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14 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Corticosurrénalome'
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ANESTHESIE-REANIMATION POUR CHIRURGIE DU CORTICOSURRENALOME (ETUDE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 23 CAS / Mlle Saloua KHALIL
Titre : ANESTHESIE-REANIMATION POUR CHIRURGIE DU CORTICOSURRENALOME (ETUDE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 23 CAS Type de document : thèse Auteurs : Mlle Saloua KHALIL, Auteur Année de publication : 2009 Note générale : La thèse en ligne est indisponible Langues : Français (fre) Mots-clés : : ANESTHESIE REANIMATION CORTICOSURRENALOME Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le risque opératoire de la chirurgie du corticosurrénalome avec hypercorticisme est particulièrement élevé. La morbidité périopératoire est, en effet, importante, incluant, entre autres, des complications respiratoires, cardiovasculaires, infectieuses et métaboliques. Cela s’explique en grande partie par les effets propres des glucocorticoïdes, sécrétés en excès par la tumeur corticosurrénalienne.
Dans l’objectif de mettre en relief les aspects d’anesthésie et de réanimation pour chirurgie du corticosurrénalome avec hypercorticisme, nous avons mené une étude rétrospective à propos de l’ensemble des patients ayant fait l’objet de cette chirurgie, au bloc opératoire central de l’hôpital Avicenne de Rabat, durant la période 2005 -2009.
23 patients ont été incus dans l’étude. L’âge moyen des patients était de 40 ans, avec des extrêmes allant de 17 à 70 ans. Le sex-ratio femmes / hommes était de 1,55. Les manifestations cutanées avec répartition facio-tronculaire des graisses représentaient les signes cliniques du syndrome de Cushing, les plus fréquemment rapportés (70%). Tous les patients de l’étude étaient classés ASA I ou II.
La préparation préopératoire à la chirurgie a été jugée nécessaire dans huit cas. Elle était à base de kétoconazole (Nizoral®) à raison de 400 à 800mg/j. La durée moyenne de la préparation était de huit semaines.
Tous les patients ont été opérés sous anesthésie générale balancée. Les agents anesthésiques fréquemment utilisés étaient à base de thiopental ou de propofol, de vécuronium et de fentanyl. L’entretien anesthésique faisait appel aux réinjections de morphiniques et de curares et à l’usage d’halothane ou d’isoflurane.
En plus du monitorage standard (oxymétrie de pouls, capnographie, mesure automatisée de la pression artérielle et électrocardioscope), les patients ont bénéficié d’un monitorage de la pression veineuse centrale (PVC) et de la curarisation.
En ce qui concerne les voies d’abord chirurgical, neuf patients ont été opérés à ciel ouvert, par une incision sous-costale droite ou gauche. Les 14 patients restant ont bénéficié d’une chirurgie laparoscopique, avec un abord transpéritonéal dans la majorité des cas. La durée moyenne de l’intervention chirurgicale était de 3 heures 22 minutes.
En ce qui concerne les complications périopératoires, trois patients ont présenté un choc hémorragique peropératoire d’évolution favorable après transfusion de dérivés sanguins. Deux patients, opérés sous coelioscopie, ont présenté un pneumothorax, de suites simples après drainage. Un patient a présenté une infection du site opératoire.
Aucune complication grave, notamment respiratoire ou cardiovasculaire, n’a été notée en postopératoire. La mortalité périopératoire était nulle.
Une prise en charge appropriée de la chirurgie du corticosurrénalome avec hypercorticisme, permet de réduire de façon notable la morbi -mortalité périopératoire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1442009 Président : ABDERRAHIME AZZOUZI Directeur : AHMED EL HJIRI Juge : SAID KABBAJ Juge : RAOUF MOHSINE ANESTHESIE-REANIMATION POUR CHIRURGIE DU CORTICOSURRENALOME (ETUDE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 23 CAS [thèse] / Mlle Saloua KHALIL, Auteur . - 2009.
La thèse en ligne est indisponible
Langues : Français (fre)
Mots-clés : : ANESTHESIE REANIMATION CORTICOSURRENALOME Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le risque opératoire de la chirurgie du corticosurrénalome avec hypercorticisme est particulièrement élevé. La morbidité périopératoire est, en effet, importante, incluant, entre autres, des complications respiratoires, cardiovasculaires, infectieuses et métaboliques. Cela s’explique en grande partie par les effets propres des glucocorticoïdes, sécrétés en excès par la tumeur corticosurrénalienne.
Dans l’objectif de mettre en relief les aspects d’anesthésie et de réanimation pour chirurgie du corticosurrénalome avec hypercorticisme, nous avons mené une étude rétrospective à propos de l’ensemble des patients ayant fait l’objet de cette chirurgie, au bloc opératoire central de l’hôpital Avicenne de Rabat, durant la période 2005 -2009.
23 patients ont été incus dans l’étude. L’âge moyen des patients était de 40 ans, avec des extrêmes allant de 17 à 70 ans. Le sex-ratio femmes / hommes était de 1,55. Les manifestations cutanées avec répartition facio-tronculaire des graisses représentaient les signes cliniques du syndrome de Cushing, les plus fréquemment rapportés (70%). Tous les patients de l’étude étaient classés ASA I ou II.
La préparation préopératoire à la chirurgie a été jugée nécessaire dans huit cas. Elle était à base de kétoconazole (Nizoral®) à raison de 400 à 800mg/j. La durée moyenne de la préparation était de huit semaines.
Tous les patients ont été opérés sous anesthésie générale balancée. Les agents anesthésiques fréquemment utilisés étaient à base de thiopental ou de propofol, de vécuronium et de fentanyl. L’entretien anesthésique faisait appel aux réinjections de morphiniques et de curares et à l’usage d’halothane ou d’isoflurane.
En plus du monitorage standard (oxymétrie de pouls, capnographie, mesure automatisée de la pression artérielle et électrocardioscope), les patients ont bénéficié d’un monitorage de la pression veineuse centrale (PVC) et de la curarisation.
En ce qui concerne les voies d’abord chirurgical, neuf patients ont été opérés à ciel ouvert, par une incision sous-costale droite ou gauche. Les 14 patients restant ont bénéficié d’une chirurgie laparoscopique, avec un abord transpéritonéal dans la majorité des cas. La durée moyenne de l’intervention chirurgicale était de 3 heures 22 minutes.
En ce qui concerne les complications périopératoires, trois patients ont présenté un choc hémorragique peropératoire d’évolution favorable après transfusion de dérivés sanguins. Deux patients, opérés sous coelioscopie, ont présenté un pneumothorax, de suites simples après drainage. Un patient a présenté une infection du site opératoire.
Aucune complication grave, notamment respiratoire ou cardiovasculaire, n’a été notée en postopératoire. La mortalité périopératoire était nulle.
Une prise en charge appropriée de la chirurgie du corticosurrénalome avec hypercorticisme, permet de réduire de façon notable la morbi -mortalité périopératoire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1442009 Président : ABDERRAHIME AZZOUZI Directeur : AHMED EL HJIRI Juge : SAID KABBAJ Juge : RAOUF MOHSINE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1442009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DES TUMEURS PRIMITIVES DE LA SURRENALE EXPERIENCE DU LABORATOIRE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HOPITAL IBN SINA / Hanaa SKIR
Titre : ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DES TUMEURS PRIMITIVES DE LA SURRENALE EXPERIENCE DU LABORATOIRE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HOPITAL IBN SINA Type de document : thèse Auteurs : Hanaa SKIR, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Surrénale Adénome Phéochromocytome Corticosurrénalome Anatomopathologie Résumé : Les tumeurs surrénaliennes primitives regroupent une entité vaste de pathologies. Elles peuvent
être corticosurrénaliennes ou médullo-surrénaliennes, bénignes ou malignes, sécrétantes ou non
sécrétantes. L'adénome corticosurrénalien est le type le plus courant, le phéochromocytome occupe la
deuxième place, les carcinomes surrénaliens sont beaucoup plus rares. En plus du rôle diagnostique,
l'anatomie pathologique occupe une place cruciale dans l'évaluation pronostique et la planification
thérapeutique.Nous avons mené une étude rétrospective sur une période de 03 ans (janvier 2018-
décembre 2020).
Objectif : le but de notre étude est d'analyser les aspects épidémiologiques, anatomopathologiques et clinicopathologiques des tumeurs surrénaliennes primitives, en particulier :
phéochromocytome, corticosurrénalome, adénome corticosurrénalien.
Matériel et méthodes : les données ont été collectées à partir de la base de données digitalisée
du laboratoire d'anatomie-pathologie du CHU IBN SINA ainsi que des dossiers d’hospitalisation des
patients.
Résultats : l'âge moyen de nos patients été de 51 ans, avec une prédominance féminine
(76.2%sex ratio3.2), la symptomatologie algique été le premier motif de consultation suivi par HTA,
les TS étaient le plus souvent unilatérales, avec une localisation droite préférentielle (58% droite42%gauche) La taille variait de 32mm à 140mm, avec une taille moyenne de 59 mm .. Les types
histologiques retenus étant : cinq cas de corticosurrénalomes (24%), dont 4 étaient sécrétant, avec des
scores de Weiss (3:1cas 4:2cas 6:2cas) . Neuf cas d'Adénome corticosurrénalien (43%), sécrétant dans
2cas. Six cas de phéochromocytome (28%) dont 5 étaient non agressifs et 1 cas était considéré comme
potentiellement agressif avec des scores PASS(PASS1:4cas PASS2:1cas PASS6:1cas) . un cas de
ganglioneurome a également été signalé. Six cas de tumeurs malignes ont été décelés Le traitement
chirurgical pratiqué essentiellement par cœlioscopie (62%des cas), une approche ouverte par
laparotomie réalisée chez 6 de nos patients (28,5%).
Le pathologiste est un acteur majeur dans la prise en charge des patients présentant ces tumeurs.
Il établit un diagnostic anatomopathologique précis notamment à l'aide de scores histopathologiques.
Ce qui permet la conception d'un protocole thérapeutique personnalisé.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3802022 Président : Said BENAMR Directeur : Ahmed JAHID Juge : Jalil MDAGHRI Juge : Rahal MSSROURI ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DES TUMEURS PRIMITIVES DE LA SURRENALE EXPERIENCE DU LABORATOIRE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HOPITAL IBN SINA [thèse] / Hanaa SKIR, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Surrénale Adénome Phéochromocytome Corticosurrénalome Anatomopathologie Résumé : Les tumeurs surrénaliennes primitives regroupent une entité vaste de pathologies. Elles peuvent
être corticosurrénaliennes ou médullo-surrénaliennes, bénignes ou malignes, sécrétantes ou non
sécrétantes. L'adénome corticosurrénalien est le type le plus courant, le phéochromocytome occupe la
deuxième place, les carcinomes surrénaliens sont beaucoup plus rares. En plus du rôle diagnostique,
l'anatomie pathologique occupe une place cruciale dans l'évaluation pronostique et la planification
thérapeutique.Nous avons mené une étude rétrospective sur une période de 03 ans (janvier 2018-
décembre 2020).
Objectif : le but de notre étude est d'analyser les aspects épidémiologiques, anatomopathologiques et clinicopathologiques des tumeurs surrénaliennes primitives, en particulier :
phéochromocytome, corticosurrénalome, adénome corticosurrénalien.
Matériel et méthodes : les données ont été collectées à partir de la base de données digitalisée
du laboratoire d'anatomie-pathologie du CHU IBN SINA ainsi que des dossiers d’hospitalisation des
patients.
Résultats : l'âge moyen de nos patients été de 51 ans, avec une prédominance féminine
(76.2%sex ratio3.2), la symptomatologie algique été le premier motif de consultation suivi par HTA,
les TS étaient le plus souvent unilatérales, avec une localisation droite préférentielle (58% droite42%gauche) La taille variait de 32mm à 140mm, avec une taille moyenne de 59 mm .. Les types
histologiques retenus étant : cinq cas de corticosurrénalomes (24%), dont 4 étaient sécrétant, avec des
scores de Weiss (3:1cas 4:2cas 6:2cas) . Neuf cas d'Adénome corticosurrénalien (43%), sécrétant dans
2cas. Six cas de phéochromocytome (28%) dont 5 étaient non agressifs et 1 cas était considéré comme
potentiellement agressif avec des scores PASS(PASS1:4cas PASS2:1cas PASS6:1cas) . un cas de
ganglioneurome a également été signalé. Six cas de tumeurs malignes ont été décelés Le traitement
chirurgical pratiqué essentiellement par cœlioscopie (62%des cas), une approche ouverte par
laparotomie réalisée chez 6 de nos patients (28,5%).
Le pathologiste est un acteur majeur dans la prise en charge des patients présentant ces tumeurs.
Il établit un diagnostic anatomopathologique précis notamment à l'aide de scores histopathologiques.
Ce qui permet la conception d'un protocole thérapeutique personnalisé.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3802022 Président : Said BENAMR Directeur : Ahmed JAHID Juge : Jalil MDAGHRI Juge : Rahal MSSROURI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3802022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M3802022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M3802022URL LES CORTCOSURRENALOMES : ASPECTS CHIRURGICAUX A PROPOS DE 8 CAS / BAKALI YOUNESS
Titre : LES CORTCOSURRENALOMES : ASPECTS CHIRURGICAUX A PROPOS DE 8 CAS Type de document : thèse Auteurs : BAKALI YOUNESS, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : GLANDE SURRENALE CORTICOSURRENALOME SURRENALECTOMIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0572007 Président : FAIK MOHAMED Directeur : LACHKAR AZZOUZ Juge : NOUINI YASSINE Juge : / Juge : / LES CORTCOSURRENALOMES : ASPECTS CHIRURGICAUX A PROPOS DE 8 CAS [thèse] / BAKALI YOUNESS, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : GLANDE SURRENALE CORTICOSURRENALOME SURRENALECTOMIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0572007 Président : FAIK MOHAMED Directeur : LACHKAR AZZOUZ Juge : NOUINI YASSINE Juge : / Juge : / Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0572007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2007 Disponible CORTICOSURRENALOME : ASPECTS ANATOMO-PATHOLOGIQUES. EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE IBN SINA RABAT / SAMADI Dina
Titre : CORTICOSURRENALOME : ASPECTS ANATOMO-PATHOLOGIQUES. EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE IBN SINA RABAT Type de document : thèse Auteurs : SAMADI Dina, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticosurrénalome Anatomopathologie Score de WEISS Immunohistochimie Résumé : Introduction : Le corticosurrénalome est une tumeur rare. L'étude des aspects
anatomopathologiques de ces tumeurs revêt une importance cruciale pour le diagnostic, la
classification et la prise en charge chirurgicale.
Patients et méthodes :
Notre étude a pour but de rapporter les données épidémiologiques, cliniques et paracliniques
du corticosurrénalome, d’étudier les aspects histologiques et pronostiques, et de citer les
protocoles thérapeutiques. C’est une étude rétrospective concernant 8 cas diagnostiqués au
service d’anatomie pathologique du CHU Ibn Sina de Rabat entre 2013 et 2022.
Résultats:
La moyenne d’âge était de 52ans avec des extrêmes de 29 et 65 ans, avec une prédominance
féminine.
Les signes fonctionnels traduisant l’hypersécrétion hormonale représentaient le motif de
consultation le plus fréquent.
Parmi les 8 cas : 3 étaient à droite et 5 à gauche. La taille de la tumeur moyenne était de 13cm
et le poids moyen était de 300g.
Tous les malades ont bénéficié d’une surrénalectomie : par cœlioscopie chez 3 patients et par
laparotomie chez 5 patients.
Tous les cas avaient un score de WEISS ≥3.
Les résultats de notre étude montrent que le grade nucléaire, le nombre de mitoses élevées ainsi
que les mitoses atypiques étaient les critères les plus fréquents.
Conclusion:
Les aspects anatomopathologiques jouent un rôle crucial dans le diagnostic, la classification et
le traitement de cette tumeur surrénalienne rare. Une analyse minutieuse de l'architecture, de la
taille, de la forme et de l'activité mitotique des cellules tumorales permet de déterminer le type
histologique du corticosurrénalome, ce qui a des implications importantes pour le pronostic et
la prise en charge du patient.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4882023 Président : Benamr Said Directeur : Jahid Ahmed Juge : Mssrouri Rahal Juge : Mdaghri Jalil CORTICOSURRENALOME : ASPECTS ANATOMO-PATHOLOGIQUES. EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE IBN SINA RABAT [thèse] / SAMADI Dina, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Corticosurrénalome Anatomopathologie Score de WEISS Immunohistochimie Résumé : Introduction : Le corticosurrénalome est une tumeur rare. L'étude des aspects
anatomopathologiques de ces tumeurs revêt une importance cruciale pour le diagnostic, la
classification et la prise en charge chirurgicale.
Patients et méthodes :
Notre étude a pour but de rapporter les données épidémiologiques, cliniques et paracliniques
du corticosurrénalome, d’étudier les aspects histologiques et pronostiques, et de citer les
protocoles thérapeutiques. C’est une étude rétrospective concernant 8 cas diagnostiqués au
service d’anatomie pathologique du CHU Ibn Sina de Rabat entre 2013 et 2022.
Résultats:
La moyenne d’âge était de 52ans avec des extrêmes de 29 et 65 ans, avec une prédominance
féminine.
Les signes fonctionnels traduisant l’hypersécrétion hormonale représentaient le motif de
consultation le plus fréquent.
Parmi les 8 cas : 3 étaient à droite et 5 à gauche. La taille de la tumeur moyenne était de 13cm
et le poids moyen était de 300g.
Tous les malades ont bénéficié d’une surrénalectomie : par cœlioscopie chez 3 patients et par
laparotomie chez 5 patients.
Tous les cas avaient un score de WEISS ≥3.
Les résultats de notre étude montrent que le grade nucléaire, le nombre de mitoses élevées ainsi
que les mitoses atypiques étaient les critères les plus fréquents.
Conclusion:
Les aspects anatomopathologiques jouent un rôle crucial dans le diagnostic, la classification et
le traitement de cette tumeur surrénalienne rare. Une analyse minutieuse de l'architecture, de la
taille, de la forme et de l'activité mitotique des cellules tumorales permet de déterminer le type
histologique du corticosurrénalome, ce qui a des implications importantes pour le pronostic et
la prise en charge du patient.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4882023 Président : Benamr Said Directeur : Jahid Ahmed Juge : Mssrouri Rahal Juge : Mdaghri Jalil Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4882023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible Le corticosurrénalome chez l’enfant / KHALES Ihssane
Titre : Le corticosurrénalome chez l’enfant Type de document : thèse Auteurs : KHALES Ihssane, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticosurrénalome Enfant Hyperandrogénie Syndrome Cushing Chirurgie Résumé : INTRODUCTION : Le corticosurrénalome chez l’enfant est rare
Objectif, Matériels et méthodes : Ce travail permet une revue de la littérature et une étude critique de 5 cas colligés au sein du service de chirurgie pédiatrique A de l’hôpital d’enfants de Rabat, entre 1992 et 2016.
Résultats : durant la période de notre étude, 5 cas de corticosurrénalomes ont été inclus. L’âge de nos patients est compris entre 11 mois et 6ans avec une moyenne de 3,5 ans. la tumeur virilisante était la présentation clinique la plus fréquente qui s’est manifestée par une pseudo puberté précoce iso sexuelle chez les garçons et hétérosexuelle chez les filles.
La stratégie diagnostique était le plus souvent basée sur l’imagerie et les dosages hormonaux, la certitude diagnostique a été apporté par l’examen anatomopathologique de la pièce opératoire.
Sur le plan thérapeutique, 4 patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical : une surrenalectomie par laparotomie associée dans certains cas à une nephrectomie. Une chimiothérapie adjuvante a été réalisée chez une seule patiente, aucun de nos patients n’a bénéficié d’une radiothérapie. Deux patientes avaient présenté une récidive puis décédées.
Discussion : Le corticosurrénalome est une néoplasie rare chez l’enfant. Le traitement fait appel à la chirurgie d’exérèse tumorale, parfois complétée par une chimiothérapie, le plus souvent basée sur les sels de platine, l’étoposide et la doxorubicine, associée au mitotane pour les formes à haut risque de récidive. Le rôle de la radiothérapie est discuté compte tenu notamment de l’implication fréquente d’anomalies de TP53.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642016 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : KISRA.M Juge : ABDELHAK.M Juge : OULAHYANE.R Le corticosurrénalome chez l’enfant [thèse] / KHALES Ihssane, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Corticosurrénalome Enfant Hyperandrogénie Syndrome Cushing Chirurgie Résumé : INTRODUCTION : Le corticosurrénalome chez l’enfant est rare
Objectif, Matériels et méthodes : Ce travail permet une revue de la littérature et une étude critique de 5 cas colligés au sein du service de chirurgie pédiatrique A de l’hôpital d’enfants de Rabat, entre 1992 et 2016.
Résultats : durant la période de notre étude, 5 cas de corticosurrénalomes ont été inclus. L’âge de nos patients est compris entre 11 mois et 6ans avec une moyenne de 3,5 ans. la tumeur virilisante était la présentation clinique la plus fréquente qui s’est manifestée par une pseudo puberté précoce iso sexuelle chez les garçons et hétérosexuelle chez les filles.
La stratégie diagnostique était le plus souvent basée sur l’imagerie et les dosages hormonaux, la certitude diagnostique a été apporté par l’examen anatomopathologique de la pièce opératoire.
Sur le plan thérapeutique, 4 patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical : une surrenalectomie par laparotomie associée dans certains cas à une nephrectomie. Une chimiothérapie adjuvante a été réalisée chez une seule patiente, aucun de nos patients n’a bénéficié d’une radiothérapie. Deux patientes avaient présenté une récidive puis décédées.
Discussion : Le corticosurrénalome est une néoplasie rare chez l’enfant. Le traitement fait appel à la chirurgie d’exérèse tumorale, parfois complétée par une chimiothérapie, le plus souvent basée sur les sels de platine, l’étoposide et la doxorubicine, associée au mitotane pour les formes à haut risque de récidive. Le rôle de la radiothérapie est discuté compte tenu notamment de l’implication fréquente d’anomalies de TP53.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642016 Président : BENHMAMOUCH.M.N Directeur : KISRA.M Juge : ABDELHAK.M Juge : OULAHYANE.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1642016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1642016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT. / EL KASMI SALWA
Titre : CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT. Type de document : thèse Auteurs : EL KASMI SALWA, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : CORTICOSURRENALOME ENFANT HYPERANDROGENIE SYNDROME CUSHING CHIRURGIE, Résumé : Le corticosurrénalome malin est une néoplasie rare et agressive, se développe aux dépens du cortex surrénalien. Le diagnostic s’appuie sur la clinique, les bilans biologiques statiques et dynamiques et la morphologie. Il est confirmé par l’analyse anatomo-pathologique.
La chirurgie radicale, même en présence de métastases, reste le traitement de choix. L’op’DDD, reste indiqué en cas de métastase, récidive ou de chirurgie incomplète ou impossible. La chimiothérapie est réservée aux sujets non répondeurs ou intolérants à l’op’DDD. Le pronostic reste sombre, lié à la fréquence des métastases lors du diagnostic et des récidives.
À travers une étude rétrospective menée au service de chirurgie A, étalée sur une période de vingt ans (du 1992 à 2012). Nous avons analysé les signes cliniques, paracliniques et thérapeutiques de 3 enfants pris en charge au cours de cette période pour Corticosurrénalome malin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0512012 Président : MOHAMMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MOUNIR KISRA Juge : SAID ETTAIR Juge : TAOUFIK MESKINI CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT. [thèse] / EL KASMI SALWA, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CORTICOSURRENALOME ENFANT HYPERANDROGENIE SYNDROME CUSHING CHIRURGIE, Résumé : Le corticosurrénalome malin est une néoplasie rare et agressive, se développe aux dépens du cortex surrénalien. Le diagnostic s’appuie sur la clinique, les bilans biologiques statiques et dynamiques et la morphologie. Il est confirmé par l’analyse anatomo-pathologique.
La chirurgie radicale, même en présence de métastases, reste le traitement de choix. L’op’DDD, reste indiqué en cas de métastase, récidive ou de chirurgie incomplète ou impossible. La chimiothérapie est réservée aux sujets non répondeurs ou intolérants à l’op’DDD. Le pronostic reste sombre, lié à la fréquence des métastases lors du diagnostic et des récidives.
À travers une étude rétrospective menée au service de chirurgie A, étalée sur une période de vingt ans (du 1992 à 2012). Nous avons analysé les signes cliniques, paracliniques et thérapeutiques de 3 enfants pris en charge au cours de cette période pour Corticosurrénalome malin.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0512012 Président : MOHAMMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MOUNIR KISRA Juge : SAID ETTAIR Juge : TAOUFIK MESKINI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0512012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible
Titre : LE CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L'ENFANT Type de document : thèse Auteurs : TAGMOUTI ADAM, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticosurrénalome Virilisation Syndrome de Cushing Génétique Laparoscopie Résumé : "Le corticosurrénalome pédiatrique est rare, estimé à 0.3-0.38 cas par million d’enfants par an. Sa rareté, doublée d’une littérature relativement pauvre, font de son approche thérapeutique un véritable défi.
Ce travail recense 6 patients pris en charge au service de chirurgie pédiatrique A de l’hôpital des enfants à Rabat entre 1992 et 2020, et vise à mettre en lumière les différents aspects cliniques, biologiques et radiologiques du corticosurrénalome malin, ainsi que les différentes thérapeutiques utilisées et l’évolution de ces enfants ; proposant une approche comparative avec ce qu’offre la littérature.
Tous nos patients avaient moins de 12 ans, dont 5 ayant moins de 5 ans. Une forte prédominance féminine a été rapportée, avec 5 filles pour 1 garçon.
Tous les patients présentaient une forme sécrétante, et tous exhibaient des signes de virilisations ; 2 arboraient un syndrome de Cushing, et 2 présentaient une forme mixte. Aucun cas de syndrome de Conn, de forme féminisante ou non sécrétante n’a été retrouvé. Trois patients ont présenté des métastases : elles étaient exclusivement hépatiques et/ou pulmonaires.
Tous les patients ont bénéficié d’une TDM. 5 patients ont bénéficié d’une chirurgie, dont 4 également d’une chimiothérapie adjuvante. Aucun patient n’a reçu de mitotane. Le 6ème patient a été perdu de vue avant la prise en charge thérapeutique. Les scores de Weiss retrouvés chez ces patients étaient tous ≥ 3, dont trois ≥ 5. Des 5 patients opérés, 2 sont décédés l’année suivante, 2 ont été jugés en rémission complète, et le suivi du dernier patient est toujours en cours.
Notre travail est en accord avec les données de la littérature, soulignant la difficulté de la prise de décision thérapeutique, en mettant en avant le besoin critique d’études comparatives à larges échelles, surtout prospectives, pour l’avancement de la prise en charge de ce cancer."
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0312021 Président : HESSISSEN LAILA Directeur : KISRA MOUNIR Juge : TLIGUI HOUSSAIN Juge : ZERHOUNI HICHAM LE CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L'ENFANT [thèse] / TAGMOUTI ADAM, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Corticosurrénalome Virilisation Syndrome de Cushing Génétique Laparoscopie Résumé : "Le corticosurrénalome pédiatrique est rare, estimé à 0.3-0.38 cas par million d’enfants par an. Sa rareté, doublée d’une littérature relativement pauvre, font de son approche thérapeutique un véritable défi.
Ce travail recense 6 patients pris en charge au service de chirurgie pédiatrique A de l’hôpital des enfants à Rabat entre 1992 et 2020, et vise à mettre en lumière les différents aspects cliniques, biologiques et radiologiques du corticosurrénalome malin, ainsi que les différentes thérapeutiques utilisées et l’évolution de ces enfants ; proposant une approche comparative avec ce qu’offre la littérature.
Tous nos patients avaient moins de 12 ans, dont 5 ayant moins de 5 ans. Une forte prédominance féminine a été rapportée, avec 5 filles pour 1 garçon.
Tous les patients présentaient une forme sécrétante, et tous exhibaient des signes de virilisations ; 2 arboraient un syndrome de Cushing, et 2 présentaient une forme mixte. Aucun cas de syndrome de Conn, de forme féminisante ou non sécrétante n’a été retrouvé. Trois patients ont présenté des métastases : elles étaient exclusivement hépatiques et/ou pulmonaires.
Tous les patients ont bénéficié d’une TDM. 5 patients ont bénéficié d’une chirurgie, dont 4 également d’une chimiothérapie adjuvante. Aucun patient n’a reçu de mitotane. Le 6ème patient a été perdu de vue avant la prise en charge thérapeutique. Les scores de Weiss retrouvés chez ces patients étaient tous ≥ 3, dont trois ≥ 5. Des 5 patients opérés, 2 sont décédés l’année suivante, 2 ont été jugés en rémission complète, et le suivi du dernier patient est toujours en cours.
Notre travail est en accord avec les données de la littérature, soulignant la difficulté de la prise de décision thérapeutique, en mettant en avant le besoin critique d’études comparatives à larges échelles, surtout prospectives, pour l’avancement de la prise en charge de ce cancer."
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0312021 Président : HESSISSEN LAILA Directeur : KISRA MOUNIR Juge : TLIGUI HOUSSAIN Juge : ZERHOUNI HICHAM Réservation
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M0312021URL
Titre : CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT : ASPECTS CLINIQUES ET THERAPEUTIQUES Type de document : thèse Auteurs : HADIR Meryem, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : corticosurrénalome enfant syndrome de cushing chirurgie Résumé : Le corticosurrénalome malin est tumeur rare chez l’enfant, développée a dépend
du cortex surrénalien, son diagnostic est posé devant un faisceau d’arguments
cliniques, biologiques, radiologiques, et anatomopathologiques.
L’exérèse tumorale totale est le traitement de choix, compléter par le mitotane
en cas de métastase ou de récidive, le pronostic de cette tumeur est sombre lié à
son stade évolutif.
A travers ce travail nous rapportons une étude rétrospective de six enfants,
suivis au service de chirurgie A de l’hôpital d’enfants de Rabat, entre 1992 et
2020.
Notre étude comporte 5filles et 1 garçon dont 5 ayant moins de 5 ans, et 5 cas
avaient une localisation droite. Tous les patients présentaient une forme
sécrétante avec des signes de virilisation, trois patients ont présenté des
métastases : hépatiques et pulmonaires.
Tous les patients ont bénéficié d’une TDM dans le cadre de diagnostic, 5
patients ont bénéficié d’une chirurgie d’ont 4 d’une chimiothérapie adjuvante,
des six patients pris en charge : 2 patients sont décédés, 3 patients en rémission
complète, et un patient perdu de vueNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0352022 Président : KISRA Mounir CORTICOSURRENALOME MALIN CHEZ L’ENFANT : ASPECTS CLINIQUES ET THERAPEUTIQUES [thèse] / HADIR Meryem, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : corticosurrénalome enfant syndrome de cushing chirurgie Résumé : Le corticosurrénalome malin est tumeur rare chez l’enfant, développée a dépend
du cortex surrénalien, son diagnostic est posé devant un faisceau d’arguments
cliniques, biologiques, radiologiques, et anatomopathologiques.
L’exérèse tumorale totale est le traitement de choix, compléter par le mitotane
en cas de métastase ou de récidive, le pronostic de cette tumeur est sombre lié à
son stade évolutif.
A travers ce travail nous rapportons une étude rétrospective de six enfants,
suivis au service de chirurgie A de l’hôpital d’enfants de Rabat, entre 1992 et
2020.
Notre étude comporte 5filles et 1 garçon dont 5 ayant moins de 5 ans, et 5 cas
avaient une localisation droite. Tous les patients présentaient une forme
sécrétante avec des signes de virilisation, trois patients ont présenté des
métastases : hépatiques et pulmonaires.
Tous les patients ont bénéficié d’une TDM dans le cadre de diagnostic, 5
patients ont bénéficié d’une chirurgie d’ont 4 d’une chimiothérapie adjuvante,
des six patients pris en charge : 2 patients sont décédés, 3 patients en rémission
complète, et un patient perdu de vueNuméro (Thèse ou Mémoire) : MS0352022 Président : KISRA Mounir Réservation
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MS0352022URL
Titre : LES MASSES SURRENALIENNES EN DEHORS DU NEUROBLASTOME Type de document : thèse Auteurs : Ikram ALUAHABI, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Corticosurrénalome Phéochromocytome Enfant HTA Hyperandrogénie Chirurgie Résumé : Ce travail est une étude descriptive rétrospective intéressant les enfants porteurs de
masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome menée au service de chirurgie A de
l’hôpital des enfants de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie
pédiatrique et dont le but est de mettre le point sur les difficultés diagnostiques et la place de
la chirurgie dans la prise en charge de ces tumeurs.
Les masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome sont rares chez l’enfant. 7
malades ont été diagnostiqués durant cette durée. Le corticosurrénalome est le plus fréquent
avec 5 cas, suivi du phéochromocytome avec 2 cas. L’âge de nos malades est compris entre 7
mois et 14 ans avec une moyenne de 6 ans, une moyenne de 3 ans pour les
corticosurrénalomes et 13 ans et demi pour le phéochromocytome.
Le diagnostic est suspecté devant les données cliniques et biologiques. Pour le
corticosurrénalome, la symptomatologie était dominée par la puberté précoce suivi par les
douleurs et le ballonnement abdominal. Le phéochromocytome s’est manifesté par une
asthénie, la tachycardie, les céphalées et les palpitations. L’imagerie représentée
essentiellement par l’échographie et la TDM a permis le diagnostic chez 2 patients atteints de
corticosurrénalome et chez un patient atteint de phéochromocytome. La confirmation
diagnostique est apportée par l’analyse anatomopathologique chez tous les malades.
Le traitement fait appel à l’exérèse chirurgicale, le plus souvent complétée par une
chimiothérapie adjuvante. 4 patients atteints de corticosurrénalome ont bénéficié d’un
traitement chirurgical suivi d’une chimiothérapie adjuvante. Le cinquième patient n’a reçu
qu’une chimiothérapie palliative. Les 2 patients atteints de phéochromocytome ont bénéficié
d’une cure chirurgicale seule.
L’évolution a été favorable pour la plupart des patients avec une rémission complète.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3282021 Président : Mounir KISRA Directeur : Mounir KISRA Juge : Amina KILI Juge : Maria EL KABABR LES MASSES SURRENALIENNES EN DEHORS DU NEUROBLASTOME [thèse] / Ikram ALUAHABI, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Corticosurrénalome Phéochromocytome Enfant HTA Hyperandrogénie Chirurgie Résumé : Ce travail est une étude descriptive rétrospective intéressant les enfants porteurs de
masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome menée au service de chirurgie A de
l’hôpital des enfants de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie
pédiatrique et dont le but est de mettre le point sur les difficultés diagnostiques et la place de
la chirurgie dans la prise en charge de ces tumeurs.
Les masses surrénaliennes en dehors du neuroblastome sont rares chez l’enfant. 7
malades ont été diagnostiqués durant cette durée. Le corticosurrénalome est le plus fréquent
avec 5 cas, suivi du phéochromocytome avec 2 cas. L’âge de nos malades est compris entre 7
mois et 14 ans avec une moyenne de 6 ans, une moyenne de 3 ans pour les
corticosurrénalomes et 13 ans et demi pour le phéochromocytome.
Le diagnostic est suspecté devant les données cliniques et biologiques. Pour le
corticosurrénalome, la symptomatologie était dominée par la puberté précoce suivi par les
douleurs et le ballonnement abdominal. Le phéochromocytome s’est manifesté par une
asthénie, la tachycardie, les céphalées et les palpitations. L’imagerie représentée
essentiellement par l’échographie et la TDM a permis le diagnostic chez 2 patients atteints de
corticosurrénalome et chez un patient atteint de phéochromocytome. La confirmation
diagnostique est apportée par l’analyse anatomopathologique chez tous les malades.
Le traitement fait appel à l’exérèse chirurgicale, le plus souvent complétée par une
chimiothérapie adjuvante. 4 patients atteints de corticosurrénalome ont bénéficié d’un
traitement chirurgical suivi d’une chimiothérapie adjuvante. Le cinquième patient n’a reçu
qu’une chimiothérapie palliative. Les 2 patients atteints de phéochromocytome ont bénéficié
d’une cure chirurgicale seule.
L’évolution a été favorable pour la plupart des patients avec une rémission complète.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3282021 Président : Mounir KISRA Directeur : Mounir KISRA Juge : Amina KILI Juge : Maria EL KABABR Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3282021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3282021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M3282021URL
Titre : SYNDROME DE CUSHING CHEZ L’ENFANT Type de document : thèse Auteurs : Houda EL HIOUY, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypercorticisme Adénome hypophysaire Corticosurrénalome Sécrétion ectopique Chirurgie transsphénoïdale Résumé : Le syndrome de cushing est une entité rare surtout en pédiatrie. L'incidence globale est
2 à 5 nouveaux cas/ million d'habitants/ an, seuls 10 % des cas surviennent chez les enfants.
Notre travail vise à mettre en lumière les particularités de la MC et SC chez l’enfant,
ainsi que la conduite à tenir adaptée à notre contexte, en tenant compte des données de la
littérature
C’est une étude descriptive et rétrospective d’une série de 4 cas, vus au sein de service de
pédiatrie P2 de l’Hôpital d’Enfants Rabat.
L’âge des patients variait entre 11mois et 15 ans avec une moyenne de 7.1 ans. Une
prédominance féminine a été rapportée (3 filles pour 1 garçon).
Parmi ces 4 enfants, le diagnostic était comme suit : 1 cas de maladie de cushing, 1 cas
de corticosurrénalome benin,1 cas de corticosurrénalome malin, et 1 cas de SC secondaire à
une sécrétion ectopique d’ACTH par une tumeur endocrine du pancréas.
Le diagnostic positif a reposé sur la clinique évocatrice d’un syndrome de Cushing, et
une confirmation biologique par dosage du CLU (chez 3 patients), cortisol plasmatique (chez
2 patients). Le dosage du cortisol salivaire et freinage minute n’ont été réalisé que chez un
patient.
L’exploration radiologique (IRM hypophysaire, l’échographie et TDM abdominales) a
montré 1 cas de microadénome hypophysaire, 2 cas de masse surrénalienne unilatérale et 1
cas de tumeur pancréatique associée à une hyperplasie surrénalienne secondaire.
Sur le plan thérapeutique, le patient ayant le microadénome hypophysaire a été opéré par voie
transsphénoïdale avec une bonne évolution clinico-biologique. Une surrénalectomie unilatérale a été
effectuée chez les 2 patients ayant un corticosurrénalome, dont une a présenté une thrombophlébite
cérébrale post opératoire. Quant au cas de syndrome de Cushing paranéoplasique, la patiente a
bénéficié d’une splénopancréatectomie corporio-caudale.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3502021 Président : Abdelali BENTAHILA Directeur : Ahmed GAOUZI Juge : Saïda TELLAL Juge : Asmaa MDAGHRI ALAOUI Juge : Zineb IMANE SYNDROME DE CUSHING CHEZ L’ENFANT [thèse] / Houda EL HIOUY, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hypercorticisme Adénome hypophysaire Corticosurrénalome Sécrétion ectopique Chirurgie transsphénoïdale Résumé : Le syndrome de cushing est une entité rare surtout en pédiatrie. L'incidence globale est
2 à 5 nouveaux cas/ million d'habitants/ an, seuls 10 % des cas surviennent chez les enfants.
Notre travail vise à mettre en lumière les particularités de la MC et SC chez l’enfant,
ainsi que la conduite à tenir adaptée à notre contexte, en tenant compte des données de la
littérature
C’est une étude descriptive et rétrospective d’une série de 4 cas, vus au sein de service de
pédiatrie P2 de l’Hôpital d’Enfants Rabat.
L’âge des patients variait entre 11mois et 15 ans avec une moyenne de 7.1 ans. Une
prédominance féminine a été rapportée (3 filles pour 1 garçon).
Parmi ces 4 enfants, le diagnostic était comme suit : 1 cas de maladie de cushing, 1 cas
de corticosurrénalome benin,1 cas de corticosurrénalome malin, et 1 cas de SC secondaire à
une sécrétion ectopique d’ACTH par une tumeur endocrine du pancréas.
Le diagnostic positif a reposé sur la clinique évocatrice d’un syndrome de Cushing, et
une confirmation biologique par dosage du CLU (chez 3 patients), cortisol plasmatique (chez
2 patients). Le dosage du cortisol salivaire et freinage minute n’ont été réalisé que chez un
patient.
L’exploration radiologique (IRM hypophysaire, l’échographie et TDM abdominales) a
montré 1 cas de microadénome hypophysaire, 2 cas de masse surrénalienne unilatérale et 1
cas de tumeur pancréatique associée à une hyperplasie surrénalienne secondaire.
Sur le plan thérapeutique, le patient ayant le microadénome hypophysaire a été opéré par voie
transsphénoïdale avec une bonne évolution clinico-biologique. Une surrénalectomie unilatérale a été
effectuée chez les 2 patients ayant un corticosurrénalome, dont une a présenté une thrombophlébite
cérébrale post opératoire. Quant au cas de syndrome de Cushing paranéoplasique, la patiente a
bénéficié d’une splénopancréatectomie corporio-caudale.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3502021 Président : Abdelali BENTAHILA Directeur : Ahmed GAOUZI Juge : Saïda TELLAL Juge : Asmaa MDAGHRI ALAOUI Juge : Zineb IMANE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3502021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible M3502021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2021 Disponible Documents numériques
M3502021URL Le syndrome de cushing : A propos de 8 cas dans un service de medecine interne hopital militaire d’instruction mohammed v / RAFFAS HAMID
Titre : Le syndrome de cushing : A propos de 8 cas dans un service de medecine interne hopital militaire d’instruction mohammed v Type de document : thèse Auteurs : RAFFAS HAMID, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hypercorticisme Adénome hypophysaire Corticosurrénalome Chirurgie transsphénoïdale Cortisol libre urinaire. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : OBJECTIF : Le but de notre travail est de faire le point sur les données actuelles concernant le syndrome de Cushing ainsi que les progrès réalisés sur le plan de la prise en charge, et illustrer son profil dans notre contexte marocain.
MATERIEL ET METHODES : Nous avons effectué une étude rétrospective concernant les patients présentant un syndrome de Cushing suivis au service de médecine interne de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V entre 1997 et 2007. Nous avons recensé 12 dossiers mais seulement 8 ont pu être exploités.
Pour chaque patient nous avons recherché un ensemble d’items afin de pouvoir établir une fiche d’exploitation complète correspondant à une prise en charge optimale d’un patient présentant un syndrome de Cushing.
Les données recueillies ont été analysées et discutées pour ensuite être comparées à la lumière des données de la littérature.
RESULTATS : notre série est composée de 8 patientes, l’âge moyen lors du diagnostic est de 35 ans avec des extrêmes de 25 et 50 ans.
Les motifs de consultation sont dominés par la prise pondérale représentant 62,5% des circonstances de découverte.
Sur nos 8 patientes, 5 présentent une maladie de Cushing, cause la plus fréquente du syndrome de Cushing, les autres pathologies sont respectivement représentées par un corticosurrénalome chez 2 patientes et 1 cas de syndrome de Cushing paranéoplasique.
Le syndrome de Cushing est retrouvé dans sa forme complète cliniquement chez toutes les patientes avec quelques particularités fonction de l’étiologie tel le syndrome tumoral qui était retrouvé dans 50% des cas de maladie de Cushing ; les signes d’hyperandrogénie présents dans les deux cas de corticosurrénalome ainsi que la douleur osseuse tibiale droite notée dans le cas du syndrome de Cushing paranéoplasique.
Le diagnostic est basé sur le dosage du cortisol libre urinaire des 24 h dont la valeur moyenne est de 775,2 µg/24h. En outre, le dosage de la cortisolémie de 16h a été réalisé chez 6 patientes, révélant une rupture du cycle circadien du cortisol dans les 6 cas.
L’exploration radiologique (TDM et IRM hypophysaires dans la maladie de Cushing, TDM abdominale dans le corticosurrénalome et l’IRM du membre inférieur droit dans le syndrome de Cushing paranéoplasique sur ostéosarcome du tibia) a montré 4 cas de microadénome hypophysaire, 1 seul cas de selle turcique partiellement vide, 2 cas de corticosurrénalome et 1 cas de tumeur osseuse maligne extensive.
Sur le plan thérapeutique, 4 cas de microadénome ont été opérés par voie transsphénoïdale. Une surrénalectomie bilatérale a été réalisée chez une patiente qui présentait une selle turcique partiellement vide et chez qui un traitement à base de kétoconazole pris pendant 14 mois avait été très mal toléré.
Dans les deux cas de corticosurrénalome, une surrénalectomie unilatérale a été effectuée à 4 reprises chez une seule patiente présentant un corticosurrénalome récidivant inextirpable.
Quant au cas de syndrome de Cushing paranéoplasique, une chimiothérapie a été instaurée avant d’adresser la patiente à la chirurgie pour résection tumorale.
On a noté une rechute dans 2 cas de chirurgie hypophysaire, elle est survenue l’année suivante dans le premier cas et 7 ans après dans le second. Dans le seul cas de surrénalectomie bilatérale, l’évolution a été marquée par la
survenue d’une insuffisance surrénalienne (1 an après la chirurgie), motivant la mise en route d’un traitement substitutif à base d’hydrocortisone.
Après surrénalectomie, le premier cas de corticosurrénalome a bien évolué sur le plan clinque mais le CLU des 24h est resté élevé en l’absence de lésion évocatrice à la TDM abdominale. Dans le deuxième cas, l’évolution était moins favorable et s’est soldée par le décès de la patiente.
Après l’avoir adressée en service de chirurgie, la seule patiente présentant un syndrome de Cushing paranéoplasique a été perdue de vue.
Le syndrome de Cushing est associé à une morbi-mortalité particulièrement élevée notamment d’origine cardiovasculaire, ce qui souligne l’importance de sa reconnaissance et de sa prise en charge.
Le Taux élevé d’échec de la chirurgie hypophysaire, la non disponibilité des anticortisoliques de synthèse et le bas niveau socio-économique de nos patients qui porte parfois préjudice au suivi rigoureux de ces derniers, rendent très difficile la gestion de cette affection reconnue délicate et complexe par les grandes équipes internationales de référence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1382008 Président : AMIL TOURIA Directeur : BELMEJDOUB GHIZLAINE Juge : ALBOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA Le syndrome de cushing : A propos de 8 cas dans un service de medecine interne hopital militaire d’instruction mohammed v [thèse] / RAFFAS HAMID, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hypercorticisme Adénome hypophysaire Corticosurrénalome Chirurgie transsphénoïdale Cortisol libre urinaire. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : OBJECTIF : Le but de notre travail est de faire le point sur les données actuelles concernant le syndrome de Cushing ainsi que les progrès réalisés sur le plan de la prise en charge, et illustrer son profil dans notre contexte marocain.
MATERIEL ET METHODES : Nous avons effectué une étude rétrospective concernant les patients présentant un syndrome de Cushing suivis au service de médecine interne de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V entre 1997 et 2007. Nous avons recensé 12 dossiers mais seulement 8 ont pu être exploités.
Pour chaque patient nous avons recherché un ensemble d’items afin de pouvoir établir une fiche d’exploitation complète correspondant à une prise en charge optimale d’un patient présentant un syndrome de Cushing.
Les données recueillies ont été analysées et discutées pour ensuite être comparées à la lumière des données de la littérature.
RESULTATS : notre série est composée de 8 patientes, l’âge moyen lors du diagnostic est de 35 ans avec des extrêmes de 25 et 50 ans.
Les motifs de consultation sont dominés par la prise pondérale représentant 62,5% des circonstances de découverte.
Sur nos 8 patientes, 5 présentent une maladie de Cushing, cause la plus fréquente du syndrome de Cushing, les autres pathologies sont respectivement représentées par un corticosurrénalome chez 2 patientes et 1 cas de syndrome de Cushing paranéoplasique.
Le syndrome de Cushing est retrouvé dans sa forme complète cliniquement chez toutes les patientes avec quelques particularités fonction de l’étiologie tel le syndrome tumoral qui était retrouvé dans 50% des cas de maladie de Cushing ; les signes d’hyperandrogénie présents dans les deux cas de corticosurrénalome ainsi que la douleur osseuse tibiale droite notée dans le cas du syndrome de Cushing paranéoplasique.
Le diagnostic est basé sur le dosage du cortisol libre urinaire des 24 h dont la valeur moyenne est de 775,2 µg/24h. En outre, le dosage de la cortisolémie de 16h a été réalisé chez 6 patientes, révélant une rupture du cycle circadien du cortisol dans les 6 cas.
L’exploration radiologique (TDM et IRM hypophysaires dans la maladie de Cushing, TDM abdominale dans le corticosurrénalome et l’IRM du membre inférieur droit dans le syndrome de Cushing paranéoplasique sur ostéosarcome du tibia) a montré 4 cas de microadénome hypophysaire, 1 seul cas de selle turcique partiellement vide, 2 cas de corticosurrénalome et 1 cas de tumeur osseuse maligne extensive.
Sur le plan thérapeutique, 4 cas de microadénome ont été opérés par voie transsphénoïdale. Une surrénalectomie bilatérale a été réalisée chez une patiente qui présentait une selle turcique partiellement vide et chez qui un traitement à base de kétoconazole pris pendant 14 mois avait été très mal toléré.
Dans les deux cas de corticosurrénalome, une surrénalectomie unilatérale a été effectuée à 4 reprises chez une seule patiente présentant un corticosurrénalome récidivant inextirpable.
Quant au cas de syndrome de Cushing paranéoplasique, une chimiothérapie a été instaurée avant d’adresser la patiente à la chirurgie pour résection tumorale.
On a noté une rechute dans 2 cas de chirurgie hypophysaire, elle est survenue l’année suivante dans le premier cas et 7 ans après dans le second. Dans le seul cas de surrénalectomie bilatérale, l’évolution a été marquée par la
survenue d’une insuffisance surrénalienne (1 an après la chirurgie), motivant la mise en route d’un traitement substitutif à base d’hydrocortisone.
Après surrénalectomie, le premier cas de corticosurrénalome a bien évolué sur le plan clinque mais le CLU des 24h est resté élevé en l’absence de lésion évocatrice à la TDM abdominale. Dans le deuxième cas, l’évolution était moins favorable et s’est soldée par le décès de la patiente.
Après l’avoir adressée en service de chirurgie, la seule patiente présentant un syndrome de Cushing paranéoplasique a été perdue de vue.
Le syndrome de Cushing est associé à une morbi-mortalité particulièrement élevée notamment d’origine cardiovasculaire, ce qui souligne l’importance de sa reconnaissance et de sa prise en charge.
Le Taux élevé d’échec de la chirurgie hypophysaire, la non disponibilité des anticortisoliques de synthèse et le bas niveau socio-économique de nos patients qui porte parfois préjudice au suivi rigoureux de ces derniers, rendent très difficile la gestion de cette affection reconnue délicate et complexe par les grandes équipes internationales de référence.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1382008 Président : AMIL TOURIA Directeur : BELMEJDOUB GHIZLAINE Juge : ALBOUZIDI ABDERRAHMANE Juge : TELLAL SAIDA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1382008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA SURRENALE PAR COELIOSCOPIE : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE A A PROPOS DE 29 CAS / BELLAMINE SOUFIANE
Titre : LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA SURRENALE PAR COELIOSCOPIE : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE A A PROPOS DE 29 CAS Type de document : thèse Auteurs : BELLAMINE SOUFIANE, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : COELIOSCOPIE PHEOCHROMOCYTOME CONN CORTICOSURRENALOME Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction: La chirurgie surrénalienne par laparoscopie est devenue actuellement le traitement de choix de la plupart des tumeurs surrénaliennes bénignes.
Matériel, méthodes et résultats: Entre Mai 2000 et Décembre 2007, 25 patients sont opérés par laparoscopie. Il s'agit de 29 tumeurs surrénaliennes dont : 14 à droite, 9 à gauche et 3 bilatérales. 21 femmes et 3 hommes (sexe ratio: 7F/lH) ; la moyenne d'âge est de 35 ans (12-60 ans) ; la voie transpéritonéale a été réalisée dans 25 cas et la voie rétropéritonéale dans 4 cas; la durée moyenne d'intervention est de 120 min pour les tumeurs unilatérales (60-215 min) et de 232 min (225-240min) pour les tumeurs bilatérales ; la taille moyenne des tumeurs est 2,7 cm (0,8¬6cm) ; le taux de conversion est de 17 %(5 cas) ; les complications per¬opératoires sont: instabilité hémodynamique dans 7 cas, 1 cas d'hémorragie non grave, 1 cas d'arrêt cardio-respiratoire, 2 cas de pneumothorax, 1 cas d 'hypercapnie et 1 cas d'extrasystoles ; les pertes sanguines sont minimes ; le type histologique est le suivant : Phéochromocytome bénin : Il cas; Adénome de Conn : 6 cas ; Hyperplasie cortico-surrénalienne : 7 cas; Corticosurrénalome b.énin : 5 cas ;les complications post-opératoires sont: 1 cas de diabète insipide et d'hypokaliémie (3%) ; la durée moyenne de séjour post-opératoire est de 4jours (3-8j) . Nous déplorons un décès (3%) par embolie gazeuse.
Conclusion : La surrénalectomie cœlioscopique est une méthode faisable, sûre et reproductible pour la plupart des tumeurs surrénaliennes bénignes.
Elle a permis de diminuer la morbidité et la mortalité, et afacilité l'abord chirurgical de ces glandes en comparaison avec la chirurgie ouverte.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0092008 Président : BELKOUCHI ABDELKADER Directeur : BELKOUCHI ABDELKADER Juge : CHRAIBI ABDELMAJID Juge : IFRINE LAHSSAN LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA SURRENALE PAR COELIOSCOPIE : EXPERIENCE DU SERVICE DE CHIRURGIE A A PROPOS DE 29 CAS [thèse] / BELLAMINE SOUFIANE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : COELIOSCOPIE PHEOCHROMOCYTOME CONN CORTICOSURRENALOME Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Introduction: La chirurgie surrénalienne par laparoscopie est devenue actuellement le traitement de choix de la plupart des tumeurs surrénaliennes bénignes.
Matériel, méthodes et résultats: Entre Mai 2000 et Décembre 2007, 25 patients sont opérés par laparoscopie. Il s'agit de 29 tumeurs surrénaliennes dont : 14 à droite, 9 à gauche et 3 bilatérales. 21 femmes et 3 hommes (sexe ratio: 7F/lH) ; la moyenne d'âge est de 35 ans (12-60 ans) ; la voie transpéritonéale a été réalisée dans 25 cas et la voie rétropéritonéale dans 4 cas; la durée moyenne d'intervention est de 120 min pour les tumeurs unilatérales (60-215 min) et de 232 min (225-240min) pour les tumeurs bilatérales ; la taille moyenne des tumeurs est 2,7 cm (0,8¬6cm) ; le taux de conversion est de 17 %(5 cas) ; les complications per¬opératoires sont: instabilité hémodynamique dans 7 cas, 1 cas d'hémorragie non grave, 1 cas d'arrêt cardio-respiratoire, 2 cas de pneumothorax, 1 cas d 'hypercapnie et 1 cas d'extrasystoles ; les pertes sanguines sont minimes ; le type histologique est le suivant : Phéochromocytome bénin : Il cas; Adénome de Conn : 6 cas ; Hyperplasie cortico-surrénalienne : 7 cas; Corticosurrénalome b.énin : 5 cas ;les complications post-opératoires sont: 1 cas de diabète insipide et d'hypokaliémie (3%) ; la durée moyenne de séjour post-opératoire est de 4jours (3-8j) . Nous déplorons un décès (3%) par embolie gazeuse.
Conclusion : La surrénalectomie cœlioscopique est une méthode faisable, sûre et reproductible pour la plupart des tumeurs surrénaliennes bénignes.
Elle a permis de diminuer la morbidité et la mortalité, et afacilité l'abord chirurgical de ces glandes en comparaison avec la chirurgie ouverte.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0092008 Président : BELKOUCHI ABDELKADER Directeur : BELKOUCHI ABDELKADER Juge : CHRAIBI ABDELMAJID Juge : IFRINE LAHSSAN Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0092008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible
Titre : LES TUMEURS MALIGNES DE LA SURRENALE CHEZ L’ENFANT (A PROPOS DE 72 CAS) Type de document : thèse Auteurs : OTMANE HAJI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs de la surrénale Neuroblastome surrénalien Corticosurrénalome Phéochromocytome malin Enfant Adrenal neuroblastoma Adrenocortical carcinoma malignant pheochromocytoma child ورم الخلايا البدائية العصبية الكظري الكظروم القشري، ورم القوات م السرطاني طفل Résumé : Les tumeurs surrénaliennes malignes chez l'enfant sont rares. Elles forment un groupe hétérogène de lésions dominées par les neuroblastomes.
Ce travail est une étude rétrospective sur 5 ans (2016- 2020) concernant les enfants porteurs de tumeurs surrénaliennes malignes colligées au service de chirurgie A pédiatrique de l’hôpital d’enfant du CHU Ibn Sina de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie pédiatrique. Leurs caractéristiques cliniques, biologiques, radiologiques et thérapeutiques ont été analysées surtout l’intérêt de la chirurgie et de la chimiothérapie dans la prise en charge de ces tumeurs.
72 malades ont été diagnostiqués durant cette période de 5ans. Par ordre de fréquence, le neuroblastome surrénalien occupe la première place avec 99% des cas, suivi du corticosurrénalome avec 1% des cas. Cette période a été marquée par l’absence des cas de phéochromocytomes malins. L’âge moyen de nos malades est de 3 ans et 4 mois, avec une prédominance masculine.
Le diagnostic est suspecté sur les données cliniques et biologiques. L’imagerie représentée essentiellement par échographie et le scanner a permis le diagnostic dans la plupart des cas. 66% de nos malades ont bénéficié d’une cure chirurgicale associée ou non á une chimiothérapie. Elle consiste chez la majorité des cas á une surrénalectomie.
L’évolution favorable était présente chez 35% des cas, les autres ont rechuté ou décédé ou bien perdu de vues.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1732022 Président : Mounir KISRA Directeur : Mounir KISRA Juge : Houssain Tligui Juge : Hicham Zerhouni LES TUMEURS MALIGNES DE LA SURRENALE CHEZ L’ENFANT (A PROPOS DE 72 CAS) [thèse] / OTMANE HAJI, Auteur . - 2022.
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Mots-clés : Tumeurs de la surrénale Neuroblastome surrénalien Corticosurrénalome Phéochromocytome malin Enfant Adrenal neuroblastoma Adrenocortical carcinoma malignant pheochromocytoma child ورم الخلايا البدائية العصبية الكظري الكظروم القشري، ورم القوات م السرطاني طفل Résumé : Les tumeurs surrénaliennes malignes chez l'enfant sont rares. Elles forment un groupe hétérogène de lésions dominées par les neuroblastomes.
Ce travail est une étude rétrospective sur 5 ans (2016- 2020) concernant les enfants porteurs de tumeurs surrénaliennes malignes colligées au service de chirurgie A pédiatrique de l’hôpital d’enfant du CHU Ibn Sina de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie pédiatrique. Leurs caractéristiques cliniques, biologiques, radiologiques et thérapeutiques ont été analysées surtout l’intérêt de la chirurgie et de la chimiothérapie dans la prise en charge de ces tumeurs.
72 malades ont été diagnostiqués durant cette période de 5ans. Par ordre de fréquence, le neuroblastome surrénalien occupe la première place avec 99% des cas, suivi du corticosurrénalome avec 1% des cas. Cette période a été marquée par l’absence des cas de phéochromocytomes malins. L’âge moyen de nos malades est de 3 ans et 4 mois, avec une prédominance masculine.
Le diagnostic est suspecté sur les données cliniques et biologiques. L’imagerie représentée essentiellement par échographie et le scanner a permis le diagnostic dans la plupart des cas. 66% de nos malades ont bénéficié d’une cure chirurgicale associée ou non á une chimiothérapie. Elle consiste chez la majorité des cas á une surrénalectomie.
L’évolution favorable était présente chez 35% des cas, les autres ont rechuté ou décédé ou bien perdu de vues.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1732022 Président : Mounir KISRA Directeur : Mounir KISRA Juge : Houssain Tligui Juge : Hicham Zerhouni Réservation
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Titre : Tumeurs surrénaliennes chez l’enfant (à propos de 149 cas) Type de document : thèse Auteurs : EL GHACHAM EL AMRANI Sihame, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Neuroblastome surrénalien Corticosurrénalome Phéochromocytome Kyste Enfant. Résumé : Les tumeurs surrénaliennes de l'enfant sont rares. Elles forment un groupe hétérogène de lésions dominées par les tumeurs malignes.
Ce travail est une étude rétrospective sur 16 ans (1997- 2013) concernant les enfants porteurs de tumeurs surrénaliennes colligées au service de chirurgie A pédiatrique de l’hôpital d’enfant du CHU Ibn Sina de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie pédiatrique. Leurs caractéristiques cliniques, biologiques, radiologiques et thérapeutiques ont été analysées surtout l’intérêt de la chirurgie dans la prise en charge de ces tumeurs.
149 malades ont été diagnostiqués durant cette période. Par ordre de fréquence, le neuroblastome surrénalien occupe la première place avec 94% des cas, suivi du phéochromocytome avec 3% des cas, le corticosurrénalome avec 2% des cas et enfin le kyste surrénalien avec 1% des cas. L’âge moyen de nos malades est de 4 ans. La prédominance masculine est nette.
Le diagnostic est suspecté sur les données cliniques et confirmé ultérieurement par les dosages biologiques. L’imagerie représentée essentiellement par échographie et TDM a permis le diagnostic dans la plupart des cas. 48% de nos malades ont bénéficié d’une cure chirurgicale associée ou non á une chimiothérapie. Elle consiste chez la majorité des cas á une surrénalectomie.
L’évolution était favorable pour 28 % des cas, les autres ont rechutés ou décédés ou perdus de vues essentiellement chez les patients traités pour neuroblastome surrénalien.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0572014 Président : KHATTAB.M Directeur : KISRA.M Juge : LAMALMI.N Juge : EL ABSI.M Tumeurs surrénaliennes chez l’enfant (à propos de 149 cas) [thèse] / EL GHACHAM EL AMRANI Sihame, Auteur . - 2014.
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Mots-clés : Neuroblastome surrénalien Corticosurrénalome Phéochromocytome Kyste Enfant. Résumé : Les tumeurs surrénaliennes de l'enfant sont rares. Elles forment un groupe hétérogène de lésions dominées par les tumeurs malignes.
Ce travail est une étude rétrospective sur 16 ans (1997- 2013) concernant les enfants porteurs de tumeurs surrénaliennes colligées au service de chirurgie A pédiatrique de l’hôpital d’enfant du CHU Ibn Sina de Rabat, en collaboration avec le service d’hémato-oncologie pédiatrique. Leurs caractéristiques cliniques, biologiques, radiologiques et thérapeutiques ont été analysées surtout l’intérêt de la chirurgie dans la prise en charge de ces tumeurs.
149 malades ont été diagnostiqués durant cette période. Par ordre de fréquence, le neuroblastome surrénalien occupe la première place avec 94% des cas, suivi du phéochromocytome avec 3% des cas, le corticosurrénalome avec 2% des cas et enfin le kyste surrénalien avec 1% des cas. L’âge moyen de nos malades est de 4 ans. La prédominance masculine est nette.
Le diagnostic est suspecté sur les données cliniques et confirmé ultérieurement par les dosages biologiques. L’imagerie représentée essentiellement par échographie et TDM a permis le diagnostic dans la plupart des cas. 48% de nos malades ont bénéficié d’une cure chirurgicale associée ou non á une chimiothérapie. Elle consiste chez la majorité des cas á une surrénalectomie.
L’évolution était favorable pour 28 % des cas, les autres ont rechutés ou décédés ou perdus de vues essentiellement chez les patients traités pour neuroblastome surrénalien.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0572014 Président : KHATTAB.M Directeur : KISRA.M Juge : LAMALMI.N Juge : EL ABSI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0572014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M0572014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
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