des critères diagnostiques. Ainsi, nous avons donné à la
thrombose intracardiaque droite la valeur qu’elle se doit tout en prenant en
considération d’autres arguments rares mais suggestifs du diagnostic.
2. Les modalités thérapeutiques ainsi que les difficultés rencontrées lors de la prise en
charge de cette affection. Dans ce cadre, le traitement immunosuppresseur (IS)
combiné a démontré son utilité dans le contrôle évolutif de la maladie. La
prescription du traitement anticoagulant et sa poursuite doivent être mûrement
réfléchies. La thrombectomie par système AngioVac est une bonne alternative
thérapeutique en cas de thrombose avec risque hémorragique. L’embolisation
endovascualire doit être instaurée d’urgence en cas de saignement important, et dans
les meilleurs délais devant tout AAP à risque élevé de rupture.
3. Les éléments qui conditionnent le pronostic. Une évaluation périodique du risque
hémorragique est indispensable, l’hémoptysie massive étant souvent la cause du
décès. Le début précoce du traitement IS combiné a été significativement associé à
de faibles taux de mortalité. Il ne doit en aucun cas retarder un geste d’embolisation
endovasculaire quand il est indiqué.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3582022 Président : Ahmed ABID Directeur : Jamal FATIHI Juge : Wafa AMMOURI Juge : ISSAM EN-NAFAA Juge : Naoual EL OMRI SYNDROME DE HUGHES-STOVIN À PROPOS DE 3 CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE [thèse] / Charaf-Eddine AMEZYANE, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SHS Anévrisme pulmonaire Thrombose Hémoptysie Immunosuppresseur Résumé : Le syndrome de Hughes-Stovin (SHS) est défini par l’association d’anévrisme
artériel pulmonaire (AAP) isolé ou multiple, et d’une thrombose veineuse profonde
systémique. C’est une affection rare (moins de 70 cas publiés) qui porte le nom des
deux médecins britaniques qui l’ont décrit pour la première fois en 1959. Il est
considéré comme une forme vasculaire incomplète de la maladie de Behçet, en raison
de « l’absence » des manifestations dermatologiques et ophtalmologiques
caractéristiques de cette maladie. À travers 3 cas, colligés au service de médecine
interne B de l’H.M.I.M.V durant les 20 dernières années, nous avons étalé dans ce
travail :
1. Les différentes manifestations clinico-morphologiques du SHS, au terme desquelles
nous avons proposé des critères diagnostiques. Ainsi, nous avons donné à la
thrombose intracardiaque droite la valeur qu’elle se doit tout en prenant en
considération d’autres arguments rares mais suggestifs du diagnostic.
2. Les modalités thérapeutiques ainsi que les difficultés rencontrées lors de la prise en
charge de cette affection. Dans ce cadre, le traitement immunosuppresseur (IS)
combiné a démontré son utilité dans le contrôle évolutif de la maladie. La
prescription du traitement anticoagulant et sa poursuite doivent être mûrement
réfléchies. La thrombectomie par système AngioVac est une bonne alternative
thérapeutique en cas de thrombose avec risque hémorragique. L’embolisation
endovascualire doit être instaurée d’urgence en cas de saignement important, et dans
les meilleurs délais devant tout AAP à risque élevé de rupture.
3. Les éléments qui conditionnent le pronostic. Une évaluation périodique du risque
hémorragique est indispensable, l’hémoptysie massive étant souvent la cause du
décès. Le début précoce du traitement IS combiné a été significativement associé à
de faibles taux de mortalité. Il ne doit en aucun cas retarder un geste d’embolisation
endovasculaire quand il est indiqué.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3582022 Président : Ahmed ABID Directeur : Jamal FATIHI Juge : Wafa AMMOURI Juge : ISSAM EN-NAFAA Juge : Naoual EL OMRI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3582022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M3582022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M3582022URL LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L’ASPERGILLOME PULMONAIRE / TITOU HICHAM
Titre : LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L’ASPERGILLOME PULMONAIRE Type de document : thèse Auteurs : TITOU HICHAM, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : ASPERGILLOME HEMOPTYSIE CHIRURGIE PULMONAIRE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : But de l’étude :
Le but de cette étude rétrospective était d’analyser les résultats du traitement chirurgical chez 53 patients opérés pour aspergillome pulmonaire .
Patients et méthode :
De 2002 à 2009, 58 patients ont été pris en charge dans le service de chirurgie thoracique à l’hôpital militaire d’instruction mohammed V pour aspergillome pulmonaire; 53 patients ont été traités chirurgicalement, 5 patients ont été jugés inopérables à cause de l’altération de leur état général et/ou de la comorbidité et/ou de la bilatéralité des lésions pulmonaires. L’hémoptysie était le symptôme le plus souvent observé (dans 75.47 % des cas).
L’exérèse chirurgicale a été réalisée par principe, avec 19 résections lobaires, 13 segmentaires, 11 wedge resection, 6 pleuro-pneumonectomies, 2 truffectomie + myoplastie, 1 cavernostomie, et une thoracoplastie .
Résultats :
les complications postopératoires ont été survenues dans 26.4 % des cas, sous forme de : hémothorax (2 cas), fuite d’air prolongée (6 cas), défaut de réhabitation (2 cas), empyème (1 cas), fistule broncho-pulmonaire (1 cas), infection de la paroi (1 cas) et de la détresse réspiratoire (1cas). Une réintervention a été nécessaire chez 2 patients. Aucun décés postopératoire n’a été noté .
Conclusion :
Le traitement chirurgical de l’aspergillome pulmonaire malgré son importante morbidité, doit être proposé systématiquement même chez les sujets asymptomatiques, quand il n’y a pas de contre-indication opératoire.
La pleuro-pneumonectomie est grave et doit être si possible évitée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1892010 Président : SOUAD CHAOUIR Directeur : ELHOUSSAIN KABIRI Juge : ABDERAHMAN AL BOUZIDI Juge : ISMAIL ABDERAHMAN GHORFI LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DE L’ASPERGILLOME PULMONAIRE [thèse] / TITOU HICHAM, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-cl̩s : ASPERGILLOME HEMOPTYSIE CHIRURGIE PULMONAIRE Index. d̩cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE R̩sum̩ : But de lՎtude :
Le but de cette étude rétrospective était d’analyser les résultats du traitement chirurgical chez 53 patients opérés pour aspergillome pulmonaire .
Patients et méthode :
De 2002 à 2009, 58 patients ont été pris en charge dans le service de chirurgie thoracique à l’hôpital militaire d’instruction mohammed V pour aspergillome pulmonaire; 53 patients ont été traités chirurgicalement, 5 patients ont été jugés inopérables à cause de l’altération de leur état général et/ou de la comorbidité et/ou de la bilatéralité des lésions pulmonaires. L’hémoptysie était le symptôme le plus souvent observé (dans 75.47 % des cas).
L’exérèse chirurgicale a été réalisée par principe, avec 19 résections lobaires, 13 segmentaires, 11 wedge resection, 6 pleuro-pneumonectomies, 2 truffectomie + myoplastie, 1 cavernostomie, et une thoracoplastie .
Résultats :
les complications postopératoires ont été survenues dans 26.4 % des cas, sous forme de : hémothorax (2 cas), fuite d’air prolongée (6 cas), défaut de réhabitation (2 cas), empyème (1 cas), fistule broncho-pulmonaire (1 cas), infection de la paroi (1 cas) et de la détresse réspiratoire (1cas). Une réintervention a été nécessaire chez 2 patients. Aucun décés postopératoire n’a été noté .
Conclusion :
Le traitement chirurgical de l’aspergillome pulmonaire malgré son importante morbidité, doit être proposé systématiquement même chez les sujets asymptomatiques, quand il n’y a pas de contre-indication opératoire.
La pleuro-pneumonectomie est grave et doit être si possible évitée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1892010 Président : SOUAD CHAOUIR Directeur : ELHOUSSAIN KABIRI Juge : ABDERAHMAN AL BOUZIDI Juge : ISMAIL ABDERAHMAN GHORFI Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1892010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible