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le diagnostic biologique des maladies auto-immunes systémiques / Omayma LAMDARSI
Titre : le diagnostic biologique des maladies auto-immunes systémiques Type de document : thèse Auteurs : Omayma LAMDARSI, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : maladies auto-immunes systémiques diagnostic biologique auto-anticorps. Résumé : L’auto-immunité est la rupture des mécanismes de tolérance qui conduit à l’action pathogène du système immunitaire vis-à-vis de constituants naturels de l’organisme et à l’apparition d’une maladie dite auto-immune.
Les principaux représentants des maladies auto-immunes systémiques sont les connectivites et les vascularites, certaines ont une très faible prévalence et répondent à la définition des maladies rares comme les myopathies inflammatoires (polymyosite et dermatomyosite), la sclérodermie systémique ou le lupus systémique. D’autres sont plus fréquentes comme le syndrome de Gourgerot-sjogren et la maladie de Horton.
La plupart des maladies auto-immunes sont caractérisées par la présence d’auto-anticorps dont certains sont de véritables marqueurs diagnostiques ou pronostiques. La recherche des auto-anticorps est un élément clé du diagnostic.
De nombreuses méthodes sont utilisées pour la recherche des auto-anticorps. Elles consistent à visualiser l’interaction de l’auto-anticorps à rechercher avec son antigène cible à l’aide d’un anticorps anti-immunoglobulines humaines marqué. L’immunofluorescence indirecte est le plus souvent une technique de dépistage, les techniques immunoenzymatiques, radio-immunologiques, fluorimétriques ou la chimiluminescence permettent d’identifier la cible des auto-anticorps dépistés mais aussi de rechercher des auto-anticorps de façon directe et spécifique.
Le traitement des maladies auto-immunes fait souvent appel à une stratégie d’immunosuppression non spécifique associant habituellement la corticothérapie et les antimitotiques. Ces traitements ne sont pas dénués d’effets iatrogènes, ce qui a conduit au développement de nouveaux traitements considérés comme plus spécifiques et qui seraient théoriquement capables d’inhiber la réponse auto-immune, sans majorer le risque infectieux.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0862018 Président : MASRAR.A Directeur : NAZIH.M Juge : DAMI.A Juge : BENKIRANE.S Juge : KHALLOUFI.A le diagnostic biologique des maladies auto-immunes systémiques [thèse] / Omayma LAMDARSI, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : maladies auto-immunes systémiques diagnostic biologique auto-anticorps. Résumé : L’auto-immunité est la rupture des mécanismes de tolérance qui conduit à l’action pathogène du système immunitaire vis-à-vis de constituants naturels de l’organisme et à l’apparition d’une maladie dite auto-immune.
Les principaux représentants des maladies auto-immunes systémiques sont les connectivites et les vascularites, certaines ont une très faible prévalence et répondent à la définition des maladies rares comme les myopathies inflammatoires (polymyosite et dermatomyosite), la sclérodermie systémique ou le lupus systémique. D’autres sont plus fréquentes comme le syndrome de Gourgerot-sjogren et la maladie de Horton.
La plupart des maladies auto-immunes sont caractérisées par la présence d’auto-anticorps dont certains sont de véritables marqueurs diagnostiques ou pronostiques. La recherche des auto-anticorps est un élément clé du diagnostic.
De nombreuses méthodes sont utilisées pour la recherche des auto-anticorps. Elles consistent à visualiser l’interaction de l’auto-anticorps à rechercher avec son antigène cible à l’aide d’un anticorps anti-immunoglobulines humaines marqué. L’immunofluorescence indirecte est le plus souvent une technique de dépistage, les techniques immunoenzymatiques, radio-immunologiques, fluorimétriques ou la chimiluminescence permettent d’identifier la cible des auto-anticorps dépistés mais aussi de rechercher des auto-anticorps de façon directe et spécifique.
Le traitement des maladies auto-immunes fait souvent appel à une stratégie d’immunosuppression non spécifique associant habituellement la corticothérapie et les antimitotiques. Ces traitements ne sont pas dénués d’effets iatrogènes, ce qui a conduit au développement de nouveaux traitements considérés comme plus spécifiques et qui seraient théoriquement capables d’inhiber la réponse auto-immune, sans majorer le risque infectieux.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0862018 Président : MASRAR.A Directeur : NAZIH.M Juge : DAMI.A Juge : BENKIRANE.S Juge : KHALLOUFI.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0862018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible P0862018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2018 Disponible