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L’adénocarcinome du col à propos de 25 cas :Expérience de service de gynécologieHopitalmilitaired’instruction / EL ASSAL Oumayma
Titre : L’adénocarcinome du col à propos de 25 cas :Expérience de service de gynécologieHopitalmilitaired’instruction Type de document : thèse Auteurs : EL ASSAL Oumayma, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer du col Adénocarcinome Colpohystérectomie Radiothérapie Chimiothérapie Résumé : Le cancer du col utérinest un problèmeMajeur de santé publique, surtoutdans les pays en développementoùilconstitueune cause importante de décèsdus au cancer. Au Maroc, ildemeurefréquent et vient au 2ème rang des cancers chez la femme après le cancer du sein.
Notre étude a concerné 25casatteintsd’adénocarcinome du col utérinopérésdans le Service de GynécologieObstétrique A du l’hopital Mohammed V d’instruction de Rabat entre Janvier 2011 et Décembre 2017 ,
L’agemoyenétait de 52 ans. Le délaimoyen de consultation variait entre 4 mois et 3ans. La symptomatologieétaitfaitedans 84 % des cas.
L’IRM estdevenue la technique d’imagerie de choixdans le biland’extensiondu cancer du col utérin. lamajorité des patientesétaitclassées IIB ( 40%) selon la FIGO .
La chirurgieaétéréalisée chez toutesnospatientes. L’adéno-colpohysterectomieélargie par laparotomieétant le geste le plus pratiqué avec untaux de 96 %. Les complications chirurgicalesontétéconstatées chez 8 % des patientes .
L’association radio-chirurgicale a représenté le protocolethérapeutique le plus utilisé .Elle a étéemployée chez 96 ٪ des malades., cependant 16 % des maladesontprésenté des effetsindésirables suite au traitement radio-actif .
D’aprèsnosrésultats, la radio-chimiothérapieconcomitante a pris la grande part dans les prises en charge thérapeutiquesdansnotresérie (60 %), en revanche 24 % des patients ontprésentéunetoxicitéliée à la chimiothérapie , dominéepar la toxicitérénale et hématologique
La curiethérapieprésenteaussiune option thérapeutiqueellea proposée chez 72 %.
Sur le plan évolutif, 24% onteu des récidiveslocorégionales et unedisséminationmétastasique .
L’évolution sans rechuteétait de 56 % ,alorsque 24 % des patients étaientdécédées .
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3142018 Président : SIFAT.H Directeur : KOUACH.J Juge : OUKABLI.M Juge : TAZI.Z Juge : TANZ.R-HADDADI.K L’adénocarcinome du col à propos de 25 cas :Expérience de service de gynécologieHopitalmilitaired’instruction [thèse] / EL ASSAL Oumayma, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer du col Adénocarcinome Colpohystérectomie Radiothérapie Chimiothérapie Résumé : Le cancer du col utérinest un problèmeMajeur de santé publique, surtoutdans les pays en développementoùilconstitueune cause importante de décèsdus au cancer. Au Maroc, ildemeurefréquent et vient au 2ème rang des cancers chez la femme après le cancer du sein.
Notre étude a concerné 25casatteintsd’adénocarcinome du col utérinopérésdans le Service de GynécologieObstétrique A du l’hopital Mohammed V d’instruction de Rabat entre Janvier 2011 et Décembre 2017 ,
L’agemoyenétait de 52 ans. Le délaimoyen de consultation variait entre 4 mois et 3ans. La symptomatologieétaitfaitedans 84 % des cas.
L’IRM estdevenue la technique d’imagerie de choixdans le biland’extensiondu cancer du col utérin. lamajorité des patientesétaitclassées IIB ( 40%) selon la FIGO .
La chirurgieaétéréalisée chez toutesnospatientes. L’adéno-colpohysterectomieélargie par laparotomieétant le geste le plus pratiqué avec untaux de 96 %. Les complications chirurgicalesontétéconstatées chez 8 % des patientes .
L’association radio-chirurgicale a représenté le protocolethérapeutique le plus utilisé .Elle a étéemployée chez 96 ٪ des malades., cependant 16 % des maladesontprésenté des effetsindésirables suite au traitement radio-actif .
D’aprèsnosrésultats, la radio-chimiothérapieconcomitante a pris la grande part dans les prises en charge thérapeutiquesdansnotresérie (60 %), en revanche 24 % des patients ontprésentéunetoxicitéliée à la chimiothérapie , dominéepar la toxicitérénale et hématologique
La curiethérapieprésenteaussiune option thérapeutiqueellea proposée chez 72 %.
Sur le plan évolutif, 24% onteu des récidiveslocorégionales et unedisséminationmétastasique .
L’évolution sans rechuteétait de 56 % ,alorsque 24 % des patients étaientdécédées .
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3142018 Président : SIFAT.H Directeur : KOUACH.J Juge : OUKABLI.M Juge : TAZI.Z Juge : TANZ.R-HADDADI.K Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3142018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M3142018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M3142018URL DEPISTAGE ET PREVENTION DU CANCER DU COL UTERIN / Lalla Wassima BENRISSOUL
Titre : DEPISTAGE ET PREVENTION DU CANCER DU COL UTERIN Type de document : thèse Auteurs : Lalla Wassima BENRISSOUL, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer du col Dépistage Frottis cervico vaginal HPV Prévention Vaccination anti HPV Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer du col utérin occupe le deuxième rang des cancers féminins dans le monde en terme d’incidence et de mortalité, principalement dans les pays en voie de développement.
Au Maroc, comme partout ailleurs, le cancer du col utérin est fréquent. Considéré comme problème de santé publique, il est responsable d’une morbidité, d’une mortalité, et de dépenses matérielles très importantes.
Le cancer du col utérin est considéré comme une maladie sexuellement transmissible étroitement liée à l’infection par les types 16 et 18 des papillomavirus humains responsables de 70% de ce cancer.
Le rôle du papillomavirus humain (HPV) dans la carcinogenèse a été sujet de nombreuses études et a ouvert de nouvelles perspectives de recherche qui ont démontré que l’association HPV-cancer cervical s’est révélée de nature causale, très forte, constante, spécifique et universelle et répond à une évidence biologique.
La prévention de l’infection par le HPV grâce à la vaccination et le dépistage des lésions précancéreuses semblent donc constituer des priorités auxquelles ce travail a le mérite de s’adresser.
En fait, les vaccins prophylactiques anti-HPV actuels (bivalent et tétravalent) représenteraient un enjeu majeur dans la prévention primaire du cancer du col utérin puisqu’ils protègent efficacement contre les HPV 16 et 18 auxquels s’ajoutent les HPV 6 et 11 pour le vaccin tétravalent. Ceci est d’autant plus vrai que ces vaccins présenteraient également une immunité croisée notamment pour les HPV 31 et 45. Cette avancée importante doit cependant être appréciée à sa juste valeur et adaptée au contexte particulier de chaque pays.
Une couverture vaccinale large ne pourrait être envisagée dans l’immédiat de part son coût et du manque de recul sur l’efficacité du vaccin (le premier vaccin n’existe que depuis 5 ans) .
Le dépistage des lésions précoces reste indispensable du fait que la fréquence élevée des cancers invasifs chez les femmes de 30 à 50 ans avec un pic de fréquence entre 40 et 50 ans .De plus, la proportion des cancers non viro-induits n’est pas négligeable, elle varie entre 5 à 25 % des cas d’après les données de la littérature.
Le dépistage viral permet donc de combler les insuffisances de la cytologie seule (vue la valeur prédictive négative très élevée du test HPV). Le couple cytologie /typage HPV permettra alors de mieux sélectionner les patientes devant bénéficier d’une biopsie sous colposcopie.
Certains auteurs préconisent des campagnes de dépistage de masse pour les pays en voie de développement. L’objectif serait que toutes les femmes de 30 ans et plus aient au moins un frottis de dépistage, un test HPV négatif serait par ailleurs en faveur d’une stratégie de dépistage une ou deux fois au courant de la vie des patientes.
Toutefois, il est mis l’accent sur la nécessité, avant de démarrer ce dépistage, de disposer des ressources suffisantes pour la prise en charge et le traitement des patientes.
Dans notre contexte, étant donné l’échec de plusieurs campagnes de dépistage organisées au cours des dix dernières années, nous préconisons la création d’unités pilotes de dépistage cytologique réparties sur les centres d’oncologie, les maternités et les hôpitaux qui disposent de laboratoires d’anatomo-cytologie pathologique. Le typage HPV pourrait se faire au laboratoire de biologie moléculaire. La réussite de ces unités pilotes servira d’exemple pour la création de centres régionaux.
On constate alors la nécessité et les bénéfices de l’introduction d’une politique de dépistage basée sur la cytologie et le typage HPV. En effet, une telle politique dépiste un grand nombre d’états pré néoplasiques.
L’ensemble de ces résultats souligne la nécessité de l’instauration d’une politique de dépistage incluse dans une stratégie globale de lutte contre le cancer du col utérin
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832009 Président : SABAH EL AMRANI Directeur : SAMIR BARGACH Juge : ABDELHAK RAGALA Juge : ANIS ANSARI DEPISTAGE ET PREVENTION DU CANCER DU COL UTERIN [thèse] / Lalla Wassima BENRISSOUL, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer du col Dépistage Frottis cervico vaginal HPV Prévention Vaccination anti HPV Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer du col utérin occupe le deuxième rang des cancers féminins dans le monde en terme d’incidence et de mortalité, principalement dans les pays en voie de développement.
Au Maroc, comme partout ailleurs, le cancer du col utérin est fréquent. Considéré comme problème de santé publique, il est responsable d’une morbidité, d’une mortalité, et de dépenses matérielles très importantes.
Le cancer du col utérin est considéré comme une maladie sexuellement transmissible étroitement liée à l’infection par les types 16 et 18 des papillomavirus humains responsables de 70% de ce cancer.
Le rôle du papillomavirus humain (HPV) dans la carcinogenèse a été sujet de nombreuses études et a ouvert de nouvelles perspectives de recherche qui ont démontré que l’association HPV-cancer cervical s’est révélée de nature causale, très forte, constante, spécifique et universelle et répond à une évidence biologique.
La prévention de l’infection par le HPV grâce à la vaccination et le dépistage des lésions précancéreuses semblent donc constituer des priorités auxquelles ce travail a le mérite de s’adresser.
En fait, les vaccins prophylactiques anti-HPV actuels (bivalent et tétravalent) représenteraient un enjeu majeur dans la prévention primaire du cancer du col utérin puisqu’ils protègent efficacement contre les HPV 16 et 18 auxquels s’ajoutent les HPV 6 et 11 pour le vaccin tétravalent. Ceci est d’autant plus vrai que ces vaccins présenteraient également une immunité croisée notamment pour les HPV 31 et 45. Cette avancée importante doit cependant être appréciée à sa juste valeur et adaptée au contexte particulier de chaque pays.
Une couverture vaccinale large ne pourrait être envisagée dans l’immédiat de part son coût et du manque de recul sur l’efficacité du vaccin (le premier vaccin n’existe que depuis 5 ans) .
Le dépistage des lésions précoces reste indispensable du fait que la fréquence élevée des cancers invasifs chez les femmes de 30 à 50 ans avec un pic de fréquence entre 40 et 50 ans .De plus, la proportion des cancers non viro-induits n’est pas négligeable, elle varie entre 5 à 25 % des cas d’après les données de la littérature.
Le dépistage viral permet donc de combler les insuffisances de la cytologie seule (vue la valeur prédictive négative très élevée du test HPV). Le couple cytologie /typage HPV permettra alors de mieux sélectionner les patientes devant bénéficier d’une biopsie sous colposcopie.
Certains auteurs préconisent des campagnes de dépistage de masse pour les pays en voie de développement. L’objectif serait que toutes les femmes de 30 ans et plus aient au moins un frottis de dépistage, un test HPV négatif serait par ailleurs en faveur d’une stratégie de dépistage une ou deux fois au courant de la vie des patientes.
Toutefois, il est mis l’accent sur la nécessité, avant de démarrer ce dépistage, de disposer des ressources suffisantes pour la prise en charge et le traitement des patientes.
Dans notre contexte, étant donné l’échec de plusieurs campagnes de dépistage organisées au cours des dix dernières années, nous préconisons la création d’unités pilotes de dépistage cytologique réparties sur les centres d’oncologie, les maternités et les hôpitaux qui disposent de laboratoires d’anatomo-cytologie pathologique. Le typage HPV pourrait se faire au laboratoire de biologie moléculaire. La réussite de ces unités pilotes servira d’exemple pour la création de centres régionaux.
On constate alors la nécessité et les bénéfices de l’introduction d’une politique de dépistage basée sur la cytologie et le typage HPV. En effet, une telle politique dépiste un grand nombre d’états pré néoplasiques.
L’ensemble de ces résultats souligne la nécessité de l’instauration d’une politique de dépistage incluse dans une stratégie globale de lutte contre le cancer du col utérin
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832009 Président : SABAH EL AMRANI Directeur : SAMIR BARGACH Juge : ABDELHAK RAGALA Juge : ANIS ANSARI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0832009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2009 Disponible EVALUATION DES MOYENS DE DIAGNOSTIC ET DE LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU CANCER DU COL A TRAVERS UNE ETUDE RETROSPECTIVE DE 81 CAS AU SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE DE L’HMIMV / MOUNA ACHENANI
Titre : EVALUATION DES MOYENS DE DIAGNOSTIC ET DE LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU CANCER DU COL A TRAVERS UNE ETUDE RETROSPECTIVE DE 81 CAS AU SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE DE L’HMIMV Type de document : thèse Auteurs : MOUNA ACHENANI, Auteur Année de publication : 2011 ISBN/ISSN/EAN : M0922011 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER DU COL DIAGNOSTIC TRAITEMENT. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : le cancer du col utérin représente la deuxième localisation après le cancer du sein, l’évaluation diagnostique ainsi que les protocoles thérapeutiques sont très important dans la prise en charge de cette maladie.
OBJECTIF DE L’ETUDE : Le but de ce travail est l’évaluation les moyens diagnostiques à travers une corrélation clinique radiologique et chirurgicale
Le deuxième objectif est une évaluation des moyens thérapeutiques afin de discuter la place de la chirurgie et de la radio chimiothérapie dans cette prise en charge
MATERIEL ET METHODES : Nous avons étudiés 81cas de cancer du col invasif du stade IB1 au stade IIB
Toutes ces patientes ont été examinés dans la plupart des temps sous anesthésie générale et ont fait une IRM avant traitement, les protocoles thérapeutiques consistent soit en une chirurgie première soit une radio chimiothérapie première
RESULTATS : Après confrontation clinique radiologique et chirurgicale le coefficient de corrélation de la taille clinique est supérieur à celui de taille tumorale radiologique, concerna l’extension au vagin la radiologie s’est avéré plus corrélée à la chirurgie que la clinique ,alors que l’extension aux paramètres clinique est plus proche à la chirurgie que la radiologie.
A travers ces résultats on a pu discuter les points forts et faibles de l’IRM et de la clinique.
CONCLUSION : Après avoir comparé nos résultats aux résultats de la littérature il est clair que l’examen clinique sous anesthésie générale ainsi que l’IRM sont très importants dans l’évaluation pré thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0922011 Président : MOHAMED DEHAYNI Directeur : DRISS MOUSSAOUI RAHALI Juge : HAMID MANSOURI Juge : MOHAMED MAHI EVALUATION DES MOYENS DE DIAGNOSTIC ET DE LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUE DU CANCER DU COL A TRAVERS UNE ETUDE RETROSPECTIVE DE 81 CAS AU SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE DE L’HMIMV [thèse] / MOUNA ACHENANI, Auteur . - 2011.
ISSN : M0922011
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CANCER DU COL DIAGNOSTIC TRAITEMENT. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : le cancer du col utérin représente la deuxième localisation après le cancer du sein, l’évaluation diagnostique ainsi que les protocoles thérapeutiques sont très important dans la prise en charge de cette maladie.
OBJECTIF DE L’ETUDE : Le but de ce travail est l’évaluation les moyens diagnostiques à travers une corrélation clinique radiologique et chirurgicale
Le deuxième objectif est une évaluation des moyens thérapeutiques afin de discuter la place de la chirurgie et de la radio chimiothérapie dans cette prise en charge
MATERIEL ET METHODES : Nous avons étudiés 81cas de cancer du col invasif du stade IB1 au stade IIB
Toutes ces patientes ont été examinés dans la plupart des temps sous anesthésie générale et ont fait une IRM avant traitement, les protocoles thérapeutiques consistent soit en une chirurgie première soit une radio chimiothérapie première
RESULTATS : Après confrontation clinique radiologique et chirurgicale le coefficient de corrélation de la taille clinique est supérieur à celui de taille tumorale radiologique, concerna l’extension au vagin la radiologie s’est avéré plus corrélée à la chirurgie que la clinique ,alors que l’extension aux paramètres clinique est plus proche à la chirurgie que la radiologie.
A travers ces résultats on a pu discuter les points forts et faibles de l’IRM et de la clinique.
CONCLUSION : Après avoir comparé nos résultats aux résultats de la littérature il est clair que l’examen clinique sous anesthésie générale ainsi que l’IRM sont très importants dans l’évaluation pré thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0922011 Président : MOHAMED DEHAYNI Directeur : DRISS MOUSSAOUI RAHALI Juge : HAMID MANSOURI Juge : MOHAMED MAHI Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0922011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Exclu du prêt