Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'diagnostics différentiels'
Affiner la recherche Faire une suggestion
ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DE LA DYSPLASIE FIBREUSE DES OS LONGS. SÉRIE DE 14 CAS. EXPÉRIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HÔPITAL IBN SINA DE RABAT. / JAMIAI SAFAE
Titre : ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DE LA DYSPLASIE FIBREUSE DES OS LONGS. SÉRIE DE 14 CAS. EXPÉRIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HÔPITAL IBN SINA DE RABAT. Type de document : thèse Auteurs : JAMIAI SAFAE, Auteur Année de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dysplasie fibreuse Anatomie pathologique Diagnostics différentiels Ostéosarcome de bas grade de malignité Fibrous dysplasia Pathological anatomy Differential diagnoses Low-grade
osteosarcoma الديسبلازيا الليفية التشريح المرضي التشخيص المرضي التشخيص التفريقي الساركوما العظمية منخفضة الدرجة.Résumé : Objectifs: Établir un profil épidémiologique de la dysplasie fibreuse; Décrire les divers
aspects anatomo-pathologiques; Explorer les difficultés diagnostiques; Discuter les
diagnostics différentiels surtout celui de l'ostéosarcome de bas grade de malignité; Évaluer le
rôle de l'immunohistochimie dans les diagnostics positifs et différentiels de la dysplasie
fibreuse.
Matériels et méthodes: Étude rétrospective menée au sein de laboratoire d'anatomie
pathologique du CHU Ibn Sina de Rabat sur une période de 11 ans, de 01/01/2013 au
31/12/2023.
Résultats:
- Il s'agit de 5 hommes et 9 femmes, dont l'âge moyen est de 37 ans (entre 19 ans et 74
ans).
- La localisation la plus fréquente correspond au fémur (3 cas), suivi par le tibia, la
clavicule, les côtes et la crête iliaque pour chacun 1 cas.
- Il faut noter que le siège manquait dans 7 cas (50% de notre échantillon).
- Aucun des 14 cas n'a nécessité un examen immunohistochimique.
- Le diagnostic de certitude est basé sur l'examen anatomo-pathologique, 12 patients ont
bénéficies d'une biopsie, 2 patients ont bénéficier d'une preuve histologique sur pièce
opératoire.
- Un seul cas à présenter une transformation maligne sur DF.
Conclusion:
La dysplasie fibreuse est un trouble bénin de la formation osseuse, congénitale mais non
héréditaire qui entraîne un fragilité osseuse. Le diagnostic est suspecté devant un aspect en verre
dépoli sur les radiographies standards et TDM, et il est confirmé par l'examen anatomopathologique.
L'immunohistochimie (MDM2 et CDK4) permettent son diagnostic différentiel
avec le sarcome osseux bien différencié. La biologie moléculaire met en évidence une mutation
du gène GNAS1 situé au niveau du chromosome 20q13.2-3. Le traitement peut être médical
et/ou chirurgical, et la simple surveillance thérapeutique s'impose dans certaines situations.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1632024 Président : KHARMAZ Mohamed Directeur : ZOUAIDIA Fouad ; ELOUAZZANI Hafsa Juge : DENDANE Mohamed Anouar Juge : BENCHAKROUN Mohammed ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DE LA DYSPLASIE FIBREUSE DES OS LONGS. SÉRIE DE 14 CAS. EXPÉRIENCE DU SERVICE D’ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L’HÔPITAL IBN SINA DE RABAT. [thèse] / JAMIAI SAFAE, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Dysplasie fibreuse Anatomie pathologique Diagnostics différentiels Ostéosarcome de bas grade de malignité Fibrous dysplasia Pathological anatomy Differential diagnoses Low-grade
osteosarcoma الديسبلازيا الليفية التشريح المرضي التشخيص المرضي التشخيص التفريقي الساركوما العظمية منخفضة الدرجة.Résumé : Objectifs: Établir un profil épidémiologique de la dysplasie fibreuse; Décrire les divers
aspects anatomo-pathologiques; Explorer les difficultés diagnostiques; Discuter les
diagnostics différentiels surtout celui de l'ostéosarcome de bas grade de malignité; Évaluer le
rôle de l'immunohistochimie dans les diagnostics positifs et différentiels de la dysplasie
fibreuse.
Matériels et méthodes: Étude rétrospective menée au sein de laboratoire d'anatomie
pathologique du CHU Ibn Sina de Rabat sur une période de 11 ans, de 01/01/2013 au
31/12/2023.
Résultats:
- Il s'agit de 5 hommes et 9 femmes, dont l'âge moyen est de 37 ans (entre 19 ans et 74
ans).
- La localisation la plus fréquente correspond au fémur (3 cas), suivi par le tibia, la
clavicule, les côtes et la crête iliaque pour chacun 1 cas.
- Il faut noter que le siège manquait dans 7 cas (50% de notre échantillon).
- Aucun des 14 cas n'a nécessité un examen immunohistochimique.
- Le diagnostic de certitude est basé sur l'examen anatomo-pathologique, 12 patients ont
bénéficies d'une biopsie, 2 patients ont bénéficier d'une preuve histologique sur pièce
opératoire.
- Un seul cas à présenter une transformation maligne sur DF.
Conclusion:
La dysplasie fibreuse est un trouble bénin de la formation osseuse, congénitale mais non
héréditaire qui entraîne un fragilité osseuse. Le diagnostic est suspecté devant un aspect en verre
dépoli sur les radiographies standards et TDM, et il est confirmé par l'examen anatomopathologique.
L'immunohistochimie (MDM2 et CDK4) permettent son diagnostic différentiel
avec le sarcome osseux bien différencié. La biologie moléculaire met en évidence une mutation
du gène GNAS1 situé au niveau du chromosome 20q13.2-3. Le traitement peut être médical
et/ou chirurgical, et la simple surveillance thérapeutique s'impose dans certaines situations.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1632024 Président : KHARMAZ Mohamed Directeur : ZOUAIDIA Fouad ; ELOUAZZANI Hafsa Juge : DENDANE Mohamed Anouar Juge : BENCHAKROUN Mohammed Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1632024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DU KYSTE OSSEUX ANÉVRYSMAL AU NIVEAU DES MEMBRES,À PROPOS D'UNE SÉRIE DE 8CAS,EXPÉRIENCE DU SERVUCE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'HÔPITAL IBN SINA. / BENTOUDA NAJOUA
Titre : ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DU KYSTE OSSEUX ANÉVRYSMAL AU NIVEAU DES MEMBRES,À PROPOS D'UNE SÉRIE DE 8CAS,EXPÉRIENCE DU SERVUCE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'HÔPITAL IBN SINA. Type de document : thèse Auteurs : BENTOUDA NAJOUA, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux anévrysmal Tumeurs osseuses primitives Classification OMS 2020 Anatomie pathologique diagnostics différentiels prise en charge Aneurysmal bone cyst Primary bone tumors WHO 2020 classification Pathological anatomy differential diagnosis management ت ر ح 2020 كيس عظمي لأ د ي،أ م عظام لأ ي ميدة،ت نيف م.ع.ص دقيق ت خيص تفاض ي،تغطي Résumé : Le kyste osseux anévrysmal (KOA) appartient à la classe des « tumeurs riches en cellules géantes », touchant souvent l’enfant et le sujet jeune lors des deux premières décennies de vie, au niveau de la métaphyse des os longs. Il peut exister comme lésion osseuse primitive (environ 2/3des cas), ou comme lésion secondaire lorsqu'il existe une lésion osseuse sous-jacente (environ 1/3 des cas).
A travers ce travail, nous avons analysé les résultats cliniques, radiologiques et anatomopathologiques d'une série rétrospective de 8 kystes osseux anévrysmaux, reçus au CHU Ibn Sina de Rabat, colligés sur une période de 5 ans entre 2018 et 2022.
L’âge moyen a été de 24 ans. Les ¾ des localisations ont intéressé l’humérus. Le motif de consultation était la tuméfaction et la douleur, soit isolées ou associées.
Sur le plan diagnostic, l'aspect clinique et la radiographie standard, sont évocateurs du diagnostic mais jamais suffisants. La biopsie a été réalisée pour tous les cas, l'étude anatomopathologique était compatible avec un KOA.
Le KAO est une entité énigmatique, non seulement en ce qui concerne sa cause, mais aussi en ce qui concerne le traitement optimal. Le traitement chirurgical de référence est le curettage avec ou sans greffe osseuse selon le vide osseux résultant. Les thérapies adjuvantes prennent actuellement de la place comme moyens thérapeutiques mini-invasifs, réduisant le risque de récidive. Ce risque est minimal voire nul avec la résection élargie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5072023 Président : KHARMAZ MOHAMMED Directeur : ZOUAIDIA FOUAD Juge : DENDANE MOHAMMED ANOUAR Juge : BENCHAKROUN MOHAMMED ASPECTS ANATOMOPATHOLOGIQUES DU KYSTE OSSEUX ANÉVRYSMAL AU NIVEAU DES MEMBRES,À PROPOS D'UNE SÉRIE DE 8CAS,EXPÉRIENCE DU SERVUCE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE L'HÔPITAL IBN SINA. [thèse] / BENTOUDA NAJOUA, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Kyste osseux anévrysmal Tumeurs osseuses primitives Classification OMS 2020 Anatomie pathologique diagnostics différentiels prise en charge Aneurysmal bone cyst Primary bone tumors WHO 2020 classification Pathological anatomy differential diagnosis management ت ر ح 2020 كيس عظمي لأ د ي،أ م عظام لأ ي ميدة،ت نيف م.ع.ص دقيق ت خيص تفاض ي،تغطي Résumé : Le kyste osseux anévrysmal (KOA) appartient à la classe des « tumeurs riches en cellules géantes », touchant souvent l’enfant et le sujet jeune lors des deux premières décennies de vie, au niveau de la métaphyse des os longs. Il peut exister comme lésion osseuse primitive (environ 2/3des cas), ou comme lésion secondaire lorsqu'il existe une lésion osseuse sous-jacente (environ 1/3 des cas).
A travers ce travail, nous avons analysé les résultats cliniques, radiologiques et anatomopathologiques d'une série rétrospective de 8 kystes osseux anévrysmaux, reçus au CHU Ibn Sina de Rabat, colligés sur une période de 5 ans entre 2018 et 2022.
L’âge moyen a été de 24 ans. Les ¾ des localisations ont intéressé l’humérus. Le motif de consultation était la tuméfaction et la douleur, soit isolées ou associées.
Sur le plan diagnostic, l'aspect clinique et la radiographie standard, sont évocateurs du diagnostic mais jamais suffisants. La biopsie a été réalisée pour tous les cas, l'étude anatomopathologique était compatible avec un KOA.
Le KAO est une entité énigmatique, non seulement en ce qui concerne sa cause, mais aussi en ce qui concerne le traitement optimal. Le traitement chirurgical de référence est le curettage avec ou sans greffe osseuse selon le vide osseux résultant. Les thérapies adjuvantes prennent actuellement de la place comme moyens thérapeutiques mini-invasifs, réduisant le risque de récidive. Ce risque est minimal voire nul avec la résection élargie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M5072023 Président : KHARMAZ MOHAMMED Directeur : ZOUAIDIA FOUAD Juge : DENDANE MOHAMMED ANOUAR Juge : BENCHAKROUN MOHAMMED Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M5072023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible Aspects anatomopathologiques des tumeurs osseuses primitives bénignes et à malignité intermédiaire, à propos d’une série de 65 cas. Expérience du service d’anatomie pathologique de l’hôpital Ibn Sina de Rabat. / Yassin ZAHDI
Titre : Aspects anatomopathologiques des tumeurs osseuses primitives bénignes et à malignité intermédiaire, à propos d’une série de 65 cas. Expérience du service d’anatomie pathologique de l’hôpital Ibn Sina de Rabat. Type de document : thèse Auteurs : Yassin ZAHDI, Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs osseuses primitives bénignes Tumeurs osseuses primitivesintermédiaires Anatomie pathologique diagnostics différentiels Classification OMS 2013. Résumé : Objectif : Etablir un profil épidémiologique, préciser le rapport anatomo-pathologique et les difficultés diagnostiques des tumeurs osseuses primitives bénignes etintermédiaires.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective, s’étendant du 01/01/2012 au 31/12/2016, menée au sein du laboratoire d’anatomie pathologique Ibn Sina de Rabat.
Résultats :
Il s’agit de 34 hommes et 31 femmes dont l’âge moyen est de 27 ans (entre 15 et 60 ans).
Dans 74% des cas la découverte des tumeurs était fortuite, révélée dans un cliché de radiographie standard.
L’examen clé pour le diagnostic des tumeurs osseuses bénignes est la radiographie standard, cependant elle était réalisée chez tous nos patients.
52 patients ont bénéficié d’une preuve histologique préopératoire. Les 13 autres cas étaient opérés d’emblée.
L’étude anatomopathologique a mis en évidence :
3 cas d’ostéome ostéoïde ; 2 cas d’ostéoblastome ; 9 cas de chondrome ; 5 cas de chondroblastome ; 17 cas d’ostéochondrome ; 3 cas de kyste anévrysmale ; 4 cas de kyste essentiel ; 15 cas de tumeur à cellules géantes ; 3 cas de fibrome non ossifiant ; 2 cas de fibrome chondromyxoïde et 2 cas de dysplasie fibreuse.
Conclusion :Les tumeurs osseuses primitives bénignes et intermédiaires sont des entités raresdont le diagnostic précis est le plus souvent difficile reposant essentiellement sur la confrontation anatomo-radiologique.
La classification OMS 2013 des tumeurs osseuses a apporté beaucoup de nouvelles données permettant ainsi de reclasser certaines entités histologiques et de permettre une reproductibilité satisfaisante.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0252018 Président : MAHFOUD.M Directeur : ZOUAIDIA.F Juge : EL BARDOUNI.A Juge : KHARMAZ.M Aspects anatomopathologiques des tumeurs osseuses primitives bénignes et à malignité intermédiaire, à propos d’une série de 65 cas. Expérience du service d’anatomie pathologique de l’hôpital Ibn Sina de Rabat. [thèse] / Yassin ZAHDI, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Tumeurs osseuses primitives bénignes Tumeurs osseuses primitivesintermédiaires Anatomie pathologique diagnostics différentiels Classification OMS 2013. Résumé : Objectif : Etablir un profil épidémiologique, préciser le rapport anatomo-pathologique et les difficultés diagnostiques des tumeurs osseuses primitives bénignes etintermédiaires.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective, s’étendant du 01/01/2012 au 31/12/2016, menée au sein du laboratoire d’anatomie pathologique Ibn Sina de Rabat.
Résultats :
Il s’agit de 34 hommes et 31 femmes dont l’âge moyen est de 27 ans (entre 15 et 60 ans).
Dans 74% des cas la découverte des tumeurs était fortuite, révélée dans un cliché de radiographie standard.
L’examen clé pour le diagnostic des tumeurs osseuses bénignes est la radiographie standard, cependant elle était réalisée chez tous nos patients.
52 patients ont bénéficié d’une preuve histologique préopératoire. Les 13 autres cas étaient opérés d’emblée.
L’étude anatomopathologique a mis en évidence :
3 cas d’ostéome ostéoïde ; 2 cas d’ostéoblastome ; 9 cas de chondrome ; 5 cas de chondroblastome ; 17 cas d’ostéochondrome ; 3 cas de kyste anévrysmale ; 4 cas de kyste essentiel ; 15 cas de tumeur à cellules géantes ; 3 cas de fibrome non ossifiant ; 2 cas de fibrome chondromyxoïde et 2 cas de dysplasie fibreuse.
Conclusion :Les tumeurs osseuses primitives bénignes et intermédiaires sont des entités raresdont le diagnostic précis est le plus souvent difficile reposant essentiellement sur la confrontation anatomo-radiologique.
La classification OMS 2013 des tumeurs osseuses a apporté beaucoup de nouvelles données permettant ainsi de reclasser certaines entités histologiques et de permettre une reproductibilité satisfaisante.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0252018 Président : MAHFOUD.M Directeur : ZOUAIDIA.F Juge : EL BARDOUNI.A Juge : KHARMAZ.M Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0252018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M0252018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numériques
M0252018URL
Titre : CALCINOSE TUMORALE IDIOPATHIQUE (A PROPOS DE 07 CAS PEDIATRIQUES) Type de document : thèse Auteurs : BENSAOUD NADA, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : CALCINOSE TUMORALE IDIOPATHIQUE ENFANT IMAGERIE DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS Résumé : La calcinose tumorale idiopathique est une pathologie rare, souvent méconnue, d’étiologie indéterminée.
Elle prédomine chez le sujet jeune, de race noire et se caractérise par la présence de masses calcifiées péri-articulaires.
Le diagnostic de cette affection repose sur la confrontation clinique, biologique et radiologique.
Cependant la preuve histologique reste indispensable pour le diagnostic afin d’éliminer les autres causes de calcinose dites secondaires.
L’exérèse chirurgicale est le traitement de choix associée ou non au traitement médical.
L’évolution de cette affection est marquée par les récidives fréquentes.
Nous rapportons dans ce travail les observations médicales incluant, les renseignements cliniques, le bilan biologique, radiologique ainsi que les résultats histo-pathologiques et l’attitude thérapeutique, de o7 enfants atteints de calcinose tumorale idiopathique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0082014 Président : DAFIRI.R Directeur : DAFIRI.R Juge : JABOUIRIK.F Juge : EL MADHI.T CALCINOSE TUMORALE IDIOPATHIQUE (A PROPOS DE 07 CAS PEDIATRIQUES) [thèse] / BENSAOUD NADA, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CALCINOSE TUMORALE IDIOPATHIQUE ENFANT IMAGERIE DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS Résumé : La calcinose tumorale idiopathique est une pathologie rare, souvent méconnue, d’étiologie indéterminée.
Elle prédomine chez le sujet jeune, de race noire et se caractérise par la présence de masses calcifiées péri-articulaires.
Le diagnostic de cette affection repose sur la confrontation clinique, biologique et radiologique.
Cependant la preuve histologique reste indispensable pour le diagnostic afin d’éliminer les autres causes de calcinose dites secondaires.
L’exérèse chirurgicale est le traitement de choix associée ou non au traitement médical.
L’évolution de cette affection est marquée par les récidives fréquentes.
Nous rapportons dans ce travail les observations médicales incluant, les renseignements cliniques, le bilan biologique, radiologique ainsi que les résultats histo-pathologiques et l’attitude thérapeutique, de o7 enfants atteints de calcinose tumorale idiopathique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0082014 Président : DAFIRI.R Directeur : DAFIRI.R Juge : JABOUIRIK.F Juge : EL MADHI.T Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0082014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M0082014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M0082014URL LA CALCINOSE TUMORALE PRIMITIVE CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 5 CAS / ACHAABAN MOUAD
Titre : LA CALCINOSE TUMORALE PRIMITIVE CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 5 CAS Type de document : thèse Auteurs : ACHAABAN MOUAD, Auteur Année de publication : 2007 Langues : Français (fre) Mots-clés : CALCINOSE TUMORALE CLASSIFICATION ANATOMOPATHOLOGIQUE DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS TRAITEMENT CHIRURGICAL TRAITEMENT MEDICAL Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2482007 Président : ETTEYBI FOUAD Directeur : GOURINDA HASSAN Juge : EL MADHI TARIK Juge : / Juge : / LA CALCINOSE TUMORALE PRIMITIVE CHEZ L'ENFANT A PROPOS DE 5 CAS [thèse] / ACHAABAN MOUAD, Auteur . - 2007.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CALCINOSE TUMORALE CLASSIFICATION ANATOMOPATHOLOGIQUE DIAGNOSTICS DIFFERENTIELS TRAITEMENT CHIRURGICAL TRAITEMENT MEDICAL Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2482007 Président : ETTEYBI FOUAD Directeur : GOURINDA HASSAN Juge : EL MADHI TARIK Juge : / Juge : / Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2482007 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2007 Disponible
Titre : LES LYMPHOMES MEDIASTINAUX Type de document : thèse Auteurs : BAHAJ Ibtihal, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphomes médiastinaux Etude Anatomopathologique diagnostics différentiels Traitement. Résumé : Objectif : Etablir le profil épidémiologique de cette pathologie, décrire ses aspects anatomopathologiques et préciser ses caractéristiques évolutives.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective, s’étendant du 08/2014 jusqu’au 10/2019, menée au sein du laboratoire d’anatomie pathologique Ibn Sina de Rabat.
Résultats : Il s’agit de 16 femmes et 14 hommes dont l’âge moyen est de 37 ans, avec les extrémités d’âges varient entre 17 et 74 ans.
La symptomatologie clinique est faite de la dyspnée qui était présente chez 12 cas, la toux sèche ou productive chez 9 cas, le syndrome cave supérieur chez 4 cas, la douleur thoracique chez 5 cas, l’hémoptysie chez 2 cas, la dysphagie chez un seul cas et les signes généraux chez 11 cas. Aucune découverte n’a été fortuite.
La radiographie thoracique et la TDM thoracique sont les principaux examens d’imagerie réalisés pour tous les patients.
Les prélèvements biopsiques sont obtenus par médiastinoscopie pour 1 cas, par thoracotomie pour 1 cas, et pour le reste des cas ils étaient guidés radiologiquement par scanner dans 7 cas et par échographie dans 5 cas.
Les diagnostics histologiques retenus selon la classification OMS 2016 sont :
9 LHc dont 4 sont des LHc-SN, 10 Lymphomes B primitifs du médiastin, 1 Lymphome B diffus à grande cellule non-CG, 5 lymphomes lymphoblastiques T, 1 lymphome de Burkitt, 2 lymphomes de la zone grise, 2 lymphomes à petites cellules.
Conclusion : les lymphomes médiastinaux représentent 50 à 60% de toutes les tumeurs du médiastin, ils sont dominés par les LHc, les LBPM et les LLT. Le diagnostic repose sur l’étude morphologique, immunohistochimique, et actuellement cytogénétique selon la classification OMS 2016 des lymphomes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2972020 Président : BERNOUSSI.Z Directeur : ZNATI.K Juge : JAHID.A Juge : EL KHANNOUSSI.B LES LYMPHOMES MEDIASTINAUX [thèse] / BAHAJ Ibtihal, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Lymphomes médiastinaux Etude Anatomopathologique diagnostics différentiels Traitement. Résumé : Objectif : Etablir le profil épidémiologique de cette pathologie, décrire ses aspects anatomopathologiques et préciser ses caractéristiques évolutives.
Matériels et méthodes : Etude rétrospective, s’étendant du 08/2014 jusqu’au 10/2019, menée au sein du laboratoire d’anatomie pathologique Ibn Sina de Rabat.
Résultats : Il s’agit de 16 femmes et 14 hommes dont l’âge moyen est de 37 ans, avec les extrémités d’âges varient entre 17 et 74 ans.
La symptomatologie clinique est faite de la dyspnée qui était présente chez 12 cas, la toux sèche ou productive chez 9 cas, le syndrome cave supérieur chez 4 cas, la douleur thoracique chez 5 cas, l’hémoptysie chez 2 cas, la dysphagie chez un seul cas et les signes généraux chez 11 cas. Aucune découverte n’a été fortuite.
La radiographie thoracique et la TDM thoracique sont les principaux examens d’imagerie réalisés pour tous les patients.
Les prélèvements biopsiques sont obtenus par médiastinoscopie pour 1 cas, par thoracotomie pour 1 cas, et pour le reste des cas ils étaient guidés radiologiquement par scanner dans 7 cas et par échographie dans 5 cas.
Les diagnostics histologiques retenus selon la classification OMS 2016 sont :
9 LHc dont 4 sont des LHc-SN, 10 Lymphomes B primitifs du médiastin, 1 Lymphome B diffus à grande cellule non-CG, 5 lymphomes lymphoblastiques T, 1 lymphome de Burkitt, 2 lymphomes de la zone grise, 2 lymphomes à petites cellules.
Conclusion : les lymphomes médiastinaux représentent 50 à 60% de toutes les tumeurs du médiastin, ils sont dominés par les LHc, les LBPM et les LLT. Le diagnostic repose sur l’étude morphologique, immunohistochimique, et actuellement cytogénétique selon la classification OMS 2016 des lymphomes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2972020 Président : BERNOUSSI.Z Directeur : ZNATI.K Juge : JAHID.A Juge : EL KHANNOUSSI.B Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2972020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M2972020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numériques
M2972020URL
Titre : VERRUES VULGAIRES ET PLANTAIRES : EPIDEMIOLOGIE ET PRISE EN CHARGE Type de document : thèse Auteurs : Sara FLIS, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Verrues HPV épidémiologie formes cliniques diagnostics différentiels prise en charge Résumé : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus HPV. Il existe plus de
200 types d’HPV provoquant diverses manifestations cutanées et muqueuses. Les
HPV à tropisme cutané sont à l’origine des verrues vulgaires et plantaires. Leur
fréquence est évaluée à 7-10% de la population générale, touchant tous les âges
mais les enfants scolarisés et les jeunes adultes en représentent le principal
réservoir. La transmission se fait à partir de micro traumatismes cutanés, par
contact direct, indirect ou par auto inoculation. Selon le sous-type du HPV
contaminant, on distingue différentes formes cliniques : les verrues vulgaires, planes,
filiformes, périunguéales et sous unguéales, les verrues plantaires (myrmécies,
verrues translucides), l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome. Il
faut donc identifier précisément le type de verrue et écarter les différents
diagnostics différentiels. La régression spontanée est habituelle pour les verrues
cutanées mais les récidives sont fréquentes. Les modalités thérapeutiques visent
à détruire l’épiderme infecté par des méthodes de destruction (chimiques,
physiques ou immunologiques). L’abstention thérapeutique est envisageable
dans certains cas. Aucun traitement n’est efficace à 100%. A l’avenir, l’espoir
repose sur les recherches de vaccination et les traitements immunomodulateurs.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362022 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Saida TELLAL Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI VERRUES VULGAIRES ET PLANTAIRES : EPIDEMIOLOGIE ET PRISE EN CHARGE [thèse] / Sara FLIS, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Verrues HPV épidémiologie formes cliniques diagnostics différentiels prise en charge Résumé : Les verrues sont des tumeurs bénignes dues au virus HPV. Il existe plus de
200 types d’HPV provoquant diverses manifestations cutanées et muqueuses. Les
HPV à tropisme cutané sont à l’origine des verrues vulgaires et plantaires. Leur
fréquence est évaluée à 7-10% de la population générale, touchant tous les âges
mais les enfants scolarisés et les jeunes adultes en représentent le principal
réservoir. La transmission se fait à partir de micro traumatismes cutanés, par
contact direct, indirect ou par auto inoculation. Selon le sous-type du HPV
contaminant, on distingue différentes formes cliniques : les verrues vulgaires, planes,
filiformes, périunguéales et sous unguéales, les verrues plantaires (myrmécies,
verrues translucides), l’épidermodysplasie verruciforme et le kératoacanthome. Il
faut donc identifier précisément le type de verrue et écarter les différents
diagnostics différentiels. La régression spontanée est habituelle pour les verrues
cutanées mais les récidives sont fréquentes. Les modalités thérapeutiques visent
à détruire l’épiderme infecté par des méthodes de destruction (chimiques,
physiques ou immunologiques). L’abstention thérapeutique est envisageable
dans certains cas. Aucun traitement n’est efficace à 100%. A l’avenir, l’espoir
repose sur les recherches de vaccination et les traitements immunomodulateurs.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0362022 Président : Yassine SEKHSOKH Directeur : Mimoun ZOUHDI Juge : Saida TELLAL Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Mariama CHADLI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0362022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M0362022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M0362022URL