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"CARACTÉRISATION MOLÉCULAIRE DES BIOMARQUEURS TUMORAUX DE TYPE MICROARNS ET HPV DANS LE DIAGNOSTIC DU CANCER DU COL DE L’UTÉRUS DANS LA POPULATION MAROCAINE." / MOUTANABI NOUHAYLA
Titre : "CARACTÉRISATION MOLÉCULAIRE DES BIOMARQUEURS TUMORAUX DE TYPE MICROARNS ET HPV DANS LE DIAGNOSTIC DU CANCER DU COL DE L’UTÉRUS DANS LA POPULATION MAROCAINE." Type de document : thèse Auteurs : MOUTANABI NOUHAYLA, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : cancer du col de l'utérus HPV micro-ARN population marocaine oncovirus cervical cancer HPV microRNA Moroccan population oncovirus سرطان عنق الرحم HPV الميكروARN السكان المغاربة الفيروسات السرطانية Résumé : Le cancer du col de l'utérus est un problème de santé mondial majeur, particulièrement dans les
pays moins développés où les systèmes de dépistage sont souvent insuffisants. Les facteurs de
risque incluent l'exposition au virus du papillome humain (HPV), le tabagisme et les troubles
immunitaires. L'HPV est reconnu comme un facteur causal majeur, souvent associé à des
lésions précancéreuses, rendant sa détection précoce cruciale pour prévenir la progression vers
un cancer invasif. Les microARN (miARN), de petits ARN non codants d'environ 22
nucléotides, jouent un rôle crucial dans la régulation de l'expression génique. Notre étude,
menée au Laboratoire (LVO-BEEN), visait à détecter l'HPV et à quantifier l’expression du
microARN-21 (miR-21) dans des échantillons de tissus cervicaux de patientes atteintes de ce
cancer en utilisant la PCR et la qRT-PCR. Le fragment d'HPV cible avait une taille de 150 pb.
Les résultats ont montré une forte prévalence de l'HPV dans ces échantillons, confirmant le lien
entre ce virus et le développement de la maladie et suggérant que l'HPV pourrait être utilisé
comme biomarqueur de diagnostic. Parallèlement, l'expression du miR-21 a été évaluée. Nos
résultats ont révélé une surexpression significative du miR-21 dans les tissus tumoraux,
suggérant son potentiel en tant que biomarqueur diagnostique pour cette maladie. En
conclusion, ces découvertes offrent des perspectives prometteuses pour de nouvelles stratégies
de diagnostic et de traitement du cancer du col de l'utérus, mettant en lumière le rôle de l'HPV
et du miR-21 dans sa pathogenèse. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires
pour mieux comprendre l'impact de ces biomarqueurs sur la carcinogenèse cervicale et leur
utilité clinique dans le diagnostic et le traitement de cette maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MM0282024 Président : OUADGHIRI Mouna Directeur : ENNAJI Moulay Mustapha Juge : BENTAYEBI Kaoutar "CARACTÉRISATION MOLÉCULAIRE DES BIOMARQUEURS TUMORAUX DE TYPE MICROARNS ET HPV DANS LE DIAGNOSTIC DU CANCER DU COL DE L’UTÉRUS DANS LA POPULATION MAROCAINE." [thèse] / MOUTANABI NOUHAYLA, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : cancer du col de l'utérus HPV micro-ARN population marocaine oncovirus cervical cancer HPV microRNA Moroccan population oncovirus سرطان عنق الرحم HPV الميكروARN السكان المغاربة الفيروسات السرطانية Résumé : Le cancer du col de l'utérus est un problème de santé mondial majeur, particulièrement dans les
pays moins développés où les systèmes de dépistage sont souvent insuffisants. Les facteurs de
risque incluent l'exposition au virus du papillome humain (HPV), le tabagisme et les troubles
immunitaires. L'HPV est reconnu comme un facteur causal majeur, souvent associé à des
lésions précancéreuses, rendant sa détection précoce cruciale pour prévenir la progression vers
un cancer invasif. Les microARN (miARN), de petits ARN non codants d'environ 22
nucléotides, jouent un rôle crucial dans la régulation de l'expression génique. Notre étude,
menée au Laboratoire (LVO-BEEN), visait à détecter l'HPV et à quantifier l’expression du
microARN-21 (miR-21) dans des échantillons de tissus cervicaux de patientes atteintes de ce
cancer en utilisant la PCR et la qRT-PCR. Le fragment d'HPV cible avait une taille de 150 pb.
Les résultats ont montré une forte prévalence de l'HPV dans ces échantillons, confirmant le lien
entre ce virus et le développement de la maladie et suggérant que l'HPV pourrait être utilisé
comme biomarqueur de diagnostic. Parallèlement, l'expression du miR-21 a été évaluée. Nos
résultats ont révélé une surexpression significative du miR-21 dans les tissus tumoraux,
suggérant son potentiel en tant que biomarqueur diagnostique pour cette maladie. En
conclusion, ces découvertes offrent des perspectives prometteuses pour de nouvelles stratégies
de diagnostic et de traitement du cancer du col de l'utérus, mettant en lumière le rôle de l'HPV
et du miR-21 dans sa pathogenèse. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires
pour mieux comprendre l'impact de ces biomarqueurs sur la carcinogenèse cervicale et leur
utilité clinique dans le diagnostic et le traitement de cette maladie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MM0282024 Président : OUADGHIRI Mouna Directeur : ENNAJI Moulay Mustapha Juge : BENTAYEBI Kaoutar Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MM0282024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible DEPISTAGE ET PREVENTION DU CANCER DU COL UTERIN / Lalla Wassima BENRISSOUL
Titre : DEPISTAGE ET PREVENTION DU CANCER DU COL UTERIN Type de document : thèse Auteurs : Lalla Wassima BENRISSOUL, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer du col Dépistage Frottis cervico vaginal HPV Prévention Vaccination anti HPV Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer du col utérin occupe le deuxième rang des cancers féminins dans le monde en terme d’incidence et de mortalité, principalement dans les pays en voie de développement.
Au Maroc, comme partout ailleurs, le cancer du col utérin est fréquent. Considéré comme problème de santé publique, il est responsable d’une morbidité, d’une mortalité, et de dépenses matérielles très importantes.
Le cancer du col utérin est considéré comme une maladie sexuellement transmissible étroitement liée à l’infection par les types 16 et 18 des papillomavirus humains responsables de 70% de ce cancer.
Le rôle du papillomavirus humain (HPV) dans la carcinogenèse a été sujet de nombreuses études et a ouvert de nouvelles perspectives de recherche qui ont démontré que l’association HPV-cancer cervical s’est révélée de nature causale, très forte, constante, spécifique et universelle et répond à une évidence biologique.
La prévention de l’infection par le HPV grâce à la vaccination et le dépistage des lésions précancéreuses semblent donc constituer des priorités auxquelles ce travail a le mérite de s’adresser.
En fait, les vaccins prophylactiques anti-HPV actuels (bivalent et tétravalent) représenteraient un enjeu majeur dans la prévention primaire du cancer du col utérin puisqu’ils protègent efficacement contre les HPV 16 et 18 auxquels s’ajoutent les HPV 6 et 11 pour le vaccin tétravalent. Ceci est d’autant plus vrai que ces vaccins présenteraient également une immunité croisée notamment pour les HPV 31 et 45. Cette avancée importante doit cependant être appréciée à sa juste valeur et adaptée au contexte particulier de chaque pays.
Une couverture vaccinale large ne pourrait être envisagée dans l’immédiat de part son coût et du manque de recul sur l’efficacité du vaccin (le premier vaccin n’existe que depuis 5 ans) .
Le dépistage des lésions précoces reste indispensable du fait que la fréquence élevée des cancers invasifs chez les femmes de 30 à 50 ans avec un pic de fréquence entre 40 et 50 ans .De plus, la proportion des cancers non viro-induits n’est pas négligeable, elle varie entre 5 à 25 % des cas d’après les données de la littérature.
Le dépistage viral permet donc de combler les insuffisances de la cytologie seule (vue la valeur prédictive négative très élevée du test HPV). Le couple cytologie /typage HPV permettra alors de mieux sélectionner les patientes devant bénéficier d’une biopsie sous colposcopie.
Certains auteurs préconisent des campagnes de dépistage de masse pour les pays en voie de développement. L’objectif serait que toutes les femmes de 30 ans et plus aient au moins un frottis de dépistage, un test HPV négatif serait par ailleurs en faveur d’une stratégie de dépistage une ou deux fois au courant de la vie des patientes.
Toutefois, il est mis l’accent sur la nécessité, avant de démarrer ce dépistage, de disposer des ressources suffisantes pour la prise en charge et le traitement des patientes.
Dans notre contexte, étant donné l’échec de plusieurs campagnes de dépistage organisées au cours des dix dernières années, nous préconisons la création d’unités pilotes de dépistage cytologique réparties sur les centres d’oncologie, les maternités et les hôpitaux qui disposent de laboratoires d’anatomo-cytologie pathologique. Le typage HPV pourrait se faire au laboratoire de biologie moléculaire. La réussite de ces unités pilotes servira d’exemple pour la création de centres régionaux.
On constate alors la nécessité et les bénéfices de l’introduction d’une politique de dépistage basée sur la cytologie et le typage HPV. En effet, une telle politique dépiste un grand nombre d’états pré néoplasiques.
L’ensemble de ces résultats souligne la nécessité de l’instauration d’une politique de dépistage incluse dans une stratégie globale de lutte contre le cancer du col utérin
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832009 Président : SABAH EL AMRANI Directeur : SAMIR BARGACH Juge : ABDELHAK RAGALA Juge : ANIS ANSARI DEPISTAGE ET PREVENTION DU CANCER DU COL UTERIN [thèse] / Lalla Wassima BENRISSOUL, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer du col Dépistage Frottis cervico vaginal HPV Prévention Vaccination anti HPV Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le cancer du col utérin occupe le deuxième rang des cancers féminins dans le monde en terme d’incidence et de mortalité, principalement dans les pays en voie de développement.
Au Maroc, comme partout ailleurs, le cancer du col utérin est fréquent. Considéré comme problème de santé publique, il est responsable d’une morbidité, d’une mortalité, et de dépenses matérielles très importantes.
Le cancer du col utérin est considéré comme une maladie sexuellement transmissible étroitement liée à l’infection par les types 16 et 18 des papillomavirus humains responsables de 70% de ce cancer.
Le rôle du papillomavirus humain (HPV) dans la carcinogenèse a été sujet de nombreuses études et a ouvert de nouvelles perspectives de recherche qui ont démontré que l’association HPV-cancer cervical s’est révélée de nature causale, très forte, constante, spécifique et universelle et répond à une évidence biologique.
La prévention de l’infection par le HPV grâce à la vaccination et le dépistage des lésions précancéreuses semblent donc constituer des priorités auxquelles ce travail a le mérite de s’adresser.
En fait, les vaccins prophylactiques anti-HPV actuels (bivalent et tétravalent) représenteraient un enjeu majeur dans la prévention primaire du cancer du col utérin puisqu’ils protègent efficacement contre les HPV 16 et 18 auxquels s’ajoutent les HPV 6 et 11 pour le vaccin tétravalent. Ceci est d’autant plus vrai que ces vaccins présenteraient également une immunité croisée notamment pour les HPV 31 et 45. Cette avancée importante doit cependant être appréciée à sa juste valeur et adaptée au contexte particulier de chaque pays.
Une couverture vaccinale large ne pourrait être envisagée dans l’immédiat de part son coût et du manque de recul sur l’efficacité du vaccin (le premier vaccin n’existe que depuis 5 ans) .
Le dépistage des lésions précoces reste indispensable du fait que la fréquence élevée des cancers invasifs chez les femmes de 30 à 50 ans avec un pic de fréquence entre 40 et 50 ans .De plus, la proportion des cancers non viro-induits n’est pas négligeable, elle varie entre 5 à 25 % des cas d’après les données de la littérature.
Le dépistage viral permet donc de combler les insuffisances de la cytologie seule (vue la valeur prédictive négative très élevée du test HPV). Le couple cytologie /typage HPV permettra alors de mieux sélectionner les patientes devant bénéficier d’une biopsie sous colposcopie.
Certains auteurs préconisent des campagnes de dépistage de masse pour les pays en voie de développement. L’objectif serait que toutes les femmes de 30 ans et plus aient au moins un frottis de dépistage, un test HPV négatif serait par ailleurs en faveur d’une stratégie de dépistage une ou deux fois au courant de la vie des patientes.
Toutefois, il est mis l’accent sur la nécessité, avant de démarrer ce dépistage, de disposer des ressources suffisantes pour la prise en charge et le traitement des patientes.
Dans notre contexte, étant donné l’échec de plusieurs campagnes de dépistage organisées au cours des dix dernières années, nous préconisons la création d’unités pilotes de dépistage cytologique réparties sur les centres d’oncologie, les maternités et les hôpitaux qui disposent de laboratoires d’anatomo-cytologie pathologique. Le typage HPV pourrait se faire au laboratoire de biologie moléculaire. La réussite de ces unités pilotes servira d’exemple pour la création de centres régionaux.
On constate alors la nécessité et les bénéfices de l’introduction d’une politique de dépistage basée sur la cytologie et le typage HPV. En effet, une telle politique dépiste un grand nombre d’états pré néoplasiques.
L’ensemble de ces résultats souligne la nécessité de l’instauration d’une politique de dépistage incluse dans une stratégie globale de lutte contre le cancer du col utérin
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0832009 Président : SABAH EL AMRANI Directeur : SAMIR BARGACH Juge : ABDELHAK RAGALA Juge : ANIS ANSARI Réservation
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Titre : HPV ET CANCER ORL Type de document : thèse Auteurs : BEN AJIBA, Yousra, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer HPV ORL Virus Résumé : Les humains papilloma virus constituent un groupe de virus appartenant à la famille des papillomaviridaes . Ces virus sont responsables de prolifération cutanéomuqueux bénigne qui , en absence de traitement ,de déficit immunitaire ou de présence de facteur de risque, évoluent en lésion maligne . Il siège au niveau du col utérin , anogénitale et de la sphère ORL notamment la cavité buccale. Dans les cancer ORL HPV+ , la voie de transmission principale est la voie sexuelle ,elle plus fréquente chez l’ homme que la femme .Ils sont de types basaloide fortement associé à l’ addiction alcoolo tabagique . Cliniquement , la lésion est ulcéreuse ,végétante ou ulcérovégétante , repose sur une base indurée plus ou moins étendue en profondeur et douloureuse à la palpation . Ces tumeurs sont lymphophiles , peuvent être détectés par des adénopathies cervicales d’ où l’intérêt d’ examiner la région cervicale. La présence d’ADN viral au sein de la tumeur est indispensable pour affirmer le rôle pathogénique du HPV dans la cancérogenèse . L’expression des ARN messagers E6/E7 constitue l’indicateur le plus pertinent pour stratifier les cancers. Plusieurs méthodes permettent la mise en évidence de l’ADN des HPV oncogènes dans le tissu tumoral mais la polymerase chain reaction (PCR) suivie d’hybridation est la technique la plus sensible et la plus utilisée. Le traitement repose sur la chirurgie ainsi que la radiothérapie et la chimiothérapie . le choix des méthodes thérapeutiques repose sur la classification TN M. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4052019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S HPV ET CANCER ORL [thèse] / BEN AJIBA, Yousra, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer HPV ORL Virus Résumé : Les humains papilloma virus constituent un groupe de virus appartenant à la famille des papillomaviridaes . Ces virus sont responsables de prolifération cutanéomuqueux bénigne qui , en absence de traitement ,de déficit immunitaire ou de présence de facteur de risque, évoluent en lésion maligne . Il siège au niveau du col utérin , anogénitale et de la sphère ORL notamment la cavité buccale. Dans les cancer ORL HPV+ , la voie de transmission principale est la voie sexuelle ,elle plus fréquente chez l’ homme que la femme .Ils sont de types basaloide fortement associé à l’ addiction alcoolo tabagique . Cliniquement , la lésion est ulcéreuse ,végétante ou ulcérovégétante , repose sur une base indurée plus ou moins étendue en profondeur et douloureuse à la palpation . Ces tumeurs sont lymphophiles , peuvent être détectés par des adénopathies cervicales d’ où l’intérêt d’ examiner la région cervicale. La présence d’ADN viral au sein de la tumeur est indispensable pour affirmer le rôle pathogénique du HPV dans la cancérogenèse . L’expression des ARN messagers E6/E7 constitue l’indicateur le plus pertinent pour stratifier les cancers. Plusieurs méthodes permettent la mise en évidence de l’ADN des HPV oncogènes dans le tissu tumoral mais la polymerase chain reaction (PCR) suivie d’hybridation est la technique la plus sensible et la plus utilisée. Le traitement repose sur la chirurgie ainsi que la radiothérapie et la chimiothérapie . le choix des méthodes thérapeutiques repose sur la classification TN M. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4052019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4052019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4052019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M4052019URL
Titre : PLACE DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS HUMAIN DANS LA PREVENTION DU CANCER DU COL DE L’UTERUS. Type de document : thèse Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer du col de l’utérus Cervarix® Gardasil® HPV Vaccination Résumé : Le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme, après le cancer du sein. Avec 570 000 nouveaux cas par an dans le monde et près de 311 000 décès par an, le cancer du col de l’utérus est un véritable problème de santé publique dans le monde. Au Maroc, l’année 2012 a enregistré 2258 nouveaux cas et 1076 décès. Cette situation catastrophique au Maroc s’explique par l’absence d’un dépistage organisé par le frottis cervico-utérin, d’où le retard diagnostique. En effet, 70 à 80% des cas déclarés de cancer du col de l'utérus au Maroc sont diagnostiqués à un stade avancé.
Le cancer du col de l’utérus est viro-induit. L’infection par un papillomavirus humain est une condition nécessaire au développement d’un cancer du col de l’utérus. Avec plus de 200 génotypes de papillomavirus humains identifiés, l’infection à HPV est l’infection sexuellement transmissible la plus répandue au monde.
Les HPV 16 et HPV 18 sont des papillomavirus humains dit à haut risque oncogène et sont responsables de 70% des cancers du col utérin. C’est pourquoi les laboratoires ont particulièrement axés leurs recherches sur ces 2 types d’HPV. Les chercheurs ont découverts que la protéine majeure de la capside virale possède la capacité à s’auto-assembler spontanément en pseudo-particules virales, les « virus-like particles ». Ces dernières sont capables d’induire la production de hauts titres d’anticorps spécifiques, permettant la neutralisation du papillomavirus humain ciblé.
Cervarix® et Gardasil® sont les 2 vaccins disponibles sur le marché marocain. Leur efficacité prophylactique contre les lésions précancéreuses cervicales dues aux HPV 16 et 18 a été démontrée par plusieurs essais cliniques reconnus pour leur rigueur scientifique
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2572020 Président : GAOUZI.A Directeur : ABI.R Juge : MOUSSAOUI RAHALI.D PLACE DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS HUMAIN DANS LA PREVENTION DU CANCER DU COL DE L’UTERUS. [thèse] . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer du col de l’utérus Cervarix® Gardasil® HPV Vaccination Résumé : Le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme, après le cancer du sein. Avec 570 000 nouveaux cas par an dans le monde et près de 311 000 décès par an, le cancer du col de l’utérus est un véritable problème de santé publique dans le monde. Au Maroc, l’année 2012 a enregistré 2258 nouveaux cas et 1076 décès. Cette situation catastrophique au Maroc s’explique par l’absence d’un dépistage organisé par le frottis cervico-utérin, d’où le retard diagnostique. En effet, 70 à 80% des cas déclarés de cancer du col de l'utérus au Maroc sont diagnostiqués à un stade avancé.
Le cancer du col de l’utérus est viro-induit. L’infection par un papillomavirus humain est une condition nécessaire au développement d’un cancer du col de l’utérus. Avec plus de 200 génotypes de papillomavirus humains identifiés, l’infection à HPV est l’infection sexuellement transmissible la plus répandue au monde.
Les HPV 16 et HPV 18 sont des papillomavirus humains dit à haut risque oncogène et sont responsables de 70% des cancers du col utérin. C’est pourquoi les laboratoires ont particulièrement axés leurs recherches sur ces 2 types d’HPV. Les chercheurs ont découverts que la protéine majeure de la capside virale possède la capacité à s’auto-assembler spontanément en pseudo-particules virales, les « virus-like particles ». Ces dernières sont capables d’induire la production de hauts titres d’anticorps spécifiques, permettant la neutralisation du papillomavirus humain ciblé.
Cervarix® et Gardasil® sont les 2 vaccins disponibles sur le marché marocain. Leur efficacité prophylactique contre les lésions précancéreuses cervicales dues aux HPV 16 et 18 a été démontrée par plusieurs essais cliniques reconnus pour leur rigueur scientifique
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2572020 Président : GAOUZI.A Directeur : ABI.R Juge : MOUSSAOUI RAHALI.D Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2572020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M2572020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M2572020URL
Titre : PREVENTION DU CANCER DU COL DE L’UTERUS Type de document : thèse Auteurs : Meryem AHAMAM, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer du col de l’utérus HPV Dépistage Vaccination Traitement Résumé : Introduction : Le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer chez la femme, après
le cancer du sein en termes de morbidité et de mortalité. Ce fléau menace la vie des femmes
surtout dans les pays en voie de développement à ressources limités comme le Maroc. Un lien
de causalité entre l'infection par le papillomavirus humain et le néoplasie cervical a été
identifié. Ce cancer touche les femmes âgées de 50 ans et plus.
Notre étude se porte sur la prévention du cancer du col de l’utérus.
L’objectif principal de notre étude est de décrire les méthodes de prévention du cancer
du col et les différents moyens de dépistage et de traitement avec les nouvelles techniques et
stratégies actualisées au Maroc.
Matériel et méthodes : la recherche bibliographique a été effectuée par les moteurs de
recherche de pubmed, Google scholar , science direct … on a privilégié les articles les plus
récents et qui semblent plus pertinents pour notre étude .
Résultats et discussion : le cancer du col est évitable par les différents moyens de
prévention que ca soit par la prévention primaire (la vaccination) que par la prévention
secondaire(le dépistage et traitement des lésions précancéreuses) ou par la prévention tertiaire
(diagnostic et traitement).
Plusieurs freins ont été identifiés comme le prix des vaccins, le manque de
sensibilisation, manque des outils de dépistage ; ce qui explique que le Maroc et les autres
pays en voie de développement enregistrent toujours des taux de décès importants.
Conclusion : L’amélioration des programmes de prévention et la généralisation de la
vaccination à toutes les filles avant le début des relations sexuelles sont la clé pour réduire
l’impact de ce fardeau.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0742022 Président : Aicha KHARBACH Directeur : Aicha KHARBACH Juge : Amina LAKHDAR Juge : Brahim RHRAB PREVENTION DU CANCER DU COL DE L’UTERUS [thèse] / Meryem AHAMAM, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Cancer du col de l’utérus HPV Dépistage Vaccination Traitement Résumé : Introduction : Le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer chez la femme, après
le cancer du sein en termes de morbidité et de mortalité. Ce fléau menace la vie des femmes
surtout dans les pays en voie de développement à ressources limités comme le Maroc. Un lien
de causalité entre l'infection par le papillomavirus humain et le néoplasie cervical a été
identifié. Ce cancer touche les femmes âgées de 50 ans et plus.
Notre étude se porte sur la prévention du cancer du col de l’utérus.
L’objectif principal de notre étude est de décrire les méthodes de prévention du cancer
du col et les différents moyens de dépistage et de traitement avec les nouvelles techniques et
stratégies actualisées au Maroc.
Matériel et méthodes : la recherche bibliographique a été effectuée par les moteurs de
recherche de pubmed, Google scholar , science direct … on a privilégié les articles les plus
récents et qui semblent plus pertinents pour notre étude .
Résultats et discussion : le cancer du col est évitable par les différents moyens de
prévention que ca soit par la prévention primaire (la vaccination) que par la prévention
secondaire(le dépistage et traitement des lésions précancéreuses) ou par la prévention tertiaire
(diagnostic et traitement).
Plusieurs freins ont été identifiés comme le prix des vaccins, le manque de
sensibilisation, manque des outils de dépistage ; ce qui explique que le Maroc et les autres
pays en voie de développement enregistrent toujours des taux de décès importants.
Conclusion : L’amélioration des programmes de prévention et la généralisation de la
vaccination à toutes les filles avant le début des relations sexuelles sont la clé pour réduire
l’impact de ce fardeau.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0742022 Président : Aicha KHARBACH Directeur : Aicha KHARBACH Juge : Amina LAKHDAR Juge : Brahim RHRAB Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0742022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M0742022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
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Titre : PROGRAMME NATIONAL D’IMMUNISATION, ACTUALITE Type de document : thèse Auteurs : HANDAOUI Mohamed El Mehdi, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : actualité couverture vaccinale Hépatite B Pentavalent PNI HPV Résumé : Le Maroc a atteint un niveau satisfaisant, en matière de prévention sanitaire et de couverture vaccinal, grâce notamment a son Programme National d’Immunisation instauré et développé sous haute instruction royal. Le Maroc est ainsi pionnier dans le domaine de la vaccination et des programmes de santé dans la zone ‘Méditerranée occidentale, atteignant des taux de couverture vaccinal supérieur à 90%, éradiquant plusieurs maladies infectieuses et dans l’attente de certification pour d’autres. Le programme national d’immunisation a ainsi réalisé ses objectifs premiers et revois sous la direction du CNTSCV ses objectifs à la hausse et cherche à consolider ses acquis et introduire toujours plus de vaccin notamment le vaccin anti HPV et faire face au problématiques vaccinal en terme de politique de santé notamment les mouvements anti vaccin fleurissant chez les classes moyennes, et sur internet en adoptant une stratégie de sensibilisation et prenant en compte les spécificité de la population marocaine. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4412019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : EL HAMZAOUI.S PROGRAMME NATIONAL D’IMMUNISATION, ACTUALITE [thèse] / HANDAOUI Mohamed El Mehdi, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : actualité couverture vaccinale Hépatite B Pentavalent PNI HPV Résumé : Le Maroc a atteint un niveau satisfaisant, en matière de prévention sanitaire et de couverture vaccinal, grâce notamment a son Programme National d’Immunisation instauré et développé sous haute instruction royal. Le Maroc est ainsi pionnier dans le domaine de la vaccination et des programmes de santé dans la zone ‘Méditerranée occidentale, atteignant des taux de couverture vaccinal supérieur à 90%, éradiquant plusieurs maladies infectieuses et dans l’attente de certification pour d’autres. Le programme national d’immunisation a ainsi réalisé ses objectifs premiers et revois sous la direction du CNTSCV ses objectifs à la hausse et cherche à consolider ses acquis et introduire toujours plus de vaccin notamment le vaccin anti HPV et faire face au problématiques vaccinal en terme de politique de santé notamment les mouvements anti vaccin fleurissant chez les classes moyennes, et sur internet en adoptant une stratégie de sensibilisation et prenant en compte les spécificité de la population marocaine. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4412019 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : EL HAMZAOUI.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4412019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4412019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M4412019URL
Titre : VERRUES VULGAIRES ET PLANTAIRES : EPIDEMIOLOGIE ET PRISE EN CHARGE Type de document : thèse Auteurs : Sara FLIS, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Verrues HPV épidémiologie formes cliniques diagnostics différentiels prise en charge Résumé : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus HPV. Il existe plus de
200 types d’HPV provoquant diverses manifestations cutanées et muqueuses. Les
HPV à tropisme cutané sont à l’origine des verrues vulgaires et plantaires. Leur
fréquence est évaluée à 7-10% de la population générale, touchant tous les âges
mais les enfants scolarisés et les jeunes adultes en représentent le principal
réservoir. La transmission se fait à partir de micro traumatismes cutanés, par
contact direct, indirect ou par auto inoculation. Selon le sous-type du HPV
contaminant, on distingue différentes formes cliniques : les verrues vulgaires, planes,
filiformes, périunguéales et sous unguéales, les verrues plantaires (myrmécies,
verrues translucides), l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome. Il
faut donc identifier précisément le type de verrue et écarter les différents
diagnostics différentiels. La régression spontanée est habituelle pour les verrues
cutanées mais les récidives sont fréquentes. Les modalités thérapeutiques visent
à détruire l’épiderme infecté par des méthodes de destruction (chimiques,
physiques ou immunologiques). L’abstention thérapeutique est envisageable
dans certains cas. Aucun traitement n’est efficace à 100%. A l’avenir, l’espoir
repose sur les recherches de vaccination et les traitements immunomodulateurs.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362022 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Saida TELLAL Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI VERRUES VULGAIRES ET PLANTAIRES : EPIDEMIOLOGIE ET PRISE EN CHARGE [thèse] / Sara FLIS, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Verrues HPV épidémiologie formes cliniques diagnostics différentiels prise en charge Résumé : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus HPV. Il existe plus de
200 types d’HPV provoquant diverses manifestations cutanées et muqueuses. Les
HPV à tropisme cutané sont à l’origine des verrues vulgaires et plantaires. Leur
fréquence est évaluée à 7-10% de la population générale, touchant tous les âges
mais les enfants scolarisés et les jeunes adultes en représentent le principal
réservoir. La transmission se fait à partir de micro traumatismes cutanés, par
contact direct, indirect ou par auto inoculation. Selon le sous-type du HPV
contaminant, on distingue différentes formes cliniques : les verrues vulgaires, planes,
filiformes, périunguéales et sous unguéales, les verrues plantaires (myrmécies,
verrues translucides), l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome. Il
faut donc identifier précisément le type de verrue et écarter les différents
diagnostics différentiels. La régression spontanée est habituelle pour les verrues
cutanées mais les récidives sont fréquentes. Les modalités thérapeutiques visent
à détruire l’épiderme infecté par des méthodes de destruction (chimiques,
physiques ou immunologiques). L’abstention thérapeutique est envisageable
dans certains cas. Aucun traitement n’est efficace à 100%. A l’avenir, l’espoir
repose sur les recherches de vaccination et les traitements immunomodulateurs.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362022 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Saida TELLAL Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0362022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M0362022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
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