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Le cancer de l’estomac localement avancé, problèmes de prise en charge / Mounia EL KEDDADI
Titre : Le cancer de l’estomac localement avancé, problèmes de prise en charge Type de document : thèse Auteurs : Mounia EL KEDDADI, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer estomac localement avancé traitement pronostic Résumé : Objectif : Mettre en évidence les difficultés que pose la prise en charge chirurgicale des cancers de l’estomac localement avancés.
Patients et méthodes : C’est une étude rétrospective portant sur 55 patients hospitalisés pour cancer de l’estomac avancé à l’Institut National d’Oncologie, durant la période s’étalant entre janvier 2011 et décembre 2014.
Résultats : Tous nos patients avaient un cancer de l’estomac avancé. La FOGD avec biopsies a permis le diagnostic dans tous les cas et la tomodensitométrie a été réalisée dans 96% des cas. Une dénutrition sévère a été notée dans le tiers des cas. 60% des dossiers ont été présentés en RCP.
La résection a été possible dans 49% des cas (à visée curative 40%, palliative 9%), un geste palliatif dans 36% des cas et une simple exploration dans 15% des cas.
La morbidité et la mortalité postopératoires étaient respectivement de 29% et 16%. La survie moyenne était de 17 mois pour les malades réséqués, et de 4 mois pour les non réséqués.
Conclusion : Malgré son pronostic sombre, le cancer de l’estomac localement avancé ne connaît pas de définition universelle qui permettra de regrouper les résultats des différentes séries et ainsi ressortir des recommandations afin d’optimiser sa prise en charge. Sa découverte à un stade avancé, incite à réaliser une fibroscopie œsogastroduodénale chez tout patient âgé de plus de 50ans chez qui la symptomatologie est suspecte. Le traitement reste essentiellement chirurgical.
Une prise en charge adéquate basée sur la chirurgie à visée curative et une chimiothérapie péri-opératoire ou une association de radio-chimiothérapie adjuvante peut améliorer la survie et la qualité de vie surtout à court et à moyen terme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3242015 Président : BENAMR.S Directeur : MDAGHRI.J Juge : ELABSI.M Juge : MSSROURI.R Le cancer de l’estomac localement avancé, problèmes de prise en charge [thèse] / Mounia EL KEDDADI, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer estomac localement avancé traitement pronostic Résumé : Objectif : Mettre en évidence les difficultés que pose la prise en charge chirurgicale des cancers de l’estomac localement avancés.
Patients et méthodes : C’est une étude rétrospective portant sur 55 patients hospitalisés pour cancer de l’estomac avancé à l’Institut National d’Oncologie, durant la période s’étalant entre janvier 2011 et décembre 2014.
Résultats : Tous nos patients avaient un cancer de l’estomac avancé. La FOGD avec biopsies a permis le diagnostic dans tous les cas et la tomodensitométrie a été réalisée dans 96% des cas. Une dénutrition sévère a été notée dans le tiers des cas. 60% des dossiers ont été présentés en RCP.
La résection a été possible dans 49% des cas (à visée curative 40%, palliative 9%), un geste palliatif dans 36% des cas et une simple exploration dans 15% des cas.
La morbidité et la mortalité postopératoires étaient respectivement de 29% et 16%. La survie moyenne était de 17 mois pour les malades réséqués, et de 4 mois pour les non réséqués.
Conclusion : Malgré son pronostic sombre, le cancer de l’estomac localement avancé ne connaît pas de définition universelle qui permettra de regrouper les résultats des différentes séries et ainsi ressortir des recommandations afin d’optimiser sa prise en charge. Sa découverte à un stade avancé, incite à réaliser une fibroscopie œsogastroduodénale chez tout patient âgé de plus de 50ans chez qui la symptomatologie est suspecte. Le traitement reste essentiellement chirurgical.
Une prise en charge adéquate basée sur la chirurgie à visée curative et une chimiothérapie péri-opératoire ou une association de radio-chimiothérapie adjuvante peut améliorer la survie et la qualité de vie surtout à court et à moyen terme.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3242015 Président : BENAMR.S Directeur : MDAGHRI.J Juge : ELABSI.M Juge : MSSROURI.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3242015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M3242015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible CANCER GASTRIQUE LOCALEMENT AVANCE APROPOS DE 75 CAS / BEN NEZHA MOUNIR
Titre : CANCER GASTRIQUE LOCALEMENT AVANCE APROPOS DE 75 CAS Type de document : thèse Auteurs : BEN NEZHA MOUNIR, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer Estomac Localement avancé Traitement Survie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer de l’estomac reste au 2 ème rang des cancers dans le monde après le cancer du poumon avec une incidence qui atteint approximativement 875.000 nouveaux cas par an.
Au Maroc, selon le premier rapport du registre des cancers du grand Casablanca, le cancer gastrique en terme d’incidence est le 8 ème cancer, elle est de 4,13/ 100.000/an chez l’homme et 3,03 /100.000/an chez la femme.
Nous rapportons une série de 75 cas de cancer gastrique localement avancé colligés à la clinique chirurgicale « C »de Janvier 2001 à Décembre 2006.
Dans cette série nous avons constaté que le cancer gastrique localement avancé représente 39% du total des cancers gastriques avec un recrutement annuel de 12.5 cas/an.
L’âge moyen de nos malades est de 57 ans et la tranche d’âge la plus touchée est entre 50 et 70 ans. Le sexe ratio est 2,4 avec une nette prédominance masculine.
La majorité des patients provenaient de la région de rabat-salé-zemmour-zair et la région de souss massa darâa.
Le délai moyen entre le début des symptômes et l’hospitalisation est de 9.4 mois.
Dans les antécédents, 3 patients avaient un ulcère et 16 patients connus tabagiques.
La symptomatologie clinique était dominée par la douleur épigastriques 88 %, l’amaigrissement 62%, les vomissements 49%, l’hémorragie digestive 30%, les troubles du transit 16% et la dysphagie 8%.
A l’examen physique la masse épigastrique est retrouvée dans 22 %, l’ascite 4%, l’hépatomégalie 2% et l’ictère 1%.
Sur le plan biologique, 34% des patients étaient anémiques, 12% avaient une hypo-protidémie, 30% avaient une hypo-albuminémie et le groupe sanguin prédominant était dans 47% et dans 29%.
La fibroscopie oeso-gastro-duodénale était réalisée chez tous les patients avec une valeur diagnostique de 100%.
Le transit oeso-gastro-duodénale était réalisé chez 40% des malades avec une valeur diagnostique de 53%.
L’échographie abdominale était réalisée chez 77% des patients avec une valeur diagnostique de 44%
La tomodensitométrie abdominale était réalisée chez 33% des malades, sa valeur diagnostique est estimée à 84%.
L’écho-endoscopie n’a pas été faite dans notre série.
Le bilan d’extension a objectivé l’envahissement à un ou plusieurs organes de voisinage dans 8% des cas.
Parmi les patients étudiés dans notre série, la chirurgie a été récusée chez 2 patients, une résection gastrique chez 25 patients, alors que pour les 48 cas restants, ils n’ont bénéficié que d’une laparotomie exploratrice (dans 26 cas) ou d’une dérivation (dans 22 cas).
La gastrectomie élargie à un organe de voisinage était la résection la plus réalisée (11 cas) suivie de la GPI (10 cas) et la GT (4 cas). Le curage ganglionnaire était dans 48% de type D1, dans 28% de type D1.5, et dans 12% de type D2 et D0 pour chacun.
Le siège de prédilection tumorale est l’antre dans 56%, suivis de l’atteinte de tout l’estomac dans 27%.
Les organes envahis sont représentés surtout par le pancréas 25%.
41% de nos patients avaient des métastases à distance avec un stade IV prédominant dans 67%, et un stade III qui représente 24%.
5 patients ont bénéficié d’une chimiothérapie : 2 chimiothérapies adjuvantes, 1 chimiothérapie néo-adjuvante et 2 chimiothérapies exclusives.
4% des patients sont décédés en post-opératoire, alors que la morbidité post-opératoire est estimée à 9.5%.
Grâce au suivi des patients, on a pu avoir une idée sur la survie globale et la survie médiane. En effet : la survie globale à 1 an, à 3 ans et à 5 ans est estimé respectivement à 22%, 5% et 1.5%. Alors que la survie médiane est estimée à 9.6 mois.
Le pronostic du cancer gastrique localement avancé reste sombre, malgré l’amélioration des moyens diagnostiques et thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1482008 Président : AHALLAT MOHAMED Directeur : RAISS MOHAMED Juge : MOHSINE RAOUF Juge : IFRINE LAHCEN CANCER GASTRIQUE LOCALEMENT AVANCE APROPOS DE 75 CAS [thèse] / BEN NEZHA MOUNIR, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer Estomac Localement avancé Traitement Survie Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer de l’estomac reste au 2 ème rang des cancers dans le monde après le cancer du poumon avec une incidence qui atteint approximativement 875.000 nouveaux cas par an.
Au Maroc, selon le premier rapport du registre des cancers du grand Casablanca, le cancer gastrique en terme d’incidence est le 8 ème cancer, elle est de 4,13/ 100.000/an chez l’homme et 3,03 /100.000/an chez la femme.
Nous rapportons une série de 75 cas de cancer gastrique localement avancé colligés à la clinique chirurgicale « C »de Janvier 2001 à Décembre 2006.
Dans cette série nous avons constaté que le cancer gastrique localement avancé représente 39% du total des cancers gastriques avec un recrutement annuel de 12.5 cas/an.
L’âge moyen de nos malades est de 57 ans et la tranche d’âge la plus touchée est entre 50 et 70 ans. Le sexe ratio est 2,4 avec une nette prédominance masculine.
La majorité des patients provenaient de la région de rabat-salé-zemmour-zair et la région de souss massa darâa.
Le délai moyen entre le début des symptômes et l’hospitalisation est de 9.4 mois.
Dans les antécédents, 3 patients avaient un ulcère et 16 patients connus tabagiques.
La symptomatologie clinique était dominée par la douleur épigastriques 88 %, l’amaigrissement 62%, les vomissements 49%, l’hémorragie digestive 30%, les troubles du transit 16% et la dysphagie 8%.
A l’examen physique la masse épigastrique est retrouvée dans 22 %, l’ascite 4%, l’hépatomégalie 2% et l’ictère 1%.
Sur le plan biologique, 34% des patients étaient anémiques, 12% avaient une hypo-protidémie, 30% avaient une hypo-albuminémie et le groupe sanguin prédominant était dans 47% et dans 29%.
La fibroscopie oeso-gastro-duodénale était réalisée chez tous les patients avec une valeur diagnostique de 100%.
Le transit oeso-gastro-duodénale était réalisé chez 40% des malades avec une valeur diagnostique de 53%.
L’échographie abdominale était réalisée chez 77% des patients avec une valeur diagnostique de 44%
La tomodensitométrie abdominale était réalisée chez 33% des malades, sa valeur diagnostique est estimée à 84%.
L’écho-endoscopie n’a pas été faite dans notre série.
Le bilan d’extension a objectivé l’envahissement à un ou plusieurs organes de voisinage dans 8% des cas.
Parmi les patients étudiés dans notre série, la chirurgie a été récusée chez 2 patients, une résection gastrique chez 25 patients, alors que pour les 48 cas restants, ils n’ont bénéficié que d’une laparotomie exploratrice (dans 26 cas) ou d’une dérivation (dans 22 cas).
La gastrectomie élargie à un organe de voisinage était la résection la plus réalisée (11 cas) suivie de la GPI (10 cas) et la GT (4 cas). Le curage ganglionnaire était dans 48% de type D1, dans 28% de type D1.5, et dans 12% de type D2 et D0 pour chacun.
Le siège de prédilection tumorale est l’antre dans 56%, suivis de l’atteinte de tout l’estomac dans 27%.
Les organes envahis sont représentés surtout par le pancréas 25%.
41% de nos patients avaient des métastases à distance avec un stade IV prédominant dans 67%, et un stade III qui représente 24%.
5 patients ont bénéficié d’une chimiothérapie : 2 chimiothérapies adjuvantes, 1 chimiothérapie néo-adjuvante et 2 chimiothérapies exclusives.
4% des patients sont décédés en post-opératoire, alors que la morbidité post-opératoire est estimée à 9.5%.
Grâce au suivi des patients, on a pu avoir une idée sur la survie globale et la survie médiane. En effet : la survie globale à 1 an, à 3 ans et à 5 ans est estimé respectivement à 22%, 5% et 1.5%. Alors que la survie médiane est estimée à 9.6 mois.
Le pronostic du cancer gastrique localement avancé reste sombre, malgré l’amélioration des moyens diagnostiques et thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1482008 Président : AHALLAT MOHAMED Directeur : RAISS MOHAMED Juge : MOHSINE RAOUF Juge : IFRINE LAHCEN Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1482008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible