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Le corticosurrénalome chez l’enfant / KHALES Ihssane
Titre : Le corticosurrénalome chez l’enfant Type de document : thèse Auteurs : KHALES Ihssane, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticosurrénalome Enfant Hyperandrogénie Syndrome Cushing Chirurgie Résumé : INTRODUCTION : Le corticosurrénalome chez l’enfant est rare
Objectif, Matériels et méthodes : Ce travail permet une revue de la littérature et une étude critique de 5 cas colligés au sein du service de chirurgie pédiatrique A de l’hôpital d’enfants de Rabat, entre 1992 et 2016.
Résultats : durant la période de notre étude, 5 cas de corticosurrénalomes ont été inclus. L’âge de nos patients est compris entre 11 mois et 6ans avec une moyenne de 3,5 ans. la tumeur virilisante était la présentation clinique la plus fréquente qui s’est manifestée par une pseudo puberté précoce iso sexuelle chez les garçons et hétérosexuelle chez les filles.
La stratégie diagnostique était le plus souvent basée sur l’imagerie et les dosages hormonaux, la certitude diagnostique a été apporté par l’examen anatomopathologique de la pièce opératoire.
Sur le plan thérapeutique, 4 patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical : une surrenalectomie par laparotomie associée dans certains cas à une nephrectomie. Une chimiothérapie adjuvante a été réalisée chez une seule patiente, aucun de nos patients n’a bénéficié d’une radiothérapie. Deux patientes avaient présenté une récidive puis décédées.
Discussion : Le corticosurrénalome est une néoplasie rare chez l’enfant. Le traitement fait appel à la chirurgie d’exérèse tumorale, parfois complétée par une chimiothérapie, le plus souvent basée sur les sels de platine, l’étoposide et la doxorubicine, associée au mitotane pour les formes à haut risque de récidive. Le rôle de la radiothérapie est discuté compte tenu notamment de l’implication fréquente d’anomalies de TP53.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642016 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : KISRA.M Juge : ABDELHAK.M Juge : OULAHYANE.R Le corticosurrénalome chez l’enfant [thèse] / KHALES Ihssane, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Corticosurrénalome Enfant Hyperandrogénie Syndrome Cushing Chirurgie Résumé : INTRODUCTION : Le corticosurrénalome chez l’enfant est rare
Objectif, Matériels et méthodes : Ce travail permet une revue de la littérature et une étude critique de 5 cas colligés au sein du service de chirurgie pédiatrique A de l’hôpital d’enfants de Rabat, entre 1992 et 2016.
Résultats : durant la période de notre étude, 5 cas de corticosurrénalomes ont été inclus. L’âge de nos patients est compris entre 11 mois et 6ans avec une moyenne de 3,5 ans. la tumeur virilisante était la présentation clinique la plus fréquente qui s’est manifestée par une pseudo puberté précoce iso sexuelle chez les garçons et hétérosexuelle chez les filles.
La stratégie diagnostique était le plus souvent basée sur l’imagerie et les dosages hormonaux, la certitude diagnostique a été apporté par l’examen anatomopathologique de la pièce opératoire.
Sur le plan thérapeutique, 4 patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical : une surrenalectomie par laparotomie associée dans certains cas à une nephrectomie. Une chimiothérapie adjuvante a été réalisée chez une seule patiente, aucun de nos patients n’a bénéficié d’une radiothérapie. Deux patientes avaient présenté une récidive puis décédées.
Discussion : Le corticosurrénalome est une néoplasie rare chez l’enfant. Le traitement fait appel à la chirurgie d’exérèse tumorale, parfois complétée par une chimiothérapie, le plus souvent basée sur les sels de platine, l’étoposide et la doxorubicine, associée au mitotane pour les formes à haut risque de récidive. Le rôle de la radiothérapie est discuté compte tenu notamment de l’implication fréquente d’anomalies de TP53.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642016 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : KISRA.M Juge : ABDELHAK.M Juge : OULAHYANE.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1642016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1642016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT. / EL KASMI SALWA
Titre : CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT. Type de document : thèse Auteurs : EL KASMI SALWA, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : CORTICOSURRENALOME ENFANT HYPERANDROGENIE SYNDROME CUSHING CHIRURGIE, Résumé : Le corticosurrénalome malin est une néoplasie rare et agressive, se développe aux dépens du cortex surrénalien. Le diagnostic s’appuie sur la clinique, les bilans biologiques statiques et dynamiques et la morphologie. Il est confirmé par l’analyse anatomo-pathologique.
La chirurgie radicale, même en présence de métastases, reste le traitement de choix. L’op’DDD, reste indiqué en cas de métastase, récidive ou de chirurgie incomplète ou impossible. La chimiothérapie est réservée aux sujets non répondeurs ou intolérants à l’op’DDD. Le pronostic reste sombre, lié à la fréquence des métastases lors du diagnostic et des récidives.
À travers une étude rétrospective menée au service de chirurgie A, étalée sur une période de vingt ans (du 1992 à 2012). Nous avons analysé les signes cliniques, paracliniques et thérapeutiques de 3 enfants pris en charge au cours de cette période pour Corticosurrénalome malin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0512012 Président : MOHAMMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MOUNIR KISRA Juge : SAID ETTAIR Juge : TAOUFIK MESKINI CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT. [thèse] / EL KASMI SALWA, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CORTICOSURRENALOME ENFANT HYPERANDROGENIE SYNDROME CUSHING CHIRURGIE, Résumé : Le corticosurrénalome malin est une néoplasie rare et agressive, se développe aux dépens du cortex surrénalien. Le diagnostic s’appuie sur la clinique, les bilans biologiques statiques et dynamiques et la morphologie. Il est confirmé par l’analyse anatomo-pathologique.
La chirurgie radicale, même en présence de métastases, reste le traitement de choix. L’op’DDD, reste indiqué en cas de métastase, récidive ou de chirurgie incomplète ou impossible. La chimiothérapie est réservée aux sujets non répondeurs ou intolérants à l’op’DDD. Le pronostic reste sombre, lié à la fréquence des métastases lors du diagnostic et des récidives.
À travers une étude rétrospective menée au service de chirurgie A, étalée sur une période de vingt ans (du 1992 à 2012). Nous avons analysé les signes cliniques, paracliniques et thérapeutiques de 3 enfants pris en charge au cours de cette période pour Corticosurrénalome malin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0512012 Président : MOHAMMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MOUNIR KISRA Juge : SAID ETTAIR Juge : TAOUFIK MESKINI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0512012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible HYPERANDROGENIE CHEZ LA FEMME / MERYEM BOUNAGA
Titre : HYPERANDROGENIE CHEZ LA FEMME Type de document : thèse Auteurs : MERYEM BOUNAGA, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperandrogénie Hirsutisme ovaires polykistiques Résumé : L’hyperandrogénie féminine est un motif fréquent de consultation chez le gynécologue. Cette situation est souvent observée chez les femmes avant 50 ans et quelquefois plus tard.
Quelques éléments cliniques et biologiques simples permettent de faire le tri entre ce qui n’est qu’une variante de la normale, ce qui relève d’un dérèglement fonctionnel ovarien et /ou surrénalien et enfin ce qui résulte d’une affection organique préoccupante telle une tumeur androgénosécrétante.
Le mode d’installation de l’hirsutisme est capital : apparu en période pubertaire, d’évolution lente, il est évocateur d’une cause fonctionnelle. En revanche, un hirsutisme récent et explosif doit faire évoquer une origine tumorale.
Toute hyperandrogénie clinique demande un bilan minimal de débrouillage qui peut se limiter en première intention aux trois dosages radio-immunologiques de la testostérone, du sulfate de déhydroépiandrostérone et de la 17-hydroxy-progestérone plasmatiques. Ce bilan minimal permet de dépister immédiatement une cause d’hyperandrogénie franche. Les causes graves ayant été écartées, l’essentiel du problème consiste à déterminer les cas où l’on peut retenir le syndrome des ovaires polymicrokystiques comme un diagnostic vraisemblable. La mise en évidence d’anomalies morphologiques ovariennes par l’échographie peut pallier les insuffisances du diagnostic biologique (augmentation de volume et hyperéchogénicité du stroma). Les autres étiologies d’hyperandrogénies modérées sont l’hyperprolactinémie, l’hirsutisme idiopathique, les causes iatrogènes.
Enfin, l’hyperandrogénie pose de problèmes plus particuliers chez l’adolescente, la femme enceinte et la femme ménopausée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0042014 Président : KHARBACH.A Directeur : TELLAL.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : HAMZAOUI.S HYPERANDROGENIE CHEZ LA FEMME [thèse] / MERYEM BOUNAGA, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hyperandrogénie Hirsutisme ovaires polykistiques Résumé : L’hyperandrogénie féminine est un motif fréquent de consultation chez le gynécologue. Cette situation est souvent observée chez les femmes avant 50 ans et quelquefois plus tard.
Quelques éléments cliniques et biologiques simples permettent de faire le tri entre ce qui n’est qu’une variante de la normale, ce qui relève d’un dérèglement fonctionnel ovarien et /ou surrénalien et enfin ce qui résulte d’une affection organique préoccupante telle une tumeur androgénosécrétante.
Le mode d’installation de l’hirsutisme est capital : apparu en période pubertaire, d’évolution lente, il est évocateur d’une cause fonctionnelle. En revanche, un hirsutisme récent et explosif doit faire évoquer une origine tumorale.
Toute hyperandrogénie clinique demande un bilan minimal de débrouillage qui peut se limiter en première intention aux trois dosages radio-immunologiques de la testostérone, du sulfate de déhydroépiandrostérone et de la 17-hydroxy-progestérone plasmatiques. Ce bilan minimal permet de dépister immédiatement une cause d’hyperandrogénie franche. Les causes graves ayant été écartées, l’essentiel du problème consiste à déterminer les cas où l’on peut retenir le syndrome des ovaires polymicrokystiques comme un diagnostic vraisemblable. La mise en évidence d’anomalies morphologiques ovariennes par l’échographie peut pallier les insuffisances du diagnostic biologique (augmentation de volume et hyperéchogénicité du stroma). Les autres étiologies d’hyperandrogénies modérées sont l’hyperprolactinémie, l’hirsutisme idiopathique, les causes iatrogènes.
Enfin, l’hyperandrogénie pose de problèmes plus particuliers chez l’adolescente, la femme enceinte et la femme ménopausée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0042014 Président : KHARBACH.A Directeur : TELLAL.S Juge : MESSAOUDI.N Juge : HAMZAOUI.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0042014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0042014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible
Titre : LES MASSES SURRENALIENNES EN DEHORS DU NEUROBLASTOME Type de document : thèse Auteurs : Ikram ALUAHABI, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticosurrénalome Phéochromocytome Enfant HTA Hyperandrogénie Chirurgie Résumé : Ce travail est une étude descriptive rétrospective intéressant les enfants porteurs de
masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome menée au service de chirurgie A de
l’hôpital des enfants de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie
pédiatrique et dont le but est de mettre le point sur les difficultés diagnostiques et la place de
la chirurgie dans la prise en charge de ces tumeurs.
Les masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome sont rares chez l’enfant. 7
malades ont été diagnostiqués durant cette durée. Le corticosurrénalome est le plus fréquent
avec 5 cas, suivi du phéochromocytome avec 2 cas. L’âge de nos malades est compris entre 7
mois et 14 ans avec une moyenne de 6 ans, une moyenne de 3 ans pour les
corticosurrénalomes et 13 ans et demi pour le phéochromocytome.
Le diagnostic est suspecté devant les données cliniques et biologiques. Pour le
corticosurrénalome, la symptomatologie était dominée par la puberté précoce suivi par les
douleurs et le ballonnement abdominal. Le phéochromocytome s’est manifesté par une
asthénie, la tachycardie, les céphalées et les palpitations. L’imagerie représentée
essentiellement par l’échographie et la TDM a permis le diagnostic chez 2 patients atteints de
corticosurrénalome et chez un patient atteint de phéochromocytome. La confirmation
diagnostique est apportée par l’analyse anatomopathologique chez tous les malades.
Le traitement fait appel à l’exérèse chirurgicale, le plus souvent complétée par une
chimiothérapie adjuvante. 4 patients atteints de corticosurrénalome ont bénéficié d’un
traitement chirurgical suivi d’une chimiothérapie adjuvante. Le cinquième patient n’a reçu
qu’une chimiothérapie palliative. Les 2 patients atteints de phéochromocytome ont bénéficié
d’une cure chirurgicale seule.
L’évolution a été favorable pour la plupart des patients avec une rémission complète.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3282021 Président : Mounir KISRA Directeur : Mounir KISRA Juge : Amina KILI Juge : Maria EL KABABR LES MASSES SURRENALIENNES EN DEHORS DU NEUROBLASTOME [thèse] / Ikram ALUAHABI, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Corticosurrénalome Phéochromocytome Enfant HTA Hyperandrogénie Chirurgie Résumé : Ce travail est une étude descriptive rétrospective intéressant les enfants porteurs de
masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome menée au service de chirurgie A de
l’hôpital des enfants de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie
pédiatrique et dont le but est de mettre le point sur les difficultés diagnostiques et la place de
la chirurgie dans la prise en charge de ces tumeurs.
Les masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome sont rares chez l’enfant. 7
malades ont été diagnostiqués durant cette durée. Le corticosurrénalome est le plus fréquent
avec 5 cas, suivi du phéochromocytome avec 2 cas. L’âge de nos malades est compris entre 7
mois et 14 ans avec une moyenne de 6 ans, une moyenne de 3 ans pour les
corticosurrénalomes et 13 ans et demi pour le phéochromocytome.
Le diagnostic est suspecté devant les données cliniques et biologiques. Pour le
corticosurrénalome, la symptomatologie était dominée par la puberté précoce suivi par les
douleurs et le ballonnement abdominal. Le phéochromocytome s’est manifesté par une
asthénie, la tachycardie, les céphalées et les palpitations. L’imagerie représentée
essentiellement par l’échographie et la TDM a permis le diagnostic chez 2 patients atteints de
corticosurrénalome et chez un patient atteint de phéochromocytome. La confirmation
diagnostique est apportée par l’analyse anatomopathologique chez tous les malades.
Le traitement fait appel à l’exérèse chirurgicale, le plus souvent complétée par une
chimiothérapie adjuvante. 4 patients atteints de corticosurrénalome ont bénéficié d’un
traitement chirurgical suivi d’une chimiothérapie adjuvante. Le cinquième patient n’a reçu
qu’une chimiothérapie palliative. Les 2 patients atteints de phéochromocytome ont bénéficié
d’une cure chirurgicale seule.
L’évolution a été favorable pour la plupart des patients avec une rémission complète.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3282021 Président : Mounir KISRA Directeur : Mounir KISRA Juge : Amina KILI Juge : Maria EL KABABR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3282021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3282021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M3282021URL
Titre : SYNDROME DES OVAIRES POLYKYSTIQUES Type de document : thèse Auteurs : Ibtissam SOUDOU, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infertilité Obésité Hyperandrogénie anovulation SOPK Résumé : Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’endocrinopathie le plus fréquent
chez les femmes en âge de procréer, touche environ 5 à 10 % de la population féminine,
entraînant un désordre métabolique et hormonal grave à long terme. Il est souvent associé à
l’anovulation, à l’hyperandrogénie et à des ovaires d’aspect polykystique. Sa
physiopathologie n’est pas encore claire, mais des origines intra ovarien, génétique et
environnementale ont été établi. L’insulinorésistance qui est souvent associé à cette anomalie
ovarienne semble être un facteur aggravant du syndrome. L’excès androgénique est à la base
de la majorité des signes clinique observer tel que l’acné hormonal, l’hirsutisme et l’alopécie
féminine. L’hyperinsulinisme et l’obésité abdominale peuvent avoir des effets
complémentaires dans la pathogenèse du SOPK avec un risque accru de l’intolérance au
glucose, de diabète type 2 et d’altération de bilan lipidique. L’infertilité anovulatoire est l’un
des facteurs qu’inquiètent les patientes affectées par le SOPK, les traitements disponibles sont
basés sur l’induction de l’ovulation par la stimulation ovarienne un mécanisme simple,
efficace est largement utilisé. Le diagnostic de SOPK repose sur les critères de Rotterdam
publié en 2003 par ESHRE/ASRM, ainsi que l’exclusion des autres étiologies associe aux
hyperandrogénies et au trouble menstruel. Les femmes ayant le SOPK doivent faire l’objet
d’un dépistage de syndrome métabolique avec un suivi régulier des comorbidités associe au
SOPK. Le traitement repose essentiellement sur le changement du mode de vie, ainsi que les
contraceptifs œstroprogestatifs oraux et/ou de la metformine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1002021 Président : Sanae BOUHSAIN Directeur : Abdellah DAMI Juge : Jaouad KOUACH Juge : Laila BENCHEKROUN SYNDROME DES OVAIRES POLYKYSTIQUES [thèse] / Ibtissam SOUDOU, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infertilité Obésité Hyperandrogénie anovulation SOPK Résumé : Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’endocrinopathie le plus fréquent
chez les femmes en âge de procréer, touche environ 5 à 10 % de la population féminine,
entraînant un désordre métabolique et hormonal grave à long terme. Il est souvent associé à
l’anovulation, à l’hyperandrogénie et à des ovaires d’aspect polykystique. Sa
physiopathologie n’est pas encore claire, mais des origines intra ovarien, génétique et
environnementale ont été établi. L’insulinorésistance qui est souvent associé à cette anomalie
ovarienne semble être un facteur aggravant du syndrome. L’excès androgénique est à la base
de la majorité des signes clinique observer tel que l’acné hormonal, l’hirsutisme et l’alopécie
féminine. L’hyperinsulinisme et l’obésité abdominale peuvent avoir des effets
complémentaires dans la pathogenèse du SOPK avec un risque accru de l’intolérance au
glucose, de diabète type 2 et d’altération de bilan lipidique. L’infertilité anovulatoire est l’un
des facteurs qu’inquiètent les patientes affectées par le SOPK, les traitements disponibles sont
basés sur l’induction de l’ovulation par la stimulation ovarienne un mécanisme simple,
efficace est largement utilisé. Le diagnostic de SOPK repose sur les critères de Rotterdam
publié en 2003 par ESHRE/ASRM, ainsi que l’exclusion des autres étiologies associe aux
hyperandrogénies et au trouble menstruel. Les femmes ayant le SOPK doivent faire l’objet
d’un dépistage de syndrome métabolique avec un suivi régulier des comorbidités associe au
SOPK. Le traitement repose essentiellement sur le changement du mode de vie, ainsi que les
contraceptifs œstroprogestatifs oraux et/ou de la metformine.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1002021 Président : Sanae BOUHSAIN Directeur : Abdellah DAMI Juge : Jaouad KOUACH Juge : Laila BENCHEKROUN Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1002021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible P1002021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2021 Disponible Documents numériques
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