Titre : | La prise en charge de la grossesse extra-utĂ©rine Ă l’hĂ´pital de KĂ©nitra | Type de document : | thèse | Auteurs : | AMQRANE Fatima, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2016 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | Grossesse extra-utĂ©rine EpidĂ©miologie Diagnostic Traitement Pronostic | RĂ©sumĂ© : | Au terme de notre étude qui a concerné 130 cas diagnostiqués et traités au service de Gynécologie obstétrique à la Maternité de l’Hôpital Régional de Kénitra durant une période de 4 ans (2012-2015),nous avons conclu que :
-La fréquence de cette affection est de 1/412 naissances, l’âge moyen est de 31 ans, avec un maximum de fréquence entre 21 et 35 ans.
-Les nullipares et les pauci pares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risques fréquemment retrouvés sont: les avortements 21,54%, salpingites et IST 8,46 % et les antécédent de GEU 2,31%.
-La contraception orale était adoptée dans 25,38 % des cas.
-Cliniquement la triade ; retard de règles (60%), métrorragies (84,61%) et algies pelviennes (88,46%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’échographie permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
- Le traitement reste dans la majorité des cas, un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie totale reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 92 ,31% des cas.
-Malheureusement, la fertilité après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’en cas de formes diagnostiquées précocement, d’où encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1192016 | Président : | KHARBACH.A | Directeur : | KHARBACH.A | Juge : | LAKHDAR.A-BAIDADA.A | Juge : | RHRAB.B |
La prise en charge de la grossesse extra-utĂ©rine Ă l’hĂ´pital de KĂ©nitra [thèse] / AMQRANE Fatima, Auteur . - 2016. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | Grossesse extra-utĂ©rine EpidĂ©miologie Diagnostic Traitement Pronostic | RĂ©sumĂ© : | Au terme de notre étude qui a concerné 130 cas diagnostiqués et traités au service de Gynécologie obstétrique à la Maternité de l’Hôpital Régional de Kénitra durant une période de 4 ans (2012-2015),nous avons conclu que :
-La fréquence de cette affection est de 1/412 naissances, l’âge moyen est de 31 ans, avec un maximum de fréquence entre 21 et 35 ans.
-Les nullipares et les pauci pares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risques fréquemment retrouvés sont: les avortements 21,54%, salpingites et IST 8,46 % et les antécédent de GEU 2,31%.
-La contraception orale était adoptée dans 25,38 % des cas.
-Cliniquement la triade ; retard de règles (60%), métrorragies (84,61%) et algies pelviennes (88,46%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’échographie permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
- Le traitement reste dans la majorité des cas, un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie totale reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 92 ,31% des cas.
-Malheureusement, la fertilité après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’en cas de formes diagnostiquées précocement, d’où encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1192016 | Président : | KHARBACH.A | Directeur : | KHARBACH.A | Juge : | LAKHDAR.A-BAIDADA.A | Juge : | RHRAB.B |
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