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Encéphalite auto-immune à anticorps anti-récepteurs NMDA : à propos d’un cas et revue de la littérature. / AIT KAJATE Oussama
Titre : Encéphalite auto-immune à anticorps anti-récepteurs NMDA : à propos d’un cas et revue de la littérature. Type de document : thèse Auteurs : AIT KAJATE Oussama, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Encéphalite anticorps anti-récepteurs NMDA troubles neuropsychiatriques femme jeune tératomes ovariens. Résumé : Les encéphalites à anticorps anti-R-NMDA sont de description récente dans le champ des encéphalites paranéoplasiques et auto-immunes, découvertes par Dalmau en 2007. Leur fréquence est encore sous-estimée. Elles prédominent chez la femme jeune, et souvent associées à des tératomes ovariens.
Nous rapportons une observation qui retrouve les caractéristiques cliniques de cette encéphalite : sexe féminin, âge jeune, troubles psychiatriques avec des hallucinations, une confusion, des troubles de mémoire, mouvements anormaux. Elle s’est améliorée avec un traitement immunomodulateur. L’enquête étiologique n’a pas trouvé de tumeur sous-jacente, notamment un tératome ovarien.
Ces encéphalites possèdent une présentation clinique évocatrice avec le développement rapide de troubles du comportement, une présentation neuropsychiatrique particulière avec des hallucinations, des crises convulsives, des mouvements anormaux, une dysautonomie et une hypoventilation centrale nécessitant fréquemment une hospitalisation en réanimation. Le diagnostic est confirmé de façon simple par le dosage des anticorps dans le sérum ou le LCR, avec des arguments indirects en IRM et à l’électroencéphalogramme (EEG). La prise en charge thérapeutique repose sur une immunothérapie ainsi que sur la résection chirurgicale d’une éventuelle tumeur. Diagnostiquée et prise en charge précocement, l’encéphalite à anticorps antiR-NMDA a une mortalité faible, environ 4%, et un pronostic neurologique favorable au bout de quelques mois chez plus de 75 % des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1342015 Président : BENOMAR.A Directeur : BOURAZZA.A Juge : TELLAL.S Juge : EL FENNI.J Encéphalite auto-immune à anticorps anti-récepteurs NMDA : à propos d’un cas et revue de la littérature. [thèse] / AIT KAJATE Oussama, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Encéphalite anticorps anti-récepteurs NMDA troubles neuropsychiatriques femme jeune tératomes ovariens. Résumé : Les encéphalites à anticorps anti-R-NMDA sont de description récente dans le champ des encéphalites paranéoplasiques et auto-immunes, découvertes par Dalmau en 2007. Leur fréquence est encore sous-estimée. Elles prédominent chez la femme jeune, et souvent associées à des tératomes ovariens.
Nous rapportons une observation qui retrouve les caractéristiques cliniques de cette encéphalite : sexe féminin, âge jeune, troubles psychiatriques avec des hallucinations, une confusion, des troubles de mémoire, mouvements anormaux. Elle s’est améliorée avec un traitement immunomodulateur. L’enquête étiologique n’a pas trouvé de tumeur sous-jacente, notamment un tératome ovarien.
Ces encéphalites possèdent une présentation clinique évocatrice avec le développement rapide de troubles du comportement, une présentation neuropsychiatrique particulière avec des hallucinations, des crises convulsives, des mouvements anormaux, une dysautonomie et une hypoventilation centrale nécessitant fréquemment une hospitalisation en réanimation. Le diagnostic est confirmé de façon simple par le dosage des anticorps dans le sérum ou le LCR, avec des arguments indirects en IRM et à l’électroencéphalogramme (EEG). La prise en charge thérapeutique repose sur une immunothérapie ainsi que sur la résection chirurgicale d’une éventuelle tumeur. Diagnostiquée et prise en charge précocement, l’encéphalite à anticorps antiR-NMDA a une mortalité faible, environ 4%, et un pronostic neurologique favorable au bout de quelques mois chez plus de 75 % des patients.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1342015 Président : BENOMAR.A Directeur : BOURAZZA.A Juge : TELLAL.S Juge : EL FENNI.J Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1342015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1342015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible
Titre : ENCEPHALITE INFECTIEUSE Type de document : thèse Auteurs : ALAMI QAMMOURI Saad, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : encéphalite infection prévention stratégie diagnostique traitement Résumé : L’encéphalite infectieuse est défini par un processus inflammatoire intéressant le parenchyme cérébral déclenché par un agent infectieux viral (le plus souvent),bactérien, parasitaire ou mycotique à l’origine d’une dysfonction neurologique.
Plusieurs études épidémiologiques ont communément montré la fréquence élevée de certains agents pathogènes notamment :HSV-1,VZV , entérovirus, Mycobacterium tuberculosis et listeria monocytogenes.
Elles ont également contribué à défricher le champ des encéphalites infectieuses et permis de construire progressivement des algorithmes diagnostiques étiologiques pertinents et déclinables en fonction des divers contextes géographiques et cliniques.
La stratégie diagnostique se fonde surtout sur les données épidémiologiques , anamnestiques , l’examen clinique et sur les données immédiatement disponibles du LCR
Il n’existe pas de tableau clinique spécifique concernant les encéphalites aiguës. Les manifestations cliniques sont multiples et de sévérité variable.
La ponction lombaire et l’imagerie cérébrale , en particulier l’IRM, jouent un rôle important dans le diagnostic positif et étiologique de l’encéphalite infectieuse et doivent être réalisés en urgence.
Une fois que le diagnostic d’encéphalite est retenu, la recherche de l’agent pathogène s’impose. Elle peut s’avérer difficile. En effet l’étiologie n’est retrouvée que dans moins de 50% des cas.
Des progrès restent à faire concernant l’amélioration des procédures et des techniques diagnostiques (PCR, séquençage de nouvelle génération)
Le traitement des encéphalites comprend un volet symptomatique et un autre étiologique devant être instauré en urgence, de préférence par une équipe expérimentée , afin de guérir le patient et d’éviter des séquelles neurologiques définitives .
Du fait du pronostic défavorable et dévastateur des encéphalites, la prévention revêt une importance particulière. Elle est en partie possible en évitant l’exposition, en particulier dans le cas de la transmission par des vecteurs animaux ( arboviroses ) et en se vaccinant contre certains agents pathogènes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3792019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : ABI.R ENCEPHALITE INFECTIEUSE [thèse] / ALAMI QAMMOURI Saad, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : encéphalite infection prévention stratégie diagnostique traitement Résumé : L’encéphalite infectieuse est défini par un processus inflammatoire intéressant le parenchyme cérébral déclenché par un agent infectieux viral (le plus souvent),bactérien, parasitaire ou mycotique à l’origine d’une dysfonction neurologique.
Plusieurs études épidémiologiques ont communément montré la fréquence élevée de certains agents pathogènes notamment :HSV-1,VZV , entérovirus, Mycobacterium tuberculosis et listeria monocytogenes.
Elles ont également contribué à défricher le champ des encéphalites infectieuses et permis de construire progressivement des algorithmes diagnostiques étiologiques pertinents et déclinables en fonction des divers contextes géographiques et cliniques.
La stratégie diagnostique se fonde surtout sur les données épidémiologiques , anamnestiques , l’examen clinique et sur les données immédiatement disponibles du LCR
Il n’existe pas de tableau clinique spécifique concernant les encéphalites aiguës. Les manifestations cliniques sont multiples et de sévérité variable.
La ponction lombaire et l’imagerie cérébrale , en particulier l’IRM, jouent un rôle important dans le diagnostic positif et étiologique de l’encéphalite infectieuse et doivent être réalisés en urgence.
Une fois que le diagnostic d’encéphalite est retenu, la recherche de l’agent pathogène s’impose. Elle peut s’avérer difficile. En effet l’étiologie n’est retrouvée que dans moins de 50% des cas.
Des progrès restent à faire concernant l’amélioration des procédures et des techniques diagnostiques (PCR, séquençage de nouvelle génération)
Le traitement des encéphalites comprend un volet symptomatique et un autre étiologique devant être instauré en urgence, de préférence par une équipe expérimentée , afin de guérir le patient et d’éviter des séquelles neurologiques définitives .
Du fait du pronostic défavorable et dévastateur des encéphalites, la prévention revêt une importance particulière. Elle est en partie possible en évitant l’exposition, en particulier dans le cas de la transmission par des vecteurs animaux ( arboviroses ) et en se vaccinant contre certains agents pathogènes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3792019 Président : GAOUZI.A Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : ABI.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3792019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3792019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M3792019URLEpidémiologie et prophylaxie de la rage. / KHAOULA EL BEHJA
Titre : Epidémiologie et prophylaxie de la rage. Type de document : thèse Auteurs : KHAOULA EL BEHJA, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rage Zoonose Lyssavirus Encéphalite Vaccination curative et préventive Résumé : La rage est une zoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite spastique ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Le traitement de la plaie consiste en un lavage abondant à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, il est discuté dans un centre antirabique de la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une immunothérapie antirabique passive.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines. Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0612014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOUKH.Y Juge : MRABET.M Juge : TELLAL.S Epidémiologie et prophylaxie de la rage. [thèse] / KHAOULA EL BEHJA, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Rage Zoonose Lyssavirus Encéphalite Vaccination curative et préventive Résumé : La rage est une zoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite spastique ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Le traitement de la plaie consiste en un lavage abondant à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, il est discuté dans un centre antirabique de la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une immunothérapie antirabique passive.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines. Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0612014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : SEKHSOUKH.Y Juge : MRABET.M Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0612014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M0612014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Épidémiologie de la rage humaine au Maroc. / MRASSLI YOUSSEF
Titre : Épidémiologie de la rage humaine au Maroc. Type de document : thèse Auteurs : MRASSLI YOUSSEF, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Rage Zoonose Lyssavirus Encéphalite Vaccination curative et préventive Résumé : La rage est une anthropozoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement curatif de la rage déclarée.
Le traitement repose sur le lavage abondant des plaies à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une sérothérapie est discutée dans un centre antirabique.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines.
Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0222016 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Épidémiologie de la rage humaine au Maroc. [thèse] / MRASSLI YOUSSEF, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Rage Zoonose Lyssavirus Encéphalite Vaccination curative et préventive Résumé : La rage est une anthropozoonose virale à déclaration obligatoire, dont les agents étiologiques sont les Lyssavirus.
Les mammifères domestiques sont fréquemment la cause des contaminations, suivis par les Chiroptères.
On distingue la rage canine, la rage selvatique et la rage des chiroptères.
L’organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la rage tue chaque année 55000 personnes dans le monde.
La rage est transmissible accidentellement à l’homme, à la suite d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage sur plaie par un animal enragé.
Le virus de la rage est neurotrope et migre du point d’inoculation au cerveau en passant par les nerfs périphériques puis le système nerveux central, il réalise alors un tableau d’encéphalite ou de paralysie ascendante souvent marqué par une hydrophobie et évoluant constamment vers le coma puis la mort en quelques jours.
Le rôle du laboratoire est primordial dans le diagnostic de certitude de la rage.
Le diagnostic différentiel avec d’autres encéphalites virales d’étiologies différentes est souvent difficile.
Il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement curatif de la rage déclarée.
Le traitement repose sur le lavage abondant des plaies à l’eau et au savon suivi d’une antisepsie.
Ensuite, la nécessité d’une vaccination antirabique curative associée ou non à une sérothérapie est discutée dans un centre antirabique.
La vaccination préventive est utilisée en préexposition chez les personnes à risque. La vaccination animale reste le meilleur moyen de limiter les contaminations humaines.
Enfin, seule la recherche sur la pathogénie de la maladie, encore mal connue, permettra de traiter la rage déclarée.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0222016 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0222016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0222016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible
Titre : LES INFECTIONS NEURO-MENINGEES CHEZ L’ENFANT. Type de document : thèse Auteurs : OUCHEN, Oualid, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Agents pathogènes Antibiothérapie Encéphalite Méningites Prophylaxie Résumé : Malgré la disponibilité des thérapies modernes, les infections neuro-méningées demeurent potentiellement mortelles ; en particulier dans les pays en développement où les taux de vaccination sont sous-optimaux. Les nourrissons, les enfants de moins de 5 ans et les adolescents âgés entre 15 et 19 ans sont les plus à risque. Un diagnostic rapide est crucial, les symptômes pouvant apparaître de façon brutale et s’aggraver rapidement, même les patients traités présentent un risque élevé de séquelles à long terme, notamment d'épilepsie, d'apprentissage et de troubles du comportement. La pierre angulaire du diagnostic est l’analyse du liquide céphalo-rachidien. L’imagerie n’est pas systématique mais ses indications sont larges, en particulier devant la suspicion d’une atteinte focale,ou en fonction du terrain (enfant, immunodépression, origine géographique…). La prise en charge de ces infections dépend du type et de sa gravite. Le succès du traitement doit être vérifié, ce qui nécessite une surveillance rapprochée et souvent des examens complémentaires de contrôle. La collaboration du neurologue avec les autres disciplines concernées, notamment l’infectiologie, est souvent nécessaire au choix et à la bonne conduite du traitement. Dans cet article, on va aborder les différents infections neuro méningées qui peuvent toucher l’enfant ; les différentes étiologies responsables de ces infections et les moyens de traitement et de prophylaxie. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3752019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S LES INFECTIONS NEURO-MENINGEES CHEZ L’ENFANT. [thèse] / OUCHEN, Oualid, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Agents pathogènes Antibiothérapie Encéphalite Méningites Prophylaxie Résumé : Malgré la disponibilité des thérapies modernes, les infections neuro-méningées demeurent potentiellement mortelles ; en particulier dans les pays en développement où les taux de vaccination sont sous-optimaux. Les nourrissons, les enfants de moins de 5 ans et les adolescents âgés entre 15 et 19 ans sont les plus à risque. Un diagnostic rapide est crucial, les symptômes pouvant apparaître de façon brutale et s’aggraver rapidement, même les patients traités présentent un risque élevé de séquelles à long terme, notamment d'épilepsie, d'apprentissage et de troubles du comportement. La pierre angulaire du diagnostic est l’analyse du liquide céphalo-rachidien. L’imagerie n’est pas systématique mais ses indications sont larges, en particulier devant la suspicion d’une atteinte focale,ou en fonction du terrain (enfant, immunodépression, origine géographique…). La prise en charge de ces infections dépend du type et de sa gravite. Le succès du traitement doit être vérifié, ce qui nécessite une surveillance rapprochée et souvent des examens complémentaires de contrôle. La collaboration du neurologue avec les autres disciplines concernées, notamment l’infectiologie, est souvent nécessaire au choix et à la bonne conduite du traitement. Dans cet article, on va aborder les différents infections neuro méningées qui peuvent toucher l’enfant ; les différentes étiologies responsables de ces infections et les moyens de traitement et de prophylaxie. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3752019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3752019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3752019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M3752019URLNIPAH VIRUS : EPIDEMIOLOGIE, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT / KAMILI NADA MARIAM
Titre : NIPAH VIRUS : EPIDEMIOLOGIE, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT Type de document : texte imprimé Auteurs : KAMILI NADA MARIAM; D: SEKHSOKH YASSINE*; NEJJARI RACHID;BOUATIA MUSTAPHA;; ;; P: TELLAL SAIDA* Année de publication : 2025 ISBN/ISSN/EAN : P0272025 Mots-clés : Chauves-souris Bats خفافيش Contagiosité Contagiousness العدوى Encéphalite Encephalitis التهاب الدماغ Résumé : Le virus Nipah (NiV) est une maladie émergente contagieuse et potentiellement mortelle. Il a été identifié en 1998 en Malaisie et est principalement transmis par les chauves-souris frugivores. Le virus peut également se transmettre directement d'une personne à une autre par les sécrétions corporelles. Les symptômes du NiV varient de légers à graves et incluent des symptômes respiratoires aigus, tels que la toux et les difficultés respiratoires, ainsi que la fièvre. Le virus peut également causer des formes graves d'encéphalite, une inflammation mortelle du cerveau. Les survivants peuvent souffrir de séquelles neurologiques permanentes, telles que des troubles cognitifs, des crises et des troubles du comportement. Les taux de mortalité varient entre 40% et 75%, en fonction des épidémies et des ressources médicales disponibles. Actuellement, il n'existe pas de traitement antiviral spécifique pour le NiV. Les approches thérapeutiques sont essentiellement symptomatiques et de soutien. Des recherches sont en cours pour développer des traitements antiviraux et un vaccin. La prévention du NiV repose sur la surveillance continue des réservoirs animaux, principalement les chauves-souris, ainsi que sur les mesures de quarantaine et l'isolement des animaux infectés. La sensibilisation communautaire est également essentielle pour éviter les contacts avec les animaux porteurs du virus. La coopération internationale est cruciale pour coordonner la recherche, la surveillance et la gestion des épidémies, afin de minimiser l'impact du virus et protéger la santé publique mondiale.
Nipah Virus (NiV) is an emerging contagious and potentially deadly disease. It was first identified in 1998 in Malaysia and is primarily transmitted through fruit bats. The virus can also be transmitted directly from person to person through bodily secretions. Symptoms of NiV range from mild to severe and include acute respiratory symptoms such as cough and difficulty breathing, as well as fever. The virus can also cause severe forms of encephalitis, a deadly brain inflammation. Survivors may suffer from permanent neurological sequelae, such as cognitive impairment, seizures, and behavioral problems. Mortality rates vary between 40% and 75%, depending on the outbreak and available medical resources. Currently, there is no specific antiviral treatment for NiV. Therapeutic approaches are primarily symptomatic and supportive. Research is ongoing to develop antiviral treatments and a vaccine. Prevention of NiV relies on continuous surveillance of animal reservoirs, primarily fruit bats, as well as quarantine and isolation measures for infected animals. Community awareness is also essential to avoid contact with virus-carrying animals. International cooperation is crucial to coordinate research, surveillance, and outbreak management, in order to minimize the impact of the virus and protect global public health.
فيروس نيباه (NiV) هو مرض معدي وخطير يهدد الصحة العامة العالمية. تم اكتشافه لأول مرة في ماليزيا عام 1998، ويتم نقله بشكل أساسي عن طريق الخفافيش الفاكهة. يمكن أن ينتقل الفيروس أيضًا بشكل مباشر من شخص إلى آخر عن طريق السوائل الجسدية. تتراوح أعراض نيباه من خفيفة إلى شديدة وتشمل أعراض تنفسية حادة مثل السعال وصعوبة التنفس، بالإضافة إلى الحمى. يمكن أن يسبب الفيروس أيضًا أشكالًا شديدة من التهاب الدماغ، وهو التهاب مميت في الدماغ. يمكن أن يعاني الناجون من عوارض عصبية دائمة، مثل الإعاقة المعرفية والنوبات والاضطرابات السلوكية. تتراوح معدلات الوفيات بين 40% و75%، حسب الوباء والموارد الطبية المتاحة. حاليًا، لا يوجد علاج مضاد للفيروسات محدد لفيروس نيباه. تعتمد المناهج العلاجية بشكل أساسي على الأعراض والدعم. تجري الأبحاث لتحقيق علاجات مضادة للفيروسات ولقاح. يعتمد الوقاية من فيروس نيباه على الرقابة المستمرة للمخزونات الحيوانية، بشكل أساسي الخفافيش الفاكهة، بالإضافة إلى إجراءات الحجر الصحي ووضع الحيوانات المصابة في الحجر. من المهم أيضًا التوعية المجتمعية لتجنب الاتصال بالحيوانات الحاملة للفيروس. التعاون الدولي ضروري لتنسيق الأبحاث والرقابة وإدارة الأوبئة، من أجل تقليل تأثير الفيروس وحماية الصحة العامة العالمية.NIPAH VIRUS : EPIDEMIOLOGIE, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT [texte imprimé] / KAMILI NADA MARIAM; D: SEKHSOKH YASSINE*; NEJJARI RACHID;BOUATIA MUSTAPHA;; ;; P: TELLAL SAIDA* . - 2025.
ISSN : P0272025
Mots-clés : Chauves-souris Bats خفافيش Contagiosité Contagiousness العدوى Encéphalite Encephalitis التهاب الدماغ Résumé : Le virus Nipah (NiV) est une maladie émergente contagieuse et potentiellement mortelle. Il a été identifié en 1998 en Malaisie et est principalement transmis par les chauves-souris frugivores. Le virus peut également se transmettre directement d'une personne à une autre par les sécrétions corporelles. Les symptômes du NiV varient de légers à graves et incluent des symptômes respiratoires aigus, tels que la toux et les difficultés respiratoires, ainsi que la fièvre. Le virus peut également causer des formes graves d'encéphalite, une inflammation mortelle du cerveau. Les survivants peuvent souffrir de séquelles neurologiques permanentes, telles que des troubles cognitifs, des crises et des troubles du comportement. Les taux de mortalité varient entre 40% et 75%, en fonction des épidémies et des ressources médicales disponibles. Actuellement, il n'existe pas de traitement antiviral spécifique pour le NiV. Les approches thérapeutiques sont essentiellement symptomatiques et de soutien. Des recherches sont en cours pour développer des traitements antiviraux et un vaccin. La prévention du NiV repose sur la surveillance continue des réservoirs animaux, principalement les chauves-souris, ainsi que sur les mesures de quarantaine et l'isolement des animaux infectés. La sensibilisation communautaire est également essentielle pour éviter les contacts avec les animaux porteurs du virus. La coopération internationale est cruciale pour coordonner la recherche, la surveillance et la gestion des épidémies, afin de minimiser l'impact du virus et protéger la santé publique mondiale.
Nipah Virus (NiV) is an emerging contagious and potentially deadly disease. It was first identified in 1998 in Malaysia and is primarily transmitted through fruit bats. The virus can also be transmitted directly from person to person through bodily secretions. Symptoms of NiV range from mild to severe and include acute respiratory symptoms such as cough and difficulty breathing, as well as fever. The virus can also cause severe forms of encephalitis, a deadly brain inflammation. Survivors may suffer from permanent neurological sequelae, such as cognitive impairment, seizures, and behavioral problems. Mortality rates vary between 40% and 75%, depending on the outbreak and available medical resources. Currently, there is no specific antiviral treatment for NiV. Therapeutic approaches are primarily symptomatic and supportive. Research is ongoing to develop antiviral treatments and a vaccine. Prevention of NiV relies on continuous surveillance of animal reservoirs, primarily fruit bats, as well as quarantine and isolation measures for infected animals. Community awareness is also essential to avoid contact with virus-carrying animals. International cooperation is crucial to coordinate research, surveillance, and outbreak management, in order to minimize the impact of the virus and protect global public health.
فيروس نيباه (NiV) هو مرض معدي وخطير يهدد الصحة العامة العالمية. تم اكتشافه لأول مرة في ماليزيا عام 1998، ويتم نقله بشكل أساسي عن طريق الخفافيش الفاكهة. يمكن أن ينتقل الفيروس أيضًا بشكل مباشر من شخص إلى آخر عن طريق السوائل الجسدية. تتراوح أعراض نيباه من خفيفة إلى شديدة وتشمل أعراض تنفسية حادة مثل السعال وصعوبة التنفس، بالإضافة إلى الحمى. يمكن أن يسبب الفيروس أيضًا أشكالًا شديدة من التهاب الدماغ، وهو التهاب مميت في الدماغ. يمكن أن يعاني الناجون من عوارض عصبية دائمة، مثل الإعاقة المعرفية والنوبات والاضطرابات السلوكية. تتراوح معدلات الوفيات بين 40% و75%، حسب الوباء والموارد الطبية المتاحة. حاليًا، لا يوجد علاج مضاد للفيروسات محدد لفيروس نيباه. تعتمد المناهج العلاجية بشكل أساسي على الأعراض والدعم. تجري الأبحاث لتحقيق علاجات مضادة للفيروسات ولقاح. يعتمد الوقاية من فيروس نيباه على الرقابة المستمرة للمخزونات الحيوانية، بشكل أساسي الخفافيش الفاكهة، بالإضافة إلى إجراءات الحجر الصحي ووضع الحيوانات المصابة في الحجر. من المهم أيضًا التوعية المجتمعية لتجنب الاتصال بالحيوانات الحاملة للفيروس. التعاون الدولي ضروري لتنسيق الأبحاث والرقابة وإدارة الأوبئة، من أجل تقليل تأثير الفيروس وحماية الصحة العامة العالمية.Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0272025 $r non conforme -- Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2025 Exclu du prêt