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L’EVALUATION DE LA REPONSE THERAPEUTIQUE EN ONCOLOGIE / Chaimae MEZZANE
Titre : L’EVALUATION DE LA REPONSE THERAPEUTIQUE EN ONCOLOGIE Type de document : thèse Auteurs : Chaimae MEZZANE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réponse thérapeutique oncologie marqueurs tumoraux RECIST iRECIST,
critères de CHOIRésumé : L'évaluation de la réponse thérapeutique dans le traitement du cancer repose sur plusieurs
éléments essentiels. Tout d'abord, l'évolution des symptômes cliniques du patient fournit des
indications sur l'efficacité du traitement et son impact sur la qualité de vie. Les échelles de qualité de
vie, comme l'EORTC QLQ-C30, sont souvent utilisées pour quantifier cet impact.
Les marqueurs tumoraux, présents dans le sang et spécifiques à certains cancers,
permettent également de suivre la réponse au traitement. Par exemple, le PSA pour le cancer
de la prostate ou le CA 19-9 pour le cancer du pancréas. Cependant, leur interprétation doit
être faite en conjonction avec d'autres évaluations en raison de leur variabilité.
Les critères RECIST sont couramment utilisés pour mesurer les changements dans les
lésions tumorales solides à partir d'images radiologiques. Ils se concentrent principalement sur
les modifications de la taille des tumeurs, définissant des catégories telles que réponse
complète, réponse partielle, maladie stable et maladie progressive.
Les critères iRECIST sont une adaptation des RECIST pour les traitements
immunologiques. Ils prennent en compte les spécificités des réponses immunitaires. Les
critères iRECIST définissent également des catégories similaires mais adaptées aux
particularités des traitements immunologiques.
Enfin, les critères CHOI, utilisés principalement pour les cancers gastro-intestinaux,
comme le GIST, évaluent les changements dans la densité des lésions tumorales sur les
images après injection de contraste.
Une évaluation complète de la réponse thérapeutique implique l'utilisation conjointe de
l'analyse clinique, des marqueurs tumoraux et des critères d'imagerie comme RECIST,
iRECIST et CHOI pour obtenir une vue précise de l'efficacité du traitementNuméro (Thèse ou Mémoire) : M3562024 Président : Tarik MAHFOUD Directeur : Rachid TANZ Juge : Khaoula ALAOUI SLIMANI Juge : Amine BAZINE Juge : Mohammed Reda KHMAMOUCH L’EVALUATION DE LA REPONSE THERAPEUTIQUE EN ONCOLOGIE [thèse] / Chaimae MEZZANE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Réponse thérapeutique oncologie marqueurs tumoraux RECIST iRECIST,
critères de CHOIRésumé : L'évaluation de la réponse thérapeutique dans le traitement du cancer repose sur plusieurs
éléments essentiels. Tout d'abord, l'évolution des symptômes cliniques du patient fournit des
indications sur l'efficacité du traitement et son impact sur la qualité de vie. Les échelles de qualité de
vie, comme l'EORTC QLQ-C30, sont souvent utilisées pour quantifier cet impact.
Les marqueurs tumoraux, présents dans le sang et spécifiques à certains cancers,
permettent également de suivre la réponse au traitement. Par exemple, le PSA pour le cancer
de la prostate ou le CA 19-9 pour le cancer du pancréas. Cependant, leur interprétation doit
être faite en conjonction avec d'autres évaluations en raison de leur variabilité.
Les critères RECIST sont couramment utilisés pour mesurer les changements dans les
lésions tumorales solides à partir d'images radiologiques. Ils se concentrent principalement sur
les modifications de la taille des tumeurs, définissant des catégories telles que réponse
complète, réponse partielle, maladie stable et maladie progressive.
Les critères iRECIST sont une adaptation des RECIST pour les traitements
immunologiques. Ils prennent en compte les spécificités des réponses immunitaires. Les
critères iRECIST définissent également des catégories similaires mais adaptées aux
particularités des traitements immunologiques.
Enfin, les critères CHOI, utilisés principalement pour les cancers gastro-intestinaux,
comme le GIST, évaluent les changements dans la densité des lésions tumorales sur les
images après injection de contraste.
Une évaluation complète de la réponse thérapeutique implique l'utilisation conjointe de
l'analyse clinique, des marqueurs tumoraux et des critères d'imagerie comme RECIST,
iRECIST et CHOI pour obtenir une vue précise de l'efficacité du traitementNuméro (Thèse ou Mémoire) : M3562024 Président : Tarik MAHFOUD Directeur : Rachid TANZ Juge : Khaoula ALAOUI SLIMANI Juge : Amine BAZINE Juge : Mohammed Reda KHMAMOUCH Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3562024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE CHEZ L’HOMME : A PROPOs DE 80 CAs / Mehdi EL HAJJAMI
Titre : LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE CHEZ L’HOMME : A PROPOs DE 80 CAs Type de document : thèse Auteurs : Mehdi EL HAJJAMI, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Sexe masculin Activité inflammatoire Comorbidités Réponse thérapeutique Résumé : L’objectif de cette étude était de caractériser les spécificités cliniques, biologiques,
radiologiques et thérapeutiques de la PR chez les hommes, en les comparant aux femmes tout
en tenant compte des comorbidités. Nous avons mené une étude observationnelle transversale
entre janvier 2022 et janvier 2024, incluant 80 hommes atteints de PR suivis à l’Hôpital
Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, appariés à 160 femmes. Pour chaque homme
inclus, deux patientes de sexe féminin ont été appariées, soit un total de 240 patients.
Les hommes étaient diagnostiqués à un âge plus jeune (55,5 ± 10,6 ans contre 59,2 ± 14,8 ans)
et présentaient une prévalence élevée de tabagisme (31,3 % contre 2,5 %), souvent associé à
une pneumopathie interstitielle diffuse (65,38 %). Ils présentaient également davantage
d’érosions articulaires (76,3 % contre 71,3 %) ainsi que des niveaux de CRP plus élevés,
témoignant d’une inflammation plus marquée. Cependant, leurs scores d’activité clinique
(DAS28-CRP et DAS28-VS) étaient inférieurs, en raison d’une perception de la douleur moins
intense.
En revanche, les femmes rapportaient plus souvent des douleurs prolongées et souffraient
davantage de comorbidités, telles que l’obésité (37,5 % contre 13,8 %), l’ostéoporose (33,1 %
contre 12,5 %) et la dépression (23,1 % contre 11,3 %).
Sur le plan thérapeutique, les hommes avaient une durée de corticothérapie plus courte (14,7 ±
10,1 mois contre 39,8 ± 39,7 mois) et atteignaient plus fréquemment la rémission (52,7 % contre
28,5 %). En revanche, les femmes étaient plus souvent classées comme ayant une PR difficile
à traiter (81,25 % contre 18,75 %), ce qui suggère une meilleure réponse globale aux traitements
chez les hommes par rapport aux femmes.
En conclusion, la PR chez l’homme se distingue par une inflammation plus marquée et des
érosions fréquentes, mais avec une perception moindre de la douleur et une meilleure réponse
thérapeutique. Ces résultats soulignent l’importance d’une prise en charge adaptée au sexe pour
optimiser les résultats thérapeutiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5542024 Président : Ali ABOUZAHIR Directeur : Ahmed BEZZA Juge : Hanan RKAIN Juge : Latifa TAHIRI LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE CHEZ L’HOMME : A PROPOs DE 80 CAs [thèse] / Mehdi EL HAJJAMI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Polyarthrite rhumatoïde Sexe masculin Activité inflammatoire Comorbidités Réponse thérapeutique Résumé : L’objectif de cette étude était de caractériser les spécificités cliniques, biologiques,
radiologiques et thérapeutiques de la PR chez les hommes, en les comparant aux femmes tout
en tenant compte des comorbidités. Nous avons mené une étude observationnelle transversale
entre janvier 2022 et janvier 2024, incluant 80 hommes atteints de PR suivis à l’Hôpital
Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, appariés à 160 femmes. Pour chaque homme
inclus, deux patientes de sexe féminin ont été appariées, soit un total de 240 patients.
Les hommes étaient diagnostiqués à un âge plus jeune (55,5 ± 10,6 ans contre 59,2 ± 14,8 ans)
et présentaient une prévalence élevée de tabagisme (31,3 % contre 2,5 %), souvent associé à
une pneumopathie interstitielle diffuse (65,38 %). Ils présentaient également davantage
d’érosions articulaires (76,3 % contre 71,3 %) ainsi que des niveaux de CRP plus élevés,
témoignant d’une inflammation plus marquée. Cependant, leurs scores d’activité clinique
(DAS28-CRP et DAS28-VS) étaient inférieurs, en raison d’une perception de la douleur moins
intense.
En revanche, les femmes rapportaient plus souvent des douleurs prolongées et souffraient
davantage de comorbidités, telles que l’obésité (37,5 % contre 13,8 %), l’ostéoporose (33,1 %
contre 12,5 %) et la dépression (23,1 % contre 11,3 %).
Sur le plan thérapeutique, les hommes avaient une durée de corticothérapie plus courte (14,7 ±
10,1 mois contre 39,8 ± 39,7 mois) et atteignaient plus fréquemment la rémission (52,7 % contre
28,5 %). En revanche, les femmes étaient plus souvent classées comme ayant une PR difficile
à traiter (81,25 % contre 18,75 %), ce qui suggère une meilleure réponse globale aux traitements
chez les hommes par rapport aux femmes.
En conclusion, la PR chez l’homme se distingue par une inflammation plus marquée et des
érosions fréquentes, mais avec une perception moindre de la douleur et une meilleure réponse
thérapeutique. Ces résultats soulignent l’importance d’une prise en charge adaptée au sexe pour
optimiser les résultats thérapeutiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5542024 Président : Ali ABOUZAHIR Directeur : Ahmed BEZZA Juge : Hanan RKAIN Juge : Latifa TAHIRI Réservation
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