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Titre : IMAGERIE DIAGNOSTIQUE DU CANCER DU CAVUM EN PEDIATRIE (A PROPOS DE 56 CAS) Type de document : thèse Auteurs : Hajar HAMRI, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer UCNT Nasopharynx Adénopathie cervicale Imagerie. Résumé : Introduction
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie sont essentiellement représentées par
le carcinome indifférencié (UCNT) suivi du lymphome malin non hodgkinien
(LMNH) et du rhabdomyosarcome (RMS). L’UCNT est une tumeur rare qui ne
concerne qu’environ 1 % des cancers de l’enfant, mais représente néanmoins un
tiers des tumeurs malignes du cavum. L'objectif principal de ce travail est de faire
connaitre le mode d’extension tumorale, les signes de gravité et les facteurs
pronostiques, décrire les modifications de la 8ème classification TNM et
expliquer leurs implications cliniques et thérapeutiques, en appuyant sur le rôle
central du radiologue.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 56cas de tumeurs du nasopharynx
colligés à l’hôpital d’enfant de Rabat. Le bilan diagnostique et d’extension
locorégionale a comporté une nasofibroscopie avec biopsie et une exploration de
la base du crâne jusqu’à la base du cou par TDM +/- IRM.
Résultats
L'âge médian des patients était de 11 ans avec un sex-ratio de 1,33. Les principaux
signes motivant le bilan radiologique étaient les otites à répétition, les céphalées
et les adénopathies cervicales. L’UCNT a représenté la tumeur la plus fréquente
(46 cas) suivi du LMNH (8 cas) et du RMS (2 cas). Pour la classification TNM
des UCNT ; la tumeur primitive était classée : T1 (3cas), T2 (14cas), T3 (10cas)
et T4 (19cas), l’extension lymphatique : N0 (10cas), N1 (6cas), N2 (22cas), N3a
(5cas) et N3b (3cas) et l’extension métastatique : M0 (43cas) et M1 (3cas).
Conclusion
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie ont une symptomatologie peu
spécifique souvent rapportée à tort à une infection ORL d'où un retard de
diagnostic. Le radiologue doit savoir orienter le diagnostic devant des signes ORL
récurrents. Un diagnostic précoce garantit une prise en charge thérapeutique
rapide et un meilleur pronostic. L’IRM constitue l’examen de choix dans le cadre
du bilan pré-thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1872020 Directeur : Nazik ALLALI IMAGERIE DIAGNOSTIQUE DU CANCER DU CAVUM EN PEDIATRIE (A PROPOS DE 56 CAS) [thèse] / Hajar HAMRI, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer UCNT Nasopharynx Adénopathie cervicale Imagerie. Résumé : Introduction
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie sont essentiellement représentées par
le carcinome indifférencié (UCNT) suivi du lymphome malin non hodgkinien
(LMNH) et du rhabdomyosarcome (RMS). L’UCNT est une tumeur rare qui ne
concerne qu’environ 1 % des cancers de l’enfant, mais représente néanmoins un
tiers des tumeurs malignes du cavum. L'objectif principal de ce travail est de faire
connaitre le mode d’extension tumorale, les signes de gravité et les facteurs
pronostiques, décrire les modifications de la 8ème classification TNM et
expliquer leurs implications cliniques et thérapeutiques, en appuyant sur le rôle
central du radiologue.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 56cas de tumeurs du nasopharynx
colligés à l’hôpital d’enfant de Rabat. Le bilan diagnostique et d’extension
locorégionale a comporté une nasofibroscopie avec biopsie et une exploration de
la base du crâne jusqu’à la base du cou par TDM +/- IRM.
Résultats
L'âge médian des patients était de 11 ans avec un sex-ratio de 1,33. Les principaux
signes motivant le bilan radiologique étaient les otites à répétition, les céphalées
et les adénopathies cervicales. L’UCNT a représenté la tumeur la plus fréquente
(46 cas) suivi du LMNH (8 cas) et du RMS (2 cas). Pour la classification TNM
des UCNT ; la tumeur primitive était classée : T1 (3cas), T2 (14cas), T3 (10cas)
et T4 (19cas), l’extension lymphatique : N0 (10cas), N1 (6cas), N2 (22cas), N3a
(5cas) et N3b (3cas) et l’extension métastatique : M0 (43cas) et M1 (3cas).
Conclusion
Les tumeurs malignes du cavum en pédiatrie ont une symptomatologie peu
spécifique souvent rapportée à tort à une infection ORL d'où un retard de
diagnostic. Le radiologue doit savoir orienter le diagnostic devant des signes ORL
récurrents. Un diagnostic précoce garantit une prise en charge thérapeutique
rapide et un meilleur pronostic. L’IRM constitue l’examen de choix dans le cadre
du bilan pré-thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1872020 Directeur : Nazik ALLALI Exemplaires
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MS1872020URL Imagerie des tumeurs costales malignes primitives de l’enfant. / HAMRI Hajar.
Titre : Imagerie des tumeurs costales malignes primitives de l’enfant. Type de document : thèse Auteurs : HAMRI Hajar., Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sarcome d’Ewing PNET Ostéosarcome Côtes Imagerie. Résumé : Introduction
Les tumeurs costales malignes primitives (TCMP) de l’enfant sont rares. L'objectif de ce travail est de faire une mise au point sur un sujet peu traité dans la littérature, faire connaitre les particularités pédiatriques et proposer une illustration iconographique des principales TCMP pédiatriques à partir des dossiers colligés dans le service de radio-pédiatrie de l'hôpital d'enfant de Rabat.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 14cas de TCMP colligés sur une période de 10ans; de Janvier2006 à Janvier2016.
Le diagnostic a été retenu sur des arguments cliniques, para-cliniques et radiologiques et confirmé par un examen anatomopathologique.
Résultats
L’âge médian des patients a été de 10,5ans avec un sex-ratio de 6/1. Le délai diagnostique médian a été de 3,7mois. Les principaux signes motivant le bilan radiologique ont été la tuméfaction, la douleur et la fièvre.
L’imagerie a montré dans tous les cas une ostéolyse costale avec réaction périostée associée à une importante extension aux parties molles de voisinage. Le sarcome d’Ewing a représenté la tumeur la plus fréquente.
Conclusion
Les TCMP de l’enfant sont dominées par le sarcome d’Ewing qu’il faut savoir évoquer en premier devant toute atteinte costale d’allure maligne à l'âge pédiatrique.
Le diagnostic positif de ces tumeurs est difficile dans le sens qu'il faut savoir différencier les origines pleuro-pulmonaires avec atteinte pariétale d’une extension pleuro-pulmonaire d'un vrai syndrome pariétal.
La radiographie simple du thorax peut suspecter l'existence d'une atteinte costale à condition de ne pas oublier d'analyser l'ensemble du thorax.
L'imagerie moderne (échographie, TDM, IRM) facilite le diagnostic du syndrome pariétal en général et le diagnostic des TCMP en particulier.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2542016 Président : DAFIRI.R Directeur : ALLALI.N Juge : HESSISSEN.L Juge : LAMALMI.N Imagerie des tumeurs costales malignes primitives de l’enfant. [thèse] / HAMRI Hajar., Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sarcome d’Ewing PNET Ostéosarcome Côtes Imagerie. Résumé : Introduction
Les tumeurs costales malignes primitives (TCMP) de l’enfant sont rares. L'objectif de ce travail est de faire une mise au point sur un sujet peu traité dans la littérature, faire connaitre les particularités pédiatriques et proposer une illustration iconographique des principales TCMP pédiatriques à partir des dossiers colligés dans le service de radio-pédiatrie de l'hôpital d'enfant de Rabat.
Matériel et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 14cas de TCMP colligés sur une période de 10ans; de Janvier2006 à Janvier2016.
Le diagnostic a été retenu sur des arguments cliniques, para-cliniques et radiologiques et confirmé par un examen anatomopathologique.
Résultats
L’âge médian des patients a été de 10,5ans avec un sex-ratio de 6/1. Le délai diagnostique médian a été de 3,7mois. Les principaux signes motivant le bilan radiologique ont été la tuméfaction, la douleur et la fièvre.
L’imagerie a montré dans tous les cas une ostéolyse costale avec réaction périostée associée à une importante extension aux parties molles de voisinage. Le sarcome d’Ewing a représenté la tumeur la plus fréquente.
Conclusion
Les TCMP de l’enfant sont dominées par le sarcome d’Ewing qu’il faut savoir évoquer en premier devant toute atteinte costale d’allure maligne à l'âge pédiatrique.
Le diagnostic positif de ces tumeurs est difficile dans le sens qu'il faut savoir différencier les origines pleuro-pulmonaires avec atteinte pariétale d’une extension pleuro-pulmonaire d'un vrai syndrome pariétal.
La radiographie simple du thorax peut suspecter l'existence d'une atteinte costale à condition de ne pas oublier d'analyser l'ensemble du thorax.
L'imagerie moderne (échographie, TDM, IRM) facilite le diagnostic du syndrome pariétal en général et le diagnostic des TCMP en particulier.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2542016 Président : DAFIRI.R Directeur : ALLALI.N Juge : HESSISSEN.L Juge : LAMALMI.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2542016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2542016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible Plasmocytome solitaire osseux : à propos de 08 cas, aspects en imagerie et revue de littérature / Karim EL HAMMIRI
Titre : Plasmocytome solitaire osseux : à propos de 08 cas, aspects en imagerie et revue de littérature Type de document : thèse Auteurs : Karim EL HAMMIRI, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : plasmocytome solitaire osseux tumeur osseuse myélome multiple Imagerie. Résumé : Le Plasmocytome solitaire osseux est une tumeur rare. Dans le but d’illustrer ses aspects radiologiques nous avons réalisé une étude rétrospective, à l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat, portant sur 08 dossiers radio-cliniques de PSO selon les critères reconnus dans la littérature.
Le PSO atteint préférentiellement les hommes, à la 5ème ou 6ème décennie. Les douleurs osseuses, les fractures pathologiques ou les compressions médullaires constituent les signes cliniques les plus fréquents.
L’imagerie est sollicitée depuis la suspicion clinique jusqu’au suivi. Elle détecte la tumeur plasmocytaire, guide les biopsies, confirme l’absence d’atteintes secondaires permettant ainsi une meilleure prise en charge thérapeutique, et enfin, elle permet le suivi. La TDM a montré une masse de densité tissulaire avec prise de contraste, ostéolyse, rupture de la corticale et extension aux parties molles. A l’IRM, c’était une masse tumorale en hypo signal T1, hyper signal T2 et STIR, se rehaussent après injection de Gadolinium, avec lyse de la corticale et extension aux parties molles. La TEP permet la détection des lésions occultes, modifie la prise en charge thérapeutique et améliore le pronostic.
Le traitement de référence est la radiothérapie. La place de la chirurgie est limitée et celle de la chimiothérapie est controversée. Le pronostic est dominé par la transformation myélomateuse et la récidive locale, d’où l’intérêt d’un bilan initial radiologique et biologique performant et d’un suivi étroit et prolongé.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4032017 Président : BOUMDIN.H Directeur : EN-NOUALI.H Juge : OUKABLI.M Juge : SIFAT.H Juge : JAHID.A-EL MAAROUFI.H Plasmocytome solitaire osseux : à propos de 08 cas, aspects en imagerie et revue de littérature [thèse] / Karim EL HAMMIRI, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : plasmocytome solitaire osseux tumeur osseuse myélome multiple Imagerie. Résumé : Le Plasmocytome solitaire osseux est une tumeur rare. Dans le but d’illustrer ses aspects radiologiques nous avons réalisé une étude rétrospective, à l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat, portant sur 08 dossiers radio-cliniques de PSO selon les critères reconnus dans la littérature.
Le PSO atteint préférentiellement les hommes, à la 5ème ou 6ème décennie. Les douleurs osseuses, les fractures pathologiques ou les compressions médullaires constituent les signes cliniques les plus fréquents.
L’imagerie est sollicitée depuis la suspicion clinique jusqu’au suivi. Elle détecte la tumeur plasmocytaire, guide les biopsies, confirme l’absence d’atteintes secondaires permettant ainsi une meilleure prise en charge thérapeutique, et enfin, elle permet le suivi. La TDM a montré une masse de densité tissulaire avec prise de contraste, ostéolyse, rupture de la corticale et extension aux parties molles. A l’IRM, c’était une masse tumorale en hypo signal T1, hyper signal T2 et STIR, se rehaussent après injection de Gadolinium, avec lyse de la corticale et extension aux parties molles. La TEP permet la détection des lésions occultes, modifie la prise en charge thérapeutique et améliore le pronostic.
Le traitement de référence est la radiothérapie. La place de la chirurgie est limitée et celle de la chimiothérapie est controversée. Le pronostic est dominé par la transformation myélomateuse et la récidive locale, d’où l’intérêt d’un bilan initial radiologique et biologique performant et d’un suivi étroit et prolongé.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4032017 Président : BOUMDIN.H Directeur : EN-NOUALI.H Juge : OUKABLI.M Juge : SIFAT.H Juge : JAHID.A-EL MAAROUFI.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4032017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M4032017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible Les tumeurs parapharyngées A propos de 11 cas / NessrineTahtah
Titre : Les tumeurs parapharyngées A propos de 11 cas Type de document : thèse Auteurs : NessrineTahtah, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeur parapharyngée espace pré-stylien espace rétro-stylien adénome pléomorphe imagerie. Résumé : Introduction : les tumeurs parapharyngées sont rares et représentent environ 0,5 à 1% des tumeurs de la tête et du cou. Elles sont caractérisées par une symptomatologie clinique variée mais silencieuse. L’imagerie joue un rôle capital dans le bilan de ces tumeurs et le traitement repose essentiellement sur la chirurgie.
Matériels et méthodes : il s’agit d’une étude rétrospective menée au service d’ORL et de chirurgie cervico-faciale de l’hôpital des spécialités de Rabat sur une période de 05 ans, s’étalant de Janvier 2005 à Décembre 2010. Cette étude a permis de recenser 11 cas de tumeurs parapharyngées primitives ou métastatiques hospitalisés et traités durant cette période. Les paramètres épidémiologiques, histologiques, cliniques, radiologiques, thérapeutiques et évolutifs de cette pathologie ont été étudiés.
Résultats: L’étude a concernée 11 patients (neuf femmes et deux hommes). La moyenne d’âge était de 42,8 ans (7-65 ans). Les signes fonctionnels étaient variables: une gêne pharyngée, des troubles modérés de la déglutition et des douleurs. Tous les patients ont bénéficié d’un scanner. L’exérèse chirurgicale a été effectuée par voie cervicale, endobuccale ou mixte.
Conclusion : Les tumeurs parapharyngées sont rares. Un examen clinique associé au bilan d’imagerie (TDM et / ou IRM) voire une artériographie permet de porter le diagnostic topographique et d'orienter le diagnostic histologique. Leur traitement est basé sur la chirurgie, mais un complément de radiothérapie est souvent nécessaire en cas de tumeurs malignes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0052016 Président : ESSAKALI HOUSSYNI.L Directeur : OUJILAL.A Juge : AL BOUZIDI.A Juge : JAHIDI.A Les tumeurs parapharyngées A propos de 11 cas [thèse] / NessrineTahtah, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeur parapharyngée espace pré-stylien espace rétro-stylien adénome pléomorphe imagerie. Résumé : Introduction : les tumeurs parapharyngées sont rares et représentent environ 0,5 à 1% des tumeurs de la tête et du cou. Elles sont caractérisées par une symptomatologie clinique variée mais silencieuse. L’imagerie joue un rôle capital dans le bilan de ces tumeurs et le traitement repose essentiellement sur la chirurgie.
Matériels et méthodes : il s’agit d’une étude rétrospective menée au service d’ORL et de chirurgie cervico-faciale de l’hôpital des spécialités de Rabat sur une période de 05 ans, s’étalant de Janvier 2005 à Décembre 2010. Cette étude a permis de recenser 11 cas de tumeurs parapharyngées primitives ou métastatiques hospitalisés et traités durant cette période. Les paramètres épidémiologiques, histologiques, cliniques, radiologiques, thérapeutiques et évolutifs de cette pathologie ont été étudiés.
Résultats: L’étude a concernée 11 patients (neuf femmes et deux hommes). La moyenne d’âge était de 42,8 ans (7-65 ans). Les signes fonctionnels étaient variables: une gêne pharyngée, des troubles modérés de la déglutition et des douleurs. Tous les patients ont bénéficié d’un scanner. L’exérèse chirurgicale a été effectuée par voie cervicale, endobuccale ou mixte.
Conclusion : Les tumeurs parapharyngées sont rares. Un examen clinique associé au bilan d’imagerie (TDM et / ou IRM) voire une artériographie permet de porter le diagnostic topographique et d'orienter le diagnostic histologique. Leur traitement est basé sur la chirurgie, mais un complément de radiothérapie est souvent nécessaire en cas de tumeurs malignes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0052016 Président : ESSAKALI HOUSSYNI.L Directeur : OUJILAL.A Juge : AL BOUZIDI.A Juge : JAHIDI.A Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0052016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0052016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible