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Titre : L’albinisme chez l’enfant Type de document : thèse Auteurs : Mohamed EL-BALLOUTI, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : L’albinisme chez l’enfant Etiopathogénie Aspect clinique Prise en charge Résumé : L'albinisme est une maladie génétique héréditaire se caractérisant par un déficit de production de mélanine pouvant aller jusqu'à l'absence totale dans l’iris et les téguments, malgré la présence normale de cellules pigmentaires.
Les différents types d’AOC ont été décrits initialement en Fonction des phénotypes cliniques mais cette classification est abandonnée au profit d’une classification moléculaire Basée sur la connaissance des gènes responsables des différentes formes. On observe d’ailleurs une hétérogénéité clinique pour des mutations dans un même gène, notamment pour le gène MATP, et il est probable que certains AOC à forme fruste sont sous-diagnostiquées. La pratique du diagnostic moléculaire est délicate se base sur la clinique et sur les examens complémentaires, comme le test du bulbe de cheveu, sans toutefois leur attribuer un caractère absolu. La fréquence des différents types pourra être précisée au fur et à mesure des investigations moléculaires et modifiera peut-être la stratégie d’étude génétique. Autrement, la responsabilité d’autres gènes pour des cas non encore résolus au niveau moléculaire ou l’éventualité d’un digénisme : maladie liée à des mutations dans deux gènes différents ; pour des patients porteurs d’une seule mutation. Tous les albinos devraient être répertoriés dès le plus jeune âge pour un dépistage précoce des lésions précancéreuses ; en particulier une surveillance de la peau et des yeux.
La prise en charge d’un enfant déficient visuel doit être global et répondre spécifiquement à ses besoins, en s’intégrant à son cadre de vie. L’aide doit être acceptée et souhaitée par l’enfant. selon les cas, des intervenants en psychomotricité, ergothérapie, instruction en locomotion, psychologie et enseignement spécialisé vont apporter les outils d’adaptation dont l’enfant pourra se servir pour se développer et s’intégrer harmonieusement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1982014 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : HAMZAOUI.S L’albinisme chez l’enfant [thèse] / Mohamed EL-BALLOUTI, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : L’albinisme chez l’enfant Etiopathogénie Aspect clinique Prise en charge Résumé : L'albinisme est une maladie génétique héréditaire se caractérisant par un déficit de production de mélanine pouvant aller jusqu'à l'absence totale dans l’iris et les téguments, malgré la présence normale de cellules pigmentaires.
Les différents types d’AOC ont été décrits initialement en Fonction des phénotypes cliniques mais cette classification est abandonnée au profit d’une classification moléculaire Basée sur la connaissance des gènes responsables des différentes formes. On observe d’ailleurs une hétérogénéité clinique pour des mutations dans un même gène, notamment pour le gène MATP, et il est probable que certains AOC à forme fruste sont sous-diagnostiquées. La pratique du diagnostic moléculaire est délicate se base sur la clinique et sur les examens complémentaires, comme le test du bulbe de cheveu, sans toutefois leur attribuer un caractère absolu. La fréquence des différents types pourra être précisée au fur et à mesure des investigations moléculaires et modifiera peut-être la stratégie d’étude génétique. Autrement, la responsabilité d’autres gènes pour des cas non encore résolus au niveau moléculaire ou l’éventualité d’un digénisme : maladie liée à des mutations dans deux gènes différents ; pour des patients porteurs d’une seule mutation. Tous les albinos devraient être répertoriés dès le plus jeune âge pour un dépistage précoce des lésions précancéreuses ; en particulier une surveillance de la peau et des yeux.
La prise en charge d’un enfant déficient visuel doit être global et répondre spécifiquement à ses besoins, en s’intégrant à son cadre de vie. L’aide doit être acceptée et souhaitée par l’enfant. selon les cas, des intervenants en psychomotricité, ergothérapie, instruction en locomotion, psychologie et enseignement spécialisé vont apporter les outils d’adaptation dont l’enfant pourra se servir pour se développer et s’intégrer harmonieusement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1982014 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : HAMZAOUI.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1982014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1982014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1982014URL Erysipèle chez l’enfant diagnostic et traitement / NissrineJait
Titre : Erysipèle chez l’enfant diagnostic et traitement Type de document : thèse Auteurs : NissrineJait, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : étiologie aspect clinique traitement évolution prévention Résumé : L’érysipèle est une dermo-hypodermite aigue non nécrosante d’origine bactérienne, essentiellement streptococcique, pouvant récidiver. Il est cliniquement défini par la survenue d’un placard inflammatoire, avec fièvre, de début aigu.
Les facteurs favorisants locorégionaux et généraux sont présents dans la majorité des cas.
Le diagnostic est principalement clinique, mais parfois il est difficile de le distinguer de l’ensemble des diagnostics différentiels (ostéomyélite, ostéoarthrite, staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) vu la fréquence des tableaux cliniques incomplets chez l’enfant et le nourrisson.
La localisation des membres inférieurs est la plus fréquente représentant 66à 76%
des cas.
Les examens paracliniques ont peu d’intérêt pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’érysipèle fait appel principalement à antibiothérapie active visant le streptocoque : la pénicilline G
En cas d’échec d’une antibiothérapie antistreptococcique, l’ensemble des diagnostics différentiels de l’érysipèle (staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) doivent être discuté.
En cas d’érysipèle typique et en l’absence de signes de gravité, le traitement peut être conduit à domicile avec surveillance quotidienne. L’hospitalisation s’impose d’emblée dans les cas graves, douteux ou, secondairement, en l’absence d’amélioration malgré un traitement bien suivi.
Cette affection dont l’évolution est le plus souvent favorable peut, cependant, exposer à des complications graves.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1082015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Erysipèle chez l’enfant diagnostic et traitement [thèse] / NissrineJait, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : étiologie aspect clinique traitement évolution prévention Résumé : L’érysipèle est une dermo-hypodermite aigue non nécrosante d’origine bactérienne, essentiellement streptococcique, pouvant récidiver. Il est cliniquement défini par la survenue d’un placard inflammatoire, avec fièvre, de début aigu.
Les facteurs favorisants locorégionaux et généraux sont présents dans la majorité des cas.
Le diagnostic est principalement clinique, mais parfois il est difficile de le distinguer de l’ensemble des diagnostics différentiels (ostéomyélite, ostéoarthrite, staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) vu la fréquence des tableaux cliniques incomplets chez l’enfant et le nourrisson.
La localisation des membres inférieurs est la plus fréquente représentant 66à 76%
des cas.
Les examens paracliniques ont peu d’intérêt pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’érysipèle fait appel principalement à antibiothérapie active visant le streptocoque : la pénicilline G
En cas d’échec d’une antibiothérapie antistreptococcique, l’ensemble des diagnostics différentiels de l’érysipèle (staphylococcie maligne, fasciite nécrosante, cellulite…) doivent être discuté.
En cas d’érysipèle typique et en l’absence de signes de gravité, le traitement peut être conduit à domicile avec surveillance quotidienne. L’hospitalisation s’impose d’emblée dans les cas graves, douteux ou, secondairement, en l’absence d’amélioration malgré un traitement bien suivi.
Cette affection dont l’évolution est le plus souvent favorable peut, cependant, exposer à des complications graves.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1082015 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : MANSOURI.F Juge : EL HAMZAOUI.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1082015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M1082015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible LYMPHANGIOME KYSTIQUE CUTANE CHEZ L’ENFANT. / MARBOUH AMINA
Titre : LYMPHANGIOME KYSTIQUE CUTANE CHEZ L’ENFANT. Type de document : thèse Auteurs : MARBOUH AMINA, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : EPIDEMIOLOGIE ETIOPATHOGENIE ASPECT CLINIQUE TRAITEMENT. Résumé : Le lymphangiome kystique représente 6% des tumeurs bénignes de l’enfant, ce sont des dilatations lymphatiques qui peuvent être microkystiques, macrokystiques ou mixtes. L’embryologie et la pathogénie sont encore débattues. La solution viendra des avancées de la recherche moléculaire avec la découverte et l’étude des facteurs de lymphogénèse.
La localisation la plus fréquente est cervicofaciale (75% des cas) puis axillaire (20% des cas), et médiastinal, rétropéritonéale, pelvienne dans (5% des cas).Le diagnostic anténatal est possible grâce à l’échographie, et l’imagerie par résonance magnétique (IRM). En postnatal, le diagnostic est clinique complété par l’échographie, le scanner et l’IRM qui reste l’examen complémentaire le plus performant pour confirmer le diagnostic.
Le choix du traitement dépend de la forme clinique et de la localisation du lymphangiome kystique. Les formes microkystiques sont traitées essentiellement par la chirurgie. Cependant dans les formes superficielles et circonscrites, un traitement par laser CO2peut être indiqué. Les formes macrokystiques relèvent de la sclérothérapie percutanée et les formes mixtes peuvent nécessiter l’association des deux moyens thérapeutiques (chirurgie, sclérothérapie).
Les localisations à risque de lésions nerveuses, sont traitées préférentiellement par la sclérothérapie. Des ponctions évacuatrices sont indiquées uniquement dans les situations d’urgence. Le but du traitement est de minimiser les complications fonctionnelles et esthétiques du lymphangiome, tout en minimisant les séquelles par une évaluation du rapport bénéfice/risque du traitement. La qualité de vie doit déterminer la conduite à tenir.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0182013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL MANSOURI.F LYMPHANGIOME KYSTIQUE CUTANE CHEZ L’ENFANT. [thèse] / MARBOUH AMINA, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : EPIDEMIOLOGIE ETIOPATHOGENIE ASPECT CLINIQUE TRAITEMENT. Résumé : Le lymphangiome kystique représente 6% des tumeurs bénignes de l’enfant, ce sont des dilatations lymphatiques qui peuvent être microkystiques, macrokystiques ou mixtes. L’embryologie et la pathogénie sont encore débattues. La solution viendra des avancées de la recherche moléculaire avec la découverte et l’étude des facteurs de lymphogénèse.
La localisation la plus fréquente est cervicofaciale (75% des cas) puis axillaire (20% des cas), et médiastinal, rétropéritonéale, pelvienne dans (5% des cas).Le diagnostic anténatal est possible grâce à l’échographie, et l’imagerie par résonance magnétique (IRM). En postnatal, le diagnostic est clinique complété par l’échographie, le scanner et l’IRM qui reste l’examen complémentaire le plus performant pour confirmer le diagnostic.
Le choix du traitement dépend de la forme clinique et de la localisation du lymphangiome kystique. Les formes microkystiques sont traitées essentiellement par la chirurgie. Cependant dans les formes superficielles et circonscrites, un traitement par laser CO2peut être indiqué. Les formes macrokystiques relèvent de la sclérothérapie percutanée et les formes mixtes peuvent nécessiter l’association des deux moyens thérapeutiques (chirurgie, sclérothérapie).
Les localisations à risque de lésions nerveuses, sont traitées préférentiellement par la sclérothérapie. Des ponctions évacuatrices sont indiquées uniquement dans les situations d’urgence. Le but du traitement est de minimiser les complications fonctionnelles et esthétiques du lymphangiome, tout en minimisant les séquelles par une évaluation du rapport bénéfice/risque du traitement. La qualité de vie doit déterminer la conduite à tenir.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0182013 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : EL MANSOURI.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0182013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2013 Disponible NAEVUS CHEZ L’ENFANT : PRINCIPES D’EXERESE. / BOUIBAOUEN YAHYA
Titre : NAEVUS CHEZ L’ENFANT : PRINCIPES D’EXERESE. Type de document : thèse Auteurs : BOUIBAOUEN YAHYA, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : EPIDEMIOLOGIE ASPECT CLINIQUE COMPLICATIONS TRAITEMENT. Résumé : Le nævus est la tumeur bénigne la plus fréquente de la peau, elle est le plus souvent acquise.
Elle se présente sous l’aspect d’une tache pigmentée de la peau, de taille variable, de quelques millimètres dans les nævi acquis jusqu’à plusieurs centimètre dans les nævi congénitaux géants. Le diagnostic est clinique, on n’a généralement recours à la biopsie que pour confirmer une suspicion de mélanome.
L’histopathologie montre des cellules mélanocytaires en amas ou thèque qui sont au début localisés à la jonction dermo-épidermique, puis évoluent secondairement vers le derme. Les mécanismes de la naevogénèse ne sont toujours pas clairement élucidés.
Le diagnostic différentiel essentiel de ces lésions se pose avec le mélanome.
La transformation des nævi acquis et congénitaux de petite taille est rare, néanmoins l’auto-surveillance est toujours préconisée. Les nævi géants par contre présentent un plus grand risque de dégénérescence, méritant une surveillance clinique plus attentive.
En dehors d’un doute diagnostique pour un mélanome ou de l’apparition de signes de transformation maligne d’un nævus, l’exérèse n’est pas formellement indiquée. Elle peut être réalisée dans un but esthétique vu le retentissement psychosocial de certains nævus jugés disgracieux.
L'attitude thérapeutique doit être décidée cas par cas par une équipe multidisciplinaire, vu la diversité des lésions quant à leurs tailles, localisations, leur potentiel dégénératif et l’âge de la prise en charge. L’exérèse chirurgicale reste le traitement idéal, mais des alternatives récente à la chirurgie peuvent donner des résultats esthétiques satisfaisants pour les lésions techniquement inopérables, ou au prix d’importantes cicatrices.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2652012 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : MANSOURI.F NAEVUS CHEZ L’ENFANT : PRINCIPES D’EXERESE. [thèse] / BOUIBAOUEN YAHYA, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : EPIDEMIOLOGIE ASPECT CLINIQUE COMPLICATIONS TRAITEMENT. Résumé : Le nævus est la tumeur bénigne la plus fréquente de la peau, elle est le plus souvent acquise.
Elle se présente sous l’aspect d’une tache pigmentée de la peau, de taille variable, de quelques millimètres dans les nævi acquis jusqu’à plusieurs centimètre dans les nævi congénitaux géants. Le diagnostic est clinique, on n’a généralement recours à la biopsie que pour confirmer une suspicion de mélanome.
L’histopathologie montre des cellules mélanocytaires en amas ou thèque qui sont au début localisés à la jonction dermo-épidermique, puis évoluent secondairement vers le derme. Les mécanismes de la naevogénèse ne sont toujours pas clairement élucidés.
Le diagnostic différentiel essentiel de ces lésions se pose avec le mélanome.
La transformation des nævi acquis et congénitaux de petite taille est rare, néanmoins l’auto-surveillance est toujours préconisée. Les nævi géants par contre présentent un plus grand risque de dégénérescence, méritant une surveillance clinique plus attentive.
En dehors d’un doute diagnostique pour un mélanome ou de l’apparition de signes de transformation maligne d’un nævus, l’exérèse n’est pas formellement indiquée. Elle peut être réalisée dans un but esthétique vu le retentissement psychosocial de certains nævus jugés disgracieux.
L'attitude thérapeutique doit être décidée cas par cas par une équipe multidisciplinaire, vu la diversité des lésions quant à leurs tailles, localisations, leur potentiel dégénératif et l’âge de la prise en charge. L’exérèse chirurgicale reste le traitement idéal, mais des alternatives récente à la chirurgie peuvent donner des résultats esthétiques satisfaisants pour les lésions techniquement inopérables, ou au prix d’importantes cicatrices.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2652012 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : MANSOURI.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2652012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible
Titre : Les principales étiologies de l’urticaire chez l’enfant. Type de document : thèse Auteurs : ELKHASSAR youssra, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Aspect clinique épidémiologie étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Cliniquement définie par la Survenue de lésions papuleuses œdémateuses « ortiées », rosées ou érythémateuses, à bordure nette, de taille variable, isolées ou confluant. Fugaces, les lésions persistent de quelques minutes à quelques heures et disparaissent sans laisser de traces.
Lorsque les crises urticariennes apparaissent de façon quotidienne ou quasi quotidienne pendant plus de six semaines, on parle alors d’urticaire chronique (UC).
L’urticaire aiguë est la présentation clinique la plus fréquente chez les enfants, souvent déclenchée par une infection virale d’origine respiratoire.
Sur le plan physiopathologique, c’est l’activation des mastocytes et des polynucléaires basophiles qui est le phénomèneclef.
La plupart des urticaires chroniques relèvent d’un mécanisme non allergique.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique.
L’origine allergique d’une urticaire aiguë està suspecter si les lésions surviennent dans lesminutes (ou au maximum dans un délai de 2 heures) après l’ingestion d’un aliment ou d’un médicament.Passé ce délai, l’origine allergique est très peuprobable.
Le traitement de l’urticaire reste symptomatique avec les antihistaminiques H1 de 2ème génération en première intention.
En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
La grande majorité des urticaires aigues dure quelques jours puis régresse sans séquelle : 5,4% des enfants sont encore affectés après 15 jours d’évolution. Seuls 0,1-0,3% évoluent vers une urticaire chronique (> 6 semaines d’évolution).
Le pronostic des urticaires chroniques pédiatriques est jugé bon avec 50% des enfants en rémission après 5 ans d’évolution.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2582018 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Les principales étiologies de l’urticaire chez l’enfant. [thèse] / ELKHASSAR youssra, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Aspect clinique épidémiologie étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Cliniquement définie par la Survenue de lésions papuleuses œdémateuses « ortiées », rosées ou érythémateuses, à bordure nette, de taille variable, isolées ou confluant. Fugaces, les lésions persistent de quelques minutes à quelques heures et disparaissent sans laisser de traces.
Lorsque les crises urticariennes apparaissent de façon quotidienne ou quasi quotidienne pendant plus de six semaines, on parle alors d’urticaire chronique (UC).
L’urticaire aiguë est la présentation clinique la plus fréquente chez les enfants, souvent déclenchée par une infection virale d’origine respiratoire.
Sur le plan physiopathologique, c’est l’activation des mastocytes et des polynucléaires basophiles qui est le phénomèneclef.
La plupart des urticaires chroniques relèvent d’un mécanisme non allergique.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique.
L’origine allergique d’une urticaire aiguë està suspecter si les lésions surviennent dans lesminutes (ou au maximum dans un délai de 2 heures) après l’ingestion d’un aliment ou d’un médicament.Passé ce délai, l’origine allergique est très peuprobable.
Le traitement de l’urticaire reste symptomatique avec les antihistaminiques H1 de 2ème génération en première intention.
En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
La grande majorité des urticaires aigues dure quelques jours puis régresse sans séquelle : 5,4% des enfants sont encore affectés après 15 jours d’évolution. Seuls 0,1-0,3% évoluent vers une urticaire chronique (> 6 semaines d’évolution).
Le pronostic des urticaires chroniques pédiatriques est jugé bon avec 50% des enfants en rémission après 5 ans d’évolution.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2582018 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOUIRIK.F Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2582018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M2582018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M2582018URL
Titre : Urticaire chez l’enfant démarche diagnostic et traitement Type de document : thèse Auteurs : Ichar Mariem, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : épidémiologie Aspect clinique étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Elle est cliniquement définie par la survenue de lésions papuleuses cutanées et/ou muqueuses fugaces et migratrices appelées plaques parfois associées à des œdèmes sous-cutanés ou muqueux appelés angio-œdèmes. On différencie selon leur durée d’évolution les urticaires aiguës des urticaires chroniques qui durent plus de 6 semaines.
Différentes formes cliniques d’urticaires peuvent coexister chez un même patient. L’urticaire résulte d’une activation des mastocytes.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique. Une étiologie allergique en cas d’urticaire aiguë, bien que rare, est systématiquement à rechercher et à éliminer.
L’urticaire chronique n’est pas allergique, son diagnostic repose sur un interrogatoire et un examen clinique soigneux pour éliminer des diagnostics différentiels. Peu d’examens paracliniques sont nécessaires pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’urticaire est symptomatique et repose sur les antihistaminiques anti-H1 de 2egénération en première intention. En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
En cas d’échec des antihistaminiques, d’autres traitements en particulier immunomodulateurs peuvent être proposés dans des centres spécialisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1262014 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : CHOKAIRI.O Juge : MANSOURI.F Urticaire chez l’enfant démarche diagnostic et traitement [thèse] / Ichar Mariem, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : épidémiologie Aspect clinique étiologie traitement Résumé : L’urticaire est une dermatose inflammatoire fréquente. Elle est cliniquement définie par la survenue de lésions papuleuses cutanées et/ou muqueuses fugaces et migratrices appelées plaques parfois associées à des œdèmes sous-cutanés ou muqueux appelés angio-œdèmes. On différencie selon leur durée d’évolution les urticaires aiguës des urticaires chroniques qui durent plus de 6 semaines.
Différentes formes cliniques d’urticaires peuvent coexister chez un même patient. L’urticaire résulte d’une activation des mastocytes.
Le diagnostic de l’urticaire est clinique reposant sur l’interrogatoire et l’examen clinique. Une étiologie allergique en cas d’urticaire aiguë, bien que rare, est systématiquement à rechercher et à éliminer.
L’urticaire chronique n’est pas allergique, son diagnostic repose sur un interrogatoire et un examen clinique soigneux pour éliminer des diagnostics différentiels. Peu d’examens paracliniques sont nécessaires pour son diagnostic et sa prise en charge.
Le traitement de l’urticaire est symptomatique et repose sur les antihistaminiques anti-H1 de 2egénération en première intention. En cas d’urticaire chronique, un traitement de fond prolongé par antihistaminiques à posologie augmentée peut être nécessaire. Chez la majorité des patients, ce traitement est suffisant pour contrôler l’urticaire chronique.
En cas d’échec des antihistaminiques, d’autres traitements en particulier immunomodulateurs peuvent être proposés dans des centres spécialisés.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1262014 Président : BENTAHILA.A Directeur : JABOURIK.F Juge : CHOKAIRI.O Juge : MANSOURI.F Réservation
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Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1262014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1262014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
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