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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Maladie à IgG4'
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Titre : LES FACETTES CLINIQUES DE LA MALADIE A IgG4 Type de document : thèse Auteurs : HAJAJ ICHRAK, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie à IgG4 Exocrinopathie Infiltrat lympho-plasmocytaire Corticothérapie IgG4-related disease Exocrinopathy Lymphoplasmacytic infiltrate Corticotherapy الاعتلال الصماوي الارتشاح اللمفاوي الكورتیكوستیروید؛ IgG مرض Résumé : Introduction : La maladie à IgG4, ou polyexocrinopathie auto - immune à IgG4 est une
maladie émergente, encore mal connue, d'incidence rare car probablement sous estimée et
parfois confondue avec plusieurs pathologies. Les éléments clés du diagnostic sont l'(les)
atteinte ( s ) d'organe ( s ) fibro - inflammatoire ( s ), l'élévation des IgG4 sériques et la fibrose
avec infiltrat lymphoplasmocytaire IgG4 +.
Matériels et Méthodes : Nous illustrons trois cas de maladie à IgG4 diagnostiqués au
sein du Service de Médecine Interne A de l'Hôpital Militaire d'Instruction Mohammed V de
Rabat, avec revue de littérature.
Résultats et analyses : L'âge de début de la maladie se situe classiquement entre la
quatrième et la cinquième décade de vie, avec un âge moyen au diagnostic autour de 46 ans.
Le sexratio est en faveur d'une prédominance masculine, avec quelques variations. Les signes
cliniques, relativement trompeurs et non spécifiques. L' aspect histologique typique de la
maladie est fait d'une infiltration lympho-plasmocytaire diffuse, d'une fibrose irrégulière,
d'une vascularite oblitérante et un ratio IgG4 / IgG dépassant 40 %. La prise en charge
thérapeutique de la maladie est toujours un sujet d'études. Majoritairement corticosensibles,
d'autres molécules, rapportées dans la littérature ont montré leur efficacité. Nos patients ont
tous été mis sous corticothérapie avec une amélioration clinico-radiologique.
Discussion : Les difficultés de cette maladie sont essentiellement diagnostiques et
thérapeutiques vu la diversité des atteintes, des diagnostics différentiels, et de la
méconnaissance de sa physiopathologie. Les mécanismes associés à la pathologie incluent des
hypothèses d'auto-immunité, d'allergie, et même d'origine génétique, mais aucune n'a été
confirmée. Le pronostic reste globalement excellent malgré l'imprévisibilité de l'évolution et
la fréquence des rechutes. La reconnaissance précoce est nécessaire pour prévenir la fibrose et
les dommages d'organe. L'évolution est généralement favorable sous corticothérapie qui reste
le gold standard. La place des biothérapies et autres immunosuppresseurs reste à préciser.
Conclusion : Une prise en charge thérapeutique bien stratifiée n'est réalisable qu' à
travers des études prospectives regroupant de grandes séries.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4472022 Président : Abdelhamid ZRARA Directeur : Youssef SEKKACH Juge : Adil RKIOUAK Juge : Mohamed JIRA Juge : Mohamed ELQATNI LES FACETTES CLINIQUES DE LA MALADIE A IgG4 [thèse] / HAJAJ ICHRAK, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Maladie à IgG4 Exocrinopathie Infiltrat lympho-plasmocytaire Corticothérapie IgG4-related disease Exocrinopathy Lymphoplasmacytic infiltrate Corticotherapy الاعتلال الصماوي الارتشاح اللمفاوي الكورتیكوستیروید؛ IgG مرض Résumé : Introduction : La maladie à IgG4, ou polyexocrinopathie auto - immune à IgG4 est une
maladie émergente, encore mal connue, d'incidence rare car probablement sous estimée et
parfois confondue avec plusieurs pathologies. Les éléments clés du diagnostic sont l'(les)
atteinte ( s ) d'organe ( s ) fibro - inflammatoire ( s ), l'élévation des IgG4 sériques et la fibrose
avec infiltrat lymphoplasmocytaire IgG4 +.
Matériels et Méthodes : Nous illustrons trois cas de maladie à IgG4 diagnostiqués au
sein du Service de Médecine Interne A de l'Hôpital Militaire d'Instruction Mohammed V de
Rabat, avec revue de littérature.
Résultats et analyses : L'âge de début de la maladie se situe classiquement entre la
quatrième et la cinquième décade de vie, avec un âge moyen au diagnostic autour de 46 ans.
Le sexratio est en faveur d'une prédominance masculine, avec quelques variations. Les signes
cliniques, relativement trompeurs et non spécifiques. L' aspect histologique typique de la
maladie est fait d'une infiltration lympho-plasmocytaire diffuse, d'une fibrose irrégulière,
d'une vascularite oblitérante et un ratio IgG4 / IgG dépassant 40 %. La prise en charge
thérapeutique de la maladie est toujours un sujet d'études. Majoritairement corticosensibles,
d'autres molécules, rapportées dans la littérature ont montré leur efficacité. Nos patients ont
tous été mis sous corticothérapie avec une amélioration clinico-radiologique.
Discussion : Les difficultés de cette maladie sont essentiellement diagnostiques et
thérapeutiques vu la diversité des atteintes, des diagnostics différentiels, et de la
méconnaissance de sa physiopathologie. Les mécanismes associés à la pathologie incluent des
hypothèses d'auto-immunité, d'allergie, et même d'origine génétique, mais aucune n'a été
confirmée. Le pronostic reste globalement excellent malgré l'imprévisibilité de l'évolution et
la fréquence des rechutes. La reconnaissance précoce est nécessaire pour prévenir la fibrose et
les dommages d'organe. L'évolution est généralement favorable sous corticothérapie qui reste
le gold standard. La place des biothérapies et autres immunosuppresseurs reste à préciser.
Conclusion : Une prise en charge thérapeutique bien stratifiée n'est réalisable qu' à
travers des études prospectives regroupant de grandes séries.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4472022 Président : Abdelhamid ZRARA Directeur : Youssef SEKKACH Juge : Adil RKIOUAK Juge : Mohamed JIRA Juge : Mohamed ELQATNI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4472022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M4472022URL PANCREATITE ET CHOLANGITE DYSIMMUNITAIRES : UN DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL DU CANCER / ZINEB TNACHERI OUAZZANI
Titre : PANCREATITE ET CHOLANGITE DYSIMMUNITAIRES : UN DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL DU CANCER Type de document : thèse Auteurs : ZINEB TNACHERI OUAZZANI, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pancréatite auto-immune Cholangite auto-immune Maladie à IgG4 Adénocarcinome pancréatique Cholangiocarcinome Résumé :
Introduction : Les pancréatites et cholangites dysimmunitaires sont des entités rares. Elles se caractérisent par une présentation peu spécifique, mimant un processus malin. Le but de notre étude est de faire la distinction entre la pancréatite dysimmunitaire et l’adénocarcinome pancréatique d’un côté ; la cholangite dysimmunitaire et le cholangiocarcinome d’un autre ; afin d’éviter des chirurgies inutiles.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective, menée à l’Unité de Gastroentérologie du Service de Chirurgie Oncologique Digestive de l'INO de Rabat, sur une période allant de Mai2018 à Aout2020 ; incluant tous les patients ayant un diagnostic de pancréatite ou cholangite dysimmunitaire, sur un faisceau d’arguments clinique, biologique, radiologique et/ou histologique.
Résultats : 6patients ont répondu aux critères d’inclusion.
L’âge moyen était 52ans. Tous les patients étaient de sexe masculin.
Cliniquement, tous nos patients présentaient un ictère cutanéo-muqueux, accompagné de douleurs abdominales chez 5patients. Les IgG4 étaient augmentés chez 5patients et Ca19-9 était positif dans 2cas. Un syndrome de cholestase et/ou de cytolyse biologique a été retrouvé chez la majorité des patients. Les explorations radiologiques les plus réalisées étaient le scanner et l’écho-endoscopie.
Le protocole thérapeutique consistait en l’administration de corticoïdes; suite auquel nos patients avaient connu une amélioration clinique, biologique et radiologique.
La rechute a été rapportée chez 2patients, justifiant l’instauration d’un deuxième cycle de corticothérapie.
Conclusion : Malgré sa présentation évocatrice de cancer, il est capitale de ne pas méconnaitre le diagnostic de pancréatite et cholangite dysimmunitaire afin d’assurer une prise en charge adéquate du patient et de lui éviter une chirurgie lourde.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2872020 Président : AMRANI HANCHI LAILA Directeur : MOHSINE RAOUF Juge : ABENKABBOU AMINE Juge : ZNATI KAOU PANCREATITE ET CHOLANGITE DYSIMMUNITAIRES : UN DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL DU CANCER [thèse] / ZINEB TNACHERI OUAZZANI, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pancréatite auto-immune Cholangite auto-immune Maladie à IgG4 Adénocarcinome pancréatique Cholangiocarcinome Résumé :
Introduction : Les pancréatites et cholangites dysimmunitaires sont des entités rares. Elles se caractérisent par une présentation peu spécifique, mimant un processus malin. Le but de notre étude est de faire la distinction entre la pancréatite dysimmunitaire et l’adénocarcinome pancréatique d’un côté ; la cholangite dysimmunitaire et le cholangiocarcinome d’un autre ; afin d’éviter des chirurgies inutiles.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective, menée à l’Unité de Gastroentérologie du Service de Chirurgie Oncologique Digestive de l'INO de Rabat, sur une période allant de Mai2018 à Aout2020 ; incluant tous les patients ayant un diagnostic de pancréatite ou cholangite dysimmunitaire, sur un faisceau d’arguments clinique, biologique, radiologique et/ou histologique.
Résultats : 6patients ont répondu aux critères d’inclusion.
L’âge moyen était 52ans. Tous les patients étaient de sexe masculin.
Cliniquement, tous nos patients présentaient un ictère cutanéo-muqueux, accompagné de douleurs abdominales chez 5patients. Les IgG4 étaient augmentés chez 5patients et Ca19-9 était positif dans 2cas. Un syndrome de cholestase et/ou de cytolyse biologique a été retrouvé chez la majorité des patients. Les explorations radiologiques les plus réalisées étaient le scanner et l’écho-endoscopie.
Le protocole thérapeutique consistait en l’administration de corticoïdes; suite auquel nos patients avaient connu une amélioration clinique, biologique et radiologique.
La rechute a été rapportée chez 2patients, justifiant l’instauration d’un deuxième cycle de corticothérapie.
Conclusion : Malgré sa présentation évocatrice de cancer, il est capitale de ne pas méconnaitre le diagnostic de pancréatite et cholangite dysimmunitaire afin d’assurer une prise en charge adéquate du patient et de lui éviter une chirurgie lourde.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2872020 Président : AMRANI HANCHI LAILA Directeur : MOHSINE RAOUF Juge : ABENKABBOU AMINE Juge : ZNATI KAOU Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2872020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M2872020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M2872020URL