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EncĂ©phalite auto-immune Ă anticorps anti-rĂ©cepteurs NMDA : Ă propos dâun cas et revue de la littĂ©rature. / AIT KAJATE Oussama
Titre : EncĂ©phalite auto-immune Ă anticorps anti-rĂ©cepteurs NMDA : Ă propos dâun cas et revue de la littĂ©rature. Type de document : thĂšse Auteurs : AIT KAJATE Oussama, Auteur AnnĂ©e de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : EncĂ©phalite anticorps anti-rĂ©cepteurs NMDA troubles neuropsychiatriques femme jeune tĂ©ratomes ovariens. RĂ©sumĂ© : Les encéphalites à anticorps anti-R-NMDA sont de description récente dans le champ des encéphalites paranéoplasiques et auto-immunes, découvertes par Dalmau en 2007. Leur fréquence est encore sous-estimée. Elles prédominent chez la femme jeune, et souvent associées à des tératomes ovariens.
Nous rapportons une observation qui retrouve les caractéristiques cliniques de cette encéphalite : sexe féminin, âge jeune, troubles psychiatriques avec des hallucinations, une confusion, des troubles de mémoire, mouvements anormaux. Elle s’est améliorée avec un traitement immunomodulateur. L’enquête étiologique n’a pas trouvé de tumeur sous-jacente, notamment un tératome ovarien.
Ces encéphalites possèdent une présentation clinique évocatrice avec le développement rapide de troubles du comportement, une présentation neuropsychiatrique particulière avec des hallucinations, des crises convulsives, des mouvements anormaux, une dysautonomie et une hypoventilation centrale nécessitant fréquemment une hospitalisation en réanimation. Le diagnostic est confirmé de façon simple par le dosage des anticorps dans le sérum ou le LCR, avec des arguments indirects en IRM et à l’électroencéphalogramme (EEG). La prise en charge thérapeutique repose sur une immunothérapie ainsi que sur la résection chirurgicale d’une éventuelle tumeur. Diagnostiquée et prise en charge précocement, l’encéphalite à anticorps antiR-NMDA a une mortalité faible, environ 4%, et un pronostic neurologique favorable au bout de quelques mois chez plus de 75 % des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1342015 Président : BENOMAR.A Directeur : BOURAZZA.A Juge : TELLAL.S Juge : EL FENNI.J EncĂ©phalite auto-immune Ă anticorps anti-rĂ©cepteurs NMDA : Ă propos dâun cas et revue de la littĂ©rature. [thĂšse] / AIT KAJATE Oussama, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : EncĂ©phalite anticorps anti-rĂ©cepteurs NMDA troubles neuropsychiatriques femme jeune tĂ©ratomes ovariens. RĂ©sumĂ© : Les encéphalites à anticorps anti-R-NMDA sont de description récente dans le champ des encéphalites paranéoplasiques et auto-immunes, découvertes par Dalmau en 2007. Leur fréquence est encore sous-estimée. Elles prédominent chez la femme jeune, et souvent associées à des tératomes ovariens.
Nous rapportons une observation qui retrouve les caractéristiques cliniques de cette encéphalite : sexe féminin, âge jeune, troubles psychiatriques avec des hallucinations, une confusion, des troubles de mémoire, mouvements anormaux. Elle s’est améliorée avec un traitement immunomodulateur. L’enquête étiologique n’a pas trouvé de tumeur sous-jacente, notamment un tératome ovarien.
Ces encéphalites possèdent une présentation clinique évocatrice avec le développement rapide de troubles du comportement, une présentation neuropsychiatrique particulière avec des hallucinations, des crises convulsives, des mouvements anormaux, une dysautonomie et une hypoventilation centrale nécessitant fréquemment une hospitalisation en réanimation. Le diagnostic est confirmé de façon simple par le dosage des anticorps dans le sérum ou le LCR, avec des arguments indirects en IRM et à l’électroencéphalogramme (EEG). La prise en charge thérapeutique repose sur une immunothérapie ainsi que sur la résection chirurgicale d’une éventuelle tumeur. Diagnostiquée et prise en charge précocement, l’encéphalite à anticorps antiR-NMDA a une mortalité faible, environ 4%, et un pronostic neurologique favorable au bout de quelques mois chez plus de 75 % des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1342015 Président : BENOMAR.A Directeur : BOURAZZA.A Juge : TELLAL.S Juge : EL FENNI.J RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1342015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1342015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible
Titre : ENCEPHALITE INFECTIEUSE Type de document : thĂšse Auteurs : ALAMI QAMMOURI Saad, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : encĂ©phalite infection prĂ©vention stratĂ©gie diagnostique traitement RĂ©sumĂ© : L’encéphalite infectieuse est défini par un processus inflammatoire intéressant le parenchyme cérébral déclenché par un agent infectieux viral (le plus souvent),bactérien, parasitaire ou mycotique à l’origine d’une dysfonction neurologique.
Plusieurs études épidémiologiques ont communément montré la fréquence élevée de certains agents pathogènes notamment :HSV-1,VZV , entérovirus, Mycobacterium tuberculosis et listeria monocytogenes.
Elles ont également contribué à défricher le champ des encéphalites infectieuses et permis de construire progressivement des algorithmes diagnostiques étiologiques pertinents et déclinables en fonction des divers contextes géographiques et cliniques.
La stratégie diagnostique se fonde surtout sur les données épidémiologiques , anamnestiques , l’examen clinique et sur les données immédiatement disponibles du LCR
Il n’existe pas de tableau clinique spécifique concernant les encéphalites aiguës. Les manifestations cliniques sont multiples et de sévérité variable.
La ponction lombaire et l’imagerie cérébrale , en particulier l’IRM, jouent un rôle important dans le diagnostic positif et étiologique de l’encéphalite infectieuse et doivent être réalisés en urgence.
Une fois que le diagnostic d’encéphalite est retenu, la recherche de l’agent pathogène s’impose. Elle peut s’avérer difficile. En effet l’étiologie n’est retrouvée que dans moins de 50% des cas.
Des progrès restent à faire concernant l’amélioration des procédures et des techniques diagnostiques (PCR, séquençage de nouvelle génération)
Le traitement des encéphalites comprend un volet symptomatique et un autre étiologique devant être instauré en urgence, de préférence par une équipe expérimentée , afin de guérir le patient et d’éviter des séquelles neurologiques définitives .
Du fait du pronostic défavorable et dévastateur des encéphalites, la prévention revêt une importance particulière. Elle est en partie possible en évitant l’exposition, en particulier dans le cas de la transmission par des vecteurs animaux ( arboviroses ) et en se vaccinant contre certains agents pathogènes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3792019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : ABI.R ENCEPHALITE INFECTIEUSE [thĂšse] / ALAMI QAMMOURI Saad, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : encĂ©phalite infection prĂ©vention stratĂ©gie diagnostique traitement RĂ©sumĂ© : L’encéphalite infectieuse est défini par un processus inflammatoire intéressant le parenchyme cérébral déclenché par un agent infectieux viral (le plus souvent),bactérien, parasitaire ou mycotique à l’origine d’une dysfonction neurologique.
Plusieurs études épidémiologiques ont communément montré la fréquence élevée de certains agents pathogènes notamment :HSV-1,VZV , entérovirus, Mycobacterium tuberculosis et listeria monocytogenes.
Elles ont également contribué à défricher le champ des encéphalites infectieuses et permis de construire progressivement des algorithmes diagnostiques étiologiques pertinents et déclinables en fonction des divers contextes géographiques et cliniques.
La stratégie diagnostique se fonde surtout sur les données épidémiologiques , anamnestiques , l’examen clinique et sur les données immédiatement disponibles du LCR
Il n’existe pas de tableau clinique spécifique concernant les encéphalites aiguës. Les manifestations cliniques sont multiples et de sévérité variable.
La ponction lombaire et l’imagerie cérébrale , en particulier l’IRM, jouent un rôle important dans le diagnostic positif et étiologique de l’encéphalite infectieuse et doivent être réalisés en urgence.
Une fois que le diagnostic d’encéphalite est retenu, la recherche de l’agent pathogène s’impose. Elle peut s’avérer difficile. En effet l’étiologie n’est retrouvée que dans moins de 50% des cas.
Des progrès restent à faire concernant l’amélioration des procédures et des techniques diagnostiques (PCR, séquençage de nouvelle génération)
Le traitement des encéphalites comprend un volet symptomatique et un autre étiologique devant être instauré en urgence, de préférence par une équipe expérimentée , afin de guérir le patient et d’éviter des séquelles neurologiques définitives .
Du fait du pronostic défavorable et dévastateur des encéphalites, la prévention revêt une importance particulière. Elle est en partie possible en évitant l’exposition, en particulier dans le cas de la transmission par des vecteurs animaux ( arboviroses ) et en se vaccinant contre certains agents pathogènes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3792019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : ABI.R RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M3792019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3792019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numĂ©riques
M3792019URL Epidémiologie et prophylaxie de la rage. / KHAOULA EL BEHJA
Titre : EpidĂ©miologie et prophylaxie de la rage. Type de document : thĂšse Auteurs : KHAOULA EL BEHJA, Auteur AnnĂ©e de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Rage Zoonose Lyssavirus EncĂ©phalite Vaccination curative et prĂ©ventive RĂ©sumĂ© : La rage est une zoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite spastique ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Le traitement de la plaie consiste en un lavage abondant à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, il est discuté dans un centre antirabique de la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une immunothérapie antirabique passive.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines. Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0612014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOUKH.Y Juge : MRABET.M Juge : TELLAL.S EpidĂ©miologie et prophylaxie de la rage. [thĂšse] / KHAOULA EL BEHJA, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Rage Zoonose Lyssavirus EncĂ©phalite Vaccination curative et prĂ©ventive RĂ©sumĂ© : La rage est une zoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite spastique ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Le traitement de la plaie consiste en un lavage abondant à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, il est discuté dans un centre antirabique de la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une immunothérapie antirabique passive.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines. Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0612014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOUKH.Y Juge : MRABET.M Juge : TELLAL.S RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0612014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M0612014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible ĂpidĂ©miologie de la rage humaine au Maroc. / MRASSLI YOUSSEF
Titre : ĂpidĂ©miologie de la rage humaine au Maroc. Type de document : thĂšse Auteurs : MRASSLI YOUSSEF, Auteur AnnĂ©e de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Rage Zoonose Lyssavirus EncĂ©phalite Vaccination curative et prĂ©ventive RĂ©sumĂ© : La rage est une anthropozoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement curatif de la rage déclarée.
Le traitement repose sur le lavage abondant des plaies à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une sérothérapie est discutée dans un centre antirabique.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines.
Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0222016 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y ĂpidĂ©miologie de la rage humaine au Maroc. [thĂšse] / MRASSLI YOUSSEF, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Rage Zoonose Lyssavirus EncĂ©phalite Vaccination curative et prĂ©ventive RĂ©sumĂ© : La rage est une anthropozoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement curatif de la rage déclarée.
Le traitement repose sur le lavage abondant des plaies à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une sérothérapie est discutée dans un centre antirabique.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines.
Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0222016 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0222016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0222016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible
Titre : LES INFECTIONS NEURO-MENINGEES CHEZ LâENFANT. Type de document : thĂšse Auteurs : OUCHEN, Oualid, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Agents pathogĂšnes AntibiothĂ©rapie EncĂ©phalite MĂ©ningites Prophylaxie RĂ©sumĂ© : Malgré la disponibilité des thérapies modernes, les infections neuro-méningées demeurent potentiellement mortelles ; en particulier dans les pays en développement où les taux de vaccination sont sous-optimaux. Les nourrissons, les enfants de moins de 5 ans et les adolescents âgés entre 15 et 19 ans sont les plus à risque. Un diagnostic rapide est crucial, les symptômes pouvant apparaître de façon brutale et s’aggraver rapidement, même les patients traités présentent un risque élevé de séquelles à long terme, notamment d'épilepsie, d'apprentissage et de troubles du comportement. La pierre angulaire du diagnostic est l’analyse du liquide céphalo-rachidien. L’imagerie n’est pas systématique mais ses indications sont larges, en particulier devant la suspicion d’une atteinte focale,ou en fonction du terrain (enfant, immunodépression, origine géographique…). La prise en charge de ces infections dépend du type et de sa gravite. Le succès du traitement doit être vérifié, ce qui nécessite une surveillance rapprochée et souvent des examens complémentaires de contrôle. La collaboration du neurologue avec les autres disciplines concernées, notamment l’infectiologie, est souvent nécessaire au choix et à la bonne conduite du traitement. Dans cet article, on va aborder les différents infections neuro méningées qui peuvent toucher l’enfant ; les différentes étiologies responsables de ces infections et les moyens de traitement et de prophylaxie. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3752019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S LES INFECTIONS NEURO-MENINGEES CHEZ LâENFANT. [thĂšse] / OUCHEN, Oualid, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Agents pathogĂšnes AntibiothĂ©rapie EncĂ©phalite MĂ©ningites Prophylaxie RĂ©sumĂ© : Malgré la disponibilité des thérapies modernes, les infections neuro-méningées demeurent potentiellement mortelles ; en particulier dans les pays en développement où les taux de vaccination sont sous-optimaux. Les nourrissons, les enfants de moins de 5 ans et les adolescents âgés entre 15 et 19 ans sont les plus à risque. Un diagnostic rapide est crucial, les symptômes pouvant apparaître de façon brutale et s’aggraver rapidement, même les patients traités présentent un risque élevé de séquelles à long terme, notamment d'épilepsie, d'apprentissage et de troubles du comportement. La pierre angulaire du diagnostic est l’analyse du liquide céphalo-rachidien. L’imagerie n’est pas systématique mais ses indications sont larges, en particulier devant la suspicion d’une atteinte focale,ou en fonction du terrain (enfant, immunodépression, origine géographique…). La prise en charge de ces infections dépend du type et de sa gravite. Le succès du traitement doit être vérifié, ce qui nécessite une surveillance rapprochée et souvent des examens complémentaires de contrôle. La collaboration du neurologue avec les autres disciplines concernées, notamment l’infectiologie, est souvent nécessaire au choix et à la bonne conduite du traitement. Dans cet article, on va aborder les différents infections neuro méningées qui peuvent toucher l’enfant ; les différentes étiologies responsables de ces infections et les moyens de traitement et de prophylaxie. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3752019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S RĂ©servation
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M3752019URL