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L’INTOXICATION A LA VITAMINE D(A PROPOS DE 17CAS) / ELKHADI ABDELHAK
Titre : L’INTOXICATION A LA VITAMINE D(A PROPOS DE 17CAS) Type de document : thèse Auteurs : ELKHADI ABDELHAK, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : VITAMINE D INTOXICATION HYPERCALCEMIE NEPHROCALCINOSE NOURRISSON Résumé : L’intoxication à la vitamine D est un problème iatrogène touche surtout les nourrissons.
Notre étude rétrospective qui s’étale sur 14 ans, du 2000 à 2013 correspond au 17 cas admis à L’Hôpital d’enfant de Rabat pour intoxication à la vitamine D, a pour objectif: étudier les aspects épidémiologiques, cliniques, para cliniques, la prise en charge thérapeutique et l’évolution de cette intoxication.
l’âge moyen était de 56,82jours, une prédominance féminine de 71% et une sex-ratio de 0,41.
Le tableau clinique dominé par: les signes métaboliques (la déshydratation dans 100% des cas, hypotrophie dans 88,2%), les signes cutanées (l’érythème fessière dans 88,2% des cas et les nodules sous cutanée dans un seul cas).les signes digestives (la constipation dans 88,2% des cas, les vomissements notés dans11,8%), hypotonie comme signe neurologique est noté chez 11,8% des cas. Une atteinte cardiovasculaire clinique présentée par HTA était évidente dans un seul cas, et la polyurie notée chez 88.2% des cas.
Les signes biologiques : l’hypercalcémie dans 94,1%, hypoparathormonemie dans 76,5%, la vitamine D qui était dosée chez 6 cas était augmentée dans 11,8 % des cas et l’hypercalciurie dans 88,2%
L’échographie rénale a montré la nephrocalcinose dans 94,1% des cas.
La prise en charge de nos patient était symptomatique dans tous les cas qui comprend l’hyperhydratation, les diurétiques, l’alcalinisation et les inhibiteurs de cristallisation.L’évolution était favorable dans tous les cas sauf pour une qui est décédé.
Cette étude permet de mettre en évidence la fréquence et la gravité de cette intoxication, aussi la sensibilisation de l’état, des fonctionnaires de santé et de la population afin de diminuer cette dose de supplémentation, restent, seuls garant d’une meilleure prévention de ce problème.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2522013 Président : GAOUZI.A Directeur : AIT OUAMAR.H Juge : BENJELLOUN DAKHAMA.B.S Juge : KRIOUIL.Y L’INTOXICATION A LA VITAMINE D(A PROPOS DE 17CAS) [thèse] / ELKHADI ABDELHAK, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : VITAMINE D INTOXICATION HYPERCALCEMIE NEPHROCALCINOSE NOURRISSON Résumé : L’intoxication à la vitamine D est un problème iatrogène touche surtout les nourrissons.
Notre étude rétrospective qui s’étale sur 14 ans, du 2000 à 2013 correspond au 17 cas admis à L’Hôpital d’enfant de Rabat pour intoxication à la vitamine D, a pour objectif: étudier les aspects épidémiologiques, cliniques, para cliniques, la prise en charge thérapeutique et l’évolution de cette intoxication.
l’âge moyen était de 56,82jours, une prédominance féminine de 71% et une sex-ratio de 0,41.
Le tableau clinique dominé par: les signes métaboliques (la déshydratation dans 100% des cas, hypotrophie dans 88,2%), les signes cutanées (l’érythème fessière dans 88,2% des cas et les nodules sous cutanée dans un seul cas).les signes digestives (la constipation dans 88,2% des cas, les vomissements notés dans11,8%), hypotonie comme signe neurologique est noté chez 11,8% des cas. Une atteinte cardiovasculaire clinique présentée par HTA était évidente dans un seul cas, et la polyurie notée chez 88.2% des cas.
Les signes biologiques : l’hypercalcémie dans 94,1%, hypoparathormonemie dans 76,5%, la vitamine D qui était dosée chez 6 cas était augmentée dans 11,8 % des cas et l’hypercalciurie dans 88,2%
L’échographie rénale a montré la nephrocalcinose dans 94,1% des cas.
La prise en charge de nos patient était symptomatique dans tous les cas qui comprend l’hyperhydratation, les diurétiques, l’alcalinisation et les inhibiteurs de cristallisation.L’évolution était favorable dans tous les cas sauf pour une qui est décédé.
Cette étude permet de mettre en évidence la fréquence et la gravité de cette intoxication, aussi la sensibilisation de l’état, des fonctionnaires de santé et de la population afin de diminuer cette dose de supplémentation, restent, seuls garant d’une meilleure prévention de ce problème.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2522013 Président : GAOUZI.A Directeur : AIT OUAMAR.H Juge : BENJELLOUN DAKHAMA.B.S Juge : KRIOUIL.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2522013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible M2522013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible Néphrocalcinose et lithiase urinaire chez l’enfant : l’expérience de l’hôpital d’enfants de Rabat / Conteh Bakary
Titre : Néphrocalcinose et lithiase urinaire chez l’enfant : l’expérience de l’hôpital d’enfants de Rabat Type de document : thèse Auteurs : Conteh Bakary, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : néphrocalcinose enfant lithiase LEC. Résumé : La néphrocalcinose est la présence de calcifications dans le parenchyme rénal par opposition à la lithiase où les calcifications se situent dans la lumière des voies urinaires. Elles sont plus fréquentes chez l’enfant qu’actuellement rapportées, mais restent toujours sous- ou mal diagnostiquées. Elles sont peu étudiées et mal explorées au Maroc.
Nous avons effectué une étude rétrospective concernant 104 patients de néphrocalcinose et de lithiase urinaire colligés à l’hôpital d’Enfant de Rabat pendant une période de 8 ans et demi du janvier 2005 au juillet 2013.
Les 104 cas étudiés se répartissent selon le sexe en 64 garçons et 40 filles avec un sex-ratio de 1,6. L’âge varie de 4 mois à 16 ans, l’âge moyen est de 8 ans. L’expression clinique est variable selon l’âge avec un taux de découverte fortuite significatif. Chez 48% des cas nous retrouvons plus qu’un seul facteur de risque.
L’ensemble de bilan complémentaire a permis d’objectiver 72 cas de lithiase urinaire et 32 cas de néphrocalcinose. Les causes infectieuse, métabolique et génétique sont les principales étiologies.
A côté du traitement chirurgical, le traitement est essentiellement médical. LEC a été utilisée chez 41 patients. L’élimination spontanée du calcul dans 8 cas.
L’évolution est favorable avec la disparition des lithiases sans récidive dans 62% des cas. 24% des cas ont été stabilisés. 8% des cas ont récidivé et 6 cas d’IRC.
Au terme de cette étude nous constatons que la fréquence de lithiase urinaire chez l’enfant est en augmentation car on en pense de plus en plus. Le diagnostic étiologique est indispensable pour un bon choix de traitement essentiel pour empêcher les récidives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1062014 Président : AIT OUAMAR.H Directeur : AIT OUAMAR.H Juge : BOUATIA.M Juge : EL AMINE BOUHAFS.M Juge : ALLALI.N Néphrocalcinose et lithiase urinaire chez l’enfant : l’expérience de l’hôpital d’enfants de Rabat [thèse] / Conteh Bakary, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : néphrocalcinose enfant lithiase LEC. Résumé : La néphrocalcinose est la présence de calcifications dans le parenchyme rénal par opposition à la lithiase où les calcifications se situent dans la lumière des voies urinaires. Elles sont plus fréquentes chez l’enfant qu’actuellement rapportées, mais restent toujours sous- ou mal diagnostiquées. Elles sont peu étudiées et mal explorées au Maroc.
Nous avons effectué une étude rétrospective concernant 104 patients de néphrocalcinose et de lithiase urinaire colligés à l’hôpital d’Enfant de Rabat pendant une période de 8 ans et demi du janvier 2005 au juillet 2013.
Les 104 cas étudiés se répartissent selon le sexe en 64 garçons et 40 filles avec un sex-ratio de 1,6. L’âge varie de 4 mois à 16 ans, l’âge moyen est de 8 ans. L’expression clinique est variable selon l’âge avec un taux de découverte fortuite significatif. Chez 48% des cas nous retrouvons plus qu’un seul facteur de risque.
L’ensemble de bilan complémentaire a permis d’objectiver 72 cas de lithiase urinaire et 32 cas de néphrocalcinose. Les causes infectieuse, métabolique et génétique sont les principales étiologies.
A côté du traitement chirurgical, le traitement est essentiellement médical. LEC a été utilisée chez 41 patients. L’élimination spontanée du calcul dans 8 cas.
L’évolution est favorable avec la disparition des lithiases sans récidive dans 62% des cas. 24% des cas ont été stabilisés. 8% des cas ont récidivé et 6 cas d’IRC.
Au terme de cette étude nous constatons que la fréquence de lithiase urinaire chez l’enfant est en augmentation car on en pense de plus en plus. Le diagnostic étiologique est indispensable pour un bon choix de traitement essentiel pour empêcher les récidives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1062014 Président : AIT OUAMAR.H Directeur : AIT OUAMAR.H Juge : BOUATIA.M Juge : EL AMINE BOUHAFS.M Juge : ALLALI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1062014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1062014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1062014URL