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LES HEPATITES AUTO-IMMUNES : EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HOPITAL IBN-SINA RABAT / Arwa ABOUMEDIAN
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Titre : LES HEPATITES AUTO-IMMUNES : EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HOPITAL IBN-SINA RABAT Type de document : thèse Auteurs : Arwa ABOUMEDIAN, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Critères diagnostiques Cliniques et biologiques Aspect histologique Biopsie hépatique Résumé : Objectifs : Analyser le profil épidémiologique de l’hépatite auto-immune, décrire les
aspects anatomopathologiques de l’HAI, préciser les limites du diagnostic morphologique et
de discuter les diagnostics différentiels.
Matériel et méthodes : Etude rétrospective à propos de 50 cas s’étendant du 03/2015
jusqu’au 07/2021, menée au sein du laboratoire d’anatomie pathologique Ibn Sina Rabat.
Résultats : Il s’agit de 31 femmes et six hommes dont l’âge moyen est de 45 ans avec
des antécédents personnels de type auto-immuns dont les cholangites sclérosantes, l’anémie
hémolytiques et diabète de type I sont les plus fréquents et de type non auto-immun.
La symptomatologie clinique est constituée par un ictère prédominant, un syndrome
hémorragique, une hépato-splénomégalie et des coliques hépatiques. Les bilans biologique et
immunologique sont les examens réalisés pour tous les patients. La ponction biopsie
hépatique est systématique chez tous les cas où la suspicion histologique de l’hépatite autoimmune est évoquée et confirmée par le score de diagnostic.
Le traitement se base sur les corticoïdes, les immunosuppresseurs et en cas
d’insuffisance hépatique terminales sur la transplantation hépatique.
Conclusion : L’hépatite auto-immune est une maladie rare dont l’étiologie reste
imprécise mais grave par son potentiel cirrhogène. Le diagnostic est souvent tardif et
provoque une fibrose sévère chez la plupart des patients. Pour éviter tout retard dans le
dépistage de la maladie, il faut songer au diagnostic devant toute hépatite aiguë ou chronique
sans étiologies évidentes, particulièrement chez la femme et démarrer précocement le
traitement adéquat.Numéro (Pour les thèses) : M3482022 Président : Zakia BERNOUSSI Rapporteur : Kaoutar ZNATI Juge : Ahmed JAHID Juge : Laila AMRANI LES HEPATITES AUTO-IMMUNES : EXPERIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HOPITAL IBN-SINA RABAT [thèse] / Arwa ABOUMEDIAN, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Critères diagnostiques Cliniques et biologiques Aspect histologique Biopsie hépatique Résumé : Objectifs : Analyser le profil épidémiologique de l’hépatite auto-immune, décrire les
aspects anatomopathologiques de l’HAI, préciser les limites du diagnostic morphologique et
de discuter les diagnostics différentiels.
Matériel et méthodes : Etude rétrospective à propos de 50 cas s’étendant du 03/2015
jusqu’au 07/2021, menée au sein du laboratoire d’anatomie pathologique Ibn Sina Rabat.
Résultats : Il s’agit de 31 femmes et six hommes dont l’âge moyen est de 45 ans avec
des antécédents personnels de type auto-immuns dont les cholangites sclérosantes, l’anémie
hémolytiques et diabète de type I sont les plus fréquents et de type non auto-immun.
La symptomatologie clinique est constituée par un ictère prédominant, un syndrome
hémorragique, une hépato-splénomégalie et des coliques hépatiques. Les bilans biologique et
immunologique sont les examens réalisés pour tous les patients. La ponction biopsie
hépatique est systématique chez tous les cas où la suspicion histologique de l’hépatite autoimmune est évoquée et confirmée par le score de diagnostic.
Le traitement se base sur les corticoïdes, les immunosuppresseurs et en cas
d’insuffisance hépatique terminales sur la transplantation hépatique.
Conclusion : L’hépatite auto-immune est une maladie rare dont l’étiologie reste
imprécise mais grave par son potentiel cirrhogène. Le diagnostic est souvent tardif et
provoque une fibrose sévère chez la plupart des patients. Pour éviter tout retard dans le
dépistage de la maladie, il faut songer au diagnostic devant toute hépatite aiguë ou chronique
sans étiologies évidentes, particulièrement chez la femme et démarrer précocement le
traitement adéquat.Numéro (Pour les thèses) : M3482022 Président : Zakia BERNOUSSI Rapporteur : Kaoutar ZNATI Juge : Ahmed JAHID Juge : Laila AMRANI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3482022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M3482022URLPériartérite noueuse(PAN) chez l'enfant (A propos de 4 cas et revue de la littérature) / Mohamed Arafa Zekri.
Titre : Périartérite noueuse(PAN) chez l'enfant (A propos de 4 cas et revue de la littérature) Type de document : thèse Auteurs : Mohamed Arafa Zekri., Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : PAN enfant étiopathogénie critéres diagnostiques traitement. Résumé : La PAN est une vascularite inflammatoire et nécrosante qui atteint les artères de petit et moyen calibre de l'organisme, rarement décrite chez l'enfant. Sa physiopathogénie est complexe et reste mal élucidée, faisant impliquer le dépôt de complexes immuns circulants dans la paroi vasculaire, les anticorps anticytoplasme des polynucléaires neutrophiles, le rôle des lymphocytes cytotoxiques, les cytokines, les facteurs environnementaux (infections), ainsi qu'une susceptibilité génétique (mutations de l’ADA 2 et du gène MEFV).
On distingue deux formes principales : une forme systémique classique avec présence d’atteintes viscérales (60 % des cas) et une forme cutanée avec des lésions limitées à la peau et aux muscles (30 %) d’évolution habituellement moins sévère. Le diagnostic positif repose sur les critéres d'Eular/Printo/Pres. Le traitement dépend de la forme de PAN, et repose essentiellement sur les AINS, la colchicine, la corticothérapie et les immunosuppresseurs : azathioprine et cyclophosphamide.
Notre travail est une étude rétrospective de 4 cas de PAN, 2 systémiques et 2 cutanés, colligés au service de pédiatrie IV et à la consultation de rhumatologie pédiatrique de l'hôpital d'enfant de Rabat entre 2009 et 2014:
-Le diagnostic a été retenu sur les critéres d'Eular/Printo/Pres.
-Le tableau clinique a été dominé par l'atteinte cutanée et articulaire.
-Une de nos malades a présenté un tableau atypique de PAN associée à une endocardite infectieuse et une atteinte des gros vaisseaux.
-Tous nos patients ont reçu la corticothérapie, et un de nos malades a bénéficié en plus de la colchicine.
Numéro (Pour les thèses) : M0912015 Président : BENTAHILA.A Rapporteur : CHKIRATE.B Juge : AIT OUAMAR.H Juge : JABOUIRIK.F Périartérite noueuse(PAN) chez l'enfant (A propos de 4 cas et revue de la littérature) [thèse] / Mohamed Arafa Zekri., Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PAN enfant étiopathogénie critéres diagnostiques traitement. Résumé : La PAN est une vascularite inflammatoire et nécrosante qui atteint les artères de petit et moyen calibre de l'organisme, rarement décrite chez l'enfant. Sa physiopathogénie est complexe et reste mal élucidée, faisant impliquer le dépôt de complexes immuns circulants dans la paroi vasculaire, les anticorps anticytoplasme des polynucléaires neutrophiles, le rôle des lymphocytes cytotoxiques, les cytokines, les facteurs environnementaux (infections), ainsi qu'une susceptibilité génétique (mutations de l’ADA 2 et du gène MEFV).
On distingue deux formes principales : une forme systémique classique avec présence d’atteintes viscérales (60 % des cas) et une forme cutanée avec des lésions limitées à la peau et aux muscles (30 %) d’évolution habituellement moins sévère. Le diagnostic positif repose sur les critéres d'Eular/Printo/Pres. Le traitement dépend de la forme de PAN, et repose essentiellement sur les AINS, la colchicine, la corticothérapie et les immunosuppresseurs : azathioprine et cyclophosphamide.
Notre travail est une étude rétrospective de 4 cas de PAN, 2 systémiques et 2 cutanés, colligés au service de pédiatrie IV et à la consultation de rhumatologie pédiatrique de l'hôpital d'enfant de Rabat entre 2009 et 2014:
-Le diagnostic a été retenu sur les critéres d'Eular/Printo/Pres.
-Le tableau clinique a été dominé par l'atteinte cutanée et articulaire.
-Une de nos malades a présenté un tableau atypique de PAN associée à une endocardite infectieuse et une atteinte des gros vaisseaux.
-Tous nos patients ont reçu la corticothérapie, et un de nos malades a bénéficié en plus de la colchicine.
Numéro (Pour les thèses) : M0912015 Président : BENTAHILA.A Rapporteur : CHKIRATE.B Juge : AIT OUAMAR.H Juge : JABOUIRIK.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0912015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M0912015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible
Titre : POLYRADICULONEVRITE CHRONIQUE (ETUDE RETROSPECTIVE D'UNE SERIE DE 22 CAS) Type de document : thèse Auteurs : SALAH EL KHEIR Soukaina, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : polyneuropathies inflammatoires démyélinisantes chroniques, Electroneuromyographie atteinte axonale critères diagnostiques forme idiopathique et formes associées Résumé : Les polyradiculonévrites chroniques (PRNC) sont des affections inflammatoires du nerf périphérique.
On a mené une étude rétrospective étalée sur 11 ans (2007-2018), ayant colligé 22 cas de PRNC suivis au service de neurologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge moyen a été de 47,8 ans avec un sex-ratio H/F de 0,83. Tous les patients ont présenté un déficit moteur proximo-distal symétrique, associé à des troubles sensitifs subjectifs (n=19) et des douleurs neuropathiques (n=6), avec un nadir atteint sur plus de 8 semaines.L’examen clinique a confirmé le tableau de polyradiculonévrite. L’électroneuromyographie réalisée chez tous les patients a retrouvé une atteinte démyélinisante dans 59,1%. Les critères EFNS 2010 ont été retenus chez 15 patients. La forme idiopathique a été retenue dans 27,27% des cas, et la forme associée à une maladie générale dans 72,73% des cas. Outre les traitements symptomatiques, le traitement étiologique est basé sur la corticothérapie (72,27%), des échanges plasmatiques (9%) et les immunoglobulines intraveineuses (9%). Chez 22,72 % des patients, on a eu recours à un traitement de 2ème intention (cyclophosphamide ou azathioprine). L'évaluation post-thérapeutique a été en faveur d’une amélioration dans 72,73 % des cas.
En comparant nos résultats avec les données de la littérature, les principales différences concernent le sexe ratio, et la fréquence des formes associées. La corticothérapie reste le gold standard pour le traitement étiologique des PIDC, sauf si intolérance, contre-indication ou évolution clinique rapide.
L’utilisation des critères de l’EFNS 2010 a permis d’affiner le diagnostic des PIDC. Les facteurs de mauvais pronostic sont la perte axonale secondaire et la sévérité des signes de démyélinisation.
Numéro (Pour les thèses) : M2022019 Président : AL BOUZIDI.A Rapporteur : BOURAZZA.A Juge : AIT BENHADDOU.EL.H Juge : ENNIBI.K POLYRADICULONEVRITE CHRONIQUE (ETUDE RETROSPECTIVE D'UNE SERIE DE 22 CAS) [thèse] / SALAH EL KHEIR Soukaina, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : polyneuropathies inflammatoires démyélinisantes chroniques, Electroneuromyographie atteinte axonale critères diagnostiques forme idiopathique et formes associées Résumé : Les polyradiculonévrites chroniques (PRNC) sont des affections inflammatoires du nerf périphérique.
On a mené une étude rétrospective étalée sur 11 ans (2007-2018), ayant colligé 22 cas de PRNC suivis au service de neurologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge moyen a été de 47,8 ans avec un sex-ratio H/F de 0,83. Tous les patients ont présenté un déficit moteur proximo-distal symétrique, associé à des troubles sensitifs subjectifs (n=19) et des douleurs neuropathiques (n=6), avec un nadir atteint sur plus de 8 semaines.L’examen clinique a confirmé le tableau de polyradiculonévrite. L’électroneuromyographie réalisée chez tous les patients a retrouvé une atteinte démyélinisante dans 59,1%. Les critères EFNS 2010 ont été retenus chez 15 patients. La forme idiopathique a été retenue dans 27,27% des cas, et la forme associée à une maladie générale dans 72,73% des cas. Outre les traitements symptomatiques, le traitement étiologique est basé sur la corticothérapie (72,27%), des échanges plasmatiques (9%) et les immunoglobulines intraveineuses (9%). Chez 22,72 % des patients, on a eu recours à un traitement de 2ème intention (cyclophosphamide ou azathioprine). L'évaluation post-thérapeutique a été en faveur d’une amélioration dans 72,73 % des cas.
En comparant nos résultats avec les données de la littérature, les principales différences concernent le sexe ratio, et la fréquence des formes associées. La corticothérapie reste le gold standard pour le traitement étiologique des PIDC, sauf si intolérance, contre-indication ou évolution clinique rapide.
L’utilisation des critères de l’EFNS 2010 a permis d’affiner le diagnostic des PIDC. Les facteurs de mauvais pronostic sont la perte axonale secondaire et la sévérité des signes de démyélinisation.
Numéro (Pour les thèses) : M2022019 Président : AL BOUZIDI.A Rapporteur : BOURAZZA.A Juge : AIT BENHADDOU.EL.H Juge : ENNIBI.K Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2022019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M2022019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M2022019URL