Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Démarche diagnostique'
Affiner la recherche Faire une suggestion
Titre : APPROCHE DIAGNOSTIQUE AUX URGENCES NEUROLOGIQUES Type de document : thèse Auteurs : Hajar NACIRI DARAI, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : urgences neurologiques démarche diagnostique algorithme Résumé : « L’approche diagnostique aux urgences neurologiques » est un guide
pratique destiné aux jeunes résidents de neurologie comme outil de travail
permettant l’aide au diagnostic lors de la consultation aux urgences
neurologiques.
Le raisonnement diagnostique se fait à partir du motif de consultation du patient
en urgence en tant que syndrome ou signe clinique à l’exception de l’AVC
ischémique qui a été traité en tant que pathologie avec une conduite à tenir en
alerte thrombolyse vue l’extrême urgence de sa prise en charge.
Pour chaque situation, le praticien retrouve sous forme d’algorithme :
- une démarche diagnostique fondée sur des données cliniques,
radiologiques et biologiques,
- une prise en charge thérapeutique médicale et/ou chirurgicale pour les
pathologies dont le pronostic fonctionnel ou vital est mis en jeu
- et des rappels de bases insérés au fur à mesure pour permettre une
meilleure assimilation.
Il aborde ainsi sous un angle didactique et de façon synthétique les principales
situations pathologiques rencontrées aux urgences neurologiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1612021 Directeur : Wafa REGRAGUI APPROCHE DIAGNOSTIQUE AUX URGENCES NEUROLOGIQUES [thèse] / Hajar NACIRI DARAI, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : urgences neurologiques démarche diagnostique algorithme Résumé : « L’approche diagnostique aux urgences neurologiques » est un guide
pratique destiné aux jeunes résidents de neurologie comme outil de travail
permettant l’aide au diagnostic lors de la consultation aux urgences
neurologiques.
Le raisonnement diagnostique se fait à partir du motif de consultation du patient
en urgence en tant que syndrome ou signe clinique à l’exception de l’AVC
ischémique qui a été traité en tant que pathologie avec une conduite à tenir en
alerte thrombolyse vue l’extrême urgence de sa prise en charge.
Pour chaque situation, le praticien retrouve sous forme d’algorithme :
- une démarche diagnostique fondée sur des données cliniques,
radiologiques et biologiques,
- une prise en charge thérapeutique médicale et/ou chirurgicale pour les
pathologies dont le pronostic fonctionnel ou vital est mis en jeu
- et des rappels de bases insérés au fur à mesure pour permettre une
meilleure assimilation.
Il aborde ainsi sous un angle didactique et de façon synthétique les principales
situations pathologiques rencontrées aux urgences neurologiques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1612021 Directeur : Wafa REGRAGUI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS1612021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible MS1612021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS1612021URL CONDUITE A TENIR DEVANT UNE HYPEREOSINOPHILIE / Lamiae El BOUHSSINI
Titre : CONDUITE A TENIR DEVANT UNE HYPEREOSINOPHILIE Type de document : thèse Auteurs : Lamiae El BOUHSSINI, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Hyperéosinophilie Etiologies Démarche diagnostique Traitement Résumé : Une hyperéosinophilie sanguine se définit comme une augmentation de taux des éosinophiles
supérieur à 500 éosinophiles/mm3, le terme d’hyperéosinophilie peut concerner aussi les tissus,
« Hyperéosinophilie tissulaire »
L’hyperéosinophilie sanguine peut être classée à hyperéosinophilie primaire et secondaire.
L’hyperéosinophilie secondaire est due à de nombreuses étiologies telle que :
Les infections notamment les infections parasitaires (helminthes)
L’atopie (asthme, la rhinite allergique, aspergillose bronchopulmonaire allergique, la
dermatite atopique, le syndrome de widal),
Les réactions médicamenteuses (dress syndrome)
Les affections hématologiques qui peuvent être classées comme he réactionnelle, clonale
ou idiopathique
Certaines maladies inflammatoires ou auto-immunes (la pemphigoïde bulleuse, maladie
de crohn et rectocolite hémorragique, la sarcoïdose, la granulomatose avec polyangéite.)
Les troubles immunodéficitaires (le syndrome de wiskott-aldrich, le syndrome d’omenn,
syndromes d'hyper-ige …)
Les causes gastro-intestinales (œsophagite à éosinophiles, gastroentérite à éosinophiles,
cirrhose biliaire primitive, maladie de whipple)
les causes dermatologiques (fascite à éosinophiles, maladie de wells, syndrome de gleich,
folliculite pustuleuse éosinophilique, maladie de kimura)
Les causes pulmonaires (pneumonie à éosinophiles chronique et aiguë, syndrome de
churg-strauss)
Les causes urogénitales (néphrite interstitielle, Cystite à éosinophiles, emboles de
cholestérol)
Hyperéosinophilie primaire ou Le SHEI est défini comme une éosinophilie supérieure à
1500/mm3 persistant plus de 6 mois, avec des manifestations viscérales et absence cause secondaire.
La démarche diagnostique d’hyperéosinophilie se base sur l’anamnèse minutieuse et l’examen
clinique complet et le bilan initial de base. Ces derniers facilitent le choix des examens
complémentaires nécessaires pour trouver le diagnostic.
Le traitement d’hyperéosinophilie repose sur le traitement de la maladie associée à l’HE
secondaire ou primaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1262023 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Anass JEAIDI Juge : Hafid ZAHID CONDUITE A TENIR DEVANT UNE HYPEREOSINOPHILIE [thèse] / Lamiae El BOUHSSINI, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Hyperéosinophilie Etiologies Démarche diagnostique Traitement Résumé : Une hyperéosinophilie sanguine se définit comme une augmentation de taux des éosinophiles
supérieur à 500 éosinophiles/mm3, le terme d’hyperéosinophilie peut concerner aussi les tissus,
« Hyperéosinophilie tissulaire »
L’hyperéosinophilie sanguine peut être classée à hyperéosinophilie primaire et secondaire.
L’hyperéosinophilie secondaire est due à de nombreuses étiologies telle que :
Les infections notamment les infections parasitaires (helminthes)
L’atopie (asthme, la rhinite allergique, aspergillose bronchopulmonaire allergique, la
dermatite atopique, le syndrome de widal),
Les réactions médicamenteuses (dress syndrome)
Les affections hématologiques qui peuvent être classées comme he réactionnelle, clonale
ou idiopathique
Certaines maladies inflammatoires ou auto-immunes (la pemphigoïde bulleuse, maladie
de crohn et rectocolite hémorragique, la sarcoïdose, la granulomatose avec polyangéite.)
Les troubles immunodéficitaires (le syndrome de wiskott-aldrich, le syndrome d’omenn,
syndromes d'hyper-ige …)
Les causes gastro-intestinales (œsophagite à éosinophiles, gastroentérite à éosinophiles,
cirrhose biliaire primitive, maladie de whipple)
les causes dermatologiques (fascite à éosinophiles, maladie de wells, syndrome de gleich,
folliculite pustuleuse éosinophilique, maladie de kimura)
Les causes pulmonaires (pneumonie à éosinophiles chronique et aiguë, syndrome de
churg-strauss)
Les causes urogénitales (néphrite interstitielle, Cystite à éosinophiles, emboles de
cholestérol)
Hyperéosinophilie primaire ou Le SHEI est défini comme une éosinophilie supérieure à
1500/mm3 persistant plus de 6 mois, avec des manifestations viscérales et absence cause secondaire.
La démarche diagnostique d’hyperéosinophilie se base sur l’anamnèse minutieuse et l’examen
clinique complet et le bilan initial de base. Ces derniers facilitent le choix des examens
complémentaires nécessaires pour trouver le diagnostic.
Le traitement d’hyperéosinophilie repose sur le traitement de la maladie associée à l’HE
secondaire ou primaire.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1262023 Président : Azlarab MASRAR Directeur : Souad BENKIRANE Juge : Anass JEAIDI Juge : Hafid ZAHID Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1262023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible L’EMBOLIE PULMONAIRE EN GÉRIATRIE / HALLA RHITA
Titre : L’EMBOLIE PULMONAIRE EN GÉRIATRIE Type de document : thèse Auteurs : HALLA RHITA, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Embolie pulmonaire Gériatrie Démarche diagnostique Evaluation du risque Pulmonary Embolism Geriatrics Diagnosis Elderly Risk Assessment جلطةالرئة الجيرياتريا التشخيص،كبارالسن تقييمالمخاطر Résumé : L'embolie pulmonaire (EP) représente un défi majeur dans la prise en charge médicale,
notamment chez les personnes âgées. Cette condition critique, faisant partie des affections
thromboemboliques veineuses, peut avoir des conséquences graves sur le pronostic vital des patients.
Son diagnostic en gériatrie est complexe du fait de la nature non spécifique des symptômes, ce qui
requiert une approche clinique méticuleuse et une stratégie diagnostique basée sur l'évaluation initiale
des manifestations cliniques.
Cette étude rétrospective, portant sur 20 cas d'embolie pulmonaire recueillis au sein du service de
médecine interne en unité de gériatrie du Centre Hospitalier Universitaire Ibn Sina de Rabat au Maroc
entre janvier 2021 et décembre 2022, vise à approfondir la compréhension du profil épidémiologique,
clinique, radiologique et étiologique spécifique à cette population gériatrique. Une analyse comparative
avec les données de la littérature enrichit notre compréhension de ces aspects.
Notre cohorte gériatrique se caractérise par un âge moyen de 78 ans, avec une prédominance
féminine marquée (80% contre 20%). Par ailleurs, 90% des patients présentent au moins un facteur de
risque thromboembolique, indépendamment de l'âge avancé, constituant un élément commun au sein de
la cohorte. Les symptômes prédominants incluent la dyspnée (70%) et les palpitations (40%), tandis que
des signes de gravité tels que l'hypoxémie (50%), la polypnée (40%) et la tachycardie (35%) sont
observés.
Les examens complémentaires, tels que la radiographie thoracique réalisée pour 65% des patients,
ont montré des anomalies chez tous les patients, principalement des épanchements pleuraux. Les D-
Dimères ont été demandés chez 60% des patients et se sont révélés positifs dans 100% de ces cas.
L'angioscanner, réalisé chez 95% des patients, a confirmé une EP proximale dans 85% des cas.
L'échocardiographie transthoracique a détecté des anomalies chez 75% des patients, tandis que
l'échodoppler veineux a révélé une TVP chez 20% d'entre eux.
Concernant le traitement, la grande majorité des patients ont été placés sous anticoagulants à base
d'héparines de bas poids moléculaire, relayés par des anticoagulants oraux directs (50%) ou des
antivitamines K (20%). Les étiologies les plus courantes étaient l'immobilisation prolongée (30%) et la
thrombose veineuse profonde (25%).
En conclusion, la prise en charge de l'EP en gériatrie nécessite une approche diagnostique guidée
par des scores de probabilité clinique et l'utilisation fréquente de techniques d'imagerie non invasives.
Le volet thérapeutique repose sur une anticoagulation adaptée, intégrant les anticoagulants oraux directs
(AOD) ou les antivitamines K (AVK), dans le but d'assurer une gestion optimale de cette pathologie
chez les patients gériatriques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0472024 Président : Zoubida TAZI MEZALEK Directeur : Mouna MAAMAR Juge : Latifa OUKERRAJ Juge : Hicham HARMOUCHE Juge : Mustapha ALILOU L’EMBOLIE PULMONAIRE EN GÉRIATRIE [thèse] / HALLA RHITA, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Embolie pulmonaire Gériatrie Démarche diagnostique Evaluation du risque Pulmonary Embolism Geriatrics Diagnosis Elderly Risk Assessment جلطةالرئة الجيرياتريا التشخيص،كبارالسن تقييمالمخاطر Résumé : L'embolie pulmonaire (EP) représente un défi majeur dans la prise en charge médicale,
notamment chez les personnes âgées. Cette condition critique, faisant partie des affections
thromboemboliques veineuses, peut avoir des conséquences graves sur le pronostic vital des patients.
Son diagnostic en gériatrie est complexe du fait de la nature non spécifique des symptômes, ce qui
requiert une approche clinique méticuleuse et une stratégie diagnostique basée sur l'évaluation initiale
des manifestations cliniques.
Cette étude rétrospective, portant sur 20 cas d'embolie pulmonaire recueillis au sein du service de
médecine interne en unité de gériatrie du Centre Hospitalier Universitaire Ibn Sina de Rabat au Maroc
entre janvier 2021 et décembre 2022, vise à approfondir la compréhension du profil épidémiologique,
clinique, radiologique et étiologique spécifique à cette population gériatrique. Une analyse comparative
avec les données de la littérature enrichit notre compréhension de ces aspects.
Notre cohorte gériatrique se caractérise par un âge moyen de 78 ans, avec une prédominance
féminine marquée (80% contre 20%). Par ailleurs, 90% des patients présentent au moins un facteur de
risque thromboembolique, indépendamment de l'âge avancé, constituant un élément commun au sein de
la cohorte. Les symptômes prédominants incluent la dyspnée (70%) et les palpitations (40%), tandis que
des signes de gravité tels que l'hypoxémie (50%), la polypnée (40%) et la tachycardie (35%) sont
observés.
Les examens complémentaires, tels que la radiographie thoracique réalisée pour 65% des patients,
ont montré des anomalies chez tous les patients, principalement des épanchements pleuraux. Les D-
Dimères ont été demandés chez 60% des patients et se sont révélés positifs dans 100% de ces cas.
L'angioscanner, réalisé chez 95% des patients, a confirmé une EP proximale dans 85% des cas.
L'échocardiographie transthoracique a détecté des anomalies chez 75% des patients, tandis que
l'échodoppler veineux a révélé une TVP chez 20% d'entre eux.
Concernant le traitement, la grande majorité des patients ont été placés sous anticoagulants à base
d'héparines de bas poids moléculaire, relayés par des anticoagulants oraux directs (50%) ou des
antivitamines K (20%). Les étiologies les plus courantes étaient l'immobilisation prolongée (30%) et la
thrombose veineuse profonde (25%).
En conclusion, la prise en charge de l'EP en gériatrie nécessite une approche diagnostique guidée
par des scores de probabilité clinique et l'utilisation fréquente de techniques d'imagerie non invasives.
Le volet thérapeutique repose sur une anticoagulation adaptée, intégrant les anticoagulants oraux directs
(AOD) ou les antivitamines K (AVK), dans le but d'assurer une gestion optimale de cette pathologie
chez les patients gériatriques.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0472024 Président : Zoubida TAZI MEZALEK Directeur : Mouna MAAMAR Juge : Latifa OUKERRAJ Juge : Hicham HARMOUCHE Juge : Mustapha ALILOU Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0472024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible