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ASPECTS THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS DE L’HEPATITE B CHRONIQUE (A PROPOS DE 40 CAS) / SARA RATBI
Titre : ASPECTS THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS DE L’HEPATITE B CHRONIQUE (A PROPOS DE 40 CAS) Type de document : thèse Auteurs : SARA RATBI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEPATITE B CHRONIQUE INTERFERON PEGYLE ANALOGUES NUCLEOSI(TI)DIQUES ADN POLYMERASE Résumé :
L’hépatite virale B est une infection fréquente qui constitue un problème majeur de santé publique, par son risque d’évoluer vers la cirrhose du foie et la greffe d’un carcinome hépatocellulaire.
Nous avons mené une étude rétrospective d’une série de 40 malades, traités pour hépatite chronique B dans les services de médecine A et B de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V, durant la période allant de janvier 2000 à décembre 2011.
40 patients d’âge moyen de 44 ans et sex- ratio de 9 ont été inclus dans l’étude. L’hépatite B à virus mutant était plus fréquente (60%). 60% des patients avaient une hépatite chronique B modérée à sévère et 15% étaient au stade de cirrhose. Le traitement de première ligne était l’IFN pégylé dans 87.5% des cas. Le traitement de deuxième ligne a reposé sur les analogues nucléosi(ti)diques : Lamivudine, Lamivudine+Adéfovir, et Entécavir dans respectivement 52, 35 et 13%. 42% des patients avaient répondu au traitement de première ligne par IFN pégylé avec une efficacité comparable aussi bien pour le virus sauvage et mutant. L’échappement thérapeutique à la Lamivudine en première ligne était survenu dans 19% des cas. Une résistance à la Lamivudine, l’Adéfovir et l’Entécavir était survenue dans respectivement 67, 25, et 8% des cas.
Le traitement de l’hépatite chronique B reste un véritable défi. Le traitement de première ligne repose essentiellement sur l’IFN pégylé qui pose des problèmes de tolérance. Les analogues nucléos(t)idiques sont bien tolérés mais posent le problème d’émergence de mutants résistants.
Les combinaisons d’analogues nucléos(t)idiques pourraient permettre de prévenir l’apparition de résistances
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0902012 Président : DRISS GHAFIR Directeur : ALI ABOUZAHIR Juge : KHALID ENNIBI ASPECTS THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS DE L’HEPATITE B CHRONIQUE (A PROPOS DE 40 CAS) [thèse] / SARA RATBI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : HEPATITE B CHRONIQUE INTERFERON PEGYLE ANALOGUES NUCLEOSI(TI)DIQUES ADN POLYMERASE Résumé :
L’hépatite virale B est une infection fréquente qui constitue un problème majeur de santé publique, par son risque d’évoluer vers la cirrhose du foie et la greffe d’un carcinome hépatocellulaire.
Nous avons mené une étude rétrospective d’une série de 40 malades, traités pour hépatite chronique B dans les services de médecine A et B de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V, durant la période allant de janvier 2000 à décembre 2011.
40 patients d’âge moyen de 44 ans et sex- ratio de 9 ont été inclus dans l’étude. L’hépatite B à virus mutant était plus fréquente (60%). 60% des patients avaient une hépatite chronique B modérée à sévère et 15% étaient au stade de cirrhose. Le traitement de première ligne était l’IFN pégylé dans 87.5% des cas. Le traitement de deuxième ligne a reposé sur les analogues nucléosi(ti)diques : Lamivudine, Lamivudine+Adéfovir, et Entécavir dans respectivement 52, 35 et 13%. 42% des patients avaient répondu au traitement de première ligne par IFN pégylé avec une efficacité comparable aussi bien pour le virus sauvage et mutant. L’échappement thérapeutique à la Lamivudine en première ligne était survenu dans 19% des cas. Une résistance à la Lamivudine, l’Adéfovir et l’Entécavir était survenue dans respectivement 67, 25, et 8% des cas.
Le traitement de l’hépatite chronique B reste un véritable défi. Le traitement de première ligne repose essentiellement sur l’IFN pégylé qui pose des problèmes de tolérance. Les analogues nucléos(t)idiques sont bien tolérés mais posent le problème d’émergence de mutants résistants.
Les combinaisons d’analogues nucléos(t)idiques pourraient permettre de prévenir l’apparition de résistances
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0902012 Président : DRISS GHAFIR Directeur : ALI ABOUZAHIR Juge : KHALID ENNIBI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0902012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible Indications et résultats du traitement de l’hépatite chronique B par Entecavir (à propos de 40 cas) / ELABOUDI safia.
Titre : Indications et résultats du traitement de l’hépatite chronique B par Entecavir (à propos de 40 cas) Type de document : thèse Auteurs : ELABOUDI safia., Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hépatite B chronique traitement entecavir réponse virologique résistance tolérance Résumé : Introduction :
L’hépatite virale B est une infection fréquente qui constitue un problème majeur de santé publique, par son risque d’évoluer vers la cirrhose du foie et la greffe d’un carcinome hépatocellulaire.
Matériel et méthodes :
Nous avons mené une étude rétrospective transversale d’une série de 40 malades, traités par Entecavir et suivis en consultation d’hépatologie au service de Gastro-Entérologie I de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat.
Le but de notre travail était d’évaluer la réponse virologique, biochimique et histologique à l’Entecavir et d’étudier ses indications et ses bénéfices chez les porteurs chroniques.
Résultats :
L’âge moyen des patients était de 43 ans avec une nette prédominance masculine. 80% des patients étaient asymptomatiques, le diagnostic a été le plus souvent posé à l’occasion d’un bilan de dépistage.
Le profil mutant pré C’était prédominant. 12,5 % des malades étaient cirrhotiques, 72,5% des patients avaient une charge virale comprise entre 2.000Ui/l et 10.000.000 Ui/ml.
Concernant la réponse biochimique à l’entecavir, 72 % des malades ont normalisé leur taux d’ALAT dès le 3ème mois de traitement. Ce taux est passé à 90 % au 12 ème mois.
En ce qui concerne la réponse virologique, 52,5 % des patients ont négativé leur charge virale au 3eme mois de traitement. Ce taux a atteint 85 % au 12 ème mois.
La tolérance thérapeutique était excellente. Un seul cas de résistance a été rapporté.
Conclusion :
L’efficacité presque constante de l’Entecavir en terme de viro-suppression, son excellente tolérance et sa forte barrière génétique font de l’Entecavir une option thérapeutique attractive de première ligne aussi bien chez les patients Ag HBe positif que négatif.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1852015 Président : AOURARH.A Directeur : ROUIBAA.F Juge : BENELBARHDADI.I Juge : KEBBAJ.N Indications et résultats du traitement de l’hépatite chronique B par Entecavir (à propos de 40 cas) [thèse] / ELABOUDI safia., Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hépatite B chronique traitement entecavir réponse virologique résistance tolérance Résumé : Introduction :
L’hépatite virale B est une infection fréquente qui constitue un problème majeur de santé publique, par son risque d’évoluer vers la cirrhose du foie et la greffe d’un carcinome hépatocellulaire.
Matériel et méthodes :
Nous avons mené une étude rétrospective transversale d’une série de 40 malades, traités par Entecavir et suivis en consultation d’hépatologie au service de Gastro-Entérologie I de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat.
Le but de notre travail était d’évaluer la réponse virologique, biochimique et histologique à l’Entecavir et d’étudier ses indications et ses bénéfices chez les porteurs chroniques.
Résultats :
L’âge moyen des patients était de 43 ans avec une nette prédominance masculine. 80% des patients étaient asymptomatiques, le diagnostic a été le plus souvent posé à l’occasion d’un bilan de dépistage.
Le profil mutant pré C’était prédominant. 12,5 % des malades étaient cirrhotiques, 72,5% des patients avaient une charge virale comprise entre 2.000Ui/l et 10.000.000 Ui/ml.
Concernant la réponse biochimique à l’entecavir, 72 % des malades ont normalisé leur taux d’ALAT dès le 3ème mois de traitement. Ce taux est passé à 90 % au 12 ème mois.
En ce qui concerne la réponse virologique, 52,5 % des patients ont négativé leur charge virale au 3eme mois de traitement. Ce taux a atteint 85 % au 12 ème mois.
La tolérance thérapeutique était excellente. Un seul cas de résistance a été rapporté.
Conclusion :
L’efficacité presque constante de l’Entecavir en terme de viro-suppression, son excellente tolérance et sa forte barrière génétique font de l’Entecavir une option thérapeutique attractive de première ligne aussi bien chez les patients Ag HBe positif que négatif.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1852015 Président : AOURARH.A Directeur : ROUIBAA.F Juge : BENELBARHDADI.I Juge : KEBBAJ.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1852015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1852015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible