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Titre : ALLERGIE AUX ACARIENS DE MAISON : DE LA PHYSIOPATHOLOGIE AUX TRAITEMENTS Type de document : thèse Auteurs : Ali BENNIS, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Allergie aux acariens test de piqure cutanée immunothérapie. Résumé : Il existe plusieurs milliers d’espèces d’acariens, mais seuls quelque uns peuvent être
responsables d’allergie chez l’être humain. Trouvant refuge dans les habitations où les
conditions de vie leurs sont favorables, ils se nourrissent de squames humaines, et produisent
des allergènes qui peuvent être aéroportés, et qui peuvent facilement trouver leur chemin vers
la surface des voies aériennes et les yeux, y produisant une cascade de réaction immunologiques
engageant plusieurs éléments, cellules, et médiateurs.
Cette cascade de réaction peut engendrer des symptômes tel une rhinite, une conjonctivite, une
dermatite, une crise d’asthme, et dans de rares cas une allergie systémique lors d’ingestion
d’aliments contaminés par les acariens.
Pour confirmer le diagnostic d’une allergie aux acariens domestiques, il est possible de faire
certains tests in vivo comme le test de piqure cutanée et le test intradermique ou bien des tests
in vitro comme le dosage des IgE sérique totales ou le dosage des IgE spécifiques aux
allergènes.
Plusieurs médicaments peuvent être utilisés lors de l’allergie : certains comme traitements,
d’autre peuvent aussi servir pour la prévention, mais leurs effets ne sont que provisoires. À ce
jour l’immunothérapie reste la seule option qui puisse apporter une réponse pour le long cours.
Le rôle du pharmacien est important pour la prise de conscience des patients en leurs expliquant
tout ce qu’ils doivent savoir sur leur maladie notamment les mesure de prévention et
d’évitement, et l’importance de la non négligence de cette maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0302022 Président : Jaouad EL HARTI Directeur : Yassir BOUSLIMAN Juge : Mustapha BOUATIA Juge : Hicham SOUHI ALLERGIE AUX ACARIENS DE MAISON : DE LA PHYSIOPATHOLOGIE AUX TRAITEMENTS [thèse] / Ali BENNIS, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Allergie aux acariens test de piqure cutanée immunothérapie. Résumé : Il existe plusieurs milliers d’espèces d’acariens, mais seuls quelque uns peuvent être
responsables d’allergie chez l’être humain. Trouvant refuge dans les habitations où les
conditions de vie leurs sont favorables, ils se nourrissent de squames humaines, et produisent
des allergènes qui peuvent être aéroportés, et qui peuvent facilement trouver leur chemin vers
la surface des voies aériennes et les yeux, y produisant une cascade de réaction immunologiques
engageant plusieurs éléments, cellules, et médiateurs.
Cette cascade de réaction peut engendrer des symptômes tel une rhinite, une conjonctivite, une
dermatite, une crise d’asthme, et dans de rares cas une allergie systémique lors d’ingestion
d’aliments contaminés par les acariens.
Pour confirmer le diagnostic d’une allergie aux acariens domestiques, il est possible de faire
certains tests in vivo comme le test de piqure cutanée et le test intradermique ou bien des tests
in vitro comme le dosage des IgE sérique totales ou le dosage des IgE spécifiques aux
allergènes.
Plusieurs médicaments peuvent être utilisés lors de l’allergie : certains comme traitements,
d’autre peuvent aussi servir pour la prévention, mais leurs effets ne sont que provisoires. À ce
jour l’immunothérapie reste la seule option qui puisse apporter une réponse pour le long cours.
Le rôle du pharmacien est important pour la prise de conscience des patients en leurs expliquant
tout ce qu’ils doivent savoir sur leur maladie notamment les mesure de prévention et
d’évitement, et l’importance de la non négligence de cette maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0302022 Président : Jaouad EL HARTI Directeur : Yassir BOUSLIMAN Juge : Mustapha BOUATIA Juge : Hicham SOUHI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0302022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2022 Disponible P0302022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2022 Disponible Documents numériques
P0302022URL LE LYMPHOME PRIMITIF DES SURRENALES REVUES DE LITTERATURE / MOHAMED AMINE KORCHI
Titre : LE LYMPHOME PRIMITIF DES SURRENALES REVUES DE LITTERATURE Type de document : thèse Auteurs : MOHAMED AMINE KORCHI, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome primitif surrénales Diagnostic différentiel – Chimiothérapie Immunothérapie. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’atteinte des glandes surrénales au cours des LMNH n’est pas rare. Leur envahissement secondaire a été rapporté dans près de 25% des cas autopsiques de LNH. Mais Le Lymphome primitif des surrénales est une entité rare, avec moins de 100 cas reportés à ce jour. L’âge médian se situe aux environs de 62 ans. Il est plus fréquent chez l’homme. 2/3 des patients présentent une atteinte bilatérale. Il se manifeste le plus souvent par de la fièvre, un amaigrissement, des douleurs abdominales et lombaires. La moitié des patients présentent des symptômes d’insuffisance surrénalienne. Le tableau d'insuffisance surrénalienne aigue peut être inaugural.
L'imagerie (échographie, TDM, IRM) n'est pas spécifique. Elle permet de caractériser la tumeur et d'orienter le diagnostic. Récemment l’utilisation du FDG-PET/TDM a permis de différencier les tumeurs bénignes des tumeurs malignes. Le PET-TDM Corps entier permet de différencier métastases surrénaliennes et lymphome primitif des surrénales. Cet examen est aussi performant pour le suivi post-thérapeutique afin de déceler une maladie résiduelle. Cependant on note un nombre considérable de faux positif.
Seule l’étude histologique d’un fragment, obtenu généralement par biopsie scanno-guidée, permet un diagnostic de certitude. Il s’agit le plus souvent d’un lymphome de haut grade de malignité de phénotype B diffus à grandes cellules. Quelques cas de Lymphomes T ont été décrits.
Concernant le traitement, il semble que l’association Rituximab-CHOP (dans les Lymphome CD20+) et le protocole CHOP (dans les non CD-20), associé selon les cas à la chirurgie ou à la radiothérapie prolongerai la survie. De plus une greffe autologue de cellules souches hématopoïétique périphérique a permis une survie longue d’un patient atteint d’un LPS bilatéral type B.
Le LPS reste de très mauvais pronostic et est à inclure dans le diagnostic différentiel des masses surrénaliennes. L’utilisation plus fréquente d'une imagerie plus sensible et plus performante, augmente sensiblement le nombre d’incidentalome surrénalien. Une bonne approche diagnostic permettrait un diagnostic et une prise en charge précoce des LPS, ce qui améliorerait sensiblement le pronostic.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0062009 Directeur : ALI AJANA Juge : MOHAMED FAIK Juge : LOUNIS BENSLIMANE Juge : AZOUZ LACHKAR LE LYMPHOME PRIMITIF DES SURRENALES REVUES DE LITTERATURE [thèse] / MOHAMED AMINE KORCHI, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lymphome primitif surrénales Diagnostic différentiel – Chimiothérapie Immunothérapie. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’atteinte des glandes surrénales au cours des LMNH n’est pas rare. Leur envahissement secondaire a été rapporté dans près de 25% des cas autopsiques de LNH. Mais Le Lymphome primitif des surrénales est une entité rare, avec moins de 100 cas reportés à ce jour. L’âge médian se situe aux environs de 62 ans. Il est plus fréquent chez l’homme. 2/3 des patients présentent une atteinte bilatérale. Il se manifeste le plus souvent par de la fièvre, un amaigrissement, des douleurs abdominales et lombaires. La moitié des patients présentent des symptômes d’insuffisance surrénalienne. Le tableau d'insuffisance surrénalienne aigue peut être inaugural.
L'imagerie (échographie, TDM, IRM) n'est pas spécifique. Elle permet de caractériser la tumeur et d'orienter le diagnostic. Récemment l’utilisation du FDG-PET/TDM a permis de différencier les tumeurs bénignes des tumeurs malignes. Le PET-TDM Corps entier permet de différencier métastases surrénaliennes et lymphome primitif des surrénales. Cet examen est aussi performant pour le suivi post-thérapeutique afin de déceler une maladie résiduelle. Cependant on note un nombre considérable de faux positif.
Seule l’étude histologique d’un fragment, obtenu généralement par biopsie scanno-guidée, permet un diagnostic de certitude. Il s’agit le plus souvent d’un lymphome de haut grade de malignité de phénotype B diffus à grandes cellules. Quelques cas de Lymphomes T ont été décrits.
Concernant le traitement, il semble que l’association Rituximab-CHOP (dans les Lymphome CD20+) et le protocole CHOP (dans les non CD-20), associé selon les cas à la chirurgie ou à la radiothérapie prolongerai la survie. De plus une greffe autologue de cellules souches hématopoïétique périphérique a permis une survie longue d’un patient atteint d’un LPS bilatéral type B.
Le LPS reste de très mauvais pronostic et est à inclure dans le diagnostic différentiel des masses surrénaliennes. L’utilisation plus fréquente d'une imagerie plus sensible et plus performante, augmente sensiblement le nombre d’incidentalome surrénalien. Une bonne approche diagnostic permettrait un diagnostic et une prise en charge précoce des LPS, ce qui améliorerait sensiblement le pronostic.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0062009 Directeur : ALI AJANA Juge : MOHAMED FAIK Juge : LOUNIS BENSLIMANE Juge : AZOUZ LACHKAR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0062009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible Les neuropathies auto-immunes: Les syndromes neurologiques paranéoplasiques / Soubha MANTA
Titre : Les neuropathies auto-immunes: Les syndromes neurologiques paranéoplasiques Type de document : thèse Auteurs : Soubha MANTA, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Syndromes neurologiques paranéoplasiques. anticorps onconeuronaux anticorps antigène de surface membranaire cancers immunothérapie. Résumé : Les syndromes neurologiques paranéoplasiques sont des affections auto- immunes rares survenant en association à un cancer et ne s’expliquant pas par une complication métabolique, carentielle, métastatique, infectieuse ou iatrogène.
La découverte des autoanticorps antineuronaux a permis une avancée majeure dans la compréhension de ces syndromes en mettant en exergue leur mécanisme auto-immun. Il est important de distinguer les anticorps onconeuronaux, dirigés contre un antigène intracellulaire, qui ne sont que le reflet d’une réaction cellulaire dédiée par les lymphocytes T CD8+, des anticorps dirigés contre un antigène situé à la surface membranaire des neurones, qui pourraient être directement pathogènes. Cette distinction a des implications thérapeutiques et pronostiques. Lorsqu’il s’agit d’un anticorps onconeuronal, l’association à un cancer est la règle. L’anticorps en lui même n’est pas pathogène, car l’atteinte neurologique est liée à une destruction neuronale par réaction de l’immunité cellulaire cytotoxique. La liaison de l’anticorps avec son antigène peut alors être responsable d’un dysfonctionnement d’une voie de signalisation neurone et provoquer les signes cliniques. Les symptômes sont ainsi au moins partiellement réversibles après immunothérapie.
Dans tous les cas, l’éviction de la stimulation antigénique que représente la tumeur, lorsqu’elle est présente, est une étape fondamentale de la prise en charge thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3632017 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Les neuropathies auto-immunes: Les syndromes neurologiques paranéoplasiques [thèse] / Soubha MANTA, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Syndromes neurologiques paranéoplasiques. anticorps onconeuronaux anticorps antigène de surface membranaire cancers immunothérapie. Résumé : Les syndromes neurologiques paranéoplasiques sont des affections auto- immunes rares survenant en association à un cancer et ne s’expliquant pas par une complication métabolique, carentielle, métastatique, infectieuse ou iatrogène.
La découverte des autoanticorps antineuronaux a permis une avancée majeure dans la compréhension de ces syndromes en mettant en exergue leur mécanisme auto-immun. Il est important de distinguer les anticorps onconeuronaux, dirigés contre un antigène intracellulaire, qui ne sont que le reflet d’une réaction cellulaire dédiée par les lymphocytes T CD8+, des anticorps dirigés contre un antigène situé à la surface membranaire des neurones, qui pourraient être directement pathogènes. Cette distinction a des implications thérapeutiques et pronostiques. Lorsqu’il s’agit d’un anticorps onconeuronal, l’association à un cancer est la règle. L’anticorps en lui même n’est pas pathogène, car l’atteinte neurologique est liée à une destruction neuronale par réaction de l’immunité cellulaire cytotoxique. La liaison de l’anticorps avec son antigène peut alors être responsable d’un dysfonctionnement d’une voie de signalisation neurone et provoquer les signes cliniques. Les symptômes sont ainsi au moins partiellement réversibles après immunothérapie.
Dans tous les cas, l’éviction de la stimulation antigénique que représente la tumeur, lorsqu’elle est présente, est une étape fondamentale de la prise en charge thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3632017 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3632017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M3632017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible