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Place des antihistaminiques en dermatologie pédiatrique / BABA Aicha
Titre : Place des antihistaminiques en dermatologie pédiatrique Type de document : thèse Auteurs : BABA Aicha, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : antihistaminiques mode d’action indications peau enfant Résumé : Les antihistaminiques sont des médicaments qui permettent de réduire ou d’éliminer les effets de l’histamine, par modulation négative de ses récepteurs.
Dans l’usage général, le terme antihistaminique désigne uniquement les antagonistes des récepteurs de l’histamine, principalement les récepteurs H1, appelés antihistaminiques H1. Les antihistaminiques H1, en se fixant sur les récepteurs H1, inhibent l’activité intrinsèque de ces récepteurs témoignant d’une propriété d’agonisme inverse.
Au niveau de la peau, leur action se fait sentir au niveau des vaisseaux périphériques en s’opposant à la vasodilatation et à la perméabilité capillaire : la triade de Lewis : érythème, œdème et prurit.
On distingue deux générations d’antihistaminiques H1. Les molécules récentes qui se différencient par une meilleure spécificité vis-à-vis des récepteurs et une moindre capacité à franchir la barrière hémato-méningée, contrairement aux premières molécules, origine d’effets secondaires sédatifs limitant ainsi leur prescription chez l’enfant.
En dermatologie pédiatrique, les antihistaminiques H1 sont de prescription courante.
Ils sont utilisés dans le traitement de l’urticaire aiguë, mais ils sont moins efficaces lorsque la crise est étendue, et en présence de signes de gravité. Dans l’urticaire chronique les antihistaminiques H1 occupent la première place, pouvant s’associer aux antihistaminiques H2 en cas d’échec.
Dans la dermatite atopique, l’utilisation des antihistaminiques répond à l’indication du prurit, mais leur intérêt est entravé par des effets secondaires d’une prise au long cours. Ils constituent par contre un traitement clé dans la mastocytose cutanée, pour bloquer la libération d’histamine par action sur les récepteurs mastocytaires.
D’autres dermatoses infantiles font appel également aux antihistaminiques, notamment la varicelle et le prurigo, mais leur apport n’est que symptomatique, afin de soulager le prurit et son retentissement sur la qualité de vie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1272016 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Place des antihistaminiques en dermatologie pédiatrique [thèse] / BABA Aicha, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : antihistaminiques mode d’action indications peau enfant Résumé : Les antihistaminiques sont des médicaments qui permettent de réduire ou d’éliminer les effets de l’histamine, par modulation négative de ses récepteurs.
Dans l’usage général, le terme antihistaminique désigne uniquement les antagonistes des récepteurs de l’histamine, principalement les récepteurs H1, appelés antihistaminiques H1. Les antihistaminiques H1, en se fixant sur les récepteurs H1, inhibent l’activité intrinsèque de ces récepteurs témoignant d’une propriété d’agonisme inverse.
Au niveau de la peau, leur action se fait sentir au niveau des vaisseaux périphériques en s’opposant à la vasodilatation et à la perméabilité capillaire : la triade de Lewis : érythème, œdème et prurit.
On distingue deux générations d’antihistaminiques H1. Les molécules récentes qui se différencient par une meilleure spécificité vis-à-vis des récepteurs et une moindre capacité à franchir la barrière hémato-méningée, contrairement aux premières molécules, origine d’effets secondaires sédatifs limitant ainsi leur prescription chez l’enfant.
En dermatologie pédiatrique, les antihistaminiques H1 sont de prescription courante.
Ils sont utilisés dans le traitement de l’urticaire aiguë, mais ils sont moins efficaces lorsque la crise est étendue, et en présence de signes de gravité. Dans l’urticaire chronique les antihistaminiques H1 occupent la première place, pouvant s’associer aux antihistaminiques H2 en cas d’échec.
Dans la dermatite atopique, l’utilisation des antihistaminiques répond à l’indication du prurit, mais leur intérêt est entravé par des effets secondaires d’une prise au long cours. Ils constituent par contre un traitement clé dans la mastocytose cutanée, pour bloquer la libération d’histamine par action sur les récepteurs mastocytaires.
D’autres dermatoses infantiles font appel également aux antihistaminiques, notamment la varicelle et le prurigo, mais leur apport n’est que symptomatique, afin de soulager le prurit et son retentissement sur la qualité de vie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1272016 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : BERNOUSSI.Z Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1272016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1272016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible