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AUTOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HÉMATOPOÃÉTIQUES DANS LES NEUROBLASTOMES : EXPERIENCE DU SERVICE D’HÉMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE DE RABAT. / BEKKOUCHE Soukaina
Titre : AUTOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HÉMATOPOÃÉTIQUES DANS LES NEUROBLASTOMES : EXPERIENCE DU SERVICE D’HÉMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE DE RABAT. Type de document : thèse Auteurs : BEKKOUCHE Soukaina, Auteur Année de publication : M2652019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Neuroblastome haut risque enfant chimiothérapie haute dose autogreffe NMYC Résumé : Le neuroblastome est une tumeur embryonnaire dérivée des cellules de la crête neurale. Il s'agit de la tumeur solide extracrânienne la plus fréquente de l'enfance.
Le neuroblastome à haut risque reste un problème majeur en oncologie pédiatrique, il représente près de la moitié des cas des neuroblastomes et sa survie à long terme est inférieur à 50 % malgré des traitements complexes et intensifs.
.
Ce travail est une étude rétrospective portant sur 29 cas de neuroblastome de haut risque traités au sein du service d’Hématologie et Oncologie Pédiatrique de l’Hôpital d’Enfant de Rabat sur une période de 4 ans (de Janvier 2015 à Décembre 2018).
Notre objectif est d’étudier les aspects cliniques, radiologiques, histologiques, thérapeutiques et évolutifs du neuroblastome à haut risque traités par le protocole HR NBL-MA 2010 à travers notre série.
L’âge médian au diagnostic est de 4 ans avec un sex ratio de 1,63. Le siège abdominal représentait la principale localisation de la tumeur primitive (86%), les métastases siégeaient principalement au niveau médullaire et osseux (55%).
La recherche d’une amplification de l’oncogène NMYC a été faite dans seulement 13 cas revenue en faveur d’une amplification dans 8 cas.
Tous nos patients ont été traité selon le protocole HR-NBL-MA 2010 qui consiste en une chimiothérapie néoadjuvante avec un contrôle local de la tumeur primitive par chirurgie, une consolidation par chimiothérapie haute dose suivie d’une autogreffe des CSH, d’une radiothérapie et enfin un control de la maladie résiduelle par acide rétinoïque.
L’avenir est prometteur pour faire des progrès considérables dans notre compréhension et notre traitement du neuroblastome.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2652019 Président : KHATTAB.M Directeur : EL KABABRI.M Juge : HESSISSEN.L Juge : KILI.A Juge : ESSAKALLI.M ; LAMALMI.N AUTOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HÉMATOPOÃÉTIQUES DANS LES NEUROBLASTOMES : EXPERIENCE DU SERVICE D’HÉMATOLOGIE ET ONCOLOGIE PÉDIATRIQUE DE RABAT. [thèse] / BEKKOUCHE Soukaina, Auteur . - M2652019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Neuroblastome haut risque enfant chimiothérapie haute dose autogreffe NMYC Résumé : Le neuroblastome est une tumeur embryonnaire dérivée des cellules de la crête neurale. Il s'agit de la tumeur solide extracrânienne la plus fréquente de l'enfance.
Le neuroblastome à haut risque reste un problème majeur en oncologie pédiatrique, il représente près de la moitié des cas des neuroblastomes et sa survie à long terme est inférieur à 50 % malgré des traitements complexes et intensifs.
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Ce travail est une étude rétrospective portant sur 29 cas de neuroblastome de haut risque traités au sein du service d’Hématologie et Oncologie Pédiatrique de l’Hôpital d’Enfant de Rabat sur une période de 4 ans (de Janvier 2015 à Décembre 2018).
Notre objectif est d’étudier les aspects cliniques, radiologiques, histologiques, thérapeutiques et évolutifs du neuroblastome à haut risque traités par le protocole HR NBL-MA 2010 à travers notre série.
L’âge médian au diagnostic est de 4 ans avec un sex ratio de 1,63. Le siège abdominal représentait la principale localisation de la tumeur primitive (86%), les métastases siégeaient principalement au niveau médullaire et osseux (55%).
La recherche d’une amplification de l’oncogène NMYC a été faite dans seulement 13 cas revenue en faveur d’une amplification dans 8 cas.
Tous nos patients ont été traité selon le protocole HR-NBL-MA 2010 qui consiste en une chimiothérapie néoadjuvante avec un contrôle local de la tumeur primitive par chirurgie, une consolidation par chimiothérapie haute dose suivie d’une autogreffe des CSH, d’une radiothérapie et enfin un control de la maladie résiduelle par acide rétinoïque.
L’avenir est prometteur pour faire des progrès considérables dans notre compréhension et notre traitement du neuroblastome.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2652019 Président : KHATTAB.M Directeur : EL KABABRI.M Juge : HESSISSEN.L Juge : KILI.A Juge : ESSAKALLI.M ; LAMALMI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2652019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M2652019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M2652019URL Expression de l’oncogène NMYC par Immunohistochimie dans les Tumeurs Neuroblastiques Périphériques : Corrélation clinico-pathologique. / Fatiha ASTAOUI
Titre : Expression de l’oncogène NMYC par Immunohistochimie dans les Tumeurs Neuroblastiques Périphériques : Corrélation clinico-pathologique. Type de document : thèse Auteurs : Fatiha ASTAOUI, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur Neuroblastique NMYC MKI Immunohistochimie Pronostic Résumé : Objectifs : Corréler les données histo-pronostiques avec les données clinico-pathologiques et d’évolution de la maladie. Et effectuer une mise au point sur l’apport de l’étude de l’expression du NMYC par Immunohistochimie comme facteur pronostique.
Matériels et méthodes : Les données clinico-pathologiques et histopronostiques de 67 patients diagnostiqués dans le LACP et/ou pris en charge dans le CHOP, entre Janvier 2014 et Janvier 2017, ont été reportées.. L’évaluation de l’expression de NMYC est décelée par technique IHC, et ses résultats sontcorrélés aux différents facteurs cliniques.
Résultats : Les TNP représentaient dans notre série 8,08% de l’ensemble des cancers traités au CHOP, avec un âge moyen au diagnostic de 26 mois et un sexe ratio de 1,29. La principale localisation des TNP était abdominale dans 76%. Le diagnostic est posé sur biopsie chez 58 cas (87%), sur BOM chez 5 cas (7%), et sur pièce d’exérèse chez 4 cas (6%), retrouvait 95% (55 cas) Neuroblastome, 3% (2 cas) Ganglioneuroblastome et 2% (1 cas) de Ganglioneurome. La survie à 12 mois était de 81.6% chez les patients ayant un NMYC négatif, et de 53.1% chez ceux avec NMYC positif.
Conclusion : L’IHC de l’expression de NMYC chez nos cas a permis de confirmer que les patients avec un immunomarquage Positif pour le NMYC avait un mauvais pronostic que ceux ayant un immunomarquage Négatif, ces résultats suggèrent que la surexpression de la protéine NMYC est associée à un pronostic défavorable. L’IHC de l’expression du NMYC est utile pour prédire le pronostic des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1692018 Président : KHATTAB.M Directeur : LAMALMI.N Juge : HESSISSEN.L Juge : OULAHYANE.R Juge : ALHAMANY.Z Expression de l’oncogène NMYC par Immunohistochimie dans les Tumeurs Neuroblastiques Périphériques : Corrélation clinico-pathologique. [thèse] / Fatiha ASTAOUI, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeur Neuroblastique NMYC MKI Immunohistochimie Pronostic Résumé : Objectifs : Corréler les données histo-pronostiques avec les données clinico-pathologiques et d’évolution de la maladie. Et effectuer une mise au point sur l’apport de l’étude de l’expression du NMYC par Immunohistochimie comme facteur pronostique.
Matériels et méthodes : Les données clinico-pathologiques et histopronostiques de 67 patients diagnostiqués dans le LACP et/ou pris en charge dans le CHOP, entre Janvier 2014 et Janvier 2017, ont été reportées.. L’évaluation de l’expression de NMYC est décelée par technique IHC, et ses résultats sontcorrélés aux différents facteurs cliniques.
Résultats : Les TNP représentaient dans notre série 8,08% de l’ensemble des cancers traités au CHOP, avec un âge moyen au diagnostic de 26 mois et un sexe ratio de 1,29. La principale localisation des TNP était abdominale dans 76%. Le diagnostic est posé sur biopsie chez 58 cas (87%), sur BOM chez 5 cas (7%), et sur pièce d’exérèse chez 4 cas (6%), retrouvait 95% (55 cas) Neuroblastome, 3% (2 cas) Ganglioneuroblastome et 2% (1 cas) de Ganglioneurome. La survie à 12 mois était de 81.6% chez les patients ayant un NMYC négatif, et de 53.1% chez ceux avec NMYC positif.
Conclusion : L’IHC de l’expression de NMYC chez nos cas a permis de confirmer que les patients avec un immunomarquage Positif pour le NMYC avait un mauvais pronostic que ceux ayant un immunomarquage Négatif, ces résultats suggèrent que la surexpression de la protéine NMYC est associée à un pronostic défavorable. L’IHC de l’expression du NMYC est utile pour prédire le pronostic des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1692018 Président : KHATTAB.M Directeur : LAMALMI.N Juge : HESSISSEN.L Juge : OULAHYANE.R Juge : ALHAMANY.Z Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1692018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M1692018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M1692018URL