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Influence du jeûne sur le microbiote intestinal et diminution de la prolifération des cellules anarchique / BENHAMMOU Jihane
Titre : Influence du jeûne sur le microbiote intestinal et diminution de la prolifération des cellules anarchique Type de document : thèse Auteurs : BENHAMMOU Jihane, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Régime restrictifs Cancer Résistance au stress oxydatif Chimiothérapie Détoxification cellulaire. Résumé : Le jeûne est une pratique ancestrale, souvent pratiqué pour des raisons religieuses et spirituelles, trouve actuellement un regain d’intérêt dans des contextes très variables, notamment dans le cadre thérapeutique.
Il entraine une diminution du stress oxydatif et de l’inflammation, accroit la protection et la résistance cellulaire aux agressions, augmente la sensibilité à l’insuline, et modifie la régulation hormonale du métabolisme cellulaire.
Le jeûne induit des mécanismes de survie dans la cellule normale mais pas dans les cellules cancéreuses. Le jeûne pourrait être donc un traitement adjuvant des carcinolytiques en limitant la toxicité et en intensifiant l’effet antitumoral. Appliqué à des modèles animaux de tumeur, il ralentit la prolifération et optimise l’efficacité de la chimiothérapie, tout en améliorant sa tolérance, à condition d’éviter l’installation d’une dénutrition qui présente un facteur pronostique péjoratif, au moment où son dépistage et sa prise en charge présente une priorité pour les professionnels de la nutrition clinique en oncologie.
Cependant L'examen de l'ensemble des données scientifiques concernant le jeûne et les régimes restrictifs, issues de nombreuses études expérimentales chez l'animal et des quelques études épidémiologiques et cliniques disponibles actuellement, n'apporte pas la preuve d'un effet (bénéfique ou délétère) chez l'Homme en prévention primaire ou pendant la maladie, qu'il s'agisse d'un effet curatif ou d'une interaction avec les traitements anticancéreux
Bien que des présomptions d'effets bénéfiques du jeûne existent, des études randomisées sont nécessaires afin d’explorer son efficacité et surtout son applicabilité clinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0522019 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Influence du jeûne sur le microbiote intestinal et diminution de la prolifération des cellules anarchique [thèse] / BENHAMMOU Jihane, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Régime restrictifs Cancer Résistance au stress oxydatif Chimiothérapie Détoxification cellulaire. Résumé : Le jeûne est une pratique ancestrale, souvent pratiqué pour des raisons religieuses et spirituelles, trouve actuellement un regain d’intérêt dans des contextes très variables, notamment dans le cadre thérapeutique.
Il entraine une diminution du stress oxydatif et de l’inflammation, accroit la protection et la résistance cellulaire aux agressions, augmente la sensibilité à l’insuline, et modifie la régulation hormonale du métabolisme cellulaire.
Le jeûne induit des mécanismes de survie dans la cellule normale mais pas dans les cellules cancéreuses. Le jeûne pourrait être donc un traitement adjuvant des carcinolytiques en limitant la toxicité et en intensifiant l’effet antitumoral. Appliqué à des modèles animaux de tumeur, il ralentit la prolifération et optimise l’efficacité de la chimiothérapie, tout en améliorant sa tolérance, à condition d’éviter l’installation d’une dénutrition qui présente un facteur pronostique péjoratif, au moment où son dépistage et sa prise en charge présente une priorité pour les professionnels de la nutrition clinique en oncologie.
Cependant L'examen de l'ensemble des données scientifiques concernant le jeûne et les régimes restrictifs, issues de nombreuses études expérimentales chez l'animal et des quelques études épidémiologiques et cliniques disponibles actuellement, n'apporte pas la preuve d'un effet (bénéfique ou délétère) chez l'Homme en prévention primaire ou pendant la maladie, qu'il s'agisse d'un effet curatif ou d'une interaction avec les traitements anticancéreux
Bien que des présomptions d'effets bénéfiques du jeûne existent, des études randomisées sont nécessaires afin d’explorer son efficacité et surtout son applicabilité clinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0522019 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0522019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M0522019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M0522019URL
Titre : Rôle du jeûne en cancérologie Type de document : thèse Auteurs : ELBADRI Abderrahmane, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Régime restrictifs Cancer Résistance au stress oxydatif Chimiothérapie Détoxification cellulaire. Résumé : Le jeûne est une pratique ancienne, qui trouve actuellement un regain d’intérêt dans des contextes très variables, c’est un fait social que les médecins, les soignants et les agences sanitaires ne peuvent ignorer. Les patients fondent beaucoup d’espoir dans les médecines complémentaires, et en particulier dans ces régimes restrictifs.
Il induit des mécanismes de survie dans la cellule normale mais pas dans les cellules cancéreuses.Le jeûne pourrait être donc un traitement adjuvant des carcinolytiques en limitant la toxicité et en intensifiant l’effet antitumoral. Appliqué à des modèles animaux de tumeur, il ralentit la prolifération et optimise l’efficacité de la chimiothérapie, tout en améliorant sa tolérance, à condition d’éviter l’installation d’une dénutrition.
Cependant L'examen de l'ensemble des données scientifiques concernant le jeûne et les régimes restrictifs, issues de nombreuses études expérimentales chez l'animal et des quelques études épidémiologiques et cliniques disponibles actuellement, n'apporte pas la preuve d'un effet (bénéfique ou délétère) chez l'Homme en prévention primaire ou pendant la maladie, qu'il s'agisse d'un effet curatif ou d'une interaction avec les traitements anticancéreux
Tout en prenant en considération qu’au cours des traitements des cancers, la pratique du jeûne ou de régimes restrictifs présente un risque d’aggravation de la dénutrition et de la sarcopénie, deux facteurs pronostiques péjoratifs reconnus, au moment où La prévention de la dénutrition, son dépistage et sa prise en charge présentent une priorité pour les professionnels de la nutrition clinique en oncologie.
Bien que des présomptions d'effets bénéfiques du jeûne existent, ils nécessitent des démonstrations scientifiques par de nouvelles études dont la méthodologie idéale reste à définir.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3182018 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Rôle du jeûne en cancérologie [thèse] / ELBADRI Abderrahmane, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Régime restrictifs Cancer Résistance au stress oxydatif Chimiothérapie Détoxification cellulaire. Résumé : Le jeûne est une pratique ancienne, qui trouve actuellement un regain d’intérêt dans des contextes très variables, c’est un fait social que les médecins, les soignants et les agences sanitaires ne peuvent ignorer. Les patients fondent beaucoup d’espoir dans les médecines complémentaires, et en particulier dans ces régimes restrictifs.
Il induit des mécanismes de survie dans la cellule normale mais pas dans les cellules cancéreuses.Le jeûne pourrait être donc un traitement adjuvant des carcinolytiques en limitant la toxicité et en intensifiant l’effet antitumoral. Appliqué à des modèles animaux de tumeur, il ralentit la prolifération et optimise l’efficacité de la chimiothérapie, tout en améliorant sa tolérance, à condition d’éviter l’installation d’une dénutrition.
Cependant L'examen de l'ensemble des données scientifiques concernant le jeûne et les régimes restrictifs, issues de nombreuses études expérimentales chez l'animal et des quelques études épidémiologiques et cliniques disponibles actuellement, n'apporte pas la preuve d'un effet (bénéfique ou délétère) chez l'Homme en prévention primaire ou pendant la maladie, qu'il s'agisse d'un effet curatif ou d'une interaction avec les traitements anticancéreux
Tout en prenant en considération qu’au cours des traitements des cancers, la pratique du jeûne ou de régimes restrictifs présente un risque d’aggravation de la dénutrition et de la sarcopénie, deux facteurs pronostiques péjoratifs reconnus, au moment où La prévention de la dénutrition, son dépistage et sa prise en charge présentent une priorité pour les professionnels de la nutrition clinique en oncologie.
Bien que des présomptions d'effets bénéfiques du jeûne existent, ils nécessitent des démonstrations scientifiques par de nouvelles études dont la méthodologie idéale reste à définir.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3182018 Président : GAOUZI.A Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3182018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M3182018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M3182018URL