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7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Grossesse extra-utérine'
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Titre : GROSSESSE HETEROTOPIQUE AVANCEE Type de document : thèse Auteurs : DEHAYNI Fariss, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse Grossesse extra-utérine Grossesse hétérotopique Grossesse abdominale Echographie Résumé : La grossesse hétérotopique est une forme pathologique de grossesse gémellaire dizygote biovulaire. C’est une pathologie rare, mais sa fréquence est en nette augmentation ces dernières années. Les formes avancées sont rarement décrites dans la littérature.
Nous rapportons un cas rare de grossesse hétérotopique découverte tardivement, chez une patiente de 27 ans suite à une fécondation in vitro, et chez qui une attitude expectative a été décidée chez elle jusqu’à la 34e semaine d’aménorrhée permettant une issue favorable de la grossesse intra-utérine.
La grossesse hétérotopique est de plus en plus fréquente avec la recrudescence des infections génitales hautes et la large diffusion de la procréation médicalement assistée. Un dépistage systématique par une échographie endo-vaginale dès la première consultation prénatale pourrait permettre un diagnostic précoce et améliorer le pronostic.
L’imagerie est fondamentale pour mieux préciser les rapports de la grossesse ectopique avec les organes de voisinages. La prise en charge est multidisciplinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2832020 Président : KOUACH.J Directeur : KOUACH.J Juge : BABAHABIB.A Juge : EL HASSANI.E Juge : TAZI MOUKHA.Z GROSSESSE HETEROTOPIQUE AVANCEE [thèse] / DEHAYNI Fariss, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Grossesse Grossesse extra-utérine Grossesse hétérotopique Grossesse abdominale Echographie Résumé : La grossesse hétérotopique est une forme pathologique de grossesse gémellaire dizygote biovulaire. C’est une pathologie rare, mais sa fréquence est en nette augmentation ces dernières années. Les formes avancées sont rarement décrites dans la littérature.
Nous rapportons un cas rare de grossesse hétérotopique découverte tardivement, chez une patiente de 27 ans suite à une fécondation in vitro, et chez qui une attitude expectative a été décidée chez elle jusqu’à la 34e semaine d’aménorrhée permettant une issue favorable de la grossesse intra-utérine.
La grossesse hétérotopique est de plus en plus fréquente avec la recrudescence des infections génitales hautes et la large diffusion de la procréation médicalement assistée. Un dépistage systématique par une échographie endo-vaginale dès la première consultation prénatale pourrait permettre un diagnostic précoce et améliorer le pronostic.
L’imagerie est fondamentale pour mieux préciser les rapports de la grossesse ectopique avec les organes de voisinages. La prise en charge est multidisciplinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2832020 Président : KOUACH.J Directeur : KOUACH.J Juge : BABAHABIB.A Juge : EL HASSANI.E Juge : TAZI MOUKHA.Z Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2832020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M2832020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M2832020URL GROSSESSE MOLAIRE EXTRA-UTERINE EN LOCALISATION CORNUALE / Moad BELOUAD
Titre : GROSSESSE MOLAIRE EXTRA-UTERINE EN LOCALISATION CORNUALE Type de document : thèse Auteurs : Moad BELOUAD, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse molaire Grossesse extra-utérine grossesse cornuale Résumé : Le corne de l'utérus est l'un des sites peu courants de grossesse extra-utérine. La
grossesse ectopique molaire est extrêmement rare et seuls quelques cas sont rapportés
dans la littérature. Nous rapportons le cas d’une jeune femme de 20 ans, nullipare ,
adresser dans un tableau d’aménorrhée de 6 semaines et de douleurs pelviennes aigues
avec métrorragie noirâtre et instabilité hémodynamique . L'échographie a révélé une
image hétérogène sous forme d'une masse ectopique fundique sessile. Cet aspect était
visible sur les coupes longitudinales. Sur les coupes transversales, l'image était en
situation latérale droite accolée à l'utérus dont la ligne cavitaire était individualisable ,cet
image mesure 2,5cm*2cm, avec des signes d'hémopéritoine. La patiente a été prise en
charge par traitement conservateur(résection cunéiforme de la lésion) par laparotomie.
L'analyse histopathologique a révélé la présence de tissu placentaire présentant des
caractéristiques compatibles avec une grossesse molaire invasive. Il est souligné que
l'examen histopathologique des tissus prélevés doit être envisagé après chaque cas de
prise en charge chirurgicale d'une grossesse extra-utérine afin d'exclure une grossesse
molaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2832023 Directeur : Abdellah BABAHABIB GROSSESSE MOLAIRE EXTRA-UTERINE EN LOCALISATION CORNUALE [thèse] / Moad BELOUAD, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Grossesse molaire Grossesse extra-utérine grossesse cornuale Résumé : Le corne de l'utérus est l'un des sites peu courants de grossesse extra-utérine. La
grossesse ectopique molaire est extrêmement rare et seuls quelques cas sont rapportés
dans la littérature. Nous rapportons le cas d’une jeune femme de 20 ans, nullipare ,
adresser dans un tableau d’aménorrhée de 6 semaines et de douleurs pelviennes aigues
avec métrorragie noirâtre et instabilité hémodynamique . L'échographie a révélé une
image hétérogène sous forme d'une masse ectopique fundique sessile. Cet aspect était
visible sur les coupes longitudinales. Sur les coupes transversales, l'image était en
situation latérale droite accolée à l'utérus dont la ligne cavitaire était individualisable ,cet
image mesure 2,5cm*2cm, avec des signes d'hémopéritoine. La patiente a été prise en
charge par traitement conservateur(résection cunéiforme de la lésion) par laparotomie.
L'analyse histopathologique a révélé la présence de tissu placentaire présentant des
caractéristiques compatibles avec une grossesse molaire invasive. Il est souligné que
l'examen histopathologique des tissus prélevés doit être envisagé après chaque cas de
prise en charge chirurgicale d'une grossesse extra-utérine afin d'exclure une grossesse
molaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2832023 Directeur : Abdellah BABAHABIB Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2832023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Les hémorragies du premier trimestre de la grossesse à la Maternité Universitaire Souissi de Rabat / BAHIJ Youssef
Titre : Les hémorragies du premier trimestre de la grossesse à la Maternité Universitaire Souissi de Rabat Type de document : thèse Auteurs : BAHIJ Youssef, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Avortement spontané grossesse extra-utérine môle curetage hémostatique salpingectomie. Résumé : Les hémorragies du premier trimestre sont des saignements d’origine utérine survenant chez une patiente enceinte de 15 SA ou moins. Elles constituent un motif fréquent de consultation dans les services de gynéco-obstétrique.
Notre travail qui a pour objectif d’évaluer la prise en charge des hémorragies du premier trimestre de la grossesse à la Maternité Universitaire Souissi de Rabat, a porté sur une étude rétrospective et descriptive de 126 cas colligés sur une période de 3 mois allant du 1er Octobre au 31 Décembre 2015.
Durant cette période, 3634 grossesses ont été enregistrées dont 126 hémorragies du premier trimestre soit 3,47%.
Notre étude a montré une prédominance dans la tranche d’âge comprise entre 20 et 39 ans et une moyenne d’âge de 30 ans.
L’avortement spontané a été la cause la plus fréquente avec 94 cas (74,6%). On a eu aussi : 22 grossesses extra-utérines (17,46%), 7 môles(5,55%) et 3 menaces d’avortement(2,38%)
La prise en charge en urgence a concerné 86,5% des patientes.
Les interventions thérapeutiques enregistrées étaient : un curetage hémostatique chez 86 patientes, une salpingectomie par laparotomie chez 11 patientes et 7 aspirations utérines intra-manuelles.
Aucun cas de décès n’a été rapporté témoignant de la rapidité et la qualité de la prise en charge reçue au sein de la Maternité Universitaire Souissi de Rabat malgré que 43% de nos patientes soient référées. Néanmoins une approche moins invasive pour les grossesses extra-utérines doit être plus utilisée.
Les hémorragies du premier trimestre restent fréquentes. Afin de réduire leur incidence, il faut améliorer les moyens de diagnostic précoce et la prévention contre les facteurs de risque.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1222016 Président : KHARBACH.A Directeur : KHARBACH.A Juge : RHRAB.B Juge : BENYAHIA.M.A Juge : LAKHDAR.A Les hémorragies du premier trimestre de la grossesse à la Maternité Universitaire Souissi de Rabat [thèse] / BAHIJ Youssef, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Avortement spontané grossesse extra-utérine môle curetage hémostatique salpingectomie. Résumé : Les hémorragies du premier trimestre sont des saignements d’origine utérine survenant chez une patiente enceinte de 15 SA ou moins. Elles constituent un motif fréquent de consultation dans les services de gynéco-obstétrique.
Notre travail qui a pour objectif d’évaluer la prise en charge des hémorragies du premier trimestre de la grossesse à la Maternité Universitaire Souissi de Rabat, a porté sur une étude rétrospective et descriptive de 126 cas colligés sur une période de 3 mois allant du 1er Octobre au 31 Décembre 2015.
Durant cette période, 3634 grossesses ont été enregistrées dont 126 hémorragies du premier trimestre soit 3,47%.
Notre étude a montré une prédominance dans la tranche d’âge comprise entre 20 et 39 ans et une moyenne d’âge de 30 ans.
L’avortement spontané a été la cause la plus fréquente avec 94 cas (74,6%). On a eu aussi : 22 grossesses extra-utérines (17,46%), 7 môles(5,55%) et 3 menaces d’avortement(2,38%)
La prise en charge en urgence a concerné 86,5% des patientes.
Les interventions thérapeutiques enregistrées étaient : un curetage hémostatique chez 86 patientes, une salpingectomie par laparotomie chez 11 patientes et 7 aspirations utérines intra-manuelles.
Aucun cas de décès n’a été rapporté témoignant de la rapidité et la qualité de la prise en charge reçue au sein de la Maternité Universitaire Souissi de Rabat malgré que 43% de nos patientes soient référées. Néanmoins une approche moins invasive pour les grossesses extra-utérines doit être plus utilisée.
Les hémorragies du premier trimestre restent fréquentes. Afin de réduire leur incidence, il faut améliorer les moyens de diagnostic précoce et la prévention contre les facteurs de risque.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1222016 Président : KHARBACH.A Directeur : KHARBACH.A Juge : RHRAB.B Juge : BENYAHIA.M.A Juge : LAKHDAR.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1222016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1222016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible La prise en charge de la grossesse extra-utérine à l’hôpital de Kénitra / AMQRANE Fatima
Titre : La prise en charge de la grossesse extra-utérine à l’hôpital de Kénitra Type de document : thèse Auteurs : AMQRANE Fatima, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse extra-utérine Epidémiologie Diagnostic Traitement Pronostic Résumé : Au terme de notre étude qui a concerné 130 cas diagnostiqués et traités au service de Gynécologie obstétrique à la Maternité de l’Hôpital Régional de Kénitra durant une période de 4 ans (2012-2015),nous avons conclu que :
-La fréquence de cette affection est de 1/412 naissances, l’âge moyen est de 31 ans, avec un maximum de fréquence entre 21 et 35 ans.
-Les nullipares et les pauci pares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risques fréquemment retrouvés sont: les avortements 21,54%, salpingites et IST 8,46 % et les antécédent de GEU 2,31%.
-La contraception orale était adoptée dans 25,38 % des cas.
-Cliniquement la triade ; retard de règles (60%), métrorragies (84,61%) et algies pelviennes (88,46%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’échographie permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
- Le traitement reste dans la majorité des cas, un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie totale reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 92 ,31% des cas.
-Malheureusement, la fertilité après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’en cas de formes diagnostiquées précocement, d’où encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1192016 Président : KHARBACH.A Directeur : KHARBACH.A Juge : LAKHDAR.A-BAIDADA.A Juge : RHRAB.B La prise en charge de la grossesse extra-utérine à l’hôpital de Kénitra [thèse] / AMQRANE Fatima, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Grossesse extra-utérine Epidémiologie Diagnostic Traitement Pronostic Résumé : Au terme de notre étude qui a concerné 130 cas diagnostiqués et traités au service de Gynécologie obstétrique à la Maternité de l’Hôpital Régional de Kénitra durant une période de 4 ans (2012-2015),nous avons conclu que :
-La fréquence de cette affection est de 1/412 naissances, l’âge moyen est de 31 ans, avec un maximum de fréquence entre 21 et 35 ans.
-Les nullipares et les pauci pares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risques fréquemment retrouvés sont: les avortements 21,54%, salpingites et IST 8,46 % et les antécédent de GEU 2,31%.
-La contraception orale était adoptée dans 25,38 % des cas.
-Cliniquement la triade ; retard de règles (60%), métrorragies (84,61%) et algies pelviennes (88,46%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’échographie permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
- Le traitement reste dans la majorité des cas, un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie totale reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 92 ,31% des cas.
-Malheureusement, la fertilité après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’en cas de formes diagnostiquées précocement, d’où encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1192016 Président : KHARBACH.A Directeur : KHARBACH.A Juge : LAKHDAR.A-BAIDADA.A Juge : RHRAB.B Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1192016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M1192016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible LA PRISE EN CHARGE DE LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE AU SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE M1 DE LA MATERNITE SOUISSI DE RABAT (A PROPOS DE 50 CAS) / HELAFIA BOUCHRA
Titre : LA PRISE EN CHARGE DE LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE AU SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE M1 DE LA MATERNITE SOUISSI DE RABAT (A PROPOS DE 50 CAS) Type de document : thèse Auteurs : HELAFIA BOUCHRA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse extra-utérine facteurs de risque diagnostic traitement Ectopic pregnancy risk factors diagnosis treatment الحمل خارج الرحم عوامل الخطر التشخيص المعالجة Résumé : La grossesse extra-utérine correspond à l’implantation de l’œuf fécondé en dehors de la cavité
utérine au niveau de la trompe de Fallope et peut intéresser toutes ses parties anatomiques. Dans
de rares cas, elle peut être interstitielle, ovarienne voir même abdominale.
Notre étude avait pour but de dresser le profil épidémiologique, clinique et paraclinique de cette
pathologie ainsi que la conduite thérapeutique envisagée de nos 50 cas.
La fréquence de la GEU était de 1/209 naissances.
L’âge moyen était de 29,5 ans avec un maximum de fréquence entre 24-33 ans.
Les nullipares et les primipares étaient les plus touchées.
Les facteurs de risque constamment retrouvés sont : l’avortement spontané (22%), la chirurgie
abdomino-pelvienne et tubaire (12%) et les ATCD de GEU (6%).
Sur le plan clinique, les douleurs pelviennes (88%) et les métrorragies (52%) étaient les
principaux signes révélateurs de la GEU. L’aménorrhée a été notée dans 8% des cas.
Un diagnostic précoce par le biais du couple dosage de la β-HCG plasmatique et échographie
permet une prise en charge avant le stade de la rupture tubaire.
Dans la majorité des cas, le traitement est radical. Ainsi, la salpingectomie totale continue à être
le traitement le plus pratiqué (78%).
En revanche, la fertilité ultérieure de ces patientes n’a pas pu être étudiée (la majorité sont
perdues de vue).
Les thérapeutiques actuelles permettent une amélioration de la fertilité après GEU à condition
que cette dernière soit diagnostiquée précocement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1902023 Président : Kharbach Aich Directeur : Lakhdar Amin Juge : Baidada Aziz Juge : Zeraidi Najia LA PRISE EN CHARGE DE LA GROSSESSE EXTRA-UTERINE AU SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE M1 DE LA MATERNITE SOUISSI DE RABAT (A PROPOS DE 50 CAS) [thèse] / HELAFIA BOUCHRA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Grossesse extra-utérine facteurs de risque diagnostic traitement Ectopic pregnancy risk factors diagnosis treatment الحمل خارج الرحم عوامل الخطر التشخيص المعالجة Résumé : La grossesse extra-utérine correspond à l’implantation de l’œuf fécondé en dehors de la cavité
utérine au niveau de la trompe de Fallope et peut intéresser toutes ses parties anatomiques. Dans
de rares cas, elle peut être interstitielle, ovarienne voir même abdominale.
Notre étude avait pour but de dresser le profil épidémiologique, clinique et paraclinique de cette
pathologie ainsi que la conduite thérapeutique envisagée de nos 50 cas.
La fréquence de la GEU était de 1/209 naissances.
L’âge moyen était de 29,5 ans avec un maximum de fréquence entre 24-33 ans.
Les nullipares et les primipares étaient les plus touchées.
Les facteurs de risque constamment retrouvés sont : l’avortement spontané (22%), la chirurgie
abdomino-pelvienne et tubaire (12%) et les ATCD de GEU (6%).
Sur le plan clinique, les douleurs pelviennes (88%) et les métrorragies (52%) étaient les
principaux signes révélateurs de la GEU. L’aménorrhée a été notée dans 8% des cas.
Un diagnostic précoce par le biais du couple dosage de la β-HCG plasmatique et échographie
permet une prise en charge avant le stade de la rupture tubaire.
Dans la majorité des cas, le traitement est radical. Ainsi, la salpingectomie totale continue à être
le traitement le plus pratiqué (78%).
En revanche, la fertilité ultérieure de ces patientes n’a pas pu être étudiée (la majorité sont
perdues de vue).
Les thérapeutiques actuelles permettent une amélioration de la fertilité après GEU à condition
que cette dernière soit diagnostiquée précocement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1902023 Président : Kharbach Aich Directeur : Lakhdar Amin Juge : Baidada Aziz Juge : Zeraidi Najia Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1902023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible
Titre : La prise en charge de la grossesse extra-utérine à Tétouan Type de document : thèse Auteurs : TAAME Adrae, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse extra-utérine chlamydiae salpingectomie Résumé : Au terme de notre étude, qui a concerné́ 32 cas diagnostiqués et traités au service de Gynécologie obstétrique à la Maternité́ de l’Hôpital Régional de Tétouan durant une période de 2 ans (2017-2018),nous avons conclu que :
-La fréquence de cette affection est de 1/322 naissances,
-L’âge moyen est de 30 ans, avec un maximum de fréquence entre 26 et 35 ans.
-Les nullipares et les pauci pares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risque fréquemment retrouvés sont : salpingites et IST (34,77%), avortements(31,25 %) et les antécédents de GEU (15,62%).
-Cliniquement, la triade : retard de règles (56,52%), métrorragies (71,87%) et algies pelviennes (87,5%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’échographie, permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
- Le traitement reste dans la majorité́ des cas un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie totale reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 71,87% des cas.
-Malheureusement, la fertilité́ après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité́ après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’en cas de formes diagnostiquées précocement, d’où̀ encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0642019 Président : KHARBACH.A Directeur : BAIDADA.A Juge : LAKHDAR.A Juge : ZERAIDI.N Juge : RHRAB.B La prise en charge de la grossesse extra-utérine à Tétouan [thèse] / TAAME Adrae, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Grossesse extra-utérine chlamydiae salpingectomie Résumé : Au terme de notre étude, qui a concerné́ 32 cas diagnostiqués et traités au service de Gynécologie obstétrique à la Maternité́ de l’Hôpital Régional de Tétouan durant une période de 2 ans (2017-2018),nous avons conclu que :
-La fréquence de cette affection est de 1/322 naissances,
-L’âge moyen est de 30 ans, avec un maximum de fréquence entre 26 et 35 ans.
-Les nullipares et les pauci pares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risque fréquemment retrouvés sont : salpingites et IST (34,77%), avortements(31,25 %) et les antécédents de GEU (15,62%).
-Cliniquement, la triade : retard de règles (56,52%), métrorragies (71,87%) et algies pelviennes (87,5%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’échographie, permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
- Le traitement reste dans la majorité́ des cas un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie totale reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 71,87% des cas.
-Malheureusement, la fertilité́ après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité́ après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’en cas de formes diagnostiquées précocement, d’où̀ encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0642019 Président : KHARBACH.A Directeur : BAIDADA.A Juge : LAKHDAR.A Juge : ZERAIDI.N Juge : RHRAB.B Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0642019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M0642019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M0642019URL LA QUALITE DE LA PRISE EN CHARGE DES HEMORRAGIES DU PREMIER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE A LA MATERNITE DE L’HOPITAL REGIONAL KENITRA. / BENAYAD Imane
Titre : LA QUALITE DE LA PRISE EN CHARGE DES HEMORRAGIES DU PREMIER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE A LA MATERNITE DE L’HOPITAL REGIONAL KENITRA. Type de document : thèse Auteurs : BENAYAD Imane, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Avortement spontané grossesse extra-utérine môle curetage hémostatique salpingectomie Résumé : Les hémorragies du premier trimestre sont des saignements d’origine utérine survenant chez une patiente enceinte de 15 SA ou moins, y compris l’avortement spontané, la menace d’avortement, la GEU et la mole hydatiforme. Elles constituent un motif fréquent de consultation dans les services de gynéco-obstétrique.
Notre étude, dont l’objectif est d’évaluer la qualité de la prise en charge des hémorragies du premier trimestre de la grossesse à la Maternité de l’hôpital régional Kenitra, est une étude rétrospective et descriptive de l’ensemble des cas colligés sur une période d’une année allant du 1er Janvier au 31 Décembre 2018.
On a pu enregistrer 280 hémorragies du premier trimestre sur 11 843 grossesses soit 2,1%.
L’avortement spontané a été la cause la plus fréquente avec 179 cas (64,3%). On a eu aussi : 34 grossesses extra-utérines (12,6%), 9 môles (3,1%) et 53 menaces d’avortement (21,3%)
Notre étude a montré une prédominance dans la tranche d’âge comprise entre 20 et 29 ans pour l’avortement spontané et la mole hydatiforme, et entre 30 et 38 ans pour la GEU.
Les femmes mariées sont surtout les plus touchées par le phénomène avec 97%.
Les paucipares sont les plus atteintes avec un taux de 50%, suivies des nullipares à 31%.
Les interventions thérapeutiques enregistrées étaient : un curetage hémostatique chez 93 patientes, une salpingectomie par laparotomie chez 34 patientes et 9 aspirations utérines intra- manuelles.
Aucun cas de décès n’a été rapporté témoignant de la rapidité et la qualité de la prise en charge reçue au sein de la Maternité, malgré que le nombre des femmes référées et le manque de personnel par rapport au flux des patientes consultantes. Néanmoins une approche moins invasive pour les grossesses extra- utérines doit être plus utilisée.
Le pronostic des patientes est ignoré, cela est du a un défaut d’informatisation des dossiers d’une part et d’autre part à la période d’étude qui a porté sur des cas récents et par conséquent le recul nécessaire pour déterminer le pronostic à long terme est absent.
Les hémorragies du premier trimestre restent fréquentes. Afin de réduire leur incidence, il faut améliorer les moyens de diagnostic précoce et la prévention contre les facteurs de risque.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3372019 Président : KHABBACH.A Directeur : KHABBACH.A Juge : BAIDADA.A Juge : LAKHDAR.B Juge : GHRAB.R LA QUALITE DE LA PRISE EN CHARGE DES HEMORRAGIES DU PREMIER TRIMESTRE DE LA GROSSESSE A LA MATERNITE DE L’HOPITAL REGIONAL KENITRA. [thèse] / BENAYAD Imane, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Avortement spontané grossesse extra-utérine môle curetage hémostatique salpingectomie Résumé : Les hémorragies du premier trimestre sont des saignements d’origine utérine survenant chez une patiente enceinte de 15 SA ou moins, y compris l’avortement spontané, la menace d’avortement, la GEU et la mole hydatiforme. Elles constituent un motif fréquent de consultation dans les services de gynéco-obstétrique.
Notre étude, dont l’objectif est d’évaluer la qualité de la prise en charge des hémorragies du premier trimestre de la grossesse à la Maternité de l’hôpital régional Kenitra, est une étude rétrospective et descriptive de l’ensemble des cas colligés sur une période d’une année allant du 1er Janvier au 31 Décembre 2018.
On a pu enregistrer 280 hémorragies du premier trimestre sur 11 843 grossesses soit 2,1%.
L’avortement spontané a été la cause la plus fréquente avec 179 cas (64,3%). On a eu aussi : 34 grossesses extra-utérines (12,6%), 9 môles (3,1%) et 53 menaces d’avortement (21,3%)
Notre étude a montré une prédominance dans la tranche d’âge comprise entre 20 et 29 ans pour l’avortement spontané et la mole hydatiforme, et entre 30 et 38 ans pour la GEU.
Les femmes mariées sont surtout les plus touchées par le phénomène avec 97%.
Les paucipares sont les plus atteintes avec un taux de 50%, suivies des nullipares à 31%.
Les interventions thérapeutiques enregistrées étaient : un curetage hémostatique chez 93 patientes, une salpingectomie par laparotomie chez 34 patientes et 9 aspirations utérines intra- manuelles.
Aucun cas de décès n’a été rapporté témoignant de la rapidité et la qualité de la prise en charge reçue au sein de la Maternité, malgré que le nombre des femmes référées et le manque de personnel par rapport au flux des patientes consultantes. Néanmoins une approche moins invasive pour les grossesses extra- utérines doit être plus utilisée.
Le pronostic des patientes est ignoré, cela est du a un défaut d’informatisation des dossiers d’une part et d’autre part à la période d’étude qui a porté sur des cas récents et par conséquent le recul nécessaire pour déterminer le pronostic à long terme est absent.
Les hémorragies du premier trimestre restent fréquentes. Afin de réduire leur incidence, il faut améliorer les moyens de diagnostic précoce et la prévention contre les facteurs de risque.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3372019 Président : KHABBACH.A Directeur : KHABBACH.A Juge : BAIDADA.A Juge : LAKHDAR.B Juge : GHRAB.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3372019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M3372019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
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