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Titre : ALLAITEMENT ET RAMADAN. Type de document : thèse Auteurs : YASYN, Sara, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ramadan Allaitement Résumé : Le jeûne du mois de Ramadan est l’un des cinq piliers de l’Islam. Les Musulmans doivent s’abstenir de manger et de boire du lever au coucher du soleil, et ce pendant un mois lunaire. La femme allaitante est autorisée à choisir de jeûner ou non. Dans notre étude, on se propose d’étudier la qualité de l’allaitement au cours du Ramadan. C’est une étude qualitative, incluant 100 couples « mères-nourrissons »; et effectuée au niveau du centre de santé Yasmine – khemisset à l’unité de santé maternelle et infantile de décembre 2018 à janvier 2019. Les informations ont été recueillies par la consultation du carnet de santé de l’enfant et à l’aide d’un questionnaire destiné aux mamans, présenté sous forme d’une fiche d’exploitation, comportant des questions à choix multiples et des questions à réponse libre. Nos résultats trouvent que : Toutes les parturientes (100%) sont convaincues que la femme allaitante doit observer le jeûne du Ramadan et que ce dernier n’a pas de retentissement sur le nourrisson. L’asthénie est la seule difficulté rencontrée (18%). Il existe une relation très significative entre les difficultés rencontrées par les femmes et le choix du mode d’allaitement pendant le mois du jeûne (p=0.01). La qualité d’alimentation des parturientes a une relation très significative avec l’asthénie (p<0,01). Aucun nourrisson n’a présenté les signes de déshydratation ; (67%) des nourrissons avaient +1DS avant Ramadan et (68%) avaient +1DS après. Le jeune du Ramadan ne semble pas avoir d’effet délétère sur l’état de santé du nourrisson ; cependant ; il est primordial de renforcer la formation des professionnels de santé et notamment des généralistes, afin qu’ils puissent répondre de façon efficace aux difficultés rencontrées par les mères, susceptibles d’interrompre prématurément l’allaitement. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4032019 Président : KHARBACH.A Directeur : LAKHDAR.A Juge : RHRAB.B Juge : ZERAIDI.N ALLAITEMENT ET RAMADAN. [thèse] / YASYN, Sara, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Ramadan Allaitement Résumé : Le jeûne du mois de Ramadan est l’un des cinq piliers de l’Islam. Les Musulmans doivent s’abstenir de manger et de boire du lever au coucher du soleil, et ce pendant un mois lunaire. La femme allaitante est autorisée à choisir de jeûner ou non. Dans notre étude, on se propose d’étudier la qualité de l’allaitement au cours du Ramadan. C’est une étude qualitative, incluant 100 couples « mères-nourrissons »; et effectuée au niveau du centre de santé Yasmine – khemisset à l’unité de santé maternelle et infantile de décembre 2018 à janvier 2019. Les informations ont été recueillies par la consultation du carnet de santé de l’enfant et à l’aide d’un questionnaire destiné aux mamans, présenté sous forme d’une fiche d’exploitation, comportant des questions à choix multiples et des questions à réponse libre. Nos résultats trouvent que : Toutes les parturientes (100%) sont convaincues que la femme allaitante doit observer le jeûne du Ramadan et que ce dernier n’a pas de retentissement sur le nourrisson. L’asthénie est la seule difficulté rencontrée (18%). Il existe une relation très significative entre les difficultés rencontrées par les femmes et le choix du mode d’allaitement pendant le mois du jeûne (p=0.01). La qualité d’alimentation des parturientes a une relation très significative avec l’asthénie (p<0,01). Aucun nourrisson n’a présenté les signes de déshydratation ; (67%) des nourrissons avaient +1DS avant Ramadan et (68%) avaient +1DS après. Le jeune du Ramadan ne semble pas avoir d’effet délétère sur l’état de santé du nourrisson ; cependant ; il est primordial de renforcer la formation des professionnels de santé et notamment des généralistes, afin qu’ils puissent répondre de façon efficace aux difficultés rencontrées par les mères, susceptibles d’interrompre prématurément l’allaitement. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4032019 Président : KHARBACH.A Directeur : LAKHDAR.A Juge : RHRAB.B Juge : ZERAIDI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4032019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4032019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M4032019URL DIABETE ET RAMADAN : IMPACT METABOLIQUE DU JEUNE CONTRE AVIS MEDICAL LIEE AU RAMADAN : RESULTATS D'UNE ETUDE PROSPECTIVE / HAJJI MAHDI
Titre : DIABETE ET RAMADAN : IMPACT METABOLIQUE DU JEUNE CONTRE AVIS MEDICAL LIEE AU RAMADAN : RESULTATS D'UNE ETUDE PROSPECTIVE Type de document : thèse Auteurs : HAJJI MAHDI, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diabète type 2 Ramadan Jeûne Retentissement métabolique Type 2 diabetes Fasting Metabolic impact السكري من النوع الثاني رمضان الصیام التأثیر الأیضي. Résumé : Objectif : Retentissement métabolique du jeûne contre avis médical lie au Ramadan chez les
patients diabétique type 2.
Introduction : La prévalence du diabète de type 2, qui est l'une des maladies chroniques les
plus répandues, est en constante augmentation. Au Maroc, il est estimé que 2.7 millions de diabétique
plus de 18 ans sont confrontés à cette problématique du jeûne du Ramadan. Toutefois, il existe peu de
recherches sur ce sujet. Nous avons étudié l'effet du jeûne pendant le Ramadan de 2021 sur l’équilibre
glycémique chez les patients atteints de diabète de type 2 non autorisés à jeûner.
Matériels et Méthodes : Une enquête observationnelle analytique de type cohorte a été menée
de mai à juillet 2021 au sein du service d'endocrinologie de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed
V de Rabat. L'échantillon comprenait 89 diabétiques représentatifs qui ont répondu à un questionnaire
anonyme.
Résultats : Parmi les 89 patients interrogés, chez qui le jeûne avait été contre-indiqué par le
médecin, 54 ont jeûné malgré l'avis médical (soit 60% des diabétiques non autorisés). Parmi ces
patients, 55% étaient de sexe masculin (contre 68% dans le groupe qui n'a pas jeûné, p=0,219) et
77,77% avaient un niveau d'instruction bas (analphabétisme ou primaire) (contre 71,4% dans le groupe
qui n'a pas jeûné, p=0,498). La moyenne de l'ancienneté du diabète était de 8.89 ans dans le groupe
des jeûneurs et de 14 ans dans le groupe des non-jeûneurs (p<0,001). En ce qui concerne l'impact
métabolique du jeûne, aucune différence statistiquement significative n'a été observée entre la
moyenne de l'HbA1c avant et après le Ramadan chez les patients ayant jeûné (7.77±1.66% vs
7.79±1.56%, p=0,911). Cependant, une altération de la fonction rénale a été observée chez ces patients
par rapport aux patients non-jeûneurs (p=0,002). Le risque de survenue d'une hypoglycémie chez les
jeûneurs était multiplié par 42 (OR : 42.2 IC95% (2.45-725) dans cette étude.
Discussion : Notre étude a montré que les caractéristiques sociodémographiques telles que l'âge,
le sexe et le niveau d'études n'ont pas influencé la décision des patients de jeûner. Nous avons
également constaté que plus le diabète était ancien, plus les patients respectaient les consignes de leur
médecin. Dans notre étude, nous n'avons pas observé d'effet significatif du jeûne sur l'équilibre
glycémique, Chez les patients qui observent le jeûne, la fonction rénale peut se détériorer de manière
significative, comme nous l'avons observé dans notre étude. Une augmentation significative des
événements hypoglycémiques a été observée chez les patients diabétiques pendant le mois de
Ramadan.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1732023 Président : Youssef SEKKACH Directeur : Naoual EL OMRI ; Ahmed Anas GUERBOUB Juge : Mohamed JIRA Juge : Fadoua MEKOUAR Juge : Mohamed EL QATNI ; Jamal FATIHI DIABETE ET RAMADAN : IMPACT METABOLIQUE DU JEUNE CONTRE AVIS MEDICAL LIEE AU RAMADAN : RESULTATS D'UNE ETUDE PROSPECTIVE [thèse] / HAJJI MAHDI, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Diabète type 2 Ramadan Jeûne Retentissement métabolique Type 2 diabetes Fasting Metabolic impact السكري من النوع الثاني رمضان الصیام التأثیر الأیضي. Résumé : Objectif : Retentissement métabolique du jeûne contre avis médical lie au Ramadan chez les
patients diabétique type 2.
Introduction : La prévalence du diabète de type 2, qui est l'une des maladies chroniques les
plus répandues, est en constante augmentation. Au Maroc, il est estimé que 2.7 millions de diabétique
plus de 18 ans sont confrontés à cette problématique du jeûne du Ramadan. Toutefois, il existe peu de
recherches sur ce sujet. Nous avons étudié l'effet du jeûne pendant le Ramadan de 2021 sur l’équilibre
glycémique chez les patients atteints de diabète de type 2 non autorisés à jeûner.
Matériels et Méthodes : Une enquête observationnelle analytique de type cohorte a été menée
de mai à juillet 2021 au sein du service d'endocrinologie de l'hôpital militaire d'instruction Mohammed
V de Rabat. L'échantillon comprenait 89 diabétiques représentatifs qui ont répondu à un questionnaire
anonyme.
Résultats : Parmi les 89 patients interrogés, chez qui le jeûne avait été contre-indiqué par le
médecin, 54 ont jeûné malgré l'avis médical (soit 60% des diabétiques non autorisés). Parmi ces
patients, 55% étaient de sexe masculin (contre 68% dans le groupe qui n'a pas jeûné, p=0,219) et
77,77% avaient un niveau d'instruction bas (analphabétisme ou primaire) (contre 71,4% dans le groupe
qui n'a pas jeûné, p=0,498). La moyenne de l'ancienneté du diabète était de 8.89 ans dans le groupe
des jeûneurs et de 14 ans dans le groupe des non-jeûneurs (p<0,001). En ce qui concerne l'impact
métabolique du jeûne, aucune différence statistiquement significative n'a été observée entre la
moyenne de l'HbA1c avant et après le Ramadan chez les patients ayant jeûné (7.77±1.66% vs
7.79±1.56%, p=0,911). Cependant, une altération de la fonction rénale a été observée chez ces patients
par rapport aux patients non-jeûneurs (p=0,002). Le risque de survenue d'une hypoglycémie chez les
jeûneurs était multiplié par 42 (OR : 42.2 IC95% (2.45-725) dans cette étude.
Discussion : Notre étude a montré que les caractéristiques sociodémographiques telles que l'âge,
le sexe et le niveau d'études n'ont pas influencé la décision des patients de jeûner. Nous avons
également constaté que plus le diabète était ancien, plus les patients respectaient les consignes de leur
médecin. Dans notre étude, nous n'avons pas observé d'effet significatif du jeûne sur l'équilibre
glycémique, Chez les patients qui observent le jeûne, la fonction rénale peut se détériorer de manière
significative, comme nous l'avons observé dans notre étude. Une augmentation significative des
événements hypoglycémiques a été observée chez les patients diabétiques pendant le mois de
Ramadan.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1732023 Président : Youssef SEKKACH Directeur : Naoual EL OMRI ; Ahmed Anas GUERBOUB Juge : Mohamed JIRA Juge : Fadoua MEKOUAR Juge : Mohamed EL QATNI ; Jamal FATIHI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1732023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible L’IMPACT DU JEUNE DU RAMADAN SUR L’EQUILIBRE DU DIABETE CHEZ LES PATIENTS DIABETIQUES DE TYPE 2 / FARHA Manar
Titre : L’IMPACT DU JEUNE DU RAMADAN SUR L’EQUILIBRE DU DIABETE CHEZ LES PATIENTS DIABETIQUES DE TYPE 2 Type de document : thèse Auteurs : FARHA Manar, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : diabète de type 2 Ramadan le jeûne type 2 diabetes Ramadan fasting داء السكري من النوع 2 رمضان الصوم Résumé : Les personnes atteintes de diabète sucré courent un risque élevé de diverses complications potentielles liées au jeûne. Ainsi, malgré l’exemption coranique, certains diabétiques musulmans jeûnent durant le Ramadan malgré la complexité de sa prise en charge et ça pose de nombreux problèmes surtout liés à certaines habitudes malsaines associées aux habitudes alimentaires constatées durant ce mois.
L’objectif de notre travail est d’évaluer l’impact du jeûne du Ramadan sur le diabète type 2.
Cette présente étude a été menée sur 48 patients anciens diabétiques type 2, jeûneurs et non jeûneurs, sous traitement ont été inclus dans l’étude. Les mesures et contrôles ont été effectués chez les patients avant et après le Ramadan, et ont concerné (l’IMC, HbA1c, le bilan lipidique (LDL cholestérol), les apports caloriques et en macronutriments ainsi que les habitudes alimentaires avant et pendant le Ramadan. Les résultats ont été analysés pour évaluer l’impact du jeûne du mois du Ramadan et les pratiques alimentaires durant ce mois sur l’équilibre du diabète chez les patients jeûneurs et non jeûneurs. Le jeûne de Ramadan d’une part semble améliorer, chez les patients jeûneurs diabétiques de façon significative, le poids. Une prise de poids a été observée chez les non-jeûneurs expliquée par une alimentation riche en glucides et en graisse ainsi qu’une faible activité physique. D’autre part, le jeûne de Ramadan a eu un impact positif sur l’équilibre glycémique chez les jeûneurs par rapport aux non-jeûneurs. Ainsi, durant le Ramadan, les patients jeûneurs ont montré des signes d’hypoglycémies pendant les deux dernières heures avant l’Iftar et des hyperglycémies ont été constatées chez les jeûneurs et les non-jeûneurs en post Iftar. Quant aux habitudes alimentaires, les préparations alimentaires principalement présentes tout au long du mois sont riche en glucides et en lipides, les aliments à index glycémique élevé (jus de fruits), ce qui laisse moins de place pour les aliments riche en fibre et moins calorique recommandée chez les diabétiquesNuméro (Thèse ou Mémoire) : MM0282022 Président : El JAOUDI Rachid Directeur : EL OMRI Naoual Juge : OUADGHIRI Mouna Juge : MEKOUAR Fadwa L’IMPACT DU JEUNE DU RAMADAN SUR L’EQUILIBRE DU DIABETE CHEZ LES PATIENTS DIABETIQUES DE TYPE 2 [thèse] / FARHA Manar, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : diabète de type 2 Ramadan le jeûne type 2 diabetes Ramadan fasting داء السكري من النوع 2 رمضان الصوم Résumé : Les personnes atteintes de diabète sucré courent un risque élevé de diverses complications potentielles liées au jeûne. Ainsi, malgré l’exemption coranique, certains diabétiques musulmans jeûnent durant le Ramadan malgré la complexité de sa prise en charge et ça pose de nombreux problèmes surtout liés à certaines habitudes malsaines associées aux habitudes alimentaires constatées durant ce mois.
L’objectif de notre travail est d’évaluer l’impact du jeûne du Ramadan sur le diabète type 2.
Cette présente étude a été menée sur 48 patients anciens diabétiques type 2, jeûneurs et non jeûneurs, sous traitement ont été inclus dans l’étude. Les mesures et contrôles ont été effectués chez les patients avant et après le Ramadan, et ont concerné (l’IMC, HbA1c, le bilan lipidique (LDL cholestérol), les apports caloriques et en macronutriments ainsi que les habitudes alimentaires avant et pendant le Ramadan. Les résultats ont été analysés pour évaluer l’impact du jeûne du mois du Ramadan et les pratiques alimentaires durant ce mois sur l’équilibre du diabète chez les patients jeûneurs et non jeûneurs. Le jeûne de Ramadan d’une part semble améliorer, chez les patients jeûneurs diabétiques de façon significative, le poids. Une prise de poids a été observée chez les non-jeûneurs expliquée par une alimentation riche en glucides et en graisse ainsi qu’une faible activité physique. D’autre part, le jeûne de Ramadan a eu un impact positif sur l’équilibre glycémique chez les jeûneurs par rapport aux non-jeûneurs. Ainsi, durant le Ramadan, les patients jeûneurs ont montré des signes d’hypoglycémies pendant les deux dernières heures avant l’Iftar et des hyperglycémies ont été constatées chez les jeûneurs et les non-jeûneurs en post Iftar. Quant aux habitudes alimentaires, les préparations alimentaires principalement présentes tout au long du mois sont riche en glucides et en lipides, les aliments à index glycémique élevé (jus de fruits), ce qui laisse moins de place pour les aliments riche en fibre et moins calorique recommandée chez les diabétiquesNuméro (Thèse ou Mémoire) : MM0282022 Président : El JAOUDI Rachid Directeur : EL OMRI Naoual Juge : OUADGHIRI Mouna Juge : MEKOUAR Fadwa Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MM0282022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Masters Disponible
Titre : IMPACT DU RAMADAN SUR LA MALADIE DE CROHN Type de document : thèse Auteurs : EL MOUNTASSIR Meryem., Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Ramadan Maladie de crohn Nutrition Résumé : La maladie de crohn est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin. Ramadan correspond au mois pendant lequel tout musulman adulte doit observer un jeûne diurne du lever au coucher du soleil.
Le but de notre travail est d’étudier l’impact du jeûne du ramadan sur les patients présentant la maladie de crohn. Pour cela nous avons réalisé une étude rétrospective descriptive pendant le mois de ramadan 2011. Ont été inclus dans l’étude tous les patients atteints de maladie de crohn se présentant régulièrement en consultation sur une durée moyenne de 18 ans (1993-2011).
Nous avons colligé 100 cas ayant respecté nos critères d’inclusion. L’âge moyen était de 35.94 ans, la maladie de crohn était iléo-colique dans 60% des cas, iléale dans 20% des cas et colique dans 20% des cas. Le traitement était basé sur les immunosuppresseurs dans 64% des cas, les aminosalycilés dans 18% des cas, les corticoïdes dans 12% des cas et les anti-TNFα dans 6% des cas. 34% des patients étaient opérés. Le jeûne était bien supporté dans 94% des cas avec une nette amélioration de la symptomatologie clinique au cours de la journée, cependant seulement 6% des patients n’ont pas supporté le jeûne nécessitant son interruption, les raisons de l’interruption du jeûne étaient des ménometrorragies responsables d’un syndrome anémique profond dans un cas et des épigastralgies sans rapport avec la maladie chez des patients sous corticoïdes dans 02 cas.
A travers notre travail on note que la majorité des patients présentent une bonne tolérance du jeûne, cependant les raisons de son interruption n’étaient pas liées à la maladie de crohn elle-même mais à d’autres facteurs associés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3062019 Président : AJANA.F Directeur : BEN EL BARHDADI.I Juge : AOURARH.A Juge : SALIHOUN.M IMPACT DU RAMADAN SUR LA MALADIE DE CROHN [thèse] / EL MOUNTASSIR Meryem., Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Ramadan Maladie de crohn Nutrition Résumé : La maladie de crohn est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin. Ramadan correspond au mois pendant lequel tout musulman adulte doit observer un jeûne diurne du lever au coucher du soleil.
Le but de notre travail est d’étudier l’impact du jeûne du ramadan sur les patients présentant la maladie de crohn. Pour cela nous avons réalisé une étude rétrospective descriptive pendant le mois de ramadan 2011. Ont été inclus dans l’étude tous les patients atteints de maladie de crohn se présentant régulièrement en consultation sur une durée moyenne de 18 ans (1993-2011).
Nous avons colligé 100 cas ayant respecté nos critères d’inclusion. L’âge moyen était de 35.94 ans, la maladie de crohn était iléo-colique dans 60% des cas, iléale dans 20% des cas et colique dans 20% des cas. Le traitement était basé sur les immunosuppresseurs dans 64% des cas, les aminosalycilés dans 18% des cas, les corticoïdes dans 12% des cas et les anti-TNFα dans 6% des cas. 34% des patients étaient opérés. Le jeûne était bien supporté dans 94% des cas avec une nette amélioration de la symptomatologie clinique au cours de la journée, cependant seulement 6% des patients n’ont pas supporté le jeûne nécessitant son interruption, les raisons de l’interruption du jeûne étaient des ménometrorragies responsables d’un syndrome anémique profond dans un cas et des épigastralgies sans rapport avec la maladie chez des patients sous corticoïdes dans 02 cas.
A travers notre travail on note que la majorité des patients présentent une bonne tolérance du jeûne, cependant les raisons de son interruption n’étaient pas liées à la maladie de crohn elle-même mais à d’autres facteurs associés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3062019 Président : AJANA.F Directeur : BEN EL BARHDADI.I Juge : AOURARH.A Juge : SALIHOUN.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3062019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3062019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M3062019URL
Titre : IMPACT DU RAMADAN SUR LA MALADIE DE L’EPILEPSIE Type de document : thèse Auteurs : HAMOUTA Ouafaa, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Epilepsie Ramadan jeûne Résumé : Introduction : l’épilepsie regroupe plusieurs maladies neurologiques ayant pour point commun la répétition des crises épileptiques. Afin de contrôler les crises, il faut une bonne observance thérapeutique ainsi qu’un sommeil de bonne qualité. Cependant, durant le mois de Ramadan, les deux sont affectés. Le jeûne a été utilisé depuis l’antiquité comme traitement de l’épilepsie.
Objectif et méthodes : Le but de notre travail était d’étudier l’impact du jeûne durant Ramadan sur l’épilepsie. Notre travail a porté sur 161 patients qui avaient choisi de jeûner le Ramadan. Nous avons étudié les caractéristiques démographiques, la fréquence des crises, le régime thérapeutique, et le sommeil.
Résultats : Notre population d’étude était constituée de 50.2% de femmes, et 47.8% d’hommes. L’âge moyen était de 33.5 ans avec des extrêmes allant de 13 ans à 68 ans. Concernant les types des crises épileptiques, elles étaient généralisées dans 36.6% des cas et focales dans 63.4% des cas. Les régimes thérapeutiques étaient le plus souvent une monothérapie dans 70.8% des cas, une polythérapie dans 26.1% des cas et un sevrage médicamenteux dans 3.1% des cas. L’épilepsie était pharmacorésistante dans 22.98% des cas.
Les patients qui avaient présenté aucune crise durant Ramadan constituaient 78.8%.
Discussion : Le taux des patients qui avaient présenté aucune crise durant Ramadan était 78.8%. Les patients sous monothérapie avaient significativement moins de crises que ceux sous polythérapie (p<0.001). De plus, ceux qui avaient une période de stabilité significativement plus longue (p < 0.001) avaient présenté moins de crises lors du Ramadan.
Conclusion : Malgré la modification du rythme du sommeil et le changement des horaires des prises en raison du jeûne, la majorité do nos patients ne se sont pas aggravés avec même une amélioration lors du Ramadan pour certains groupes. Le jeûne intermittent comme lors du mois de Ramadan, pourrait avoir un effet positif sur le contrôle des crises épileptiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4132021 Président : BENOMAR ALI Directeur : BOURAZZA Ahmed Juge : BELMEKKI ABDELKADER Juge : REGRAGUI Wafa IMPACT DU RAMADAN SUR LA MALADIE DE L’EPILEPSIE [thèse] / HAMOUTA Ouafaa, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Epilepsie Ramadan jeûne Résumé : Introduction : l’épilepsie regroupe plusieurs maladies neurologiques ayant pour point commun la répétition des crises épileptiques. Afin de contrôler les crises, il faut une bonne observance thérapeutique ainsi qu’un sommeil de bonne qualité. Cependant, durant le mois de Ramadan, les deux sont affectés. Le jeûne a été utilisé depuis l’antiquité comme traitement de l’épilepsie.
Objectif et méthodes : Le but de notre travail était d’étudier l’impact du jeûne durant Ramadan sur l’épilepsie. Notre travail a porté sur 161 patients qui avaient choisi de jeûner le Ramadan. Nous avons étudié les caractéristiques démographiques, la fréquence des crises, le régime thérapeutique, et le sommeil.
Résultats : Notre population d’étude était constituée de 50.2% de femmes, et 47.8% d’hommes. L’âge moyen était de 33.5 ans avec des extrêmes allant de 13 ans à 68 ans. Concernant les types des crises épileptiques, elles étaient généralisées dans 36.6% des cas et focales dans 63.4% des cas. Les régimes thérapeutiques étaient le plus souvent une monothérapie dans 70.8% des cas, une polythérapie dans 26.1% des cas et un sevrage médicamenteux dans 3.1% des cas. L’épilepsie était pharmacorésistante dans 22.98% des cas.
Les patients qui avaient présenté aucune crise durant Ramadan constituaient 78.8%.
Discussion : Le taux des patients qui avaient présenté aucune crise durant Ramadan était 78.8%. Les patients sous monothérapie avaient significativement moins de crises que ceux sous polythérapie (p<0.001). De plus, ceux qui avaient une période de stabilité significativement plus longue (p < 0.001) avaient présenté moins de crises lors du Ramadan.
Conclusion : Malgré la modification du rythme du sommeil et le changement des horaires des prises en raison du jeûne, la majorité do nos patients ne se sont pas aggravés avec même une amélioration lors du Ramadan pour certains groupes. Le jeûne intermittent comme lors du mois de Ramadan, pourrait avoir un effet positif sur le contrôle des crises épileptiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4132021 Président : BENOMAR ALI Directeur : BOURAZZA Ahmed Juge : BELMEKKI ABDELKADER Juge : REGRAGUI Wafa Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4132021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M4132021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M4132021URL Profil des patients diabétiques en péri Ramadan à propos de 70 cas. / Mouna RAISSOUNI
Titre : Profil des patients diabétiques en péri Ramadan à propos de 70 cas. Type de document : thèse Auteurs : Mouna RAISSOUNI, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diabète HbA1c déséquilibre Ramadan Résumé : Intérêt : l’intérêt de notre travail est d’évaluer le profil des diabétiques hospitalisés dans notre service au cours du mois de Ramadan en les comparant avec d’autres malades hospitalisés en péri Ramadan.
Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive qui concerne 70 patients diabétiques hospitalisés au service d’endocrinologie du CHU Ibn Sina de Rabat un mois avant, pendant et le mois suivant Ramadan 2014, sur un total de 183 patients hospitalisés durant la même période.
Des paramètres socio démographiques et des informations médicales ont été recueillis pour tous nos patients diabétiques durant cette période.
Résultats :Dans notre travail, nous avons retrouvé que le mois de Ramadan s’est caractérisé par un taux élevé de diabète inaugural, et d’hospitalisations par le biais des urgences. La principale cause de ces hospitalisations était les DCA surtout chez les patients jeûneurs.
Il n’y avait pas de différences entre les patients hospitalisés pendant le mois sacré et les patients hospitalisés le mois précédent et le suivant au niveau de l’âge, du sexe, de la couverture sociale, du niveau d’éducation scolaire, du type de diabète, de l’équilibre glycémique, des complications dégénératives et du suivi antérieur.
Conclusion : Les données présentées mettent en évidence l’intérêt d’une éducation thérapeutique adaptée qui prend en compte le niveau d’éducation, les croyances et le vécu des patients.
En effet, malgré la tolérance de l’Islam, la plupart des patients diabétiques s’obstinent à jeûner malgré les risques du jeûne pour leur santé, et ce, afin d’éviter le sentiment de culpabilité religieuse et sociale en plus de la peur d’être marginalisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1132016 Président : CHRAIBI.A Directeur : IRAQI.H Juge : BENAMAR.L Juge : SABIR.M Juge : BOUABDELLAH.M Profil des patients diabétiques en péri Ramadan à propos de 70 cas. [thèse] / Mouna RAISSOUNI, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Diabète HbA1c déséquilibre Ramadan Résumé : Intérêt : l’intérêt de notre travail est d’évaluer le profil des diabétiques hospitalisés dans notre service au cours du mois de Ramadan en les comparant avec d’autres malades hospitalisés en péri Ramadan.
Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive qui concerne 70 patients diabétiques hospitalisés au service d’endocrinologie du CHU Ibn Sina de Rabat un mois avant, pendant et le mois suivant Ramadan 2014, sur un total de 183 patients hospitalisés durant la même période.
Des paramètres socio démographiques et des informations médicales ont été recueillis pour tous nos patients diabétiques durant cette période.
Résultats :Dans notre travail, nous avons retrouvé que le mois de Ramadan s’est caractérisé par un taux élevé de diabète inaugural, et d’hospitalisations par le biais des urgences. La principale cause de ces hospitalisations était les DCA surtout chez les patients jeûneurs.
Il n’y avait pas de différences entre les patients hospitalisés pendant le mois sacré et les patients hospitalisés le mois précédent et le suivant au niveau de l’âge, du sexe, de la couverture sociale, du niveau d’éducation scolaire, du type de diabète, de l’équilibre glycémique, des complications dégénératives et du suivi antérieur.
Conclusion : Les données présentées mettent en évidence l’intérêt d’une éducation thérapeutique adaptée qui prend en compte le niveau d’éducation, les croyances et le vécu des patients.
En effet, malgré la tolérance de l’Islam, la plupart des patients diabétiques s’obstinent à jeûner malgré les risques du jeûne pour leur santé, et ce, afin d’éviter le sentiment de culpabilité religieuse et sociale en plus de la peur d’être marginalisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1132016 Président : CHRAIBI.A Directeur : IRAQI.H Juge : BENAMAR.L Juge : SABIR.M Juge : BOUABDELLAH.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1132016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1132016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible RAMADAN ET GROSSESSE. / HANAFI YOUSRA
Titre : RAMADAN ET GROSSESSE. Type de document : thèse Auteurs : HANAFI YOUSRA, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : RAMADAN GROSSESSE JEUNE PATHOLOGIE HYPOTROPHIE. Résumé : Le jeûne du mois de Ramadan est l’un des cinq piliers de l’Islam. Les Musulmans doivent s’abstenir de manger et de boire du lever au coucher du soleil, et ce pendant un mois lunaire.
En ce qui concerne les femmes enceintes, quelques modifications métaboliques ont été constatées suite à un jeûne de courte durée. Ces changements ne sont pas seulement dus au jeûne en lui-même mais également à l’âge gestationnel durant lequel il se produit.
Le comportement fœtal durant le Ramadan n’a pas donné lieu à de nombreuses recherches. Cette parcimonie d’études a suscité notre intérêt pour ce sujet et nous a poussé a poser la question suivante : Quel est l’impact réel du jeûne sur le développement fœtal et la santé maternelle ?
Il a clairement été prouvé que le statut nutritionnel de la femme enceinte est différent de celui d’une femme qui ne l’est pas, tout en sachant que l’état de grossesse en lui-même induit un coût énergétique conséquent. La problématique serait de savoir si l’absence d’apports nutritionnels pour les femmes enceintes qui jeûnent durant le mois de Ramadan a un impact sur le bien-être maternel et/ou fœtal. Deux hypothèses peuvent être formulées :
Le jeûne du Ramadan n’a aucun impact sur la grossesse et dans ce cas le suivi prénatal sera similaire à celui des femmes qui ne jeûnent pas.
Le Ramadan pourrait avoir un impact sur la grossesse, cette dernière pourrait être contrôlée et dans ce cas il faudra cibler la prise en charge sur des critères fœtaux et/ou maternels spécifiques, ou elle ne peut être contrôlée.
Les objectifs principaux de ce travail sont de déterminer :
o L’impact sur le risque d’interruption spontanée de la grossesse et sur l’organogenèse.
o La durée du jeûne et le déroulement de la grossesse.
o L’impact sur la mère et les pathologies gestationnelles éventuelles pouvant apparaitre durant la grossesse ou l’accouchement.
o L’impact du jeûne sur le nouveau-né, à travers le risque de prématurité, de malformations, le poids à la naissance et les pathologies néonatales.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0872013 Président : CHRAIBI.C Directeur : KHARBACH.A Juge : ADIB FILALI.A RAMADAN ET GROSSESSE. [thèse] / HANAFI YOUSRA, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : RAMADAN GROSSESSE JEUNE PATHOLOGIE HYPOTROPHIE. Résumé : Le jeûne du mois de Ramadan est l’un des cinq piliers de l’Islam. Les Musulmans doivent s’abstenir de manger et de boire du lever au coucher du soleil, et ce pendant un mois lunaire.
En ce qui concerne les femmes enceintes, quelques modifications métaboliques ont été constatées suite à un jeûne de courte durée. Ces changements ne sont pas seulement dus au jeûne en lui-même mais également à l’âge gestationnel durant lequel il se produit.
Le comportement fœtal durant le Ramadan n’a pas donné lieu à de nombreuses recherches. Cette parcimonie d’études a suscité notre intérêt pour ce sujet et nous a poussé a poser la question suivante : Quel est l’impact réel du jeûne sur le développement fœtal et la santé maternelle ?
Il a clairement été prouvé que le statut nutritionnel de la femme enceinte est différent de celui d’une femme qui ne l’est pas, tout en sachant que l’état de grossesse en lui-même induit un coût énergétique conséquent. La problématique serait de savoir si l’absence d’apports nutritionnels pour les femmes enceintes qui jeûnent durant le mois de Ramadan a un impact sur le bien-être maternel et/ou fœtal. Deux hypothèses peuvent être formulées :
Le jeûne du Ramadan n’a aucun impact sur la grossesse et dans ce cas le suivi prénatal sera similaire à celui des femmes qui ne jeûnent pas.
Le Ramadan pourrait avoir un impact sur la grossesse, cette dernière pourrait être contrôlée et dans ce cas il faudra cibler la prise en charge sur des critères fœtaux et/ou maternels spécifiques, ou elle ne peut être contrôlée.
Les objectifs principaux de ce travail sont de déterminer :
o L’impact sur le risque d’interruption spontanée de la grossesse et sur l’organogenèse.
o La durée du jeûne et le déroulement de la grossesse.
o L’impact sur la mère et les pathologies gestationnelles éventuelles pouvant apparaitre durant la grossesse ou l’accouchement.
o L’impact du jeûne sur le nouveau-né, à travers le risque de prématurité, de malformations, le poids à la naissance et les pathologies néonatales.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0872013 Président : CHRAIBI.C Directeur : KHARBACH.A Juge : ADIB FILALI.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0872013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M0872013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible