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la goutte et le rôle du pharmacien d’officine dans sa prise en charge / ASKALI Bochra
Titre : la goutte et le rôle du pharmacien d’officine dans sa prise en charge Type de document : thèse Auteurs : ASKALI Bochra, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : hyperuricémie la goutte rôle du pharmacien colchicine allopurinol. Résumé : La goutte est une forme grave d’arthrite. Elle se manifeste habituellement chez les hommes âgés de 40 à 50 ans. Elle est en revanche, plutôt rare chez les femmes, surtout avant la ménopause. Il s’agit de l’arthropathie microcristalline la plus fréquente. Sa prévalence est en nette augmentation dans les pays développés.
L’origine de cette manifestation est un dysfonctionnement du métabolisme de l’acide urique, produit final du catabolisme des purines au sein de l’organisme. U ne surproduction de ce composé, associée ou non à un défaut de son élimination rénale, entraîne la précipitation de cristaux monosodiques d’acide urique au niveau des articulations, responsables des crises aiguës de goutte.
Dans la majorité des cas, la crise de goutte se caractérise typiquement par l’atteinte brutale, souvent nocturne de l’articulation métatarso-phalangienne du gros orteil. Lorsque l’hyperuricémie n’est pas traitée, les dépôts d’acide urique finissent par s’accumuler dans les tissus sous-cutanés, les articulations et les reins, provoquant une arthropathie goutteuse et des tophi intra- et péri-articulaires.
Le traitement repose sur des mesures non pharmacologiques (régime pauvre en purines associé à une hydratation suffisante, perte de poids) et des mesures pharmacologiques. Il faut distinguer le traitement de la crise aiguë qui fait classiquement intervenir la colchicine et/ou les AINS et le traitement de fond hypouricémiant.
Le rôle du pharmacien dans la prise en charge et le suivi du patient goutteux est essentiel. Effectivement, l’hyperuricémie est fréquemment associée à d’autres troubles métaboliques tels que le diabète, l’obésité et les dyslipidémies. Un régime hypouricémiant ainsi que des thérapeutiques adjuvantes peuvent ainsi être conseillés à l’officine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0532016 Président : ZOUHDI.M Directeur : TELLAL.S Juge : NAZIH.M Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y la goutte et le rôle du pharmacien d’officine dans sa prise en charge [thèse] / ASKALI Bochra, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : hyperuricémie la goutte rôle du pharmacien colchicine allopurinol. Résumé : La goutte est une forme grave d’arthrite. Elle se manifeste habituellement chez les hommes âgés de 40 à 50 ans. Elle est en revanche, plutôt rare chez les femmes, surtout avant la ménopause. Il s’agit de l’arthropathie microcristalline la plus fréquente. Sa prévalence est en nette augmentation dans les pays développés.
L’origine de cette manifestation est un dysfonctionnement du métabolisme de l’acide urique, produit final du catabolisme des purines au sein de l’organisme. U ne surproduction de ce composé, associée ou non à un défaut de son élimination rénale, entraîne la précipitation de cristaux monosodiques d’acide urique au niveau des articulations, responsables des crises aiguës de goutte.
Dans la majorité des cas, la crise de goutte se caractérise typiquement par l’atteinte brutale, souvent nocturne de l’articulation métatarso-phalangienne du gros orteil. Lorsque l’hyperuricémie n’est pas traitée, les dépôts d’acide urique finissent par s’accumuler dans les tissus sous-cutanés, les articulations et les reins, provoquant une arthropathie goutteuse et des tophi intra- et péri-articulaires.
Le traitement repose sur des mesures non pharmacologiques (régime pauvre en purines associé à une hydratation suffisante, perte de poids) et des mesures pharmacologiques. Il faut distinguer le traitement de la crise aiguë qui fait classiquement intervenir la colchicine et/ou les AINS et le traitement de fond hypouricémiant.
Le rôle du pharmacien dans la prise en charge et le suivi du patient goutteux est essentiel. Effectivement, l’hyperuricémie est fréquemment associée à d’autres troubles métaboliques tels que le diabète, l’obésité et les dyslipidémies. Un régime hypouricémiant ainsi que des thérapeutiques adjuvantes peuvent ainsi être conseillés à l’officine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0532016 Président : ZOUHDI.M Directeur : TELLAL.S Juge : NAZIH.M Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0532016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible P0532016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible La prothèse totale de genou chez les sujets hyperuricémiques et/ou goutteux présentant une gonarthrose évoluée : à propos de 27 cas et revue de la littérature / Lamyaa LASRI
Titre : La prothèse totale de genou chez les sujets hyperuricémiques et/ou goutteux présentant une gonarthrose évoluée : à propos de 27 cas et revue de la littérature Type de document : thèse Auteurs : Lamyaa LASRI, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperuricémie Microcristaux d’UMS Goutte Gonarthrose évoluée Prothèse totale de genou Résumé : L’association de la gonarthrose et l’hyperuricémie/goutte est agressive et invalidante. La nature de cette association pose cependantun problème de causalité.
Le diagnostique de la gonarthrose évoluée est porté aisément grâce à la clinique et la radiographie standard. La goutte reste souvent sous-diagnostiquée lorsqu’elle n’est pas présente sous sa forme typique au gros orteil.
Le risque d’association de ces deux maladies au même site est élevé ; de nouvelles modalités d’imagerie en témoignent et le dosage de l’acide urique synovial serait un marqueur de sévérité de la gonarthrose.
Sur un terrain de goutte, la gonarthrose pose des problèmes diagnostiques et thérapeutiques, notamment sur la place et la faisabilité de la prothèse totale de genou, qui ne fait le sujet d’aucun consensus à ce jour.
Notre travail s’est porté sur 39 PTG chez 27 patients, présentant tous une hyperuricémie : connue chez 5, découverte au bilan pré-opératoire chez 14 et en post-opératoire chez 8 patients.
19 patients étaient sous traitement médical avant la mise en place de la PTG, alors que 8 patients n’ont bénéficié d’un traitement hypouricémiant qu’en post-opératoire, après la découverte d’une hyperuricémie dans un contexte de PTG douloureuse.
A un recul de 5 ans, les résultats de 31 PTG (79,5%) étaient bons et sans complications notables. Chez 8 patients (20,5%), a été notée une reprise des douleurs à des intervalles différents. Ont été notés également, une laxité des ligaments latéraux conservés par la prothèse postéro-stabilisée sur 4 PTG (10,25%), et un descellement prothétique de 3 PTG (7,70%), à des intervalles différents.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3862018 Président : EL BARDOUNI.A Directeur : BELKACEM.C Juge : RKAIN.HA Juge : BEZZA.A Juge : KHARMAZ.M La prothèse totale de genou chez les sujets hyperuricémiques et/ou goutteux présentant une gonarthrose évoluée : à propos de 27 cas et revue de la littérature [thèse] / Lamyaa LASRI, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hyperuricémie Microcristaux d’UMS Goutte Gonarthrose évoluée Prothèse totale de genou Résumé : L’association de la gonarthrose et l’hyperuricémie/goutte est agressive et invalidante. La nature de cette association pose cependantun problème de causalité.
Le diagnostique de la gonarthrose évoluée est porté aisément grâce à la clinique et la radiographie standard. La goutte reste souvent sous-diagnostiquée lorsqu’elle n’est pas présente sous sa forme typique au gros orteil.
Le risque d’association de ces deux maladies au même site est élevé ; de nouvelles modalités d’imagerie en témoignent et le dosage de l’acide urique synovial serait un marqueur de sévérité de la gonarthrose.
Sur un terrain de goutte, la gonarthrose pose des problèmes diagnostiques et thérapeutiques, notamment sur la place et la faisabilité de la prothèse totale de genou, qui ne fait le sujet d’aucun consensus à ce jour.
Notre travail s’est porté sur 39 PTG chez 27 patients, présentant tous une hyperuricémie : connue chez 5, découverte au bilan pré-opératoire chez 14 et en post-opératoire chez 8 patients.
19 patients étaient sous traitement médical avant la mise en place de la PTG, alors que 8 patients n’ont bénéficié d’un traitement hypouricémiant qu’en post-opératoire, après la découverte d’une hyperuricémie dans un contexte de PTG douloureuse.
A un recul de 5 ans, les résultats de 31 PTG (79,5%) étaient bons et sans complications notables. Chez 8 patients (20,5%), a été notée une reprise des douleurs à des intervalles différents. Ont été notés également, une laxité des ligaments latéraux conservés par la prothèse postéro-stabilisée sur 4 PTG (10,25%), et un descellement prothétique de 3 PTG (7,70%), à des intervalles différents.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3862018 Président : EL BARDOUNI.A Directeur : BELKACEM.C Juge : RKAIN.HA Juge : BEZZA.A Juge : KHARMAZ.M Réservation
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