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LE CARCINOME CANALAIRE IN SITU DU SEIN A PROPOS DE 15 CAS / LANNAZ SAAD
Titre : LE CARCINOME CANALAIRE IN SITU DU SEIN A PROPOS DE 15 CAS Type de document : thèse Auteurs : LANNAZ SAAD, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARCINOME CANALAIRE IN SITU DU SEIN MICROCALCIFICATIONS MASTECTOMIE RECONSTRUCTION MAMMAIRE IMMEDIATE RECIDIVE. Résumé : Le carcinome canalaire in situ (CCIS) du sein est une variété histologique définie comme une prolifération de cellules épithéliales malignes à l’intérieur des canaux galactophores sans effraction de la membrane basale ni invasion du stroma. Son pronostic est très favorable sa fréquence est variable et dépend principalement de l’existence ou non d’un dépistage mammographique.
Dans cette étude, nous rapportons les résultats d’une étude rétrospective à propos de 15 cas de carcinome canalaire in situ traités à l’Institut national d’oncologie Sidi Med Ben Abdellah pendant la période entre 2006 et 2011.
• L’âge moyen de nos malades était de 46,8 ans.
• Le délai moyen de consultation était de 10,2 mois.
• La masse palpable a été le motif de consultation le plus fréquent
• 13 de nos malades ont bénéficié d’une mammographie qui a révélé des microcalcifications dans 40% des cas.
• Toutes les malades ont eu une confirmation histologique. Plusieurs types histologiques plus ou moins associés ont été notés : comédocarcinome, papillaire et cribriforme.
• Le grade nucléaire le plus fréquent est le haut grade nucléaire .
• L’attitude thérapeutique adoptée était plutôt radicale (patey, patey associé à une radiothérapie), rarement conservatrice (2 patientes)
• 5 patientes ont été mises sous hormonothérapie.
• Le recul moyen est de 39,27 mois, 2 patientes perdu de vue et un seul cas de récidive locale et métastatique
La revue de la littérature insiste sur l’importance du dépistage mommographique systématique, permettant le diagnostique de la lésions à un stade précoce, justifiant ainsi un traitement conservateur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2102012 Président : ERRIHANI.H Directeur : BOUGTAB.A Juge : KEBDANI.T Juge : CHAMI.I LE CARCINOME CANALAIRE IN SITU DU SEIN A PROPOS DE 15 CAS [thèse] / LANNAZ SAAD, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CARCINOME CANALAIRE IN SITU DU SEIN MICROCALCIFICATIONS MASTECTOMIE RECONSTRUCTION MAMMAIRE IMMEDIATE RECIDIVE. Résumé : Le carcinome canalaire in situ (CCIS) du sein est une variété histologique définie comme une prolifération de cellules épithéliales malignes à l’intérieur des canaux galactophores sans effraction de la membrane basale ni invasion du stroma. Son pronostic est très favorable sa fréquence est variable et dépend principalement de l’existence ou non d’un dépistage mammographique.
Dans cette étude, nous rapportons les résultats d’une étude rétrospective à propos de 15 cas de carcinome canalaire in situ traités à l’Institut national d’oncologie Sidi Med Ben Abdellah pendant la période entre 2006 et 2011.
• L’âge moyen de nos malades était de 46,8 ans.
• Le délai moyen de consultation était de 10,2 mois.
• La masse palpable a été le motif de consultation le plus fréquent
• 13 de nos malades ont bénéficié d’une mammographie qui a révélé des microcalcifications dans 40% des cas.
• Toutes les malades ont eu une confirmation histologique. Plusieurs types histologiques plus ou moins associés ont été notés : comédocarcinome, papillaire et cribriforme.
• Le grade nucléaire le plus fréquent est le haut grade nucléaire .
• L’attitude thérapeutique adoptée était plutôt radicale (patey, patey associé à une radiothérapie), rarement conservatrice (2 patientes)
• 5 patientes ont été mises sous hormonothérapie.
• Le recul moyen est de 39,27 mois, 2 patientes perdu de vue et un seul cas de récidive locale et métastatique
La revue de la littérature insiste sur l’importance du dépistage mommographique systématique, permettant le diagnostique de la lésions à un stade précoce, justifiant ainsi un traitement conservateur.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2102012 Président : ERRIHANI.H Directeur : BOUGTAB.A Juge : KEBDANI.T Juge : CHAMI.I Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2102012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible M2102012-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible LA CHIRURGIE DU DIAPHRAGME SOUS AORTIQUE (EXPERIENCE DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MED V / YOUNES AMCHICH
Titre : LA CHIRURGIE DU DIAPHRAGME SOUS AORTIQUE (EXPERIENCE DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MED V Type de document : thèse Auteurs : YOUNES AMCHICH, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIAPHRAGME SOUS AORTIQUE CHIRURGIE RECIDIVE. Résumé : Le diaphragme sous aortique fait partie des rétrécissements aortiques congénitaux. Il relève d’un traitement chirurgical bien codifié et avec des résultats opératoires bien probants. Cependant, le risque de récidive est toujours présent ce qui requiert une surveillance régulière.
Nous rapportons notre expérience à travers cette étude rétrospective colligeant 18 patients tous porteurs de rétrécissement sous aortique opérés dans notre service pour résection de diaphragme sous aortique sur une période de 17 ans allant de 1994 à 2011.
L’âge moyen de nos patients est de 18,1±9,7ans (5-37ans) avec un sexe ratio (H/F) de 1,57. 22 ,2% des patients présentaient des lésions cardiaques associées à type de communication interventriculaire (2 patients) et un canal artériel persistant (2 patients). 4 patients présentaient une insuffisance aortique grade 2-3.
Tous les patients ont été opérés sous CEC avec une résection du diaphragme sous aortique. 3 patients ont nécessité une myectomie, 3 une plastie valvulaire aortique, 2 une fermeture de communication interventriculaire et 2 une ligature de canal artériel persistant. La durée moyenne de la CEC et du clampage aortique était de 61,1±23,9minutes (32-128minutes) et 39,5±22,3minutes (17-110minutes).
La mortalité hospitalière était nulle, la durée moyenne de ventilation artificielle, du séjour en réanimation et du séjour postopératoire est respectivement de 7,9±5,6heures, 38±30,7heures et 13,3±4,2jours. Les complications postopératoires étaient 2 cas de saignement et un cas de chylothorax.
La mortalité tardive est nulle et deux patients ont été réopérés pour récidive de diaphragme sous aortique avec bonne évolution.
La chirurgie du diaphragme sous aortique offre de bons résultats à court et à long terme au détriment d’un risque de récidive bien réel.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2662012 Président : LAAROUSSI.M Directeur : BOULAHYA.A Juge : DRISSI.M Juge : AIT HOUSSA.M LA CHIRURGIE DU DIAPHRAGME SOUS AORTIQUE (EXPERIENCE DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MED V [thèse] / YOUNES AMCHICH, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : DIAPHRAGME SOUS AORTIQUE CHIRURGIE RECIDIVE. Résumé : Le diaphragme sous aortique fait partie des rétrécissements aortiques congénitaux. Il relève d’un traitement chirurgical bien codifié et avec des résultats opératoires bien probants. Cependant, le risque de récidive est toujours présent ce qui requiert une surveillance régulière.
Nous rapportons notre expérience à travers cette étude rétrospective colligeant 18 patients tous porteurs de rétrécissement sous aortique opérés dans notre service pour résection de diaphragme sous aortique sur une période de 17 ans allant de 1994 à 2011.
L’âge moyen de nos patients est de 18,1±9,7ans (5-37ans) avec un sexe ratio (H/F) de 1,57. 22 ,2% des patients présentaient des lésions cardiaques associées à type de communication interventriculaire (2 patients) et un canal artériel persistant (2 patients). 4 patients présentaient une insuffisance aortique grade 2-3.
Tous les patients ont été opérés sous CEC avec une résection du diaphragme sous aortique. 3 patients ont nécessité une myectomie, 3 une plastie valvulaire aortique, 2 une fermeture de communication interventriculaire et 2 une ligature de canal artériel persistant. La durée moyenne de la CEC et du clampage aortique était de 61,1±23,9minutes (32-128minutes) et 39,5±22,3minutes (17-110minutes).
La mortalité hospitalière était nulle, la durée moyenne de ventilation artificielle, du séjour en réanimation et du séjour postopératoire est respectivement de 7,9±5,6heures, 38±30,7heures et 13,3±4,2jours. Les complications postopératoires étaient 2 cas de saignement et un cas de chylothorax.
La mortalité tardive est nulle et deux patients ont été réopérés pour récidive de diaphragme sous aortique avec bonne évolution.
La chirurgie du diaphragme sous aortique offre de bons résultats à court et à long terme au détriment d’un risque de récidive bien réel.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2662012 Président : LAAROUSSI.M Directeur : BOULAHYA.A Juge : DRISSI.M Juge : AIT HOUSSA.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2662012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible
Titre : FACTEURS DE RISQUE DE RECIDIVE DU CANCER DU SEIN : A PROPOS DE 45 CAS. Type de document : thèse Auteurs : RIDOUANE Abdessamad, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer du sein Facteurs de risque Facteurs pronostiques Récidive. Résumé : Introduction : Le cancer du sein est le plus fréquent cancer de la femme. Malgré les progrès diagnostiques et thérapeutiques, beaucoup de patientes redoutent la récurrence. Plusieurs facteurs pronostiques sont utilisés pour prédire l’évolutivité de la maladie et orienter la thérapeutique.
But : étudier le poids respectif de chacun de ses facteurs sur la survenue de la récidive.
Matériel - méthode : étude rétrospective portant sur 310 patientes admises au service de radiothérapie l’HMIMedV entre janvier 2009 et décembre 2015, dont 45 patientes ont présenté une récidive locale, loco-régionale et/ou systémique.
Résultats : L’âge moyen est 47,8 ±10,25 ans, une parité moyenne de 3,3±2,16 ; 37,8% sont ménopausées, 31,1% avec antécédent familial du cancer du sein, et 35,6% ont utilisé une contraception orale. Selon la classification TNM, 75,5% sont classées stade II, et 11,1% stade III. Le carcinome canalaire infiltrant est prédominant (81,8%). 90,5% des tumeurs sont classées grades SBR II et III, Les emboles vasculaires(EV) sont présents sur 63,6% des pièces, et les récepteurs hormonaux (RH) positifs chez 62,2%. L’envahissement ganglionnaire (EG) ≥4gg est noté chez 50% des patientes.
En étude univariée, la présence d’EV (p<0,001), un nombre d’EG ≥4 (p<0,025) et RH négatifs (p<0,021) sont des facteurs de risque de récidives statistiquement significatifs. Alors qu’en multivariée, seules la présence EV (p<0,035) et la négativité des RH (p<0,012) étaient statistiquement significatifs.
Conclusion : Notre étude a objectivé que la présence d’EV ; un EG≥4 ; RH négatifs sont des facteurs de risque de récidive statistiquement significatifs en univariée, mais seulement la présence d’EV et RH négatifs sont restés significatifs en multivariée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2562019 Président : ICHOU.M Directeur : EL MARJANY.M Juge : SIFAT.H Juge : KOUACH.J Juge : HADADI.K-EL GHISSASSI.I FACTEURS DE RISQUE DE RECIDIVE DU CANCER DU SEIN : A PROPOS DE 45 CAS. [thèse] / RIDOUANE Abdessamad, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer du sein Facteurs de risque Facteurs pronostiques Récidive. Résumé : Introduction : Le cancer du sein est le plus fréquent cancer de la femme. Malgré les progrès diagnostiques et thérapeutiques, beaucoup de patientes redoutent la récurrence. Plusieurs facteurs pronostiques sont utilisés pour prédire l’évolutivité de la maladie et orienter la thérapeutique.
But : étudier le poids respectif de chacun de ses facteurs sur la survenue de la récidive.
Matériel - méthode : étude rétrospective portant sur 310 patientes admises au service de radiothérapie l’HMIMedV entre janvier 2009 et décembre 2015, dont 45 patientes ont présenté une récidive locale, loco-régionale et/ou systémique.
Résultats : L’âge moyen est 47,8 ±10,25 ans, une parité moyenne de 3,3±2,16 ; 37,8% sont ménopausées, 31,1% avec antécédent familial du cancer du sein, et 35,6% ont utilisé une contraception orale. Selon la classification TNM, 75,5% sont classées stade II, et 11,1% stade III. Le carcinome canalaire infiltrant est prédominant (81,8%). 90,5% des tumeurs sont classées grades SBR II et III, Les emboles vasculaires(EV) sont présents sur 63,6% des pièces, et les récepteurs hormonaux (RH) positifs chez 62,2%. L’envahissement ganglionnaire (EG) ≥4gg est noté chez 50% des patientes.
En étude univariée, la présence d’EV (p<0,001), un nombre d’EG ≥4 (p<0,025) et RH négatifs (p<0,021) sont des facteurs de risque de récidives statistiquement significatifs. Alors qu’en multivariée, seules la présence EV (p<0,035) et la négativité des RH (p<0,012) étaient statistiquement significatifs.
Conclusion : Notre étude a objectivé que la présence d’EV ; un EG≥4 ; RH négatifs sont des facteurs de risque de récidive statistiquement significatifs en univariée, mais seulement la présence d’EV et RH négatifs sont restés significatifs en multivariée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2562019 Président : ICHOU.M Directeur : EL MARJANY.M Juge : SIFAT.H Juge : KOUACH.J Juge : HADADI.K-EL GHISSASSI.I Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2562019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M2562019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M2562019URL les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre. / El HADRI Fatima
Titre : les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre. Type de document : thèse Auteurs : El HADRI Fatima, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeur fibreuse solitaire plèvre résection récidive. Résumé : Introduction : Les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre sont des tumeurs d’origine mésenchymateuse peu fréquentes, avec environ 900 cas rapportés dans le monde .Elles sont bénignes dans plus de 85% des cas.
Matériel et méthodes : l’objectif de cette étude est d’évaluer l’expérience du service de chirurgie thoracique de l’hôpital Ibn Sina dans la prise en charge de cette entité tumorale par analyse de 7cas colligés au entre 2007 et 2015, avec revue de littérature récente
Résultats
L’âge des patients variait entre 48 à 83 ans avec une moyenne de 66 ans sans distinction nette de sexe
En dehors des signes respiratoires non spécifiques présents chez la majorité des patients, une hypoglycémie sévère a été notée chez un seul malade.
La radiographie thoracique a montré souvent une opacité bien limitée de taille variable et de siège basi-thoracique. La tomodensitométrie thoracique a révélé des masses tumorales de densité hétérogène. Le diagnostic par ponction de la masse tumorale a été positif pour 3 cas.
Le traitement d’élection a été la résection chirurgicale complète. L’histologie a montré une mixture de cellules fusiformes fibroblastiques et de stroma collagène concluant au diagnostic de tumeur fibreuse solitaire, confirmé par immunohistochimie dans 2 cas. On a noté un seul cas de tumeur maligne.
L’évolution a été bonne chez 6 patients avec un suivi s’étalant sur une durée moyenne de 28 mois, Un seul cas s’est décédé en post opératoire suite à un choc hémorragique en per opératoire.
Conclusion : Malgré le caractère bénin des TFS de la plèvre, une résection complète et large ainsi qu’un suivi à long terme sont toujours recommandés en raison du risque de récidive et de transformation maligne.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3362016 Président : JAHID.A Directeur : ACHIR.A Juge : SOUALHI.M Juge : BOUCHIKHI.M les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre. [thèse] / El HADRI Fatima, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeur fibreuse solitaire plèvre résection récidive. Résumé : Introduction : Les tumeurs fibreuses solitaires de la plèvre sont des tumeurs d’origine mésenchymateuse peu fréquentes, avec environ 900 cas rapportés dans le monde .Elles sont bénignes dans plus de 85% des cas.
Matériel et méthodes : l’objectif de cette étude est d’évaluer l’expérience du service de chirurgie thoracique de l’hôpital Ibn Sina dans la prise en charge de cette entité tumorale par analyse de 7cas colligés au entre 2007 et 2015, avec revue de littérature récente
Résultats
L’âge des patients variait entre 48 à 83 ans avec une moyenne de 66 ans sans distinction nette de sexe
En dehors des signes respiratoires non spécifiques présents chez la majorité des patients, une hypoglycémie sévère a été notée chez un seul malade.
La radiographie thoracique a montré souvent une opacité bien limitée de taille variable et de siège basi-thoracique. La tomodensitométrie thoracique a révélé des masses tumorales de densité hétérogène. Le diagnostic par ponction de la masse tumorale a été positif pour 3 cas.
Le traitement d’élection a été la résection chirurgicale complète. L’histologie a montré une mixture de cellules fusiformes fibroblastiques et de stroma collagène concluant au diagnostic de tumeur fibreuse solitaire, confirmé par immunohistochimie dans 2 cas. On a noté un seul cas de tumeur maligne.
L’évolution a été bonne chez 6 patients avec un suivi s’étalant sur une durée moyenne de 28 mois, Un seul cas s’est décédé en post opératoire suite à un choc hémorragique en per opératoire.
Conclusion : Malgré le caractère bénin des TFS de la plèvre, une résection complète et large ainsi qu’un suivi à long terme sont toujours recommandés en raison du risque de récidive et de transformation maligne.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3362016 Président : JAHID.A Directeur : ACHIR.A Juge : SOUALHI.M Juge : BOUCHIKHI.M Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3362016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M3362016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible