Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'FISSURE ANALE'
Affiner la recherche Faire une suggestion
EXAMEN PROCTOLOGIQUE CHEZ LA PARTURIENTE DANS LES PREMIERES 24HEURES DU POSTPARTUM / OLLENDE CREPIN
Titre : EXAMEN PROCTOLOGIQUE CHEZ LA PARTURIENTE DANS LES PREMIERES 24HEURES DU POSTPARTUM Type de document : thèse Auteurs : OLLENDE CREPIN, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEMORROIDES POSTPARTUM FISSURE ANALE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les thromboses hémorroïdaires externes (THE) et la fissure anale (FA) sont deux sources de douleurs anales fréquentes chez la femme enceinte et dans le postpartum. Elles restent toute fois négligés en l’absence de complications.
L’objectif de cette thèse est d’évaluer l’incidence de la maladie hémorroïdaire dans notre contexte avec une étude prospective sur 100 cas et comparer cette incidence avec les études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature. Nous allons définir leurs incidences d'après la littérature disponible et notre expérience à l’HMIMV sur les 100 femmes examinées. Puis nous définirons leurs facteurs de risques et adapterons un traitement.
Dans notre série, 19(19%) femmes étaient porteuses d’hémorroïdes dont 18 avec un stade 1 et 1 seule avec un stade 2 à l’examen systématique. Les facteurs incriminés étaient dominés par les accouchements traumatiques, une constipation chronique et des macrosomie. Les séries d’Abramowitz(en 2002) ave examen systématique avoisinaient les 20% avec 33/165 et Simmons 38% avec 26/68.
La clinique est dirigée par l’interrogatoire et l’examen proctologique.Le traitement en première intention est d’abord médical avec respect des mesures hygiéno-diététiques, parfois chirurgical ou instrumental en fonction du grade et la gène occasionnée par les hémorroides.Le traitement doit être adapté en préférant en fonction des cas la thérapeutique la plus efficace avec le moins d’effets secondaires.
En conclusion, 1/3 des parturientes souffrent de FA ou de THE après l'accouchement. Ces deux pathologies sont fortement liées à l'existence d'une constipation terminale (qu'il faut donc prévenir). La THE semble fortement favorisée par le traumatisme de l'accouchement par voie basse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0732010 Président : MOULAY HASSAN TAHIRI Directeur : SAIFEDDINE TAHIRI Juge : ABDELMOUNAIM AIT ALI EXAMEN PROCTOLOGIQUE CHEZ LA PARTURIENTE DANS LES PREMIERES 24HEURES DU POSTPARTUM [thèse] / OLLENDE CREPIN, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : HEMORROIDES POSTPARTUM FISSURE ANALE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les thromboses hémorroïdaires externes (THE) et la fissure anale (FA) sont deux sources de douleurs anales fréquentes chez la femme enceinte et dans le postpartum. Elles restent toute fois négligés en l’absence de complications.
L’objectif de cette thèse est d’évaluer l’incidence de la maladie hémorroïdaire dans notre contexte avec une étude prospective sur 100 cas et comparer cette incidence avec les études faites dans ce sens moyennant une revue de la littérature. Nous allons définir leurs incidences d'après la littérature disponible et notre expérience à l’HMIMV sur les 100 femmes examinées. Puis nous définirons leurs facteurs de risques et adapterons un traitement.
Dans notre série, 19(19%) femmes étaient porteuses d’hémorroïdes dont 18 avec un stade 1 et 1 seule avec un stade 2 à l’examen systématique. Les facteurs incriminés étaient dominés par les accouchements traumatiques, une constipation chronique et des macrosomie. Les séries d’Abramowitz(en 2002) ave examen systématique avoisinaient les 20% avec 33/165 et Simmons 38% avec 26/68.
La clinique est dirigée par l’interrogatoire et l’examen proctologique.Le traitement en première intention est d’abord médical avec respect des mesures hygiéno-diététiques, parfois chirurgical ou instrumental en fonction du grade et la gène occasionnée par les hémorroides.Le traitement doit être adapté en préférant en fonction des cas la thérapeutique la plus efficace avec le moins d’effets secondaires.
En conclusion, 1/3 des parturientes souffrent de FA ou de THE après l'accouchement. Ces deux pathologies sont fortement liées à l'existence d'une constipation terminale (qu'il faut donc prévenir). La THE semble fortement favorisée par le traumatisme de l'accouchement par voie basse.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0732010 Président : MOULAY HASSAN TAHIRI Directeur : SAIFEDDINE TAHIRI Juge : ABDELMOUNAIM AIT ALI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0732010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible PLACE DE LA RACHIANESTHESIE EN SELLE DANS LA CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE / EL CHEAIRI NIHALE
Titre : PLACE DE LA RACHIANESTHESIE EN SELLE DANS LA CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE Type de document : thèse Auteurs : EL CHEAIRI NIHALE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : chirurgie proctologique fissure anale rachianesthésie en selle rachianesthésie classique Hypotension proctologic surgery anal fissure saddle block conventional spinal anesthesia Hypotension جر ح مستقيم ق رجي تخد ر ح ا ي رجي تخد ر نخاعي نخفاض ضغط دم. Résumé : Introduction :
La rachianesthésie en selle est une variante de la rachianesthésie réalisant un bloc de la région périnéale par
une faible dose d'anesthésique local en maintenant le patient assis après injection. Le but de cette étude était
d’analyser l’intérêt de la rachianesthésie en selle dans la chirurgie des fissures anales non compliquées.
Matériels et méthodes :
Il s’agissait d’une étude prospective randomisée, incluant 90 patients, candidats à une chirurgie de fissure
anale non compliquée. Les patients ont été randomisés en 3 groupes :
- Groupe rachianesthésie en selle (groupe 1) : ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare + 25μg de
fentanyl + 100μg de morphine avec maintien en position assise pendant 5min.
- Groupe rachianesthésie classique à dose réduite (groupe 2) ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare
+ 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
- Groupe rachianesthésie classique à dose normale (groupe 3) ayant reçu 7,5mg de bupivacaïne
hyperbare + 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
La comparaison entre les trois groupes portait sur l’incidence de l’hypotension artérielle, le recours à une
sédation complémentaire, l’incidence des NVPO et l’analgésie postopératoire.
Résultats
L’incidence de l’hypotension per-opératoire était plus faible dans le groupe 1 par rapport aux deux autres
groupes avec une différence significative. Aucun patient du groupe 1 n’a nécessité le recours à une sédation
complémentaire. Aucun patient du groupe 1 n’a présenté des NVPO. Les scores de douleur postopératoire
ainsi que la consommation des antalgiques étaient comparables entre les trois groupes.
Discussion et conclusion :
La rachianesthésie en selle est une technique intéressante dans la chirurgie des fissures anales procurant un
faible retentissement hémodynamique, une faible incidence des NVPO, et une anesthésie adéquate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0952024 Président : Abdelouahed BAIT Directeur : Mustapha BENSGHIR Juge : Hicham LARAQUI Juge : Abderrahmane EL WALI Juge : Youssef MOTIAA PLACE DE LA RACHIANESTHESIE EN SELLE DANS LA CHIRURGIE PROCTOLOGIQUE [thèse] / EL CHEAIRI NIHALE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : chirurgie proctologique fissure anale rachianesthésie en selle rachianesthésie classique Hypotension proctologic surgery anal fissure saddle block conventional spinal anesthesia Hypotension جر ح مستقيم ق رجي تخد ر ح ا ي رجي تخد ر نخاعي نخفاض ضغط دم. Résumé : Introduction :
La rachianesthésie en selle est une variante de la rachianesthésie réalisant un bloc de la région périnéale par
une faible dose d'anesthésique local en maintenant le patient assis après injection. Le but de cette étude était
d’analyser l’intérêt de la rachianesthésie en selle dans la chirurgie des fissures anales non compliquées.
Matériels et méthodes :
Il s’agissait d’une étude prospective randomisée, incluant 90 patients, candidats à une chirurgie de fissure
anale non compliquée. Les patients ont été randomisés en 3 groupes :
- Groupe rachianesthésie en selle (groupe 1) : ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare + 25μg de
fentanyl + 100μg de morphine avec maintien en position assise pendant 5min.
- Groupe rachianesthésie classique à dose réduite (groupe 2) ayant reçu 5mg de bupivacaïne hyperbare
+ 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
- Groupe rachianesthésie classique à dose normale (groupe 3) ayant reçu 7,5mg de bupivacaïne
hyperbare + 25μg de fentanyl +100μg de morphine puis remis en décubitus dorsal strict.
La comparaison entre les trois groupes portait sur l’incidence de l’hypotension artérielle, le recours à une
sédation complémentaire, l’incidence des NVPO et l’analgésie postopératoire.
Résultats
L’incidence de l’hypotension per-opératoire était plus faible dans le groupe 1 par rapport aux deux autres
groupes avec une différence significative. Aucun patient du groupe 1 n’a nécessité le recours à une sédation
complémentaire. Aucun patient du groupe 1 n’a présenté des NVPO. Les scores de douleur postopératoire
ainsi que la consommation des antalgiques étaient comparables entre les trois groupes.
Discussion et conclusion :
La rachianesthésie en selle est une technique intéressante dans la chirurgie des fissures anales procurant un
faible retentissement hémodynamique, une faible incidence des NVPO, et une anesthésie adéquate.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0952024 Président : Abdelouahed BAIT Directeur : Mustapha BENSGHIR Juge : Hicham LARAQUI Juge : Abderrahmane EL WALI Juge : Youssef MOTIAA Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0952024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible Prise en charge des fissures anales dans l'unité de proctologie du service Médecine B HIS-Rabat / AZARKANE Kholoud
Titre : Prise en charge des fissures anales dans l'unité de proctologie du service Médecine B HIS-Rabat Type de document : thèse Auteurs : AZARKANE Kholoud, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : fissure anale clinique traitement évolution Résumé : La fissure anale est une ulcération superficielle, linéaire dans la partie distale du canal anal. Elle constitue un motif fréquent de consultation en proctologie.
Sa physiopathologie est controversée. Le recours au traitement chirurgical est souvent nécessaire en raison des échecs du traitement médical ou des récidives.
L’objectif de notre étude est de préciser le profil thérapeutique et évolutif de cette pathologie.
Il s'agit d'une étude rétrospective descriptive incluant 3900 patients traités pour la fissure anale dans le service de médecine B du CHU Ibn Sina de Rabat, de janvier 2005 à décembre 2012.
Dans notre série, l’âge moyen était 40 ans, avec une légère prédominance masculine (54%). La constipation était le signe clinique le plus fréquent, retrouvée chez 82% des malades, suivie par les proctalgies (77%), les rectorragies (60%) et enfin l’écoulement purulent (9,6%). La localisation postérieure a été la plus fréquente (68%). La forme clinique évoluée a été trouvée dans 60 %, jeune dans 30,4%, et infectée dans 9,6%.
Les mesures hygiéno-diététiques ont été prescrites dans tous les cas. Le traitement médical a abouti à une cicatrisation chez 2600 patients (67%). Le reste des patients (1300) ont bénéficié d'un traitement chirurgical (une fissurectomie avec anoplastie avec ou sans sphinctérotomie chez 540 patients (41,5%), une fissurectomie sans anoplastie chez 390 patients (30%), une fissurectomie seule a été d'emblée indiquée chez 370 patients (28,5%) qui avaient une fissure infectée). L'évolution post opératoire était bonne dans la majorité des cas.
Le traitement médical garde sa place mais le traitement curatif définitif reste chirurgical, sans oublier d'insister sur le délai de la cicatrisation qui reste le même quelque soit la méthode chirurgicale pratiquée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0332015 Président : CHAHED OUAZZANI.L Directeur : BENZZOUBEIR.N Juge : ERRABIH.L Juge : MDAGHRI.J Prise en charge des fissures anales dans l'unité de proctologie du service Médecine B HIS-Rabat [thèse] / AZARKANE Kholoud, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : fissure anale clinique traitement évolution Résumé : La fissure anale est une ulcération superficielle, linéaire dans la partie distale du canal anal. Elle constitue un motif fréquent de consultation en proctologie.
Sa physiopathologie est controversée. Le recours au traitement chirurgical est souvent nécessaire en raison des échecs du traitement médical ou des récidives.
L’objectif de notre étude est de préciser le profil thérapeutique et évolutif de cette pathologie.
Il s'agit d'une étude rétrospective descriptive incluant 3900 patients traités pour la fissure anale dans le service de médecine B du CHU Ibn Sina de Rabat, de janvier 2005 à décembre 2012.
Dans notre série, l’âge moyen était 40 ans, avec une légère prédominance masculine (54%). La constipation était le signe clinique le plus fréquent, retrouvée chez 82% des malades, suivie par les proctalgies (77%), les rectorragies (60%) et enfin l’écoulement purulent (9,6%). La localisation postérieure a été la plus fréquente (68%). La forme clinique évoluée a été trouvée dans 60 %, jeune dans 30,4%, et infectée dans 9,6%.
Les mesures hygiéno-diététiques ont été prescrites dans tous les cas. Le traitement médical a abouti à une cicatrisation chez 2600 patients (67%). Le reste des patients (1300) ont bénéficié d'un traitement chirurgical (une fissurectomie avec anoplastie avec ou sans sphinctérotomie chez 540 patients (41,5%), une fissurectomie sans anoplastie chez 390 patients (30%), une fissurectomie seule a été d'emblée indiquée chez 370 patients (28,5%) qui avaient une fissure infectée). L'évolution post opératoire était bonne dans la majorité des cas.
Le traitement médical garde sa place mais le traitement curatif définitif reste chirurgical, sans oublier d'insister sur le délai de la cicatrisation qui reste le même quelque soit la méthode chirurgicale pratiquée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0332015 Président : CHAHED OUAZZANI.L Directeur : BENZZOUBEIR.N Juge : ERRABIH.L Juge : MDAGHRI.J Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0332015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M0332015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible Documents numériques
M0332015URL