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ANALGESIE POSTOPERATOIRE EN CHIRURGIE THORACIQUE : PERIDURALE A LA BUPIVACAINE 0.125% VERSUS ASSOCIATION PARECOXIB - NEFOPAM / ANIS CHERRADI
Titre : ANALGESIE POSTOPERATOIRE EN CHIRURGIE THORACIQUE : PERIDURALE A LA BUPIVACAINE 0.125% VERSUS ASSOCIATION PARECOXIB - NEFOPAM Type de document : thèse Auteurs : ANIS CHERRADI, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANALGESIE POST-OPERATOIRE CHIRURGIE THORACIQUE PERIDURALE PARECOXIB NEFOPAM Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les douleurs post-opératoires après chirurgie thoracique sont parmi les plus intenses. Ainsi, 20 à 75% des patients ressentent au repos, des douleurs jugées sévères durant 1 à 3 jours.
L’importance de la douleur post-opératoire justifie la mise en œuvre systématique d’une ou de plusieurs techniques analgésiques, dont le choix dépend essentiellement des possibilités de surveillance.
But d’étude :
L’objectif de notre étude est de comparer l’association de Parécoxib et Néfopam à l’analgésie péridurale à la Bupivacaïne 0 ,125% en matière d’efficacité et de tolérance.
Matériel et méthodes :
C’est une étude prospective randomisée réalisée chez les patients, de classe ASA I ou II, opérés pour une chirurgie de résection pulmonaire. Les patients ont été randomisés en deux groupes. Le premier (G1) ayant bénéficié d’une analgésie postopératoire réalisée par la Bupivacaine à 0.125% en perfusion continue à raison de 8ml/h. Le second (G2) a bénéficié d’une analgésie débutée 30 min avant la fin de l’intervention à base de Parécoxib 40 mg toutes les 12 heures et de Néfopam à raison de 120 mg par jour. La surveillance de l’intensité de la douleur, au repos et lors de l’effort de toux, était faite à l’admission des patients, puis une heure, 6 heures, 12 heures, 24 heures et 48 heures après. Les effets collatéraux des deux protocoles ont été recherchés et notés.
Résultats :
58 patients ont été inclus dans l’étude, répartis entre 26 pour le G1 et 32 pour le G2. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée entre les deux groupes quant à l’âge, le sexe, les antécédents pathologiques et la classe ASA.
Concernant la surveillance de l’intensité de la douleur :
- Au repos, une douleur d’intensité élevée (EVA≥6) était plus fréquente à H0 et H1 dans le G1 (p < 0,01 et < 0,05 respectivement). Cependant, après 6 heures, bien que la fréquence soit plus importante dans le G1, la différence n’était pas statiquement significative.
De même, une douleur modérée à intense (EVA ≥ 3) était plus fréquente dans le G1 à H6 (p<0,05). Une douleur faible ou nulle (EVA < 2) était plus notée dans le G2 à H0, H6 et H48 (p<0,001; 0,05 et 0,001 respectivement).
- A la toux, une EVA≥6 était fréquemment retrouvée à l’admission et à H1 dans le G1 (p<0,01 et <0,001 respectivement). Une douleur faible ou absente (EVA< 2) à la toux était plus fréquemment retrouvée dans le G2, en particulier à l’admission et à H48 (p<0,05).
Concernant les effets secondaires, ils étaient représentés par la tachycardie au moment de la perfusion de Néfopam (9,3% des cas) dans le G2 et l’hypotension artérielle associée ou non à une tachycardie dans le G1 (19,2%). Il n’a pas été observé d’augmentation de l’importance du saignement postopératoire en rapport avec l’usage des AINS.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1172009 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : AHMED EL HIJRI Juge : RACHID EL MOUSSAOUI ANALGESIE POSTOPERATOIRE EN CHIRURGIE THORACIQUE : PERIDURALE A LA BUPIVACAINE 0.125% VERSUS ASSOCIATION PARECOXIB - NEFOPAM [thèse] / ANIS CHERRADI, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ANALGESIE POST-OPERATOIRE CHIRURGIE THORACIQUE PERIDURALE PARECOXIB NEFOPAM Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les douleurs post-opératoires après chirurgie thoracique sont parmi les plus intenses. Ainsi, 20 à 75% des patients ressentent au repos, des douleurs jugées sévères durant 1 à 3 jours.
L’importance de la douleur post-opératoire justifie la mise en œuvre systématique d’une ou de plusieurs techniques analgésiques, dont le choix dépend essentiellement des possibilités de surveillance.
But d’étude :
L’objectif de notre étude est de comparer l’association de Parécoxib et Néfopam à l’analgésie péridurale à la Bupivacaïne 0 ,125% en matière d’efficacité et de tolérance.
Matériel et méthodes :
C’est une étude prospective randomisée réalisée chez les patients, de classe ASA I ou II, opérés pour une chirurgie de résection pulmonaire. Les patients ont été randomisés en deux groupes. Le premier (G1) ayant bénéficié d’une analgésie postopératoire réalisée par la Bupivacaine à 0.125% en perfusion continue à raison de 8ml/h. Le second (G2) a bénéficié d’une analgésie débutée 30 min avant la fin de l’intervention à base de Parécoxib 40 mg toutes les 12 heures et de Néfopam à raison de 120 mg par jour. La surveillance de l’intensité de la douleur, au repos et lors de l’effort de toux, était faite à l’admission des patients, puis une heure, 6 heures, 12 heures, 24 heures et 48 heures après. Les effets collatéraux des deux protocoles ont été recherchés et notés.
Résultats :
58 patients ont été inclus dans l’étude, répartis entre 26 pour le G1 et 32 pour le G2. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée entre les deux groupes quant à l’âge, le sexe, les antécédents pathologiques et la classe ASA.
Concernant la surveillance de l’intensité de la douleur :
- Au repos, une douleur d’intensité élevée (EVA≥6) était plus fréquente à H0 et H1 dans le G1 (p < 0,01 et < 0,05 respectivement). Cependant, après 6 heures, bien que la fréquence soit plus importante dans le G1, la différence n’était pas statiquement significative.
De même, une douleur modérée à intense (EVA ≥ 3) était plus fréquente dans le G1 à H6 (p<0,05). Une douleur faible ou nulle (EVA < 2) était plus notée dans le G2 à H0, H6 et H48 (p<0,001; 0,05 et 0,001 respectivement).
- A la toux, une EVA≥6 était fréquemment retrouvée à l’admission et à H1 dans le G1 (p<0,01 et <0,001 respectivement). Une douleur faible ou absente (EVA< 2) à la toux était plus fréquemment retrouvée dans le G2, en particulier à l’admission et à H48 (p<0,05).
Concernant les effets secondaires, ils étaient représentés par la tachycardie au moment de la perfusion de Néfopam (9,3% des cas) dans le G2 et l’hypotension artérielle associée ou non à une tachycardie dans le G1 (19,2%). Il n’a pas été observé d’augmentation de l’importance du saignement postopératoire en rapport avec l’usage des AINS.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1172009 Président : ABDERRAHIM AZZOUZI Directeur : AHMED EL HIJRI Juge : RACHID EL MOUSSAOUI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1172009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible LES OCCLUSIONS POST-OPERATOIRES CHEZ L’ENFANT / NEJJAR MERYEM
Titre : LES OCCLUSIONS POST-OPERATOIRES CHEZ L’ENFANT Type de document : thèse Auteurs : NEJJAR MERYEM, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : OCCLUSION ENFANT POST-OPERATOIRE Résumé : Le syndrome occlusif constitue un mode de révélation brutal et spectaculaire ou progressif et insidieux d’un état pathologique sous jacent qui en est la cause.
Notre étude rétrospective a porté sur 12 cas d’occlusions intestinales post-opératoires colligées au service de chirurgie pédiatrique (A) de l’hôpital d’enfant de RABAT, durant une période de 10 ans entre Janvier 2000 et Décembre 2010, nous avons pu dégager certaines particularités :
-Une incidence annuelle de 1,2cas par an.
-Une moyenne d’âge de 4ans et demi.
-Le maximum de fréquence de survenue des occlusions post-opératoires se voit dans les deux premières années qui suivent l’intervention initiale, avec une nette prédominance des occlusions post-opératoires tardives soit 91,66%.
-Les affections œso-gastriques et la maladie de Hirschsprung sont les causes les plus fréquentes des occlusions postopératoires soit 25% chacune, suivies par la dilatation kystique du cholédoque avec 16,6%.
-Sur le plan clinique, le signe le plus constant est la douleur abdominale, le syndrome occlusif est complet dans 58,33% des cas.
-Sur le plan Paraclinique, l’ASP confirme le diagnostic de l’occlusion en indiquant son siège qui est souvent grêlique, les opacifications digestives et l’échographie ont des limites, la TDM pose le diagnostic positif, étiologique, topographique et de gravité, la biologie montre le retentissement de l’occlusion.
-Sur le plan thérapeutique, 10cas ont bénéficiés d’un traitement chirurgical par laparotomie, avec une réanimation pré et post-opératoire, il s’agit le plus souvent d’une occlusion mécanique sur bride. Chez 2cas, le traitement médical été suffisant avec disparition des symptômes au bout de 2jours.
-Les suites opératoires étaient simples avec une évolution favorable, il n’a pas eu de cas de récidive ni de décès notable dans notre série.
-Les moyens de prévention des brides sont recommandés
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0082012 Président : MOHAMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MOUNIR KISRA Juge : MOHAMED EL ABSI Juge : TAOUFIK MESKINI LES OCCLUSIONS POST-OPERATOIRES CHEZ L’ENFANT [thèse] / NEJJAR MERYEM, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : OCCLUSION ENFANT POST-OPERATOIRE Résumé : Le syndrome occlusif constitue un mode de révélation brutal et spectaculaire ou progressif et insidieux d’un état pathologique sous jacent qui en est la cause.
Notre étude rétrospective a porté sur 12 cas d’occlusions intestinales post-opératoires colligées au service de chirurgie pédiatrique (A) de l’hôpital d’enfant de RABAT, durant une période de 10 ans entre Janvier 2000 et Décembre 2010, nous avons pu dégager certaines particularités :
-Une incidence annuelle de 1,2cas par an.
-Une moyenne d’âge de 4ans et demi.
-Le maximum de fréquence de survenue des occlusions post-opératoires se voit dans les deux premières années qui suivent l’intervention initiale, avec une nette prédominance des occlusions post-opératoires tardives soit 91,66%.
-Les affections œso-gastriques et la maladie de Hirschsprung sont les causes les plus fréquentes des occlusions postopératoires soit 25% chacune, suivies par la dilatation kystique du cholédoque avec 16,6%.
-Sur le plan clinique, le signe le plus constant est la douleur abdominale, le syndrome occlusif est complet dans 58,33% des cas.
-Sur le plan Paraclinique, l’ASP confirme le diagnostic de l’occlusion en indiquant son siège qui est souvent grêlique, les opacifications digestives et l’échographie ont des limites, la TDM pose le diagnostic positif, étiologique, topographique et de gravité, la biologie montre le retentissement de l’occlusion.
-Sur le plan thérapeutique, 10cas ont bénéficiés d’un traitement chirurgical par laparotomie, avec une réanimation pré et post-opératoire, il s’agit le plus souvent d’une occlusion mécanique sur bride. Chez 2cas, le traitement médical été suffisant avec disparition des symptômes au bout de 2jours.
-Les suites opératoires étaient simples avec une évolution favorable, il n’a pas eu de cas de récidive ni de décès notable dans notre série.
-Les moyens de prévention des brides sont recommandés
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0082012 Président : MOHAMED NAJIB BENHMAMOUCH Directeur : MOUNIR KISRA Juge : MOHAMED EL ABSI Juge : TAOUFIK MESKINI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0082012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible
Titre : LES OCCLUSIONS POST-OPERATOIRES CHEZ L’ENFANT Type de document : thèse Auteurs : Yasmine LARAQUI HOUSSEINI, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : occlusion post-opératoire enfant Résumé : Introduction :
L’occlusion intestinale postopératoire chez l’enfant constitue une urgence diagnostique et thérapeutique nécessitant une prise en charge précoce afin de réduire le taux de morbi-mortalité.
L’objectif de cette étude était principalement de mettre en évidence les difficultés diagnostiques et chirurgicales devant cette pathologie et les moyens disponibles pour sa prévention.
Patients et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 11 patients hospitalisés pour occlusions intestinales postopératoires au service de chirurgie pédiatrique de l’hôpital d’enfant de Rabat, durant une période de 5ans (Janvier 2011 à Décembre 2017).
Résultats :
- Incidence annuelle de 1.5 cas par an; Nette prédominance masculine; Moyenne d’âge de 4ans
- Prédominance des pathologies tumorales, notamment le neuroblastome et le néphroblastome comme causes les plus fréquentes des occlusions postopératoires ; les appendicites n’ayant pas fait partie de l’étude.
- Le syndrome occlusif était dans la majorité des cas incomplet, mais douleurs abdominales et vomissements étaient quasi-constants.
- Sur le plan paraclinique, l’ASP a constitué l’examen clé dans le diagnostic des occlusions, montrant la présence de niveaux hydro-aériques le plus souvent grêliques.
- Certaines situations ont nécessité de compléter par une échographie, TDM abdominale ou opacifications digestives.
- Le bilan biologique a permis d’apprécier le retentissement de l’occlusion et de guider la correction des troubles hydro-électrolytiques.
- Tous les patients ont d’abord reçu un traitement médical, et 45% d’entre eux y ont répondu, le délai de réponse variant entre 48h et 72h.
- Pour les patients ayant nécessité un traitement chirurgical, ils ont tous subi une chirurgie à ciel ouvert ayant objectivé dans la plupart des cas la présence de plusieurs brides.
- Les suites postopératoires étaient simples avec une durée moyenne d’hospitalisation de 8 jours.
- Deux cas de récidives ont été enregistrés dans les deux semaines suivant le premier épisode occlusif.
Conclusion :
Du fait de la fréquence et de l’importance des occlusions postopératoires chez l’enfant, la connaissance des techniques chirurgicales adéquates et la promotion des moyens de prévention constituent des enjeux majeurs de santé publique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3412018 Président : KISRA.M Directeur : ZERHOUNI.H Juge : OULAHYANE.R LES OCCLUSIONS POST-OPERATOIRES CHEZ L’ENFANT [thèse] / Yasmine LARAQUI HOUSSEINI, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : occlusion post-opératoire enfant Résumé : Introduction :
L’occlusion intestinale postopératoire chez l’enfant constitue une urgence diagnostique et thérapeutique nécessitant une prise en charge précoce afin de réduire le taux de morbi-mortalité.
L’objectif de cette étude était principalement de mettre en évidence les difficultés diagnostiques et chirurgicales devant cette pathologie et les moyens disponibles pour sa prévention.
Patients et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective portant sur 11 patients hospitalisés pour occlusions intestinales postopératoires au service de chirurgie pédiatrique de l’hôpital d’enfant de Rabat, durant une période de 5ans (Janvier 2011 à Décembre 2017).
Résultats :
- Incidence annuelle de 1.5 cas par an; Nette prédominance masculine; Moyenne d’âge de 4ans
- Prédominance des pathologies tumorales, notamment le neuroblastome et le néphroblastome comme causes les plus fréquentes des occlusions postopératoires ; les appendicites n’ayant pas fait partie de l’étude.
- Le syndrome occlusif était dans la majorité des cas incomplet, mais douleurs abdominales et vomissements étaient quasi-constants.
- Sur le plan paraclinique, l’ASP a constitué l’examen clé dans le diagnostic des occlusions, montrant la présence de niveaux hydro-aériques le plus souvent grêliques.
- Certaines situations ont nécessité de compléter par une échographie, TDM abdominale ou opacifications digestives.
- Le bilan biologique a permis d’apprécier le retentissement de l’occlusion et de guider la correction des troubles hydro-électrolytiques.
- Tous les patients ont d’abord reçu un traitement médical, et 45% d’entre eux y ont répondu, le délai de réponse variant entre 48h et 72h.
- Pour les patients ayant nécessité un traitement chirurgical, ils ont tous subi une chirurgie à ciel ouvert ayant objectivé dans la plupart des cas la présence de plusieurs brides.
- Les suites postopératoires étaient simples avec une durée moyenne d’hospitalisation de 8 jours.
- Deux cas de récidives ont été enregistrés dans les deux semaines suivant le premier épisode occlusif.
Conclusion :
Du fait de la fréquence et de l’importance des occlusions postopératoires chez l’enfant, la connaissance des techniques chirurgicales adéquates et la promotion des moyens de prévention constituent des enjeux majeurs de santé publique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3412018 Président : KISRA.M Directeur : ZERHOUNI.H Juge : OULAHYANE.R Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3412018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M3412018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M3412018URL PREVALENCE ET FACTEURS DE RISQUE DES INFECTIONS URINAIRES SUR CATHETER APRES CHIRURGIE ONCOLOGIQUE DIGESTIVE / Oummahany AHMADOU ASMAOU
Titre : PREVALENCE ET FACTEURS DE RISQUE DES INFECTIONS URINAIRES SUR CATHETER APRES CHIRURGIE ONCOLOGIQUE DIGESTIVE Type de document : thèse Auteurs : Oummahany AHMADOU ASMAOU, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection urinaire associée au cathéter post-opératoire morbidité nosocomial chirurgie oncologique digestive Résumé : Les infections urinaires nosocomiales (IUN) constituent une préoccupation en santé publique
parmi lesquelles 80% sont des infections urinaires associées aux cathéters (IUAC). Cette étude
se concentre sur les IUAC chez les patients ayant subi une chirurgie oncologique digestive à
l'Institut National d'Oncologie Sidi Mohammed Ben Abdellah de Rabat. L'objectif est d'évaluer
la prévalence de ces infections et d'identifier les facteurs de risque spécifiques à cette
population.
Les résultats révèlent une prévalence de 5,7 % avec une incidence de 17,07 IUAC/1 000 jourscathéter. Les germes les plus fréquent sont Escherichia coli (54,2 %) et Klebsiella pneumoniae
(29,2 %). Parmi les facteurs de risque, on retrouve un état nutritionnel dégradé, le score de
Charlson, le stade métastatique, ainsi que des traitements néoadjuvants. D’autres facteurs liés à
la procédure chirurgicale et à la gestion postopératoire : la durée prolongée de la sonde urinaire,
la nécessité d'un resondage urinaire et les chirurgies impliquant plusieurs organes augmentent
ce risque. Les chirurgies œsophago-gastriques présentent un risque particulièrement élevé de
développer des IUAC.
Les données de cette étude montrent une prévalence des IUAC inférieure à celle rapportée dans
les pays en voie de développement et en Afrique qui vont de 11% à 90%, supérieure aux taux
observés dans les pays développés, variant entre 0,8 % et 4 %. L'incidence de 17,07/1 000 jourscathéter est également plus élevée que les moyennes mondiales, qui varient entre 9 et 14/1 000
jours-cathéter. Les facteurs de risque identifiés correspondent à ceux trouvés dans la littérature,
en dehors des opérations œsophage-estomac qui restent une particularité de notre étude. Ceci
apporte des données précieuses sur la prévalence et les facteurs de risque des IUAC, fournissant
des recommandations pour les protocoles de préventionNuméro (Thèse ou Mémoire) : M2642024 Président : Naoufel MADANI Directeur : Mohammed Anass MAJBAR Juge : Abdel-Ilah GHANNAM Juge : Zakaria Houssain BELKHADIR Juge : Amine SOUADKA PREVALENCE ET FACTEURS DE RISQUE DES INFECTIONS URINAIRES SUR CATHETER APRES CHIRURGIE ONCOLOGIQUE DIGESTIVE [thèse] / Oummahany AHMADOU ASMAOU, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infection urinaire associée au cathéter post-opératoire morbidité nosocomial chirurgie oncologique digestive Résumé : Les infections urinaires nosocomiales (IUN) constituent une préoccupation en santé publique
parmi lesquelles 80% sont des infections urinaires associées aux cathéters (IUAC). Cette étude
se concentre sur les IUAC chez les patients ayant subi une chirurgie oncologique digestive à
l'Institut National d'Oncologie Sidi Mohammed Ben Abdellah de Rabat. L'objectif est d'évaluer
la prévalence de ces infections et d'identifier les facteurs de risque spécifiques à cette
population.
Les résultats révèlent une prévalence de 5,7 % avec une incidence de 17,07 IUAC/1 000 jourscathéter. Les germes les plus fréquent sont Escherichia coli (54,2 %) et Klebsiella pneumoniae
(29,2 %). Parmi les facteurs de risque, on retrouve un état nutritionnel dégradé, le score de
Charlson, le stade métastatique, ainsi que des traitements néoadjuvants. D’autres facteurs liés à
la procédure chirurgicale et à la gestion postopératoire : la durée prolongée de la sonde urinaire,
la nécessité d'un resondage urinaire et les chirurgies impliquant plusieurs organes augmentent
ce risque. Les chirurgies œsophago-gastriques présentent un risque particulièrement élevé de
développer des IUAC.
Les données de cette étude montrent une prévalence des IUAC inférieure à celle rapportée dans
les pays en voie de développement et en Afrique qui vont de 11% à 90%, supérieure aux taux
observés dans les pays développés, variant entre 0,8 % et 4 %. L'incidence de 17,07/1 000 jourscathéter est également plus élevée que les moyennes mondiales, qui varient entre 9 et 14/1 000
jours-cathéter. Les facteurs de risque identifiés correspondent à ceux trouvés dans la littérature,
en dehors des opérations œsophage-estomac qui restent une particularité de notre étude. Ceci
apporte des données précieuses sur la prévalence et les facteurs de risque des IUAC, fournissant
des recommandations pour les protocoles de préventionNuméro (Thèse ou Mémoire) : M2642024 Président : Naoufel MADANI Directeur : Mohammed Anass MAJBAR Juge : Abdel-Ilah GHANNAM Juge : Zakaria Houssain BELKHADIR Juge : Amine SOUADKA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2642024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible LE SUIVI BACTERIOLOGIQUE DES PERITONITES POST-OPERATOIRES ET SON IMPACT SUR L'ANTIBIOTHERAPIE PROBABILISTE / CHIHANI HIND
Titre : LE SUIVI BACTERIOLOGIQUE DES PERITONITES POST-OPERATOIRES ET SON IMPACT SUR L'ANTIBIOTHERAPIE PROBABILISTE Type de document : thèse Auteurs : CHIHANI HIND, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERITONITE POST-OPERATOIRE BACTERIOLOGIE ANTIBIOTHERAPIE PROBABILISTE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1372007 Président : BELKOUCHI ABDELKADER Directeur : AZZOUZI ABDERRAHIM Juge : EL HIJRI AHMED Juge : / Juge : / LE SUIVI BACTERIOLOGIQUE DES PERITONITES POST-OPERATOIRES ET SON IMPACT SUR L'ANTIBIOTHERAPIE PROBABILISTE [thèse] / CHIHANI HIND, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PERITONITE POST-OPERATOIRE BACTERIOLOGIE ANTIBIOTHERAPIE PROBABILISTE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1372007 Président : BELKOUCHI ABDELKADER Directeur : AZZOUZI ABDERRAHIM Juge : EL HIJRI AHMED Juge : / Juge : / Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1372007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2007 Disponible