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LIPOSARCOME MYXOÏDE (A PROPOS DE 03 CAS) / BASSIR Rida-Allah
Titre : LIPOSARCOME MYXOÏDE (A PROPOS DE 03 CAS) Type de document : thèse Auteurs : BASSIR Rida-Allah, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le liposarcome myxoïde est la forme la plus fréquente des liposarcomes, cependant la localisation fessière et au niveau de la cuisse décrite dans ce travail reste rare, et comme tous les sarcomes des tissus mous, il pose des problèmes à tous les niveaux de sa prise en charge.
Le diagnostic est souvent retardé par l’évolution insidieuse de cette tumeur pour laquelle on n’observe pas de retentissement sur l’état général.
L’examen anatomo-pathologique est nécessaire, qui lui seul permet d’affirmer le diagnostic.
Les examens d’imagerie ne permettent pas d’établir le diagnostic histologique mais orientent vers le caractère bénin ou malin de la tumeur, par contre, ils sont indispensables (surtout TDM et IRM) à la réalisation du bilan d’extension, du bilan pré-opératoire et aussi eu suivi des patients traités. De tels éléments sont utiles pour déterminer le stade (staging) de la tumeur pour définir la conduite thérapeutique.
Le traitement de ces tumeurs est complexe et onéreux. Il nécessite la mise en œuvre d’une équipe pluridisciplinaire qui conjugue les compétences du radiologue, d’anatomo-pathologiste, du chirurgien de l’appareil locomoteur, d’oncologue, du radiothérapeute, ainsi que du psychiatre pour analyser, discuter, arrêter la conduite à tenir et informer le patient en toute transparence.
Le contrôle local de la tumeur n’est obtenu que par chirurgie d’exérèse carcinologique et conservatrice couplée à la radiothérapie autant que possible. La chimiothérapie reste encore à démontrer par des études plus complètes, par contre, elle garde toute sa place en situation palliative.
La thérapie génique constitue un formidable espoir dans l’avenir, les mutations génétiques retrouvées au sein de ces tumeurs étant souvent spécifiques, les patients pourraient bénéficier d’un traitement qui le serait tout autant.
Il n’existe pas de facteurs pronostiques universellement admis, par ailleurs, le grade histologique, la qualité de l’exérèse chirurgicale et la localisation de la tumeur primitive demeurent les principaux facteurs à prendre en considération.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622010 Président : AHMED EL BARDOUNI Directeur : MOUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ LIPOSARCOME MYXOÏDE (A PROPOS DE 03 CAS) [thèse] / BASSIR Rida-Allah, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le liposarcome myxoïde est la forme la plus fréquente des liposarcomes, cependant la localisation fessière et au niveau de la cuisse décrite dans ce travail reste rare, et comme tous les sarcomes des tissus mous, il pose des problèmes à tous les niveaux de sa prise en charge.
Le diagnostic est souvent retardé par l’évolution insidieuse de cette tumeur pour laquelle on n’observe pas de retentissement sur l’état général.
L’examen anatomo-pathologique est nécessaire, qui lui seul permet d’affirmer le diagnostic.
Les examens d’imagerie ne permettent pas d’établir le diagnostic histologique mais orientent vers le caractère bénin ou malin de la tumeur, par contre, ils sont indispensables (surtout TDM et IRM) à la réalisation du bilan d’extension, du bilan pré-opératoire et aussi eu suivi des patients traités. De tels éléments sont utiles pour déterminer le stade (staging) de la tumeur pour définir la conduite thérapeutique.
Le traitement de ces tumeurs est complexe et onéreux. Il nécessite la mise en œuvre d’une équipe pluridisciplinaire qui conjugue les compétences du radiologue, d’anatomo-pathologiste, du chirurgien de l’appareil locomoteur, d’oncologue, du radiothérapeute, ainsi que du psychiatre pour analyser, discuter, arrêter la conduite à tenir et informer le patient en toute transparence.
Le contrôle local de la tumeur n’est obtenu que par chirurgie d’exérèse carcinologique et conservatrice couplée à la radiothérapie autant que possible. La chimiothérapie reste encore à démontrer par des études plus complètes, par contre, elle garde toute sa place en situation palliative.
La thérapie génique constitue un formidable espoir dans l’avenir, les mutations génétiques retrouvées au sein de ces tumeurs étant souvent spécifiques, les patients pourraient bénéficier d’un traitement qui le serait tout autant.
Il n’existe pas de facteurs pronostiques universellement admis, par ailleurs, le grade histologique, la qualité de l’exérèse chirurgicale et la localisation de la tumeur primitive demeurent les principaux facteurs à prendre en considération.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0622010 Président : AHMED EL BARDOUNI Directeur : MOUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0622010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible RECONSTRUCTION DES PERTES DE SUBSTANCE DU SCALP D'ORIGINE TUMORALE MALIGNE / EL OMARI MOUNIA
Titre : RECONSTRUCTION DES PERTES DE SUBSTANCE DU SCALP D'ORIGINE TUMORALE MALIGNE Type de document : thèse Auteurs : EL OMARI MOUNIA, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE REPARATRICE PERTES DE SUBSTANCES SCALP TUMEURS MALIGNES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1772007 Président : BELLAKHDAR FOUAD Directeur : BELMAHI ABDELMAJID Juge : ABBASSI ABDELLAH Juge : / Juge : / RECONSTRUCTION DES PERTES DE SUBSTANCE DU SCALP D'ORIGINE TUMORALE MALIGNE [thèse] / EL OMARI MOUNIA, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CHIRURGIE REPARATRICE PERTES DE SUBSTANCES SCALP TUMEURS MALIGNES Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1772007 Président : BELLAKHDAR FOUAD Directeur : BELMAHI ABDELMAJID Juge : ABBASSI ABDELLAH Juge : / Juge : / Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1772007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2007 Disponible SYNOVIALOSARCOME DES MEMBRES (A PROPOS DE 14CAS) / MONSEF BOUFETTAL
Titre : SYNOVIALOSARCOME DES MEMBRES (A PROPOS DE 14CAS) Type de document : thèse Auteurs : MONSEF BOUFETTAL, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE, CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives locales et de métastases surtout pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 14 cas de synovialosarcomes, colligés au service de traumatologie orthopédie- Avicenne à Rabat entre 2000 et 2008.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 1 cas/ 2 ans environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une discrète prédominance féminine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (58%) et plus particulièrement la cuisse et le genou.
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 18 mois et le syndrome tumoral était le motif de consultation constant.
- La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
- La TDM faite chez 10 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
- L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
- Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 50% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 43%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues de l'INO.
- Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. - L'évolution à long terme n'a pas été précisée du fait que la plupart des patients se perdent de vue.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie rare et sévère nécessitant une coordination multidisciplinaire et que les nouvelles approches thérapeutiques ouvrent la voie à de meilleures perspectives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0632010 Président : MOHAMED SALAH BERRADA Directeur : MUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ Juge : MOULAY RACHID MOUSTAINE SYNOVIALOSARCOME DES MEMBRES (A PROPOS DE 14CAS) [thèse] / MONSEF BOUFETTAL, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEURS MALIGNES PARTIES MOLLES BIOPSIE CHIRURGIE, CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives locales et de métastases surtout pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 14 cas de synovialosarcomes, colligés au service de traumatologie orthopédie- Avicenne à Rabat entre 2000 et 2008.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 1 cas/ 2 ans environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une discrète prédominance féminine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (58%) et plus particulièrement la cuisse et le genou.
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 18 mois et le syndrome tumoral était le motif de consultation constant.
- La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
- La TDM faite chez 10 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
- L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
- Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 50% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 43%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues de l'INO.
- Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. - L'évolution à long terme n'a pas été précisée du fait que la plupart des patients se perdent de vue.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie rare et sévère nécessitant une coordination multidisciplinaire et que les nouvelles approches thérapeutiques ouvrent la voie à de meilleures perspectives.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0632010 Président : MOHAMED SALAH BERRADA Directeur : MUSTAPHA MAHFOUD Juge : MOHAMED KHARMAZ Juge : MOULAY RACHID MOUSTAINE Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0632010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible
Titre : Synovialosarcome des membres (à propos de 20cas) Type de document : thèse Auteurs : FARIH Sara, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeurs malignes parties molles biopsie chirurgie chimiothérapie, radiothérapie Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives surtout métastases pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 20 cas de synovialosarcome, colligés au service de traumatologie orthopédie au CHU IBN SINA entre 2010 et 2017.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 3 cas/ an environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une prédominance masculine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (60%) et particulièrement la cuisse et le genou .
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 15 mois et la tuméfaction était le motif de consultation constant.
La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
La TDM faite chez 8 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 70% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 30%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues .
Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. L'évolution à long terme n'a pas été précisé.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie nécessitant une coordination multidisciplinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0402019 Président : EL BARDOUNI.A Directeur : MAHFOUD.M Juge : KHARMAZ.M Juge : ZOUIDIA.F Synovialosarcome des membres (à propos de 20cas) [thèse] / FARIH Sara, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeurs malignes parties molles biopsie chirurgie chimiothérapie, radiothérapie Résumé : Le synovialosarcome est une tumeur rare de mauvais pronostic. Il représente 5 à 10% des sarcomes des parties molles. Sa reconnaissance est facilitée par les méthodes immunohistochimiques mais surtout la biologie moléculaire. Cependant le diagnostic de confirmation est histologique. La chirurgie constitue la principale modalité thérapeutique alors que la radiothérapie et la chimiothérapie permettent un meilleur contrôle local.
L'évolution est marquée par la survenue de récidives surtout métastases pulmonaires.
Nous rapportons dans notre étude 20 cas de synovialosarcome, colligés au service de traumatologie orthopédie au CHU IBN SINA entre 2010 et 2017.
Nous avons constaté les faits suivants :
- Le synovialosarcome reste une tumeur rare dans notre pratique avec 3 cas/ an environ.
- Elle touche l'adulte jeune avec une moyenne de 45 ans et une prédominance masculine.
- Elle touche électivement les membres inférieurs (60%) et particulièrement la cuisse et le genou .
- Les malades ont consulté après un délai moyen de 15 mois et la tuméfaction était le motif de consultation constant.
La clinique, la radiographie standard et l'échographie ont permis seulement de montrer l'existence de la tumeur des parties molles.
La TDM faite chez 8 cas a donné plus de précision sur la taille tumorale, sa consistance et son extension.
L'examen anatomopathologique reste l'élément clé du diagnostic.
Le traitement chirurgical conservateur est pratiqué dans 70% des cas, ainsi que le traitement mutilant dans 30%. Le complément de radiothérapie et/ou chimiothérapie a été confié aux oncologues .
Les complications les plus observées sont la surinfection du moignon et la survenue d'une rechute locale. L'évolution à long terme n'a pas été précisé.
Le synovialosarcome des membres est une pathologie nécessitant une coordination multidisciplinaire.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0402019 Président : EL BARDOUNI.A Directeur : MAHFOUD.M Juge : KHARMAZ.M Juge : ZOUIDIA.F Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0402019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M0402019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M0402019URL
Titre : TUMEURS DUODENALES (A PROPOS DE QUATRE CAS) Type de document : thèse Auteurs : EL FAHSI Sabrine, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : tumeurs malignes adénocarcinome duodénum DPC FOGD Résumé : L’adénocarcinome duodénal étant la tumeur la plus fréquente de l’intestin grêle : 33 à 48%, il reste tout de même très rare représentant uniquement 0.5% des tumeurs malignes du tubbe digestif.
Notre étude rétrospective a porté sur quatre cas colligés durant la période 2017-2018 avec un âge moyen de 53.25ans et un sexe ratio 1H/3F.
Aucun de nos patients ne présentait un facteur de risque prédisposant à cette affection.
Les signes cliniques étaient variés avec une prédominance d’ictère cholestatique et une altération de l’état général.
Le diagnostic a été confirmé grâce à la FOGD et l’étude anatomopathologique des biopsies réalisées chez tous nos patients.
Tous nos patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical, curatif soit il ou palliatif, qui a consisté en trois DPC et dans un cas une résection segmentaire.
Les suites post opératoires étaient simples chez deux patients, un de nos patients a présenté une gastroparésie qui é bien évolué sous traitement médical. Par ailleurs, nous déplorons un décès qui a présenté un hémopéritoine en rapport avec un trouble de la crase.
A long terme, nos patients ont été perdus de vue.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1802019 Président : BENAMR.S Directeur : MDAGHRI.J Juge : JAHID.A Juge : MSSROURI.R Juge : EHIRCHIOU.A TUMEURS DUODENALES (A PROPOS DE QUATRE CAS) [thèse] / EL FAHSI Sabrine, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : tumeurs malignes adénocarcinome duodénum DPC FOGD Résumé : L’adénocarcinome duodénal étant la tumeur la plus fréquente de l’intestin grêle : 33 à 48%, il reste tout de même très rare représentant uniquement 0.5% des tumeurs malignes du tubbe digestif.
Notre étude rétrospective a porté sur quatre cas colligés durant la période 2017-2018 avec un âge moyen de 53.25ans et un sexe ratio 1H/3F.
Aucun de nos patients ne présentait un facteur de risque prédisposant à cette affection.
Les signes cliniques étaient variés avec une prédominance d’ictère cholestatique et une altération de l’état général.
Le diagnostic a été confirmé grâce à la FOGD et l’étude anatomopathologique des biopsies réalisées chez tous nos patients.
Tous nos patients ont bénéficié d’un traitement chirurgical, curatif soit il ou palliatif, qui a consisté en trois DPC et dans un cas une résection segmentaire.
Les suites post opératoires étaient simples chez deux patients, un de nos patients a présenté une gastroparésie qui é bien évolué sous traitement médical. Par ailleurs, nous déplorons un décès qui a présenté un hémopéritoine en rapport avec un trouble de la crase.
A long terme, nos patients ont été perdus de vue.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1802019 Président : BENAMR.S Directeur : MDAGHRI.J Juge : JAHID.A Juge : MSSROURI.R Juge : EHIRCHIOU.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1802019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M1802019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M1802019URL